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  1. Here are the pictures of the Titan submersible wreckage on the seafloor, after it imploded and sank in 2023 with 5 lives. Communication between Titan and its mother ship was lost 1 hour and 33 minutes into the dive. After the submersible had been missing for four days, an ROV discovered a debris field containing parts of Titan, about 500 metres from the bow of the Titanic The search area was informed by the US navy’s sonar detection of an acoustic signature consistent with an implosion around the time communications with the submersible ceased, suggesting the pressure hull had imploded while Titan was descending. https://www.linkedin.com/posts/cameron-livingstone_titan-titanic-maritime-ugcPost-7401533193260118016-b3dA
  2. l’exercice Gabian Le chien , (un SNA classe Suffren) le Berger (la nouvelle FDI Amiral Ronarc’h), une brebis (nous!) des pumas, des dauphins , des rafales, un ATL2, c’était la grande jungle casex de l’exercice Gabian J’ai eu l’honneur et la joie d’être invité à bord du premier BRF le Jacques Chevalier que j’avais eu l’émotion de visiter en construction aux chantiers de l’Atlantique en 2021. Imposant pétrolier ravitailleur des Forces, il permet au GAN de partir plus loin et de durer plus longtemps, en cas d'affrontement cet atout stratégique peut faire la différence. Nous avons eu des casex, des securex, des trapax, des manavia, un presque REM, des RAM simple et double, de jour comme de nuit et un formidable invité: le porte avion Charles de Gaulle à qui nous avons livré du jet pour ses rafales, des bombes et des munitions et repris ses poubelles Et pendant ce RAM, prouesse rare, catapultages et appontages se sont succédés. Notre MN de combat est bien présente pour jouer le rôle qu’on lui donnera, ses marins sont au top, prêts à nous défendre sur toutes les mers. Mille merci au Pacha le Capitaine de Vaisseau Christophe Gaume pour son accueil bienveillant, à l’Amiral Laurent Bechler commandant du CESM et notre chère Eliane pour l’organisation de cet embarquement. Toujours fana cher Amiral Christophe Cluzel pour embarquer au sein de la formidable FAN
  3. La frégate de défense et d’intervention (FDI) Amiral Ronarc'h avec son Caïman Marine, au mouillage dans la grande rade de Toulon de Toulon https://www.linkedin.com/posts/hervé-dermoune-974641183_toulon-fdi-amiralronarch-ugcPost-7403859600929861633-JZAO
  4. Embarquement immédiat à bord du sous-marin nucléaire d’attaque Duguay-Trouin ! De la classe « Suffren », programme « Barracuda », cette unité est le fleuron technologique des sous-marins . À son bord, les jeunes marins sont les dignes héritiers des corsaires du Roi. Autrefois, les voiles claquaient au vent et les coques en bois fendaient l’écume à la poursuite des Neslon et autres Pellew ; aujourd’hui, ce sont des lignes épurées d’acier et un réacteur discret qui projettent l’équipage dans les profondeurs, là où se joue l’invisible. Le Duguay-Trouin, héritier d’un nom chargé d’Histoire(s), incarne la transition entre deux époques : celle des éclats de sabre et celle des algorithmes. Mais la mission reste la même : protéger, dissuader, observer, et rappeler aux Français que leur liberté n’est acquise que grâce à l’engagement de leurs forces armées… Au milieu des systèmes complexes, il reste cette constante : des femmes et des hommes, formés à l’excellence, unis par la rigueur, l’engagement et la discrétion, parés à plonger dans les abysses pour que demeure la paix. Voici donc un hommage, à la fois au passé qui inspire, à la technologie qui ouvre la voie, et à ces marins qui, à bord du Duguay-Trouin, prolongent une histoire que la mer n’a jamais cessé d’écrire. https://www.linkedin.com/posts/ewan-photo_sna-suffren-brest-ugcPost-7403476796937097216-SfWO
  5. Oui j’étais branché sur un ré-used Iso prop Fremm pour FDI ; même propulsion , même envergure réducteur cross connecté.
