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Tout ce qui a été posté par Wallaby
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Ils s'adressent à eux-mêmes. L'arme est le fétiche de la tribu. D'un point de vue marketing, la photo qui montre la tribu rassemblée autour de son fétiche est un grand succès. En plus cela fait hurler le camp adverse. Mais c'est du paganisme. C'est un culte à base de sacrifice humain.
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Oui, mais si on a inventé le protestantisme, c'est pour revenir aux fondamentaux - donc en principe d'avant le césaro-papisme. On parle ainsi de christianisme fondamentaliste. L'intégration de la guerre dans le christianisme et du christianisme comme religion d'État de l'empire romain se fait par l'intermédiaire de la théorie de la guerre juste, laquelle stipule : https://fr.wikipedia.org/wiki/Doctrine_de_la_guerre_juste 1 auctoritas principis : la guerre ne peut relever que de la puissance publique sinon elle est un crime. L'auctoritas principis s'oppose à la décision individuelle appelée persona privata ;
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En voilà qui ont tout compris du message de Jésus dont je rappelle que Noël est l'anniversaire. https://ancientromelive.org/christians-the-roman-army/ Jésus a enseigné à ses disciples à aimer leurs ennemis et à acquiescer à une personne violente au lieu de lui résister (Matthieu 5:38-45). On dit que Jésus a découragé ses disciples de recourir à la violence lorsqu'il a été arrêté et exécuté par des soldats romains (Luc 22:47-53). De nombreux dirigeants chrétiens (mais pas tous) ont parlé de l'armée de manière négative et ont découragé les chrétiens de servir dans ses rangs. L'hostilité des chrétiens envers l'armée a probablement toujours été l'opinion majoritaire. Celse, un philosophe grec du IIe siècle, a écrit un traité antichrétien dans lequel il accusait les chrétiens de se soustraire à leur devoir civique en refusant de participer à la vie publique et de servir dans l'armée. Origène, un théologien et érudit des premiers temps du christianisme, a tenté de contrer Celse ; de manière révélatrice, Origène n'a pas contesté l'accusation. Il soutient plutôt que les chrétiens profitent à l'empire par leurs prières et leur vie sainte.
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ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
https://books.openedition.org/editionsmsh/2788 (2000) De l’idée de cantonnement à la constitution des réserves - La définition de la propriété indigène. La Nouvelle-Calédonie apparaît comme un cas tout à fait exceptionnel : le seul et unique territoire où ont été créées de véritables réserves indigènes sur le modèle des réserves indiennes aux États-Unis ou des réserves aborigènes en Australie. L’exemple est intéressant car ce modèle de réserves est, au xixe siècle, largement dénoncé en France comme le symbole de l’oppression coloniale britannique ou américaine, divergeant en tous points d’une colonisation française supposée respectueuse des populations indigènes. Renonçant au cantonnement, l’Algérie coloniale impose la propriété privée aux populations arabes, tandis que la Nouvelle-Calédonie coloniale élabore une notion de propriété collective qui est censée correspondre aux normes des sociétés kanak. Ralliant l’opinion de ses collaborateurs, [le gouverneur] Guillain renonce finalement à son article 2 et légitime ainsi une interprétation erronée des hiérarchies kanak. Le chef est alors confirmé dans son rôle éminent et devient l’unique élément individualisé, représentant le groupe indifférencié. Il est désormais acquis que la société mélanésienne est, par essence, collectiviste, fonctionnant sur le mode d’un « communisme primitif ». Ce travail de relecture du monde mélanésien, qui s’amorce en 1862, conduit à la notion de « tribu » (...) Celle-ci est définitivement fixée par l’arrêté du 22 janvier 1868 qui prévoit de réserver à chaque « tribu » une portion de son ancien territoire, portion incommutable et inaliénable. [À Paris,] le ministère, cependant, ne s’en tient pas là car c’est au fond la notion même de propriété collective qu’il conteste. Celle-ci, affirme-t-il, a maintenu l’agrégation de la tribu, l’influence excessive des chefs et l’indivision du sol. [Elle] a, par conséquent, ajourné la constitution de la propriété individuelle, base de toute société civilisée, et placé les naturels en dehors du mouvement général des transactions, c’est-à-dire de l’action bienfaisante de la colonisation (Dauphiné 1989 : 304). Refusant d’appliquer en