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[Iran]


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Fuites concernant les documents trafiqués par la CIA pour compromettre le programme nucléaire iranien.

 

http://www.bloomberg.com/news/articles/2015-02-20/cia-s-nuclear-bomb-sting-said-to-spur-review-in-iran-arms-case

 

The CIA passed doctored blueprints for nuclear-weapon components to Iran in February 2000, trial documents have shown.

“This story suggests a possibility that hostile intelligence agencies could decide to plant a ‘smoking gun’ in Iran for the IAEA to find,” said Peter Jenkins, the U.K.’s former envoy to the Vienna-based agency. “That looks like a big problem.”

 

The UN agency is charged with deciding whether the Iranian government has been trying to develop nuclear weapons and its ruling may determine whether international sanctions against the country are lifted. While Iranian officials have consistently accused the IAEA of basing its case on forged documents, the agency has never acknowledged receiving tampered evidence.

Modifié par amarito
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http://www.recorder.com/news/townbytown/amherst/15710583-95/iran-sanctions-bite-at-umass (16 février 2015)

 

L'université du Massachusetts bannit les étudiants iraniens de certaines filières. Les étudiants iraniens protestent en disant que les lois américaines sanctionant l'Iran ne demandent pas aux universités de faire du zèle en prenant ce type de mesures.

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OK ce sont des missiles mais franchement pas à vocation offensive, omettre cette explication m'a toujours paru douteux. Même si certains argumenteront qu'une défense aérienne renforcée permet théoriquement à l'Iran d'envisager d'attaquer un voisin plus sereinement.

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Je trouve le titre de l'article tendancieux : parler de missiles alors qu'on est en train de négocier sur le nuc iranien peut laisser supposer l'achat de missiles balistiques (offensif, pouvant menacer le monde entier) alors qu'il s'agit de missiles sol-air (défensif).

 

Cette manière de faire ne me parait pas très honnête, souvent les péquin ne lit que le titre et a donc une image faussée.

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Iran : le cancer en phase terminale du guide suprême annonce une guerre de succession L'ayatollah Ali Khamenei souffre d'un cancer de la prostate en phase terminale, remettant en cause l'issue des négociations sur le nucléaire et sur l'identité de son successeur.    

Le guide de la Révolution islamique iranienne, Ali Khamenei, souffre d'un cancer de la prostate qui aurait, d'après Le Figaro qui publie l'information samedi 28 février, atteint le stade 4, c'est à dire le stade terminal. Le leader suprême, 76 ans, est atteint de cette maladie depuis de nombreuses années. Mais le mal s'est disséminé dans d'autres parties du corps, forçant les médecins à donner deux ans d'espérance de vie au chef religieux, âgé aujourd'hui de 76 ans. Une nouvelle qui pourrait provoquer une période trouble au sommet du pouvoir iranien.

Comme l'explique le quotidien français, cette nouvelle médicale d'importance intervient en pleine négociation avec les Occidentaux sur le nucléaire iranien. Les discussions entre Téhéran et le groupe P5+1 (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Chine, Russie et Allemagne) doivent reprendre le 2 mars à Genève, afin de tenter de parvenir à un accord avant le 31 mars. (...)

 

 

Suite: http://www.francetvinfo.fr/monde/proche-orient/iran-le-cancer-en-phase-terminale-du-guide-supreme-annonce-une-guerre-de-succession_836517.html

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  • 2 weeks later...

 

La France, faucon des négociations internationales sur le nucléaire iranien

"Paris a clairement fait le choix des monarchies pétrolières du Golfe et de la stabilité conservatrice qu'elles représentent".

 

Dans les négociations sur le nucléaire iranien qui reprennent ces jours prochains, où entrent en jeu des considérations politiques, géostratégiques mais aussi personnelles, la France joue le rôle de faucon, jusqu'à irriter ses alliés, mais ne devrait pas aller jusqu'à bloquer un accord, selon analystes et diplomates.

La ligne dure française dans ce dossier a été officialisée par le président de droite Nicolas Sarkozy après son élection en 2007. Puis poursuivie et assumée par son successeur socialiste François Hollande depuis 2012.

"Dans cette affaire, la France a fait le chemin inverse des Etats-Unis, qui ont changé de stratégie avec l'arrivée de Barack Obama" et sa volonté de parvenir à un accord historique avec Téhéran sur le dossier nucléaire, résume Bernard Hourcade, spécialiste de l'Iran au Centre national de la recherche scientifique (CNRS).

Plusieurs raisons expliquent la fermeté française sur le programme nucléaire de l'Iran, soupçonné par les Occidentaux d'être à vocation militaire, et qui empoisonne les relations internationales depuis plus d'une décennie.

