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Wallaby

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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. J'ai mis à jour mon post avec ces deux liens vers le texte intégral.
  2. Oui mais le Royaume-Uni aura besoin de ces quatre groupes parlementaires pour faire approuver son traité de départ et son traité d'association. Donc c'est dans l'intérêt du Royaume-Uni de se montrer coopératif.
  3. Le problème c'est que les nations ont mis 1000 ans pour se faire, alors que l'Europe n'a pas 10 ans pour les dernières adhésions. Une fois qu'on aurait admis que les nations sont trop petites et qu'il faut les remplacer par une plus grande qui aurait l'échelle du continent, la question du rythme se pose. Les vieilles nations ont été construites - ce sont des constructions artificielles sans aucun doute - de façon lente et violente. Est-ce que l'Europe-nation peut être construite de façon rapide et pacifique ? Il y a deux débats. Il y a le débat pour savoir si les nations issues de 1000 ans d'histoire sont périmées. Et il y a un deuxième débat qui est de savoir s'il faut les remplacer par quelque chose ou par rien du tout. Parce que la cité, la politique ne doit pas réguler l'économique. Parce que l'homme doit être 100% homo economicus qui vend sa force de travail et 0% homo politicus qui forme des alliances pour obtenir plus collectivement que ce qu'il aurait isolément. Pour certains, l'Europe est l'espace de déploiement d'un monde mondialisé dépolitisé où il n'y a que les rapports de force économiques qui s'appliquent. L'Europe viendrait achever la nation, mais sans la remplacer.
  4. http://www.rferl.org/content/turkish/27682009.html (19 avril 2016) Les députés européens ont approuvé par 375 voix contre 175 une motion demandant au Conseil de faire de la langue turque la 25e langue officielle de l'Union Européenne. C'est une initiative d'un député chypriote prise dans l'intention de faciliter la réunification de Chypre. http://www.rferl.org/content/turkey-notebook-world-waiting-for-turkish-leadership/27822552.html (27 juin 2016) Le monde entier est dans l'attente du leadership turc, assure Ismail Kahraman, le président du parlement. Les frontières du coeur et de la spiritualité prolongent selon lui les frontières territoriales du pays.
  5. Le caractère de cheval de troie des Britanniques est avoué sans la moindre prudence dans l'article suivant : http://foreignpolicy.com/2016/06/25/brexit-defense-eu/ (25 juin 2016) La Grande-Bretagne a empêché l'UE de mettre en place des politiques qui seraient au détriment de la coopération transatlantique sur les renseignements. Comme seul et unique pays membre des "Cinq Yeux", la Grande-Bretagne savait ce que les Etats-Unis savaient sur les menaces et les capacités et pouvait mettre un véto aux politiques européennes. La coopération de l'anglosphère aura l'air plus étrangère aux Européens désormais. Cela pourrait aboutir à ce que la France soit invitée officiellement mais pourrait tout aussi bien avoir pour résultat des politiques de l'UE hostiles à la collecte de données, aux moyens d'analyse, et aux actions entreprises par la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, le Canada, l'Australie, et la Nouvelle Zélande. Le spectre d'une armée européenne, qui est plus probable si la Grande-Bretagne est sortie de l'UE. Les Américains pouvaient être lassés de cette notion lorsque la Grande-Bretagne avait un véto. Maintenant ceux qui aspirent à la grandeur européenne pourraient bien créer des quartiers généraux opérationnels et exclure la participation de l'OTAN dans une démonstration que l'UE peut agir militairement sans la Grande-Bretagne.
  6. http://www.ouest-france.fr/europe/brexit/londres-doit-agir-au-plus-vite-pour-quitter-lunion-dit-oettinger-4330039 (27 juin 2016) Günther Oettinger [commissaire européen allemand, CDU] à la radio Deutschlandfunk. « Cameron et son parti vont faire des dégâts s'ils attendent jusqu'à octobre ». « Il n'y aura aucun traitement de faveur, aucun cadeau ne sera fait », a prévenu Volker Kauder [chef de groupe CDU au Bundestag, proche de Merkel] sur la chaîne de télévision publique ARD.
  7. La presse allemande souligne la divergence entre Merkel (CDU) d'un côté qui veut freiner le départ de la Grande-Bretagne et Steinmeier (SPD) de l'autre, qui veut l'accélérer. http://www.lefigaro.fr/international/2016/06/27/01003-20160627ARTFIG00009-le-brexit-arlesienne-de-l-ete-2016.php (27 juin 2016) Peter Altmaier, [ministre de la chancellerie fédérale], a amorcé une bombe: « La classe politique londonienne devrait avoir la possibilité de réfléchir une nouvelle fois aux conséquences d'un retrait ». http://www.faz.net/aktuell/politik/brexit/brexit-verhandlungen-altmaier-glaubt-nicht-an-schnellen-austritts-antrag-14309268.html (27 juin 2016) Selon les informations de la Frankfurter Allgemeine Dimanche, les quatre grands groupes parlementaires [du parlement européen] - PPE, sociaux-démocrates, libéraux et Verts, veulent exiger du Premier Ministre David Cameron que la demande de retrait [britannique] soit déclarée mardi prochain, et qu'ainsi la procédure de retrait puisse démarrer.