Nouvelle-Calédonie le sénatus-consulte de 1863 [qui privatise le sol algérien], Guillain maintient, contre l’avis de son ministère de tutelle, le principe de la propriété collective kanak permettant l’organisation des réserves. On ne peut en aucun cas soupçonner Guillain d’une indigénophilie cachée qui l’amènerait à vouloir protéger les Kanak contre les appétits de la colonisation. Les conflits, manipulations, répressions et refoulements qui se développent sous son « règne » en témoignent assez clairement. Entre 1862 et 1870, les expéditions militaires touchent plusieurs points de la colonie et, en dépit du nombre restreint de victimes, sèment la désolation sur leur passage, provoquant la fuite des populations, la destruction des villages et des plantations. L’enjeu essentiel, pour l’administration de Guillain, consiste surtout à dégager de nouveaux terrains pour la colonisation en repoussant les Kanak. L’enjeu est loin de se limiter à la seule organisation des travaux forcés aux antipodes, puisqu’il s’agit de jeter les bases d’une « nouvelle société » qui, sur le modèle de l’Australie voisine, accueillera condamnés et « honnêtes » migrants. La terre est l’élément essentiel du programme : terre rédemptrice que l’on offrira aux bagnards ayant donné des gages de bonne conduite, terre salvatrice offerte aux pauvres et prolétaires qui ne peuvent, en France, échapper à leur condition. Dans un cas comme dans l’autre, il s’agit d’accorder des petits lopins de terre à des individus encadrés par une instance administrative. Un tel programme a le mérite d’être absolument cohérent avec le développement d’une colonisation bureaucratique fondée sur la petite propriété. On peut alors avancer l’idée que l’organisation des réserves indigènes a servi la cause d’un programme de colonisation bureaucratique incompatible avec l’application immédiate des lois du marché, symbole d’une économie « moderne ». Entre une logique coloniale bureaucratique [qui encadre la petite propriété] et une logique économique capitaliste [qui permet les transactions, les concentrations, et les grandes propriétés], l’État français révèle la fragilité de sa politique calédonienne et les incohérences même de ses stratégies de colonisation. Curieusement, ce personnage complexe, [le gouverneur Guillain] d’obédience saint-simonienne, qui a profondément marqué le destin de la Nouvelle-Calédonie, reste encore méconnu. On connaît bien sa politique et le contexte dans lequel elle s’inscrit, mais on connaît mal l’homme lui-même, ses pensées, dires et écrits. -
terrorisme Opération Barkhane
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.franceculture.fr/emissions/concordance-des-temps/sahel-et-sahara-une-emprise-francaise (4 décembre 2021) Alors que l'opération Barkhane menée par la France au Sahel et au Sahara semble toucher à sa fin, l'historienne Camille Lefebvre revient ce matin sur l'histoire de la colonisation de ces régions par les forces militaires françaises au début du XXe siècle. Au terme de la critique très sévère par Camille Lefebvre de la colonisation, les royaumes esclavagistes qu'elle a supprimés sortent étonnamment grandis, et je ne peux réprimer un certain malaise. J'aurais aimé que ces royaumes esclavagistes fissent l'objet d'une critique aussi sévère, mais, semble-t-il, il a été jugé nécessaire de les repeindre en rose afin de pouvoir, par contraste, rendre la colonisation plus repoussante. -
Allemagne
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Le nouveau ministre de la santé sera Karl Lauterbach : - - - -
Coronavirus - Covid 19
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
Cela ne doit pas empêcher les Démocrates Vaccinés de mettre tous les jours un cierge à l'icône de Saint Donald, car c'est l'administration Trump qui avait préparé en début de mandat - avant que l'on puisse imaginer qu'il y aurait une épidémie de coronavirus - une stratégie, qui sera déclenchée sous le nom d'« Operation Warp Speed », consistant à des subventions publiques massives à la recherche et à l'industrie pharmaceutiques, qui a permis d'obtenir des vaccins en un temps record, avec un début de campagne vaccinale dès décembre 2020, soit moins d'un an après le confinement de Wuhan. -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