  6. ARMEN56

    Industrie navale européenne

    Le GICAN a certainement une bonne visibilité sur ce sujet. Le groupement fait appel à des cabinets de conseil défense dont AFFINIS pour des études de cas particuliers . En source non publique AFFINIS a déjà produit des études de marché guide concurrentiel et stratégique sur l’Italie , l’Uk , la Corée du Sud et la Turquie . Affinis a rendu sa copie sur la Chine https://maritimenews.ma/~maritimenews/commerce-exterieur/14326-la-chine-geant-naval-mondial-une-etude-du-gican-devoile-les-opportunites-et-risques-pour-l-industrie-maritime-francaise Et Drones navals https://fr.linkedin.com/posts/thomas-bonnemaison-6b4104120_je-tiens-à-remercier-le-gican-et-ses-équipes-activity-7239915128572301312-KQD-
  7. On ne peut pas caser un CODELOG sur une FDI le B est insuffisant d’une part et d’autre part cette solution impose un réagencement total navire dans la gestion des volumes. FDI a bénéficié des règles de l’art dernier cri en matière d’atténuation de bruits rayonné , ceux qui ont fait barracuda ( avec turbo réducteur et MEPs ) causent avec les collègues systèmiers surface. Coté hydro j’ai connu le boss qui a dessiné carène et appendice barracuda , boss et son équipe très sollicités par ailleurs coté frégates. DGA Tech bassin des carènes et EMM dans le coup bien entendu.
  8. voir fil Égypte un succès En pensant à finc ; deux chantiers constructeurs mili c’est mieux que un…..non? Alors si Brest avait conserver sa capacité à construire des frégates cf les FASM par ex , nous ( team France ) aurions peut être pu …….blablabla Sur le papier en bruits rayonnés, source énergie propulsion , un CODLOG est plus discret qu’un CODAD ce en raison d’un fonctionnement sur MEP en mode ASM ( pas de bruits réducteurs ), ceci dit on peut avoir des bruits hydros marquants ou de la cavitation d’appendices aussi bien sur une coque en CODLOG que sur une CODAD . Toutes les FLF , SW2 et Delta en CODAD (*) avaient à ma connaissance un bon gabarit acoustique De toute façon , le seul juge de paix en la matière c’est de mesurer le bruit du canote sur polygone d’écoute GESMA ou Cap Ferrat . Les oreilles d’or du CIRA qui ont les retours des SNA savent aussi . Dans une compète on peut imaginer MINDEF , EMM , NG et DGA pouvoir mettre sur la table les gabarits Fremm et FDI mesurés ? un dernier point déjà évoqué aussI , pour FDI la conception a été menée avec un nouveau logiciel ; 3D Expérience, développée par Dassault systèmes. Plus de papier que des tablettes . S’il fallait relancer Fremm (?) étudiée avec l’ancienne CAO aujourd’hui caduque je crois alors il faudrait partir de zéro avec dans cette eventualite un peu « patinage » (*) Le CODAD est une combinaison propulsive rodée depuis plus de 60 ans , une hélice qui tourne H24 en mission sans grosse avarie ça rassure.
  9. L’Égypte prolonge de cinq ans son contrat de maintenance de sept navires auprès du chantier français Naval group Le contrat entre l’industriel français Naval group et la marine égyptienne pour le soutien en service (ISS) de sept navires vient d’être renouvelé. Il porte sur une durée de cinq ans. Selon un communiqué publié par Naval group, l’industriel français et la marine égyptienne ont signé la prolongation d’un contrat, signé en 2019, portant sur le soutien en service de sept navires. Ce contrat concerne la frégate multimission (Fremm) Tahya Misr, les deux porte-hélicoptères d’assaut amphibie Gamal Abdel Nasser et Anwar el Sadat ainsi que les quatre corvettes Gowind El Fateh , Port-Saïd, El Moez et Al Ismailia. https://lemarin.ouest-france.fr/defense/legypte-prolonge-de-cinq-ans-son-contrat-de-maintenance-de-sept-navires-aupres-du-chantier-francais-naval-group-c422e75a-d1fe-11f0-a0f2-b2a4fbd1e8d9
  10. Le parquet militaire de Rennes est saisi du dossier , dès lors on peut supposer qu’il ne s’agit pas d’exercice , en ce sens le proc mili manœuvre ts les leviers d’investigation qui vont bien , dans le bon droit évidemment . D’accord les tanks ennemis sont pas aux portes de Paris ( quoiqu’entendu dans la campagne d’avant le 7 mai 81) mais sentiment qu’on chercherait à nous faire ch… en titillant l’assurance vie France . On reste zen !