  8. http://www.faz.net/aktuell/politik/brexit/wie-muss-berlin-auf-den-brexit-reagieren-14308528.html (25 juin 2016) Depuis longtemps, Ayrault et Steinmeier s'étaient mis d'accord pour que "le jour X", l'Europe ne se retrouve pas désorientée. Depuis avril, des groupes de travail de diplomates français et allemands se sont rencontrés pour approuver un texte d'orientation commun [2]. Ils se sont mis d'accord rapidement sur l'idée qu'après un Brexit ou un vote des Britanniques très court pour rester dans l'UE, il ne faudrait pas continuer en faisant comme si rien ne s'était passé. De plus, une phase d'inaction doit être évitée, habituellement décrite comme une "réflexion approfondie". C'est ainsi que cela s'était passé en 2005, lorsque les citoyens avaient refusés une constitution européenne après des référendums en France et aux Pays-Bas. Comme ligne générale, les diplomates conçoivent ceci : l'Allemagne et la France tiennent à une Union Européenne toujours plus étroite, elles se voient comme une communauté de destin qui veut mener vers l'avant une Union politique en Europe. De plus, ils reconnaissent que tous les États membres ne peuvent pas y participer. Il en va quant à l'intégration, de "différents niveaux d'ambition". Pour cela, les diplomates de Steinmeier ont inventé le concept d'"Union flexible" : il rappelle la formule de l'Europe à deux vitesses, qui est dans le débat sur l'intégration européenne depuis les années 1980. "Nous devons axer nos efforts communs sur les défis qui ne peuvent être traités qu’au moyen de réponses européennes communes, tout en laissant d’autres tâches au niveau national ou régional." (1) : ce que cela veut dire n'est pas élaboré. Les Français veulent une coopération anti-terroriste en politique intérieure et extérieure, et les Allemands une politique de migration et des réfugiés commune. Il n'est pas sûr que cela coïncide. Les allemands sont favorables à une politique étrangère préventive et à des gestions de crises, avec leur réserve traditionnelle lorsqu'il s'agit recourir à l'armée et aux bruits de bottes. En matière de réfugiés, le texte dit qu'il ne doit pas y avoir de "réponses nationales unilatérales" et que "une situation où la charge migratoire est portée de façon déséquilibrée par un petit nombre de pays n'est pas supportable à long terme". Il est question dans une première phase de rendre "résistant aux intempéries" le système de Dublin. Cela doit être complété par un "mécanisme durable et contraignant pour le partage de la charge entre tous les États membres". Pour la Frankfurter Allgemeine, ce dernier point constitue une "forme d'autocritique" française, mais le journal doute que cela soit suivi de conséquences. Sur l'union monétaire, les Français reprennent la parole : il s'agit de renforcer la convergence économique. L'Allemagne doit défaire son "déficit de commerce extérieur" (?? ou plutôt son excédent ?) et les pays du Sud doivent devenir plus compétitifs. Il est peu probable que ce point réjouisse Wolfgang Schäuble qui pense que l'Europe entière doit être compétitive sur la scène mondiale et que cela n'aide pas si l'Allemagne doit se limiter. Steinmeier qui a présenté ce texte à Berlin avec la réunion des ministres des affaires étrangères des Six, n'avait pas soumis ce texte à la chancellerie, d'où une controverse : Angela Merkel n'est pas convaincue que le format à six soit le bon. Elle a peur que les petits pays se sentent rejetés. Merkel est sceptique face à l'idée qu'il faille réagir dans la hâte au Brexit, car il y a le risque que chacun se fasse une idée différente de la réaction rapide. Certains États comme la Hongrie envisagent la réaction rapide comme un rapatriement de compétences communautaires vers les États membres. Donc Merkel pense que cela va prendre du temps pour avoir une réaction commune. (1) http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/politique-etrangere-de-la-france/europe/evenements-et-actualites-lies-a-la-politique-europeenne-de-la-france/article/declaration-conjointe-des-ministres-francais-allemand-belge-italien [2] en anglais : http://www.auswaertiges-amt.de/cae/servlet/contentblob/736268/publicationFile/217575/160624-BM-AM-FRA-DL.pdf en allemand : http://www.auswaertiges-amt.de/cae/servlet/contentblob/736264/publicationFile/217569/160624-BM-AM-FRA-DL.pdf en français : http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/IMG/pdf/une_europe_plus_forte_dans_un_monde_incertain_2__cle8198f6.pdf