https://books.openedition.org/editionsmsh/2782 (2000) Les sociétés préeuropéennes de Nouvelle-Calédonie et leur transformation historique - L’apport de l’archéologie De façon révélatrice apparurent, vers 250 après J.-C., dans la grande plaine de Maré, des structures monumentales, décrites par les mythes comme des ensembles défensifs. Sur le site LMA016 de Hnakudotit, les murs font 10 m de large, 4 m de haut, plus de 500 m de tour et sont construits avec des blocs de corail fossile pouvant peser plusieurs tonnes. Sur la Grande Terre, la majorité des cultures en terrasses furent réservées à la culture du taro d’eau Colocasia, sur le même principe technique que les terrasses de rizières. D’après la seule datation actuellement disponible, les premières terrasses de la région du col de la Pirogue, dans le sud-ouest de la Grande Terre, furent édifiées autour de 800 ans après J.-C., dans une zone particulièrement favorable. Au cours des siècles, cette technique horticole fut développée à un tel point qu’à l’arrivée des Européens, une grande partie des basses collines de la Grande Terre étaient couvertes de terrasses, qui peuvent se compter en centaines de milliers. Les différentes évaluations démographiques couramment acceptées actuellement pour la Nouvelle-Calédonie à la période de contact se situent dans une fourchette allant de 40 000 personnes (Shineberg 1983) à 80 000 personnes (Rallu 1989) (fig. 7). Les premiers écrits font apparaître, là où les Européens s’installent, une population encore nombreuse et en proie à une chute démographique. Cette chute se ralentit dans les années 1880, alors que l’administration coloniale commence à envisager un premier recensement officiel. D’après les données historiques, « la Nouvelle-Calédonie serait un cas de dépopulation parmi les moins importants du Pacifique » (Rallu 1990 : 280), avec une chute d’environ 40 %. « Les tentatives de description des communautés préhistoriques faites à la lumière des situations récentes paraissent bien suspectes ». Cette remarque peut être appliquée à la Nouvelle-Calédonie : la formation de groupes nucléarisés, entraînant un nivellement important des hiérarchies, peut, sur la Grande Terre, avoir été consécutive à la première période de contacts avec les Européens, entre 1774 et le milieu du xixe siècle. Cela expliquerait le fait que la société décrite ethnographiquement (Guiart 1983 : 33-37) est éloignée du paysage archéologique. Les bouleversements incalculables qui ont dû affecter les groupes sociaux n’ont permis la survivance que d’une part de la « réalité » de précontact. La majorité des clans ont disparu, emportant leurs traditions, sans qu’il soit possible de reconstituer aujourd’hui leur histoire. Devant ce vide humain de plus en plus visible, les survivants ont eu tout loisir d’agrandir leur espace politique, de se déplacer de terrain en terrain, ce qui n’était pas possible quand la densité de population était plus forte. Certains sont devenus semi-nomades, abandonnant un lieu de culture pour un autre au premier signe de baisse de la fertilité du sol et/ou de présence d’une maladie virale. L’enfermement des Kanak dans les réserves à partir des années 1860 engendre la transmission d’une tradition orale souvent sans contact physique avec les anciennes propriétés foncières. Durant ces années de baisses démographiques attestées par les documents historiques, cette tradition transmet une image de la société précoloniale, société qui s’est transformée par rapport à la période de précontact. Les études et les discussions sur les évolutions socioculturelles de la population kanak durant la préhistoire de la Nouvelle-Calédonie font actuellement complètement défaut. Il nous apparaît que tant que l’idée d’une population démographiquement plus importante avant 1774 ne sera pas prise en compte, induisant une transformation des fonctionnements de la société kanak durant le xixe siècle, l’avancée des hypothèses sera limitée. -
ZEE française La France d'Outre-mer et son voisinage
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.coutume-kanak.com/ & http://www.coutume-kanak.com/a-propos/le-livre/ Ce site présente un reportage réalisé par Sébastien Lebègue au cours de l’année 2013 et 2014 sur l’ensemble des huit aires coutumières de la Nouvelle-Calédonie. Loin de vouloir transcrire la coutume – elle qui, par essence, ne peut se transmettre qu’oralement – ni même d’en proposer une définition ou une description exhaustive, Sébastien Lebègue se fait le témoin sensible de « l’esthétique de la culture et du lien social kanak ». Par les témoignages recueillis, les portraits, ses photographies, mais aussi un texte documenté digne d’une recherche anthropologique et de schémas éclairants, il livre ici des informations précieuses pour qui s’intéresse et souhaite comprendre ou mieux appréhender la société kanak. Cet ouvrage est le résultat d’une observation minutieuse de la culture kanak, de ses rites, de ses cérémonies. Sébastien Lebègue a séjourné à trois reprises en Nouvelle-Calédonie entre 2013 et 2015, collectant des témoignages dans l’ensemble de l’archipel pour mieux définir la coutume d’aujourd’hui. -