  11. Taïwan accuse la Chine d’avoir simulé des attaques contre des bateaux étrangers « Taipei, 3 déc 2025 (AFP) – Le chef des services de renseignement taïwanais a déclaré mercredi que des avions militaires chinois avaient « simulé des attaques » contre des navires militaires étrangers traversant le détroit qui sépare la Chine et l’île de Taïwan. La Chine revendique Taïwan et estime que le détroit les séparant, une des voies maritimes les plus fréquentées au monde, fait partie de son territoire. D’autres pays comme les États-Unis et le Royaume-Uni considèrent le détroit de Taïwan comme des eaux internationales, ouvertes à tous les navires. Huit pays, dont les États-Unis, le Japon, l’Australie et la France, ont transité dans ces eaux depuis le début de l’année, a déclaré le directeur du Bureau de la sécurité nationale, Tsai Ming-yen. La Chine surveille « chaque navire », a déclaré M. Tsai, répondant à la question d’un député au Parlement taïwanais. « Elle déploiera les moyens navals nécessaires pour effectuer la surveillance requise et, parfois (…) elle mobilisera également ses forces aériennes pour simuler des attaques afin de signaler sa présence militaire et revendiquer son hégémonie dans le détroit », a-t-il expliqué. Taïwan échange des renseignements avec ses « alliés internationaux », dont des informations sur les activités militaires chinoises, a ajouté M. Tsai. Pékin a accru ces dernières années sa pression militaire, économique et diplomatique sur Taïwan, au régime démocratique, et n’exclut pas le recours à la force pour en prendre le contrôle. L’armée taïwanaise signale une présence grandissante de navires, de drones et d’avions militaires chinois autour de son territoire, et des exercices militaires de grande envergure y sont régulièrement organisés. Le président taïwanais Lai Ching-te a dévoilé la semaine dernière un projet d’augmentation des dépenses liées à la défense de 40 milliards de dollars au cours des huit prochaines années, en soulignant le développement d’un système de défense aérienne à plusieurs niveaux. » https://marine-oceans.com/actualites/taiwan-accuse-la-chine-davoir-simule-des-attaques-contre-des-bateaux-etrangers/
  12. La Chine convertit un navire cargo civil en plateforme maritime à énergie dirigée équipée de l’arme laser LY-1. La Chine a installé et testé le laser haute énergie LY-1 sur un navire civil, transformant un bâtiment apparemment commercial en une potentielle plateforme anti-drones et de défense aérienne rapprochée. Cette expérimentation illustre la manière dont Pékin intègre les armes à énergie dirigée dans sa doctrine amphibie plus large, brouillant la frontière entre les moyens logistiques civils et les combattants militaires dans une future crise régionale éventuelle. Le 30 novembre 2025, des images partagées sur les réseaux sociaux chinois ont montré le système laser haute énergie LY-1 fixé sur le pont découvert d’un cargo civil roulier lors d’essais en mer. Les photos montrent un grand navire roulier passagers-cargo blanc, doté de marquages d’hélisurface sur le pont avant, sur lequel un véhicule porteur camouflé a été positionné et solidement arrimé par de lourdes chaînes. Jusqu’ici associé à des plateformes strictement militaires, ce système est testé sur la même catégorie de navires commerciaux que la Chine intègre depuis des années dans des exercices amphibies et de débarquement en tant que moyens de transport auxiliaires. L’association d’une coque marchande et d’une arme sophistiquée à énergie dirigée montre à quelle vitesse la frontière entre logistique civile et puissance de combat navale se réduit dans le Pacifique occidental. L’inquiétude concernant la vulnérabilité de transports lents et lourdement chargés face aux drones et munitions rôdeuses suggère un futur où chaque rampe cargo et pont véhicule pourrait servir de nœud défensif, indiquant comment la Chine entend renforcer les maillons les plus faibles d’une force de débarquement à grande échelle. La Chine a testé son système laser haute énergie LY-1 de défense aérienne sur le pont d’un cargo civil roulier, mettant en évidence une fusion renforcée entre la flotte marchande du pays et ses capacités de combat amphibie (Source : réseaux sociaux chinois). Le LY-1 lui-même est un laser naval haute énergie conçu pour la défense aérienne et antimissile de courte portée. Présenté publiquement pour la première fois lors du défilé de la Victoire 2025 à Pékin, le système apparaissait sur un véhicule blindé 8×8 doté d’un large directeur de faisceau entouré de multiples capteurs électro-optiques et infrarouges pour l’acquisition et le suivi des cibles. Les informations disponibles en sources ouvertes décrivent le LY-1 comme une couche terminale de défense aérienne destinée à neutraliser des menaces aériennes de petite taille et à faible signature (drones, munitions rôdeuses, hélicoptères et potentiellement missiles de croisière volant bas) à la vitesse de la lumière. Certaines évaluations publiques placent la puissance de l’arme