Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

ARMEN56

Members
  • Compteur de contenus

    8 343
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    15

Tout ce qui a été posté par ARMEN56

  1. Pavillon marque de l’Amiral Ronarch sur tribord bâbord (pardon) je pense ? Elles auront toutes une marque de ce genre ?
  2. Je vois une explication plausible mais pas certain que ce soit toutefois la bonne Qd on désaisine un ancre , il faut impérativement qu’elle s’affale C’est toujours le cas quand on a des plages avant extérieures courtes , en revanche quand elle sont longues cas FAA FASM quand le barbotin est éloigné de l’écubier ; on se doit de vérifier l’équation de mouillage Ici pour les FSAM et FAA on a une ancre latérale et une ancre de nez , il est possible qu’on ait cassé la tonture d’étrave pour baisser l’ancre de nez en la faisant rentrer dans les conditions de mouillage bref plus haute elle risquait ne ne pas s'affaler Voir aussi les aspects hydro pilonnement slamming , influer sur les effets de gerbe ?? j'ai pas mieux si https://www.instagram.com/reel/DOqBFZaEUxy/?utm_source=ig_web_copy_link
  3. Alors oui appelé d’urgence pour du « domestique » j’ai raté le passage de la citadelle En mesure compensatoire
  4. ARMEN56

    Navy quiz

    En effet selon wiki un sacré parcours . je découvre que sauf erreur on l’appelait « Connie »
  5. tu demandes à être en copie du pv de CSA
  6. Antennes UHF multicoupled emission receiver encore plus marquées sur Fremm DA ; on imagine que ces minuscules « ailettes » ne font pas briller au point d’altérer la SER navire .
  7. ARMEN56

    Navy quiz

    Source doc de 1963
  8. ARMEN56

    Navy quiz

    Oui mais chez moi noir et blanc , télé en couleur qu’en 70 où ?
  9. Sommes surveillés de près par les anglais ; « the track FDI ship from L’Orient » à raser bank du Turk in équinoxial tides ….……….
  10. Du coup on peut appeler nos frégates destroyer , le DDI Ronarch …
  11. Je pense que oui ;toutes les étapes du processus étaient voici 30 ans cadrées par l’arrêté 36 caduque aujourd’hui . La DGA/MN doit avoir de nouveaux textes pas si éloignés des anciens avec des nouveaux acronymes. ATM remplace IPER, je crois que le terme TLD ne se dit plus. @FATac complement - TLD -,CSA - ASA - Garantie
  12. Alors pour les rouliers ( Bangor - Vindilis) de desserte des îles de Bretagne Sud ( Groix Belle île ) , les dimensions et conduite spécifiées tiennent compte : - de la charge utile - des facilités de flux entrant/sortant - de l’exiguïté des ports ( port tudy, le palais ) - Des marées ( tirant d’eau ) - De la nécessité d’évoluer très serré donc court ; pods azimutaux et propulseurs d’étrave On a pas la même problématique en Polynésie ( marnage faible , port plus ouvert celui de Papeete ) J’ai pratiqué ; Quiberon-belle île , Lorient-Groix, Papeete-Mooréa/huahiné
  13. Quelques clichés à la hâte FDI en rade à 2 nds environ Coeff marée 42 , PM à 12 h Vent moyen plein ouest <20 nds , rafale le double Certainement du mieux à suivre par les pros
  14. On me souffle dans l’oreillette ; Livraison de la Ronarch aujourd’hui Canon de salut actifs vers 11 h à la Citadelle Certainement que les cloches de l’Armor répondront . « C’est une tradition qui perdure depuis au moins la fin du XVIe siècle. Et le départ de la frégate xxxxxx, ce cxxxxxx, ne dérogera pas à la règle : Quand un navire de guerre quitte le port de Lorient, il est de coutume qu’il salue au canon Notre-Dame de Larmor. La ville de Larmor-Plage en tire même sa devise : « Bon vent à qui me salue ». En réponse, on fait sonner les cloches de l’église et on hisse le pavillon sur le clocher » J’essayerai d’être présent
  15. Gros patacaisse voici 30 ans sur le choix du Vindilis ( CMN Cherbourg ) , coup de sang de LNI de Lanester qui proposait un Saint Tudy ( sea proven ) réadapté au besoin Vindilis pas mal de soucis (en cout de possession pas sûr du bon choix initial du conseil général . https://fr.wikipedia.org/wiki/Vindilis Mais bon les décideurs ont un porte feuille , des rétros , mais pas boule de cristal ….
  16. A l’époque de la grande DCAN , nous avions deux sites de mesures - Coté façade atlantique ; le GESMA groupe d’études sous marines de l’atlantique ( mesures acoustiques et magnétiques sur bâtiments de surface ) antenne de Lanvéoc (*) https://www.ouest-france.fr/bretagne/brest-29200/brest-la-direction-generale-de-l-armement-prepare-l-avenir-de-la-marine-depuis-60-ans-6561697 https://www.letelegramme.fr/finistere/brest-29200/span-classamorcedga-techniques-navalesspan-la-nouvelle-signature-du-gesma-3538750.php - Coté façade Med ; sur le polygone d'écoute de Saint jean Cap ferrat ( plus profond) pour les soums et BS dont CdG , voir aussi Castillon sur les modèles A la séparation étatique/industrielle , ces entités ont basculé vers la DGA technique navale, https://www.defense.gouv.fr/sites/default/files/dga/022_chiffres_cles_DGA_num_fr.pdf https://x.com/DGA/status/1596086138439368704/photo/1 EDIT (*) GESMA Lanveoc constitué - d'une Station à terre - d'une base de mesure acoustique - de bases de mesure magnétique à plusieurs profondeurs
  17. Ok ok ok Au large de Groix Belle Île ; tout le monde sait qu’il s’agit d’une zone proche chantiers ( piriou , NG , CdA ); On y fait des essais plateforme de vitesses , de manœuvring et autres dont SdC; Rade de Brest ; Le gribouillis très concentré révèle une activité particulière . En croisant des infos par ailleurs ……On arrive à deviner https://www.ouest-france.fr/bretagne/la-premiere-fregate-fremm-en-essai-en-rade-de-brest-272804 Mais qu’est ce qu’elle est bien partie faire en baie de Douarnenez ? Où en 2007 le Forbin y avait évolué rond dans l’eau ….j’étais à bord .
  18. De quelle source sortent tous ces routing essais FDI ?
  19. ARMEN56