Politique étrangère des USA
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
https://nationalinterest.org/feature/biden’s-‘summit-democracy’-will-not-make-america-safer-197228 (4 décembre 2021) Biden ferait bien de tirer les leçons de l'histoire. Dans les années 1940, les États-Unis se sont alliés à l'Union soviétique - qui n'est pas exactement un bastion de la démocratie libérale - pour vaincre la menace plus grande que représentait l'Allemagne nazie. Après la Seconde Guerre mondiale, l'Union soviétique est restée le seul pays suffisamment puissant pour menacer les États-Unis. Pour gérer cette concurrence, les États-Unis ont travaillé avec de nombreux régimes peu libéraux, y compris la Chine communiste lorsqu'elle a judicieusement exploité la scission sino-soviétique de 1972. Aujourd'hui, la Chine est le seul pays qui a le potentiel de défier l'hégémonie américaine. Comme ils l'ont fait dans le passé, les États-Unis devraient adopter une approche pragmatique - ce qui signifie qu'ils devraient mettre de côté leurs préjugés idéologiques et coopérer avec les pays non démocratiques d'Asie qui ont intérêt à faire contrepoids à la Chine, comme le Vietnam, la Thaïlande, Singapour, les Philippines et même la Russie. L'homme d'État britannique Lord Palmerston a résumé succinctement les raisons pour lesquelles la politique étrangère de l'Empire britannique était si efficace au XIXe siècle : "Nous n'avons pas d'alliés éternels, et nous n'avons pas d'ennemis perpétuels. Nos intérêts sont éternels et perpétuels, et il est de notre devoir de suivre ces intérêts". Les décideurs politiques américains ont complètement ignoré cette sagesse au cours des trois dernières décennies, et il ne semble pas que Biden ait l'intention d'adopter cette perspective non plus. Le peuple américain serait mieux servi par une politique étrangère qui se concentre sur les intérêts fondamentaux des États-Unis. Un appel Zoom "Sommet pour la démocratie" ne fera pas grand-chose pour changer cela. -
Coronavirus - Covid 19
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.ndr.de/nachrichten/niedersachsen/braunschweig_harz_goettingen/Goettinger-Studie-FFP2-Masken-bieten-hohen-Schutz-vor-Corona,corona9454.html (4 décembre 2021) Selon les chercheurs, le risque de contagion après 20 minutes est d'un bon un pour mille (0,1 pour cent) lorsqu'une personne infectée et une personne saine se rencontrent à courte distance dans un espace intérieur. Mais pour cela, le masque FFP2 ou KN95 doit être correctement ajusté, écrit l'équipe du directeur de l'institut Eberhard Bodenschatz dans une publication de l'Académie nationale des sciences américaine. En revanche, si le masque FFP2 n'est pas parfaitement ajusté, le risque d'infection dans le même scénario est d'environ quatre pour cent. Pour les masques chirurgicaux, le risque d'infection peut encore être réduit à dix pour cent si le masque est correctement mis en place. -
https://www.latimes.com/california/story/2021-12-03/a-no-snow-california-could-come-sooner-than-you-think Le 1er avril, date à laquelle le manteau neigeux est généralement le plus profond, ne représentait que 60 % de la moyenne cette année, selon le département californien des ressources en eau. "Si la neige ne fond pas au printemps comme elle le faisait auparavant, nous aurons des défis majeurs à relever pour la gestion de nos réservoirs", a déclaré Mount, "car tout est construit autour d'eux". Les chercheurs ont défini la "faible quantité de neige" comme étant le cas lorsque le manteau neigeux (ou l'équivalent en eau de la neige) tombe sous le 30e pourcentile du pic historique. " "pas de neige" [est défini comme étant le cas] lorsque ce chiffre tombe sous le 10e pourcentile. La Californie a déjà connu des épisodes des deux types, comme lorsque le manteau neigeux de la Sierra est tombé à un niveau sans précédent de 5 % de la normale en 2015. Mais l'État pourrait commencer à connaître des "périodes épisodiques" - ou cinq années consécutives - de neige faible ou nulle dès la fin des années 2040, selon les chercheurs. Des périodes persistantes, soit 10 années consécutives, de neige faible à nulle pourraient arriver en Californie dans les années 2060. Dans d'autres régions de l'ouest des États-Unis, les périodes persistantes n'apparaissent pas avant les années 2070.