dans la classe des 180 à 250 kW, avec l’hypothèse que les variantes futures puissent atteindre des niveaux supérieurs, et suggèrent une portée d’engagement contre les petits drones pouvant s’étendre à plusieurs kilomètres dans de bonnes conditions. Ces chiffres restent non confirmés par les autorités chinoises mais sont globalement cohérents avec le rôle du LY-1 comme couche la plus interne d’un réseau naval de défense aérienne à plusieurs niveaux, aux côtés des missiles surface-air HQ-10 et HQ-16. L’arme a déjà été observée sur des bâtiments de débarquement de type 071 tels que le Simingshan et le Qilianshan, indiquant que la marine chinoise passe de la démonstration technologique à l’intégration en série dans sa flotte de débarquement. Dans ce rôle, le laser permet de multiples tirs pour un coût bien inférieur à celui des missiles ou des munitions de canon, à condition de disposer d’une alimentation et d’un système de refroidissement suffisants à bord. La dernière image, diffusée sur Weibo et d’autres réseaux sociaux chinois plutôt que par des canaux officiels, frappe non seulement par la tourelle mais par la plateforme qui la porte et la façon dont elle est installée. On y voit le LY-1 monté sur un grand véhicule porteur camouflé, la tourelle — portant le marquage « LY-1 » et une ouverture principale bleue bien visible — orientée vers l’avant du navire. Le véhicule est garé sur ce qui semble être une plate-forme hélicoptère, identifiable à ses marquages circulaires, et arrimé aux points d’amarrage du pont par des chaînes et tendeurs, une mesure de sécurité maritime standard pour transporter des véhicules lourds sur des ponts exposés. Plusieurs membres de l’équipage en combinaison bleue visibles le long des rambardes donnent l’échelle et suggèrent que le test est mené dans des conditions maritimes ordinaires, et non dans un port. On ne voit aucun blindage additionnel, support dédié ou renforcement structurel autour du laser, ce qui indique que le système reste principalement autonome sur son véhicule porteur et qu’il est évalué dans une configuration temporaire mais réaliste. Cette combinaison — superstructure civile intacte, procédures standard de sécurité, arme avancée sur le pont — montre avec quelle facilité une coque marchande peut devenir plateforme dual-use, tout en exposant le laser aux facteurs réels : vibrations, mouvements du navire, embruns et humidité, qui influencent fortement les performances des armes à énergie dirigée. Installer le LY-1 sur un navire roulier met en lumière une approche pratique que la Chine pourrait chercher à valider pour protéger les convois amphibies des menaces actuelles. Dans les opérations de débarquement d’envergure, les navires roulier civils chargés de véhicules et de personnel sont particulièrement vulnérables aux systèmes sans pilote à bas coût — des petits quadricoptères jusqu’aux drones suicides et munitions rôdeuses — qui ciblent les coques de grande valeur. Un laser monté sur le pont transforme effectivement chaque transport en nœud de contre-UAS et contre-munitions de courte portée, capable d’engager plusieurs menaces entrantes sans puiser dans les réserves limitées de missiles. Plutôt que de dépendre uniquement des escortes, cette dispersion des émetteurs défensifs dans le convoi complique le ciblage adverse et ajoute des couches protectrices pour les navires roulier et engins de débarquement autrement exposés. Le concept s’aligne avec les analyses de potentielles opérations à travers le détroit de Taïwan, où la flotte marchande devrait renforcer les capacités amphibies et nécessiter des défenses organiques contre les drones et missiles distribués observés dans les conflits récents. Le test s’inscrit aussi dans un schéma plus large de fusion civilo-militaire en mer. Depuis plus de dix ans, les autorités chinoises intègrent des ferries commerciaux et navires roulier dans des exercices comprenant des débarquements sur plage, chargement et déchargement rapides de véhicules blindés et mouvements de troupes longue distance. Certains de ces navires auraient reçu des modifications structurelles pour renforcer ponts et rampes afin de supporter les charges militaires. Utiliser un navire roulier civil comme plateforme pour un laser haute énergie s’inscrit dans cette logique, mais va plus loin : le navire cesse d’être seulement un outil logistique et devient une plateforme de combat potentielle, tout en conservant une apparence civile en temps de paix. Cette ambiguïté soulève des questions au regard du droit des conflits armés, notamment le principe de distinction entre objets civils et militaires, et complique la tâche des commandants étrangers qui doivent évaluer si un navire commercial approchant une zone contestée est en réalité équipé d’armement avancé. Du point de vue de Pékin, ces configurations dual-use augmentent la flexibilité en cas de crise, permettent une mobilisation rapide de la flotte marchande et offrent davantage d’options de pression en dessous du seuil du conflit