    Virginia class US

    « La marine américaine lance la recherche d’assistants de combat basés sur l’apprentissage automatique pour ses sous-marins Publié le 09/06/2025 Par Carter Johnston Cette illustration conceptuelle montre le nouveau sous-marin d’attaque de classe Virginia actuellement en construction chez General Dynamics Electric Boat, à Groton (Connecticut), et Northrop Grumman Newport News Shipbuilding, à Newport News (Virginie). Graphique du Département américain de la Défense, par Ron Stern. Une demande d’information (Request For Information – RFI) de la marine américaine a décrit l’avenir des capacités de combat sous-marin au sein du système de combat AN/BYG-1, utilisé sur tous les sous-marins américains en service ainsi que sur ceux de la Royal Australian Navy. La RFI définit trois axes principaux d’évolution : • une réarchitecture et un plan d’intégration du contrôle tactique, • une réarchitecture et un plan d’intégration des charges utiles, • le développement et l’intégration d’un nouvel aide à la décision tactique (TDA) basé sur l’intelligence artificielle et l’apprentissage automatique (IA/ML). L’avis a été publié par le bureau du programme de combat et de contrôle des armes des sous-marins de la PEO UWS (PMS 425). Selon PMS 425, différentes exigences visent à instaurer une nouvelle méthode plus fluide d’intégration des systèmes et des armes de guerre sous-marine. « PMS 425 cherche à identifier des sources potentielles intéressées à répondre aux besoins de mise en place d’un nouveau cadre de livraison de capacités AN/BYG-1 pour le développement et le déploiement d’applications AN/BYG-1. Cette exigence concerne le développement, les tests et l’intégration d’applications actuelles, futures et héritées de l’AN/BYG-1 dans le cadre d’un nouveau dispositif destiné à fournir des capacités rationalisées. » — U.S. Navy Les nouvelles capacités développées par un contractant sélectionné seront déployées par la marine américaine, la marine australienne, et potentiellement par le bureau conjoint du programme sous-marin AUKUS (Australie/Royaume-Uni/États-Unis). La RFI énumère de nombreuses exigences pour les modifications de l’AN/BYG-1, notamment : • la conteneurisation des capacités AN/BYG-1, • l’intégration de nouveaux composants d’attaque, • l’ajout d’aides à la décision tactique exploitant l’IA et l’apprentissage automatique, • l’intégration de capacités tierces, • la livraison de mises à jour logicielles toutes les treize semaines, • la poursuite de l’intégration de l’arme d’attaque rapide compacte (CRAW), des véhicules sous-marins sans pilote (UUV), des torpilles lourdes (HWT), des systèmes aériens sans pilote (UAS) et de contre-mesures sous-marines. La date prévue pour l’attribution d’un contrat est fixée à juillet 2027, pour une durée initiale d’un an et quatre années optionnelles. La marine américaine s’attend à recevoir des systèmes prêts à l’emploi, certifiés, entièrement testés et aptes à la production. L’AN/BYG-1 devrait jouer un rôle beaucoup plus important dans la gestion défensive et offensive avec l’ajout des torpilles Mk 58 CRAW, intégrées aux sous-marins d’attaque. Développée par des équipes universitaires et industrielles, la CRAW permet d’augmenter considérablement le nombre de torpilles stockées dans chaque tube, selon la marine américaine. Le Bureau de recherche navale a développé cette technologie de multi-chargement dans le cadre du Project Revolver, une nouvelle capacité de lancement pour les tubes lance-torpilles des sous-marins de classe Virginia. La CRAW apportera également une capacité de défense anti-torpille dans sa version Increment 2. Le futur système de combat AN/BYG-1 sera chargé de gérer tous les aspects des engagements offensifs et défensifs avec la CRAW, ainsi que d’autres moyens de déploiement d’UUV, comme ceux actuellement étudiés par la Defense Innovation Unit, qui cherche à mettre au point des UUV de 12,75 pouces pour des missions d’attaque à usage unique, étendant ainsi la portée de la CRAW ou d’autres armes innovantes. « Le nouveau cadre [AN/BYG-1] inclura des applications permettant le traitement des informations issues des capteurs embarqués, l’intégration d’informations externes dans l’image tactique, l’emploi des armes pour la gestion des contacts et des décisions, la planification de mission, l’entraînement, la commande et le contrôle des charges utiles, ainsi que d’autres capacités liées aux applications tactiques, de charges utiles et de contrôle de combat, actuelles et futures. » https://www.navalnews.com/naval-news/2025/09/u-s-navy-begins-search-for-machine-learning-combat-assistants-on-submarines/