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Chine
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.wsj.com/articles/china-to-restrict-tesla-usage-by-military-and-state-personnel-11616155643 (19 mars 2021) Le gouvernement chinois restreint l'utilisation des véhicules de Tesla Inc. par le personnel militaire et les employés des principales sociétés d'État, craignant que les données recueillies par les voitures ne soient à l'origine de fuites en matière de sécurité nationale, selon des personnes au fait de la situation. Cette mesure fait suite à un examen gouvernemental de la sécurité des produits du constructeur de véhicules électriques, qui, selon les responsables chinois, suscite des inquiétudes car les caméras des véhicules Tesla peuvent enregistrer des images en permanence et obtenir des données telles que le moment, le mode et le lieu d'utilisation des véhicules, ainsi que les listes de contacts des téléphones portables qui y sont connectés. Pékin craint que certaines données ne soient renvoyées aux États-Unis. -
Australie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
https://fr.wikipedia.org/wiki/Narcisse_Pelletier Le 11 septembre 1858, en heurtant un récif, le Saint Paul fait naufrage près de l'île Rossel, dans l'archipel des Louisiades en Nouvelle-Guinée, où l'équipage y établit un campement en catastrophe. Mais les marins subissent les attaques prolongées des autochtones insulaires pendant plusieurs jours. Le campement est attaqué la nuit par les autochtones, l'équipage finit par s'enfuir et part à la recherche de secours à bord d'une chaloupe à voile de six mètres en pleine mer pendant douze jours, laissant sur l'île les Chinois à leur sort, qui seront finalement massacrés par les autochtones. Endurant maintes épreuves, les marins traversent la mer de Corail en chaloupe pour finalement aborder le littoral sur la côte nord-est de la péninsule du cap York dans le Queensland en Australie, plus précisément dans le voisinage du cap Direction, pendant la saison de sécheresse, après un voyage de près de 1 200 km. L'équipage affamé et assoiffé y cherche en vain nourriture et eau. Au cours d'une énième expédition pour rechercher de l'eau, Narcisse Pelletier se retrouve séparé de ses compagnons. Il serait resté seul pour boire à une source tarie à laquelle ses compagnons venaient de boire avant lui, tandis qu'ils auraient continué de chercher eau et nourriture plus loin ; en réalité ils l'auraient abandonné, pour une raison inconnue (sans doute parce qu'il les ralentissait, étant blessé à la tête et aux pieds). La chaloupe repart sans lui, et le jeune marin vendéen de 14 ans se retrouve ainsi abandonné, fin septembre 1858, sur une terre inconnue, prêt à mourir de faim et de soif. Mais Narcisse Pelletier est découvert par des femmes aborigènes, qui l'amènent dans la tribu Wanthaalan, des peuples Uutaalnganu (un des groupes linguistiques des Pama Malngkana ou Sandbeach People (gens des plages sablonneuses)), où il est amené à deux beaux-frères de la tribu, dont l'un s'appelle Maademan et qui l'adoptera ensuite en le rebaptisant Amglo (ou Anco selon un rapport australien). Narcisse Pelletier, devenu Amglo, va ainsi vivre, pendant dix-sept ans (de l'âge de 14 à 31 ans), la vie d'un jeune homme des Uutaalnganu, vivant de pêche et de chasse avec sa nouvelle famille adoptive (dont son cousin adoptif Sassy, du même âge que lui), adoptant les mœurs, les coutumes, les activités et la culture des aborigènes, apprenant puis parlant couramment leur langue, oubliant son français maternel et sa vie en France, et vivant nu au milieu d'eux avec des scarifications ornementales sur le corps et des piercings au nez et à l'oreille droite. Dix-sept ans plus tard, le 11 avril 1875, Narcisse Pelletier est découvert par hasard par l'équipage du lougre anglais John Bell, sur l'île de Night Island, à 13 milles au nord-ouest du cap Sidmouth. L'équipage le berne pour le kidnapper et l'amener, contre son gré, à bord du navire, où il est habillé et rencontre le capitaine John Frazer, qui décide de l'emmener à Somerset, établissement de la colonie de Queensland d'alors, à la pointe extrême du Cap York. À Somerset, Narcisse Pelletier (qui tente de s'échapper) écrit maladroitement une lettre à ses parents (qui, jusque-là, le considéraient comme mort, et que lui-même croyait morts depuis longtemps, ayant perdu la notion du temps), dans son français qu'il se réapproprie rapidement après dix-sept ans d'oubli. Il est remis au gouverneur Christopher d'Oyly Aplin, le magistrat responsable de l'établissement, ancien géologue, qui arrange le passage de Narcisse à Sydney sur un autre navire, le vapeur SS Brisbane. Narcisse Pelletier rencontre à bord John Ottley (plus tard sir John Ottley), lieutenant des Royal Engineers, qui devient son protecteur et son guide lors du voyage à bord du Brisbane. Ottley parle français, ayant suivi une partie de sa scolarité en France, et aide Narcisse Pelletier à retrouver sa langue natale, ce qu'il fait avec une rapidité étonnante. John Ottley transcrira ses conversations avec lui dans une lettre de 1923. Arrivé à Sydney, Narcisse Pelletier est remis au consul de France, Georges-Eugène Simon, diplomate et érudit, qui le fait photographier pour la première fois et le prend en charge. Narcisse Pelletier rencontre à Sydney des Français et devient l'objet de la curiosité des gens et des journaux (la presse australienne le surnomme « le sauvage blanc »). Il est ensuite rapatrié pour la France via Nouméa en Nouvelle-Calédonie. -