ouvert. Sur les plans technologique et stratégique, les essais du LY-1 sur navire roulier montrent comment les systèmes à énergie dirigée passent du stade expérimental à des outils pratiques de projection de puissance maritime. La Chine utilise déjà d’autres lasers pour des missions terrestres anti-drones, tandis que plusieurs marines évaluent des lasers haute énergie sur destroyers et patrouilleurs pour contrer UAV et petites embarcations. Dans ce cadre plus large, le LY-1 est vu par de nombreux analystes non seulement comme un effort pour suivre des programmes tels que le HELIOS de l’US Navy, mais aussi pour influencer les futurs concepts de lasers navals, en les étendant des bâtiments de combat principaux aux plateformes auxiliaires, et potentiellement — à terme — à une partie plus large de la flotte marchande. Si ces essais valident les performances du système, les marines régionales devront de plus en plus considérer la possibilité que tout roulier chinois approchant un point chaud puisse contribuer à la défense aérienne locale ou aux perturbations de capteurs, même sans missiles visibles sur le pont. Une telle évolution réduit la marge de sécurité traditionnelle pour les forces ciblant les flux logistiques et complique les plans visant à intercepter des transports supposés non protégés. L’apparition du LY-1 sur un navire civil roulier représente donc plus qu’un simple essai novateur ; c’est une expérience visant à reconfigurer l’architecture de la puissance amphibie, en intégrant la défense aérienne laser directement dans les plateformes de transport à la fois essentielles et les plus vulnérables. En mêlant coques commerciales, technologie à énergie dirigée et doctrine axée sur les opérations de débarquement massives, la Chine signale que les crises maritimes futures dans le Pacifique occidental pourraient impliquer non seulement missiles et avions, mais aussi des navires marchands capables de brûler silencieusement les menaces venues du ciel. Pour les planificateurs de défense régionaux, la présence d’un tel système sur un navire civil n’est pas seulement une étape technologique : c’est un avertissement que la défense de convois, la navigation commerciale et les dynamiques d’escalade sont désormais plus étroitement liées que jamais. https://armyrecognition.com/news/navy-news/2025/china-converts-civilian-cargo-ship-into-maritime-directed-energy-platform-with-ly-1-laser-weapon
  13. « Quelques semaines plus tard, le Centre de transmission de la Marine de Sainte-Assise, relevant de la FOST, avait aussi été survolé par un appareil non identifié. » Ah ben sainte-assise c’est « la roue de secours » du CTM Rosnay , dès fois qu’en maintenance .
  14. L’OTAN à l’épreuve de la menace russe : l’hypothèse balte « Avant-propos À travers cette étude, nous avons voulu nous poser la question de la mise à l'épreuve des solidarités atlantiques et européennes par la menace russe. L’article 5 du Traité de l'Atlantique Nord et l’article 42 §7 du Traité sur l’Union européenne, qui stipulent nos solidarités militaires, pourraient être invoqués si la multiplication des provocations russes sur la bordure européenne débouchait sur un conflit ouvert. Serions-nous prêts à mourir pour Narva ? Il y a six mois, une attaque russe sur un membre de l’OTAN était considérée comme une hypothèse plausible à 3-5 ans. Mais l'actualité confirme la nécessité de mener cette réflexion de manière plus opérationnelle et plus politique. Une double incertitude a surgi : celle des formes de l’en- gagement américain en Europe, désormais différent du fantasme sécuritaire de la guerre froide ; et celle de la cohésion du positionnement européen, tributaire de ses opinions publiques et de ses processus de décisions. Pour nourrir ce débat, nous avons choisi le scénario illustratif d’une provocation russe sur les pays baltes car, face au dilemme européen se joue également le dilemme stratégique russe : une agression trop forte risquerait d’entraîner Moscou dans une escalade à laquelle il n’est pas encore totalement prêt ; une agression trop faible et rapidement neutralisée ferait perdre à Moscou crédibilité et momentum. Bien sûr, avec von Moltke, nous savons que « le plan est la première victime de la guerre ». Mais avant d’en arriver là, n’est-il pas nécessaire d’imaginer les étapes diplomatiques pouvant être mises en œuvre aux fins de dissuader les Russes de tester nos déterminations alliées ? En ne réfléchissant qu’au réactif, nous laissons à Moscou le choix des armes, du lieu et de l’heure. Ce travail de prospective porté par Michel Duclos et fruit de ses nombreux entretiens dans divers pays de l’UE et au plus proche de la ligne de front, nous dit qu’il est urgent de penser autrement. Marie-Pierre de Bailliencourt, Directrice générale de l'Institut Montaigne » https://institutmontaigne.org/ressources/pdfs/publications/note-scenarios-lotan-lepreuve-de-la-menace-russe-lhypothese-balte.pdf Édit ; Oups désolé pour ce doublé , eu quelques soucis à poster en début d’après-midi.