Raisons historiques et politiques: les diplomates français qui ont suivi et négocié le dossier depuis le début sont des personnalités classées comme "néoconservatrices", aux positions particulièrement fermes sur l'Iran.

(Lire aussi : Nucléaire iranien : "Des divergences importantes subsistent", affirme Kerry)

Et l'actuel chef de la diplomatie, Laurent Fabius, fut Premier ministre entre 1984 et 1986, à l'époque la pire des relations entre Paris et Téhéran. Attentats en France, prises d'otages français au Liban attribuées au Hezbollah chiite allié de Téhéran, contentieux sur le contrat nucléaire Eurodif, soutien de la France à l'Irak alors en guerre contre l'Iran... "Fabius a gardé une impression désastreuse des Iraniens et ne leur fait absolument pas confiance", se souvient un diplomate.

Mais selon M. Hourcade, l'élément essentiel dans cette stratégie française, "c'est que Paris a clairement fait le choix des monarchies pétrolières du Golfe et de la stabilité conservatrice" qu'elles représentent face à un Iran dont la France n'a de cesse de rappeler "le rôle déstabilisateur" en Syrie, au Liban ou en Irak.

 

Le psychodrame de Genève 2013 

S'ajoutent d'autres raisons comme la volonté française d'apparaître, selon un expert occidental, comme le "gardien du temple de la non-prolifération" nucléaire.

C'est en arguant de son expertise - reconnue - sur ces questions que Paris réclame un accord "solide" avec l'Iran... et soupçonne parfois son meilleur allié américain d'être prêt à trop de concessions pour arracher un compromis historique. Lequel allié, en retour, surveille son partenaire français comme le lait sur le feu pour éviter, dans la dernière ligne droite des négociations, une réédition du "psychodrame" de Genève en novembre 2013.

 

(Lire aussi : Khamenei : Les Américains sont « fourbes et poignardent dans le dos »)

A l'époque, Paris s'opposa in extremis à la première mouture d'un accord provisoire concocté entre Washington et Téhéran. Un texte amélioré avait été signé 15 jours plus tard.

Aujourd'hui, alors que l'épilogue se rapproche et que la tension monte chez des négociateurs soumis à forte pression, Paris a-t-il pour autant la capacité ou la volonté de bloquer un accord ?

"Les Français ne prendront pas le risque de faire capoter la négociation", estime l'ancien diplomate François Nicoullaud, en poste à Téhéran dans les années 2000 et spécialiste des questions de non-prolifération.

"Sur les lignes générales, les grandes puissances (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Chine, Russie et Allemagne) sont d'accord. Après, c'est une question de curseur, que Paris cherche à pousser le plus loin possible", sur le nombre de centrifugeuses accordé à l'Iran, sur la durée de l'accord...

Une source proche du dossier qui n'a jamais caché son scepticisme et parlait volontiers de "mettre l'Iran à genoux" économiquement, juge aujourd'hui que "ça peut marcher s'il y a une volonté politique", qu'"on a fait du chemin" et qu'"un accord est faisable".

"Le problème dans cette négociation, c'est qu'on est véritablement sur le fil du rasoir et qu'il y a un nombre important de gens qui veulent tout faire pour saboter un accord", rappelle Bernard Hourcade, citant les conservateurs iraniens, les sénateurs américains, le Premier ministre israélien, les pays du Golfe... "A quelques symboles près, pour trois centrifugeuses de plus ou de moins, ça peut échouer", s'inquiète-t-il.

"A la fin des fins, ça se fera autour des deux grands négociateurs, Amérique et Iran. Tout va se jouer sur leur capacité à se jeter à l'eau, et c'est un pari fantastique et fascinant", observe un diplomate européen.

http://www.lorientlejour.com/article/915817/la-france-faucon-des-negociations-internationales-sur-le-nucleaire-iranien.html

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Les négociations doivent être presque aussi dures au sein de la partie occidentale de ce face à face:

 

- les Américains ont peu de moyens de pression directe hors de la menace de l'intervention militaire, qui reste en filigrane (pour cette partie des "bargaining chips", ce sont eux qui tiennent l'essentiel de la crédibilité): les sanctions économiques et financières (débouchés et fournitures de produits stratégiques, accès aux marchés financiers dont les hubs sont en Europe....) sont entre les mains des Européens, ce qui, tant que l'option militaire est tenue à l'écart sauf en cas de crise extrême -le coût, l'absence de visibilité, les conséquences et l'impossibilité de prévoir une fin étant dissuasifs- et que les plus tarés (essentiellement la droite israélienne et les amateurs et extrémistes au Congrès US) sont tenus par la bride et leurs propres problèmes, a le double effet potentiellement problématique de décrédibiliser les va t-en guerre dans un certain ensemble de circonstances, d'une part, mais aussi de ne leur laisser d'autre option que de pousser unilatéralement vers des situations ne pouvant mener qu'à la guerre, qu'ils s'en défendent ou non. On voit bien le jeu de Bibi et des ultras américains dirent qu'ils ne souhaitent pas la guerre, mais en même temps prétendre que eux obtiendraient un bien meilleur deal comme par l'opération du Saint Esprit, avec des "arguments" qui, essentiellement, s'ils étaient aux commandes, mèneraient à une fin immédiate des pourparlers et à une option militaire. 