La courbe qui démarre le plus haut, c'est "volume", puis un peu plus bas, "metabolism" et un peu plus bas "myelination" La courbe qui commence à la naissance c'est "receptors" Celle qui commence à 2 ans, c'est "blood flow" Celle qui commence un peu après 7 ans, c'est "synaptic refinement" Moi, j'ai un problème avec l'échelle de temps. Si c'est logarithmique, on devrait avoir le même espace entre 2 et 4 ans, entre 4 et 8 ans, entre 8 et 16 ans, ce qui est à peu près ce qu'on voit, mais aussi entre 16 et 32 ans. Donc je me demande si le chiffre "30" n'est pas une faute de frappe et si ce n'est pas plutôt "60" qu'il faut lire à cet endroit. Et le rectangle marqué "adolescence" irait grosso modo de 10 à 26 ans, avec 16 ans au milieu suivant le calcul log (16) = [ log(25,6) + log(10) ]/2
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J'ai trouvé ça : source : https://slideplayer.com/slide/13291914/
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http://www.vaucluse.gouv.fr/IMG/pdf/Comprendre_le_cerveau_cle6fb68c.pdf (Comprendre le cerveau : OCDE 2007, écrit avec "l'engagement approfondi" de scientifiques réputés comme Stanislas Dehaene) p.50 Jusqu’à l’émergence des techniques d’imagerie cérébrale, la plupart des scientifiques (y compris les psychologues) considéraient qu’après douze ans le cerveau n’évoluait plus. L’une des raisons qui ont donné naissance à cette idée fausse est qu’à partir de l’enfance, le cerveau ne grossit presque plus. Le cerveau d’un enfant de six ans présente déjà un volume de l’ordre de 90 à 95 % du volume de celui d’un adulte. Pourtant, malgré cela, le cerveau adolescent peut être comparé à un « chantier ». L’imagerie cérébrale a montré que le cerveau continue à grandir et à se myéliniser [Cf p42 : les axones myélinisés transmettent-ils l’information jusqu’à 100 fois plus vite que les axones non myélinisés] jusqu’au début de l’âge adulte (entre 20 et 30 ans). p.51 Plusieurs zones du cerveau se modifient à l’adolescence (voir le graphique 2.4). (...) Enfin, le cortex préfrontal, responsable de fonctions exécutives importantes et de processus de cognition supérieurs, qui est la dernière zone du cerveau à subir un élagage. Cette zone grandit à la fin de l’enfance, puis se rétrécit durant l’adolescence à mesure que les synapses sont élaguées [Cf p.54 les modèles de réseaux neuraux ont appris aux chercheurs que l’acquisition des compétences résulte de l’élagage de certaines connexions et du renforcement de certaines autres]. Des études récentes ont montré que la façon dont le cortex préfrontal se développe à l’adolescence pourrait affecter la régulation émotionnelle. p.52 Ainsi, une étude sur la gestion des risques fondée sur une simulation de conduite automobile a montré que, lorsqu’ils jouent entre eux, les adolescents prennent davantage de risques que les adultes, alors que les membres des deux groupes sont également prudents quand ils jouent seuls(Steinberg, 2004). Selon la psychologue Laurence Temple, « les parties du cerveau responsables d’éléments comme la recherche de sensations fortes sont particulièrement actives vers la puberté, mais celles auxquelles est dû l’exercice du jugement sont toujours en cours de maturation. Cela revient à confier une voiture en marche à quelqu’un qui n’a pas le permis. » (Wallis et autres, 2004). L’immaturité du cortex préfrontal des adolescents joue donc un rôle crucial dans l’instabilité de leur comportement. p206 Par exemple, la partie dorso-latérale du lobe frontal (associée aux fonctions exécutives), est l’une des dernières à se développer, comme d’ailleurs une partie des lobes temporaux (plus précisément dans les zones latérales, et surtout dans l’hémisphère gauche) (Sowell et autres, 2003) – cette zone joue probablement un rôle particulier dans le stockage de connaissances sémantiques, c’est-à-dire ce que sont les choses, et comment elles fonctionnent (un peu comme un lexique). Que le VSG [Volume de substance grise] atteigne son maximum relativement tard dans cette zone (un peu avant trente ans) est cohérent avec le fait que nous acquérons la plupart de nos connaissances sémantiques durant l’enfance, l’adolescence et le début de l’âge adulte.
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Pologne
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Exactement. Et donc le plus grave me parait être ce que rapporte le Monde Diplomatique : -
De toute façon le cerveau n'est pas entièrement connecté avant l'âge de 30 ans. Alors les gens qui parlent de passer la majorité à 16 ans (la nouvelle coalition allemande pour ne pas la nommer)... Le détricotage incessant de l'ordonnance de 1945...