  15. OF de ce jour Fut un temps , parait que la pointe de Bretagne était très prisée par les p’tits chalutiers OFNI bardés d’antennes , ok le rail d’ouessant c’était pas la N7 ……
  16. On a deux bases FOST hyper sensibles l’île longue et le CTM de Rosnay - L’une littorale donc exposée - L’autre terrestre centre France donc géographiquement plus protégée ( raison de sa situation d’ailleurs ) A supposer que cette intrusion soit un test d’entraînement , pourquoi pas à Rosnay également ? De ce fait je pencherais plus pour une opé exogène mer/littoral plus difficile à renifler/anticiper qu’un voir venir dans un maillage territorial serré centre France.
  17. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    Hélas non , j’ai seulement ceci - projet PA2 fr surface du pont d’envol 15700 m² pontée rafales CdG surface pont 12000 m² ; pontée SEMs conf de 2001
  18. TE ; le tirant d’eau « Le Tirant d'Eau : l'élément clé pour un accostage réussi des Géants des Mers L'accostage d'un grand navire est une opération d'une précision chirurgicale. Parmi tous les paramètres à maîtriser, un seul, invisible, est absolument non-négociable : le tirant d'eau. Mais de quoi s'agit-il exactement ? Le tirant d'eau, c'est tout simplement la hauteur de la partie immergée du navire, de la flottaison jusqu'à la quille. C'est la marge de sécurité entre le fond du navire et le fond du port. Pourquoi est-ce si crucial ? Sécurité : Un tirant d'eau mal calculé = un risque d'échouement. Les conséquences peuvent être dramatiques : avarie de la coque, blocage du navire, pollution, fermeture du port... Logistique : Il détermine l'accessibilité d'un port. Un port avec une profondeur de 12 mètres ne pourra pas accueillir un navire ayant un tirant d'eau de 14 mètres. Rentabilité : Pour maximiser le chargement (et donc le revenu), les capitaines et les agents maritimes calculent le tirant d'eau maximum autorisé jusqu'au centimètre près. C'est un équilibre entre la cargaison et la profondeur disponible. Le saviez-vous ? Le tirant d'eau n'est pas fixe ! Il varie en fonction de la cargaison, du carburant, de l'eau douce, et même de la densité de l'eau de mer (eau salée vs eau douce) rajout de ARMEN ( Morbihan ) ; il s’agit de l’exposant de charge L'expertise des pilotes, des capitaines et des agents maritimes dans l'analyse de ces données est ce qui permet à ces colosses d'acier de manœuvrer avec une telle grâce dans des espaces confinés »
  19. La France organise des exercices militaires avec les Philippines afin d’accroître son influence dans la région indo-pacifique https://www.corlobe.tk/article53920.htm lLes trois LAB de Toulon rassemblés au Mediterranean Maintenance Forum : innovation, formation et recrutement Les 27 et 28 novembre, le SCHOOL LAB (LAB ENSM), le FAN LAB (LAB ALFAN) et le COMM LAB (LAB FOSIT) ont exposé leurs innovations au Mediterranean Maintenance Forum (2MF) au Palais Neptune, à Toulon https://www.colsbleus.defense.gouv.fr/fr
  20. ARMEN56

    Marine Britannique

    « Le groupe aéronaval britannique achève une mission de huit mois — les navires et avions rentrent au pays 28 novembre 2025 Le plus important déploiement naval britannique de 2025 s’achève ce week-end : les navires, avions et hélicoptères du UK Carrier Strike Group (CSG) rentrent enfin au pays. Des familles et proches sont attendus dans les bases aériennes et navales, de la péninsule du Lizard jusqu’à Norfolk, pour accueillir plus de 2 000 personnels militaires — marins, soldats, aviateurs, Royal Marines, et civils — de retour de leur mission de huit mois dans l’Indo-Pacifique. Le groupe — mené par le navire amiral HMS Prince of Wales — fera escale à Portsmouth dimanche après-midi, accompagné de deux de ses bâtiments d’escorte : le destroyer HMS Dauntless et la frégate norvégienne HNoMS Roald Amundsen. Une troisième escorte, la frégate HMS Richmond, rentre à Plymouth. Quant aux aéronefs, ils regagnent leurs bases respectives : les avions furtifs F-35B Lightning retournent à l’RAF Marham (Norfolk), les hélicoptères Merlin à l’RNAS Culdrose (près de Helston) et à l’RNAS Yeovilton (Somerset), les hélicoptères Wildcat également à Yeovilton. Le ravitailleur RFA Tideforce, qui a soutenu le dernier mois de la mission, retourne à Portland. Son navire-sœur, le RFA Tidespring, qui avait assuré le ravitaillement pendant les trois quarts de l’opération, reste déployé. Par ailleurs, le