  20. Oui c’est pour rendre le magnétisme navire invisible ( l’immuniser aux menaces mines et torpilles ) On en parle ici https://www.anciens-cols-bleus.net/t8931-demagnetiseur-y-732 Du temps des escorteurs on allait de faire démagnétiser en rade de Brest . Aujourd’hui les navires de combat FLF FDA FREMM et FDI ont leurs propres boucles immu intégrées au navire à la construction Alors ils passent en rade de Brest pour mesurer leur magnétisme dans différentes situations de cap , leur propre installation immu (dégaussing) régule en intensité de courant dans les boucles
  21. « Crash Ajaccio-Nice en 1968: premières recherches « d’ici la fin de l’année », selon la justice Nice, 6 sept 2025 (AFP) – De premières recherches en mer visant à retrouver les débris de la Caravelle Ajaccio-Nice, pour tenter d’identifier les causes de son crash qui a fait 95 morts en 1968, auront lieu « d’ici la fin de l’année », ont indiqué les avocats des familles de victimes, citant une source judiciaire. Une « campagne de trois jours sur la zone identifiée de 8 km2 devrait être menée d’ici la fin de l’année 2025 dans le but de localiser les débris de l’épave de la Caravelle et, le cas échéant, de réaliser des photographies sous-marines », ont annoncé vendredi dans un communiqué commun les avocats Stéphane Nesa, Paul Sollacaro et Philippe Soussi, à la suite d’une réunion tenue en juin entre la juge d’instruction chargée du dossier et la Préfecture maritime de la Méditerranée. Les recherches doivent être conduites par la Marine nationale. « En cas d’échec de ces opérations ou d’impossibilité de retrouver les débris, la seconde option pourrait être mise en oeuvre à la mi-2026, consistant en des opérations réalisées sur une zone plus large et à l’aide d’importants moyens techniques », ajoutent les conseils des victimes. Les avocats voient en cette annonce « une avancée historique dans le combat mené par les familles des victimes depuis 57 ans », quelques jours avant une messe du souvenir, mardi à Nice. En février, la juge d’instruction a délivré une commission rogatoire pour étudier la faisabilité de prises de vues ou d’un repêchage des pièces, ou les deux, et désigné des experts pour réaliser cette étude, avait indiqué à l’AFP Me Paul Sollacaro. Le 11 septembre 1968, la Caravelle AF 1611, qui devait relier Ajaccio à Nice en 45 minutes, s’est brusquement abîmée au large d’Antibes, faisant 95 morts. L’épave a ensuite été localisée à quelque 2.000 m sous la surface. Une première instruction pour homicide involontaire s’est close en 1973 par un non-lieu, la thèse retenue étant celle d’un incendie dans la cabine-toilette. L’enquête a été relancée en 2012 pour « soustraction et recel de preuves » et la justice a requis en 2018 une levée du secret-défense, estimant qu’il fallait prendre « très au sérieux » l’hypothèse d’un tir de missile accidentel depuis la base du Levant, près d’Hyères (Var). En réponse, des documents ont été remis à la justice par le ministère des Armées en juillet 2019. Ils ont été jugés « très insatisfaisants » par les familles de victimes. « Plusieurs éléments sérieux, notamment des témoignages mais également des éléments matériels, tendent à montrer que des autorités civiles et/ou militaires ont pu chercher à faire obstacle à la détermination des causes et des circonstances réelles du crash de la Caravelle », avait indiqué en novembre Damien Martinelli, procureur de la République de Nice. » https://marine-oceans.com/actualites/crash-ajaccio-nice-en-1968-premieres-recherches-dici-la-fin-de-lannee-selon-la-justice/ En complément le rapport d’enquête https://asn.flightsafety.org/reports/1968/19680911_S210_F-BOHB.pdf
×
×
  • Créer...