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Ukraine 3
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Jojo67 dans Politique etrangère / Relations internationales
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Océanie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/new-zealand-no-longer-australia-s-pacific-security-partner (30 novembre 2021) Contrairement à Fidji et à la Papouasie, la Nouvelle Zélande traîne les pieds pour participer à la mission de police aux Salomon. https://www.lowyinstitute.org/the-interpreter/honiara-smoke-subsides (26 novembre 2021) Ces dernières semaines, la dissidence et le mécontentement à l'égard du gouvernement actuel ont été comme un brouillard qui obscurcit tout. Les chefs d'entreprise indigènes étaient mécontents de la décision d'attribuer un important contrat de construction à un opérateur inexpérimenté venu d'Asie. D'autres ont décrié la décision du gouvernement de dépenser des millions pour un programme de logement douteux dirigé par un autre investisseur étranger, tandis que l'état de l'hôpital décrépit continue de susciter des inquiétudes. Lors d'une discussion en direct à l'Université nationale des Îles Salomon mercredi dernier, diffusée en ligne lors d'une conférence sur la consolidation de la paix environnementale, d'éminents universitaires nationaux et régionaux ont expliqué comment l'extraction des ressources naturelles sous contrôle étranger créait des conflits dans différentes provinces et détériorait la qualité de la gouvernance à tous les niveaux. Transparency International a publié un rapport indiquant que les îles Salomon et la Papouasie-Nouvelle-Guinée étaient les premiers pays de la région en termes de perception par la population de la corruption du gouvernement. Les troubles à Honiara ont commencé par une marche pacifique vers le parlement prévue par les habitants de la province de Malaita pour demander au Premier ministre Manasseh Sogavare de démissionner. L'opposition de Malaita à l'actuelle coalition politique nationale est souvent décrite comme une question opposant les partisans et les adversaires de la Chine, mais elle est également liée à des points de vue différents sur les rôles du gouvernement national et du gouvernement local et sur le niveau de centralisation des pouvoirs. Avant et depuis l'indépendance des Îles Salomon en 1978, des appels ont été lancés en faveur d'un système de gouvernance décentralisé accordant une plus grande autonomie aux provinces. La demande de démission de M. Sogavare s'inscrit dans une tradition de protestation aux Îles Salomon où, lorsque le pays est en proie à l'agitation et à une large dissidence, les dirigeants démissionnent pour apaiser leur peuple et permettre un certain calme. Cela s'est notamment produit après les émeutes de 2006, lorsque des protestations et des émeutes ont suivi l'élection de Snyder Rini, qui s'est retiré, et que Manasseh Sogavare a ensuite été élu par les députés pour ce qui serait son deuxième mandat de Premier ministre. Premièrement, les événements illustrent le sentiment d'exclusion de nombreuses personnes du développement de Honiara et de Guadalcanal qui découle du fait que le commerce de détail, l'exploitation minière, l'exploitation forestière et, de plus en plus, le secteur de la construction sont dominés par des entreprises et des travailleurs asiatiques. Deuxièmement, ce développement non durable fait peser une charge impossible sur la police, alors que les facteurs de conflit s'intensifient, que les capacités de la police n'ont pas évolué et que les problèmes de vol, de préjugés sexistes et de manque de responsabilité au sein de la police ne sont pas résolus. Troisièmement, les commentateurs extérieurs aux Îles Salomon qui ont un cadre géopolitique excessif sur le conflit des Îles Salomon doivent être tenus en échec. Rien ne prouve que la Chine ou des agents américains aient eu quelque chose à voir avec la violence actuelle. Enfin, une approche stratégique de l'Australie et d'autres donateurs visant à renforcer les contrepoids locaux au pouvoir, tels que la loi, le maintien de l'ordre, la gouvernance au niveau provincial et local, les médias, la société civile et l'éducation civique, pourrait offrir une certaine protection contre une répétition des destructions de ces derniers jours.- 238 réponses
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Apparemment les Chinois ont tranché :
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Coronavirus - Covid 19