 

- le camp américain était déjà divisé en raison de l'extrême polarisation de Washington, ce qui affaiblit par nature la crédibilité de ses propositions, qui peuvent être amendées/annulées à plus ou moins brève échéance. La lettre de cette semaine a démontré l'extrême précarité de cette situation intérieure américaine. 

 

- la faiblesse des Américains dans la capacité à imposer des sanctions (hors guerre) se traduit-elle dans cette ambivalence profonde de leur "volonté politique" (polarisée entre une bonne partie des faucons -essentiellement républicains- et les "gens raisonnables") qui agite d'autant plus de ce fait la seule "solution" qu'ils maîtrisent par eux-mêmes? La valorisant au sein même du "camp occidental" où les Européens tiennent une meilleure main? 

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  • 3 weeks later...

Bon, pas d'armes nucléaires pour l'Iran... pendant quelques mois. C'est juste du temps gagné par les Iraniens qui en échange de cette renonciation de façade ont sûrement dû obtenir de belles concessions.

 

Ils savent négocier les Perses.

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Je doute que cet accord soit ratifié par le législatif américain, ils sont trop pro-Nétamiaou et anti-Obama...

je doute que la France représentée par Fabius ait été favorable à cet accord. J'ai pas encore vu de déclaration de sa part ni de l'Elysee du genre  "la France se félicite de ...."... pourtant un accord mérite au moins une réaction de Paris.

On doit faire grise mine à Paris tout en se disant qu'ayant choisi son camp, elle pourra peut être signer quelques contrat en supp avec les Monarchies lesquelles vont sans doute jouer de leur pétro$ pour se venger d'avoir été trahies par les US.

 

Toutes les parties prenantes sont dans la duplicité....la France joue aussi une partition assez trouble  qui me mets très mal à l'aise.... un peu à l'image de toute sa politique elle est assez sournoise / hypocrite. et faite de soumission à d'autres intérêts me semble-t-il.  C'est un ressenti perso.

Modifié par Zarth Arn
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J'en reste aux propos de Jacques Chirac à la fin de sa présidence, en février 2007 :

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/monde/20070131.OBS9908/iran-quand-chirac-rectifie-chirac.html (5 février 2007)

 

Interrogé lundi 29 janvier, le chef de l’Etat notait que ce n’était pas tant le fait de posséder "une bombe nucléaire" qui serait "dangereux" – "une, peut-être une deuxième un peu plus tard, (…) qui ne lui servira à rien"… "Où l’Iran enverrait-il cette bombe ? Sur Israël ? Elle n’aura pas fait 200 mètres dans l’atmosphère que Téhéran sera rasée."
 
Mardi, le président a jugé nécessaire de revenir sur ces propos. "C’était, disait-il, un raccourci schématique, extrêmement schématique. Plus encore, a-t-il ajouté, c’est une formule que je retire." En revanche Jacques Chirac maintient que "si l’Iran possédait une bombe nucléaire et si elle était lancée, elle serait immédiatement détruite avant de quitter le ciel iranien. Il y aurait inévitablement des mesures de rétorsion et de coercition. C’est tout le système de la dissuasion nucléaire".

 

Ce "qui est très dangereux, martèle Chirac, c’est la prolifération".

 

Lundi, lors du premier entretien, le président jugeait "très tentant pour d’autres pays qui ont de gros moyens financiers dans cette région de se dire “eh bien, nous aussi on va se préparer au nucléaire militaire, on va aider d’autres à le faire”. Pourquoi l’Arabie Saoudite ne le ferait-elle pas à son tour ? Pourquoi n’aiderait-elle pas l’Egypte à le faire également ?".

 

 

 

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Je m'en souviens. Il avait parfaitement raison sur l'exagération des conséquences de la possession de la Bombe par l'Iran, mais j'avais trouvé à l'époque (et trouve toujours) qu'un chef d'Etat en exercice d'une puissance nucléaire n'avait pas à dire ce genre de chose. C'était mal habile.