navire norvégien HNoMS Maud avait assuré les fonctions de ravitaillement en début de mission. Ces retours marquent la fin de la mission 2025 du CSG, nom-de-code Operation Highmast, qui a conduit le groupe jusqu’au Japon et à l’Australie. Le groupe rentre déclaré « entièrement opérationnel » — prêt à assumer des tâches au sein de l’NATO. Le commodore James Blackmore, commandant du UK Carrier Strike Group, a déclaré : « Ça a été un privilège de diriger près de 4 000 soldats, marins, aviateurs et marines qui ont parcouru plus de 40 000 milles nautiques, en travaillant avec plus de 30 nations en route. » Il a ajouté que le fait que le groupe soit désormais “plus fort pour l’OTAN” qu’à son départ lui rendait “incroyablement fier” de tous ceux qui ont participé à l’Operation Highmast. Le CSG était formé d’un “anneau défensif de fer” : HMS Dauntless (défense aérienne) ; HMS Richmond et HNoMS Roald Amundsen (défense anti-sous-marine et de surface). Au cours de la mission, des navires et bâtiments de soutien de dix nations — Australie, Canada, France, Italie, Japon, Nouvelle-Zélande, Norvège, Portugal, Espagne et USA — ont été intégrés au groupe. Des avions de chasse de 5ᵉ génération, les F-35B Lightning des escadrons RAF 617 Squadron et 809 Naval Air Squadron, ont fourni la puissance aérienne, avec jusqu’à 26 avions embarqués simultanément. Ils ont été soutenus par des hélicoptères Merlin et Wildcat de plusieurs escadrons (814, 815, 820, 845), ainsi que par des drones de l’escadron 700X, utilisés notamment pour transférer des fournitures entre les navires du groupe. Depuis leur départ du Royaume-Uni en avril, le groupe a parcouru plus de 40 000 milles nautiques — soit environ 1,5 fois le tour du monde —, avec la moitié du déploiement passée en zone est de Suez. Les avions, hélicoptères et drones ont réalisé plus de 2 500 sorties aériennes en appui à la mission, qui visait à démontrer l’engagement du Royaume-Uni en matière de sécurité globale aux côtés de ses alliés. Le déploiement a inclus des escales et des exercices majeurs, notamment dans le nord de l’Australie lors de l’exercice Exercise Talisman Sabre, suivi d’un exercice d’envergure avec les forces maritimes américaines et japonaises. Le groupe a opéré ou entraîné avec neuf groupes aéronavals différents, et ses avions ont atterri sur quatre porte-avions distincts. Au-delà des opérations, le personnel a vécu des expériences mémorables : escalade du mont Fuji au Japon, rencontres avec des crocodiles dans le nord de l’Australie, concours de cuisine internationale, compétitions sportives, et visites de grandes villes mondiales comme Tokyo, Singapour, Ho Chi Minh-Ville, Manille ou Bombay. Il y a aussi eu des moments de célébration — cérémonies navales traditionnelles comme le passage de l’équateur (“Crossing the Line”) ou la “Trafalgar Night” —, et même un concert public, le groupe de rock de HMS Prince of Wales ayant joué pour la première fois dans un Hard Rock Café à Singapour. Mais aussi des moments plus solennels : des commémorations dans des cimetières militaires et des sites sacrés, notamment un service en mémoire de l’équipage de l’ancien HMS Prince of Wales sur son épave en mer de Chine méridionale — la première fois que le navire actuel se rend dans cette zone. L’un des marins, le matelot spécialiste de guerre (Warfare Specialist) James Smith, a résumé l’expérience en disant que professionnellement “Highmast a été fantastique” et qu’il a eu l’opportunité de tester leurs compétences dans des scénarios réels. Sur le plan personnel, “la possibilité de jouer au golf partout dans le monde” a été un des grands moments marquants pour lui. Il se dit désormais “très heureux de rentrer à la maison pour des vacances en famille, et un vrai Cornish pasty.” https://www.royalnavy.mod.uk/news/2025/november/28/20251128-csg-homecoming
  21. « Pourquoi l'un des fleurons de la Marine nationale a-t-il jeté l'ancre dans les Pyrénées-Orientales ? » Jeudi 27 novembre 2025, la frégate La Fayette de la Marine nationale a fait un arrêt au large de Port-Vendres (Pyrénées-Orientales). Voici la raison. https://actu.fr/occitanie/port-vendres_66148/pourquoi-l-un-des-fleurons-de-la-marine-nationale-a-t-il-jete-l-ancre-dans-les-pyrenees-orientales_63501297.html