  9. Il faut être prudent par rapport à un chiffre de 52% dans un sondage à un moment émotionnel. Voir mes autres remarques dans le fil dédié à l'Écosse : http://www.air-defense.net/forum/topic/11947-vers-lindépendance-de-lécosse-et-la-fin-du-royaume-uni/?do=findComment&comment=975722
  10. 52% de pour l'indépendance dans un sondage [2] fait dans un moment d'émotion où beaucoup d'électeurs sont déçus par le Brexit, c'est une marge très faible potentiellement volatile, lorsque certains parlent - voir l'article suivant - d'une marge de 60% pendant deux ans d'affilée pour pouvoir relancer l'idée d'un référendum d'indépendance écossaise [1]. http://www.afr.com/opinion/scottish-nationalis-party-wont-call-scottish-independence-vote-unless-its-a-winner-20160626-gps20u (26 juin 2016) Article assez mauvaise langue écrit par un blairiste qui insinue que Nicola Sturgeon souhaite secrètement que Londres lui interdise de faire un deuxième référendum, car cela lui évitera de le perdre et lui donnera du grain à moudre pour maugréer contre Londres. Déjà en 2014 la question de l'utilisation de la livre comme monnaie par une Écosse indépendante était un point épineux, mais avec une Angleterre brexitée, cela devient "impossible" - j'avoue ne pas trop comprendre pourquoi, vu que l'auteur ne s'explique pas. Par ailleurs, l'auteur indique la baisse du prix du pétrole, qui fait chuter d'autant les ressources d'une Écosse indépendante. [1] La vraie raison pour laquelle la formule d'un changement "significatif et matériel" a été utilisée par le SNP est qu'il voulait voir un soutien pour l'indépendance courir à environ 60% pendant au moins deux ans - autrement dit des chiffres prédisant un plébiscite imperdable. [2] http://www.air-defense.net/forum/topic/19953-on-prend-les-paris-les-british-quittentou-pas-leurope/?do=findComment&comment=975650
  11. Voir aussi le détail des différents sondages préélectoraux qui reflétaient le paysage électoral : http://www.air-defense.net/forum/topic/19768-2016-quel-ambiance-en-irlande-du-nord/?do=findComment&comment=973027
  12. En conclusion, Churchill voit la Grande-Bretagne en protecteur d'un protectorat britannique sur l'Europe, et non en membre de l'Europe.
  13. http://www.politiqueinternationale.com/revue/read2.php?id_revue=151&id=1485&search=&content=texte (été 2016) Entretien avec Mùróng Xuěcūn.
  14. Ton raisonnement serait qualifié par Emmanuel Todd de "soumission volontaire". Pour Emmanuel Todd l'Allemagne détruit l'outil industriel français en se lançant à la fin des années 1990 sans concertation avec la France dans une baisse agressive des salaires en régime de monnaie unique. Tu félicites les pays soumis du Sud et tu blâmes la part d'insoumission qui reste dans le comportement de la France. Ton propos est celui d'un petit soldat de l'impérialisme allemand destructeur. C'est aussi une analyse qu'on peut faire avec la recension du livre d'Ulrich Beck indiquée hier ou avant-hier par Tancrede : http://www.lrb.co.uk/v35/n16/susan-watkins/vanity-and-venality (23 août 2013)
  15. http://www.nytimes.com/interactive/2016/06/22/world/americas/panama-canal.html (22 juin 2016) Ce nouveau canal de Panama n'a pas l'heur de plaire aux Américains si j'en juge par cet article du New York Times qui y déverse un tombereau de critiques. http://www.csmonitor.com/Business/2016/0625/How-the-improved-Panama-Canal-could-change-world-trade (25 juin 2016) Cela pourrait réorienter une partie du trafic en provenance d'Asie de la Californie vers la côte Est, et permettre au secteur gazier du golfe du Mexique de vendre du gaz en Asie, puisque ces ventes ont été libéralisées par Obama. À new york, il est question du surélever le pont de Bayonne pour permettre à des navires de plus grande taille de passer en dessous.
  16. https://www.lloydslist.com/ll/static/classified/article514291.ece/binary/Ukraine-dataset-final.pdf Évolution du trafic maritime en Crimée en 2013, 2014 et 2015 : impact des sanctions.