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http://nationalinterest.org/feature/what-iranians-are-saying-about-the-nuke-deal-12543 (4 avril 2015)

 

Le discours de Barack Obama a été retransmis à la télévision nationale iranienne IRIB. C'est la première fois, dans l'histoire de la République Islamique, qu'un discours de président américain est retransmis à la télévision. Comme on imagine mal que la chaîne ait pris cette initiative sans demander la permission en haut lieu, c'est un signe que le guide de la Révolution, l'ayatollah Khamenei approuve l'accord sur le nucléaire.

 

 

Discours de Barack Obama dans la roseraie de la Maison Blanche, le 2 avril 2015, sur l'accord cadre international sur le nucléaire iranien.

 

https://www.whitehouse.gov/the-press-office/2015/04/02/statement-president-framework-prevent-iran-obtaining-nuclear-weapon

 

Texte intégral de ce discours (en anglais).

J'ai pas encore vu de déclaration de sa part ni de l'Elysee du genre "la France se félicite de ...."... pourtant un accord mérite au moins une réaction de Paris.

http://www.elysee.fr/communiques-de-presse/article/accord-sur-l-iran/ (2 avril 2015)

Le Président de la République qui vient de s’entretenir avec le Président Obama au sujet de cet accord, salue le travail accompli par les ministres des Affaires étrangères et leur engagement tout au long de ce processus, ainsi que les bases de l’accord qui ont été trouvées.

Modifié par Wallaby
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Ben oui c'est bien celui-ci qui devait détruire missiles iraniens/coréens. Y-en-a-t-il d'autre mis à part celui de Moscou ?

 

D'autre part la future levée des sanctions ne va-t-.elle pas autoriser l'Iran à exporter plus de pétrole d'ou une nouvelle baisse des prix ?

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Ben oui c'est bien celui-ci qui devait détruire missiles iraniens/coréens. Y-en-a-t-il d'autre mis à part celui de Moscou ?

Il y a celui d’Israël ...

 

D'autre part la future levée des sanctions ne va-t-.elle pas autoriser l'Iran à exporter plus de pétrole d'ou une nouvelle baisse des prix?

Tu penses vraiment que l'Iran n'exporte pas sous embargo? :lol: meme l'EI exporte sous embargo alors l'Iran ...

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http://www.elysee.fr/communiques-de-presse/article/accord-sur-l-iran/ (2 avril 2015)

 

Le Président de la République qui vient de s’entretenir avec le Président Obama au sujet de cet accord, salue le travail accompli par les ministres des Affaires étrangères et leur engagement tout au long de ce processus, ainsi que les bases de l’accord qui ont été trouvées.

 

 

 

Ca c'était malheureusement après une déclaration plus martiale.

 

J'imagine que certains au quai d'Oz, se repassent de vieux films en noir et blanc les yeux dans les yeux (Oh mon beau miroir):

 

Modifié par TomcatViP
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Je trouve l'attitude de Netanyahou vis à vis de l'accord avec l'Iran scandaleuse. Si les accords avec la Syrie et l'Iran tiennent leurs promesses, Obama aura été le président américain qui aura réussi l'exploit de priver deux ennemis d'Israël d'armes de destruction massive.

Modifié par Joab
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Oui mais un Iran qui n'est plus le grand méchant loup c'est une alliance entre les USA et Israel relativisé. ça vaut pour l'Arabie Saoudite. Bibi en s'agitant de la sorte est plutôt logique. Les ADM n'ont jamais été un vrai problème.

 

 

Ben oui c'est bien celui-ci qui devait détruire missiles iraniens/coréens. Y-en-a-t-il d'autre mis à part celui de Moscou ?

 

D'autre part la future levée des sanctions ne va-t-.elle pas autoriser l'Iran à exporter plus de pétrole d'ou une nouvelle baisse des prix ?

 

 

Dans l'immédiat ça va leur permettre de se procurer des pièces détachés plus facilement. Reste à savoir le gain de production pouvant être obtenus en plus avec des installations mieux entretenus.

 

ça va peut être aussi permettre aux investisseurs occidentaux d'investir dans le secteur pétrolier, qui par contre coup permettra d'augmenter sa production pétrolière. Qui sait, un jour peut être l'Iran sera l'un des grand fournisseur de gaz de l'Europe comme alternative partielle à la Russie. Mais ça implique des transfert de technologies, donc ça ne se fera pas tout de suite.

 

Il faut que l'accord dure, qui je crois ne vaut que pour les 10/15 années avenir. C'est peu, et il faut voir si l'essai sera transformé en une normalisation définitive. Et je soupçonne Obama de rendre l'accord irréversible en intégrant de façon plus intime l'Iran au flux du commerce mondiale.

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