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.santelog.com/actualites/covid-19-le-vaccin-qui-parie-sur-les-lymphocytes-t (4 juillet 2021) C’est une voie de plus en plus poursuivie par les équipes de recherche sur COVID-19, qui réalisent, avec les mutations du virus et l’émergence de nouveaux variants, que les anticorps formés contre les souches d’origine sont parfois dépassés. Cette voie, c’est celle des lymphocytes T, comme les cellules T CD4+ « auxiliaires » et les cellules T CD8+ « tueuses » qui reconnaissent « toujours » les formes mutées du virus. Cette fois, l’équipe américaine s’inspire d'une méthode développée pour le VIH et identifie des cibles vaccinales stables à cellules T dans le SRAS-CoV-2. Ces données, présentées dans la revue Cell confirment la piste des lymphocytes T pour lutter contre le virus, même muté. 311 épitopes du SRAS-CoV-2 sont identifiés comme susceptibles d'être à la fois contraints par la mutation et reconnus par les cellules T CD8+. « On peut comparer la structure d'un virus à la conception d'une maison. La stabilité d'une maison dépend de quelques éléments vitaux, comme les fondations et des poutres, qui soutiennent le reste de la maison. En termes biologiques, ces poutres de support seraient contraintes par mutation c’est-à-dire que tout changement important de taille ou de forme mettrait en danger l'intégrité structurelle de la maison et pourrait facilement conduire à son effondrement. Des mutations dans ces épitopes sont donc peu probables car elles compromettraient la capacité du virus à survivre ». Si les vaccins actuels offrent une forte protection contre le COVID-19, concluent les chercheurs dans leur communiqué, « il n'est pas clair que ces vaccins pourront fournir une protection aussi forte contre les variantes préoccupantes. Développer un vaccin qui appelle des réponses des cellules T permettrait d’assurer cette protection contre les futures variantes du SRAS-CoV-2 ». -
Coronavirus - Covid 19
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.ladepeche.fr/2021/12/01/covid-19-la-decouverte-du-variant-omicron-la-lumiere-au-bout-du-tunnel-selon-un-immunologue-9963287.php Mais de l'avis de Zvika Granot, professeur au sein de l'Université hébraïque de Jérusalem, la découverte de ce nouveau variant (qui pourrait présenter quelques résistances face aux vaccins), pourrait être en réalité "la lumière au bout du tunnel" de la crise épidémiologique. Au micro de i24News, ce scientifique explique qu'en réalité, cette nouvelle souche du SARS-CoV-2 "est une variante très contagieuse mais peut-être pas aussi agressive qu'on ne le craint". Le chercheur s'appuie ses propos sur des données collectées en Afrique du Sud. Sur place, les scientifiques se sont penchés sur les symptômes ressentis par les patients contaminés par le variant : "légers", "bénins", et moins virulents que ceux qui sont ressentis par les malades contaminés par le variant Delta. -
De façon générale, la criminalité augmente avec la taille des villes : https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=2305136 (3 août 2013) Les grandes villes souffrent-elles d'une incidence encore plus élevée de la criminalité ? Selon Bettencourt, et al. (2007), le nombre de crimes suit une relation super-linéaire en fonction de la taille de la ville. Par exemple, si la taille de la population augmente de 100 %, l'incidence de la criminalité peut augmenter de 120 %. Nous avons analysé un total de 11 types de crimes entre 1995 et 2010 pour environ 250 villes de plus de 100 000 habitants aux États-Unis. Nous avons constaté que la relation entre le nombre de crimes et la taille des villes a suivi une fonction de puissance super-linéaire sans exception. Nous avons également constaté que les valeurs des exposants d'échelle présentent un modèle invariable dans le temps au cours de la période de 16 ans. Vous allez dire : il n'y a qu'à supprimer les villes, ou encore comme disait Alphonse Allais, « On devrait construire les villes à la campagne car l'air y est plus pur ». Une des raisons pour lesquelles on construit des villes de plus en plus grandes, est que cela permet d'augmenter le PIB par habitant, tout en faisant des économies sur la longueur du réseau de transport, d'eau ou d'électricité : https://royalsocietypublishing.org/doi/10.1098/rsif.2020.0705 (17 mars 2021) Plusieurs quantités ont une échelle linéaire (γ = 1) avec la population, comme la consommation d'eau, le logement ou le nombre d'emplois [1]. Cependant, les lois d'échelle urbaines non triviales abondent et apparaissent dans un grand nombre de contextes différents. Par exemple, des lois d'échelle par rapport à la taille de la population ont été trouvées pour le PIB [2,3], le nombre de brevets [4], la vitesse de marche [5] ou le taux de criminalité [2]. L'exposant d'échelle associé à ces relations semble se situer dans un intervalle de γ ∼ 1,1-1,2 et on dit qu'elles s'échelonnent de manière super-linéaire avec la population. Le fait que différentes variables partagent le même exposant (appartiennent à la même classe) indique une cause sous-jacente potentielle partagée pour l'émergence de ces valeurs. Pour d'autres quantités, la longueur totale du réseau routier [6], la longueur des câbles électriques [1], le nombre d'emplacements d'installations [7] ou de stations-service [8], l'exposant d'échelle associé se trouve souvent dans une plage de γ ∼ 0,8-0,9.1 On parle alors d'échelle sub-linéaire. Donc la criminalité est le prix à payer pour avoir plus de PIB.