  22. c’est du cuivreux Alors savoir que les cuivreux sont biocides par nature , et qu’ils ne prennent pas autant de macrosalissure qu’un non cuivreux . Pour autant certaine espèces s’adaptent et colonisent au point d’altérer la rugosité de neuvage et partant le rendement hélice . C’est pour cette raison que les hélices doivent être brossées à flot tous les 3 mois https://boudvanrompay.com/wp-content/uploads/2022/11/WhitePaper10.pdf Les pales d'hélice ABC lip des FS sont en cupro-aluminium CuAl9Ni5Fe4 un des meilleurs matériaux qui soit vis-à-vis de la cavitation; Idem helices FLF , à la différence que ces dernières sont adaptées chocs et silence ( initialement ventilées donc percées ) Ici hélices FS en cours de montage , on distingue bien un état de surface usinage optimum certainement normé en Ra ( rugosité de surface ). Peindre les pales suppose un traitement de surface d’accrochage ? Pour la carène acier on recommande sablage à Sa2.5 , ici pour du cupro , sais pas dire Peindre suppose aussi de bien connaître les points de cavitation , pas et rpm LA voire effet de décrochage de l'helice « thrust breakdown »…pour éviter le décapage . Jamais traité ce type d’innovation , en revanche , confronté à des attaques safrans par cavitation et recherches de coating de protection type belzona Sinon bcq de DDG 51 ont vu leurs safrans dégradés par de la cavitation. Avant de passer à la solution twistage composite , Navsea avait testé du coating bleu clair de chez ENECON. J’ignore s’ils sont allés jusqu’à peindre en bleu les hélices DDG ventilées .?? Jotun , international celomer ….doivent maîtriser ça
  23. IPER FLoreal Peinture des hélices « Ce passage à sec permet de toiletter les œuvres vives et tous les appendices de coque immergés en temps normal ; mais aussi de refaire une propreté des œuvres mortes, quant à elles émergées en toutes circonstances mais exposées aux embruns, aux vents et aux tempêtes. Plusieurs travaux majeurs sont prévus : - visite des moteurs de propulsion après 12.000 heures de fonctionnement ; - visite du guindeau, nécessaire pour la remontée des ancres ou la manœuvre des aussières, cordes qui permettent d’amarrer le navire à quai ; - visite du propulseur d’étrave, qui permet d’orienter le nez du navire lors des manœuvres sensibles ; - visite des lignes d’arbre, reliant les moteurs de propulsion aux hélices. Ce chantier est également l’occasion de donner une nouvelle jeunesse à cette frégate, qui navigue depuis les années 90 et qui a encore de longues années de service devant elle : réfection des conduits d’échappement datant du neuvage, traitement de certaines obsolescences ou amélioration des installations en place (notamment en matière de sécurité incendie et de traitement des eaux de cale) ainsi que des évolutions capacitaires nécessaires pour maintenir le potentiel offensif du navire. Le SSF profitera de ce carénage pour innover en modifiant la peinture des hélices, afin d’améliorer son profil hydrodynamique et sa tenue dans la durée, principalement pour réduire sa consommation et donc son empreinte écologique » https://www.linkedin.com/posts/ssf-service-de-soutien-de-la-flotte_depuis-septembre-la-frégate-de-surveillance-activity-7400062214638071808-iXxO Pratique courante dans le shipping pour des hélices( non cuivreux) et en vigueur dans l’USN NAVSEA https://www.navsea.navy.mil/Resources/Fact-Files/Energy-Initiatives/Propeller-Coatings/
  24. bah oui Du temps de l’arsenal avant années 90 tout ce périmètre était sous contrôle du Major General et de sa brigade gendarmerie maritime . Les angles de prises de vues étaient très limités , aussi bien rive gauche que rive droite. C’était la guerre froide , d’avant internet , des RS de M&M ET d’AD.net Le gugusse qui filme est au péristyle aujourd’hui domaine public, aucune interdiction. Bar restaurants à côté , voire même chaise longue pour bronzer ….. Et celui à Brest même , qui passe le pont de recouvrance et route de la corniche , rien de l’empêche de faire clic clac .
  25. ARMEN56

    Le successeur du CdG

    je m'aventure CdG le doc mise en oeuvre avia que j'ai date de 2001 ( version SEM) Limitations de charge PFE - Ascenseur verrouillé haut : 81 tonnes. - Ascenseur non verrouillé : 54 tonnes. - Ascenseur en mouvement : 36 tonnes. PA2 CVF fr - Emport de 2 rafales Etude faisabilité des PFE du CVF à 70 t de limitation de charge en mvt était demandée - Aspect tenue à la mer Index de mouilles ; 5 impacts /h en position basse Design USN année 1978
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