  17. Dans la plupart des traditions nationales que je connais un peu, les votes de référendum sur le choix d'une nouvelle constitution ou d'une modification de la constitution se font à ma connaissance toujours à la majorité simple. Souvent ces modifications sont proposées par le parlement en place ou une assemblée constituante qui a envie de réussir et n'a pas envie de placer la barre trop haut pour ne pas se retrouver en échec. En France, en 1946, le premier référendum de la 4e République a été rejeté, et il a fallu faire une deuxième mouture et un deuxième vote quelques mois plus tard. Je n'ose pas imaginer ce qui se serait passé si on avait mis la barre aux deux tiers. Dans le cas de David Cameron, s'il avait annoncé que c'était un référendum pour rire, non contraignant, ou avec des règles hérétiques par rapport à la tradition nationale initiée par le référendum sur l'UE de 1975 qui fait naître l'exigence d'un parallélisme des formes, son parti aurait subi peut-être une révolte des députés de son parti et une défaite électorale lors de l'élection de 2015 où il a placé ce référendum dans la balance pour attirer vers lui les électeurs pro-brexit.
  18. C'est bien ce qui va se passer. Ce référendum ne sert qu'à mandater le gouvernement britannique pour négocier la sortie du Royaume-Uni. Lorsque le nouvel accord d'association UE-Royaume-Uni sera prêt il sera soumis à ratification dans tous les pays de l'UE (comme pour le traité d'association avec l'Ukraine, par exemple). C'est prévu de durer 2 ans. La démocratie, ce n'est pas que des votes. C'est aussi la presse, des commissions qui auditionnent des experts, des textes, des amendements... des débats.
  19. http://www.independent.co.uk/voices/brexit-scottish-referendum-scotland-eu-remain-nicola-sturgeon-snp-a7100736.html (25 juin 2016) L'Écosse pourrait faire partie à la fois de l'UE et du Royaume-Uni en utilisant le modèle dano-groenlandais.
  20. Pour les Britanniques, l'adhésion, c'est 1973. Il y a aussi toutes les nuances où la communauté européenne a existé dans certains secteurs sans être omniprésente partout et sans cette volonté de domination des États membres. En gros l'Europe d'avant Maastricht. Une Europe qui était un plus pour les État et non une chose qui tente de détruire les États. Il y a beaucoup de gens qui ont connu cette configuration.
  21. C'est aussi parce que les plus jeunes ne savent pas qu'il y avait une vie avant l'UE qu'ils ont été plus sensibles à l'argument, "le Brexit, c'est la fin de la civilisation occidentale" (Donald Tusk). La vie sans l'UE présente pour eux une part d'inconnu qui est absente chez les plus vieux.
  22. Une grande déception aux États-Unis à cause du Brexit : http://foreignpolicy.com/2016/06/25/brexit-defense-eu/ (25 juin 2016) La Grande-Bretagne savait ce que les États-Unis savaient sur les menaces et les capacités, et pouvait mettre son véto aux politiques de l'UE. Nos alliés européens - y compris la Grande-Bretagne - sont sur le point d'être bien moins volontaires et capables de nous aider à façonner et faire la police de l'ordre mondial.
  23. http://www.telegraph.co.uk/news/newstopics/eureferendum/12143060/Britain-will-only-be-free-from-the-influence-of-European-Courts-if-it-votes-for-Brexit-says-senior-British-judge.html (5 février 2016) Sir Francis Jacobs, ancien avocat général de la Cour Europeénne de Justice a dit que le droit européen "prévaudrait toujours sur la loi nationale" tant que la Grande-Bretagne resterait dans l'Union Europeéenne. http://www.voteleavetakecontrol.org/revealed_uk_loses_over_three_quarters_of_all_cases_in_the_ecj (2 mars 2016) Depuis qu'il a rejoint la Communauté économique européenne en 1973, le Royaume-Uni a perdu 101 affaires à la Cour européenne de justice (CEJ). Cela équivaut à un taux de 77,1% d'échec. Les conséquences de ces défaites comprennent l'augmentation du prix de la bière, le contournement de l'opt-out du chapitre social, la prolongation de l'interdiction d'exportation dans le monde entier sur la viande bovine et les hausses fiscales britanniques sur les matériaux d'économie d'énergie du Royaume-Uni. Depuis que David Cameron est devenu Premier ministre en mai 2010, le Royaume-Uni a été battu à 16 reprises: un taux de 80% d'échec.
  24. http://theweek.com/articles/631249/why-britain-should-leave-eu (21 juin 2016) L'auteur suggère que le camp du remain est peuplé d'une population jeune qui a abandonné les valeurs de démocratie et de liberté politique au profit de la liberté individuelle et du consumérisme : Ils ne plaident jamais que l'UE a une légitimité démocratique : la plupart admettent qu'elle n'en a pas. Ils ne défendent pas l'idée que la souveraineté britannique mérite d'être effacée. Au contraire, de nombreux Remainers invoquent ce sens de l'ouverture et la possibilité qui s'est présentée à eux en tant que jeunes, les voyages faciles et bon marché au Portugal, les études à Dublin, le voyage de noces en Italie du Nord. Et la seule menace contre cette liberté individuelle est constituée par... ...les classes de populations en Grande-Bretagne qui furent appauvries par les libéralisations économiques successives sous Margaret Thatcher et Tony Blair.
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