Wallaby

Pourquoi dans un système communiste, un citoyen aurait-il besoin d'aller de ville en ville ? Sur quelle hypothèse repose ce besoin d'aller de ville en ville ? Un système communiste est un système où 100% de la population est fonctionnaire. J'imagine qu'il devait y avoir des procédures pour demander des mutations, comme en France un instituteur peut demander une mutation vers une autre ville. Mais cela ne se fait pas du jour au lendemain, il faut faire des papiers. Prenez par exemple le métier de policier. Dans la plupart des pays il n'y a pas de polices privées. Peut-on dans ce cas faire l'hypothèse d'un policier "qui va de ville en ville" ?

http://www.newyorker.com/magazine/2014/12/01/quiet-german (1er décembre 2014) Grand article biographique sur Angela Merkel. La deuxième partie se perd un peu dans la rhétorique de nouvelle guerre froide russo-américaine, mais la première partie dégage des aspects peut-être moins connus du personnage. Inintéressante. Le new yorker indique que ses principales qualités sont d'être inintéressante, incolore. Elle ne cherche pas à se grandir, à avoir des costumes élégants. Si elle le pouvait elle se ferait plus petite qu'une souris. La fille d'un drôle de pasteur. Son père, le pasteur Kasner, est un pasteur atypique. Alors que bien des Allemands de l'Est fuyaient vers l'Ouest, il est un Allemand de l'Ouest qui s'est installé à l'Est. On ne sait pas trop si c'est par conviction communiste ou par opportunisme carriériste. Il n'est pas représentatif des pasteurs est-allemands revendiquant plutôt leur indépendance face au communisme. Les autres pasteurs se méfient de lui. Angela Kasner est donc par la profession de son père une enfant de l'intelligentsia en phase avec le régime. Elle a fait les jeunesses communistes, elle a remporté le premier prix de langue russe : elle a été moulée par le système. La scientifique entourée d'hommes. C'est peut-être l'aspect le plus important de sa formation, qui déteint sur son style en politique. Elle n'a pas de réaction épidermique, émotionnelle. Elle n'est pas dans l'impulsion mais dans le calcul et la réflexion. Pourquoi ? Lorsqu'elle travaillait en laboratoire, seule femme parmi des hommes, elle s'est aperçue que « les hommes dans le laboratoire avaient toujours leurs doigts sur tous les boutons en même temps. Je ne pouvais pas les suivre, parce que je réfléchissais. Et puis soudain, pschitt, et tout l'équipement était détruit ». La chute du mur, un non-événement. Le soir de la chute du mur elle va au sauna comme d'habitude. Peu de convictions, mais une soif de pouvoir. Elle a appris et récité le "credo" de la CDU par coeur, mais elle n'y croit pas vraiment. Selon Michael Naumann, "son attitude vis à vis des Etats-Unis est une attitude apprise". Son idée de la démocratie ou de la liberté est aussi apprise, et non ressentie : elle ne comprend rien à l'anti-autoritarisme issu de mai 1968, selon elle un mouvement d'enfants gâtés ne comprenant pas leur chance par rapport à l'Est. Sa vision à long terme ? "Deux semaines", dit l'ancien ambassadeur Kornblum. Mais l'Allemagne reste si traumatisée des grandes idéologies de son passé qu'une politique zéro-idée a une allure réconfortante. L'auteur de nouvelles et journaliste Peter Schneider la compare à un chauffeur par temps de brouillard : "vous ne voyez qu'à 5 mètre, pas 100, donc il vaut mieux être prudent : vous ne dites pas trop de choses, vous avancez pas à pas. Pas de vision du tout." Elle n'aime pas chez Obama le côté beau parleur, à la rhétorique de haut vol, mais qui accomplit beaucoup moins que ce qu'il dit dans ses discours.

Une acre (j'ai triché, j'ai vérifié dans le dictionnaire : http://www.cnrtl.fr/definition/acre )

http://nationalinterest.org/feature/the-new-siege-crimea-13291?page=2 (9 juillet 2015) Pour l'auteur, le blocus incomplet mis en oeuvre par l'Ukraine contre la Crimée est à l'image des mesures prises par la Géorgie contre l'Abkhazie et l'Ossétie du Sud. Elles ne peuvent que renforcer la dépendance de la population vis à vis de Moscou, et constituent une défaite assurée dans la conquête des coeurs et des esprits. Un projet de loi a été soumis à la Rada pour instaurer un blocus total. Pour ses promoteurs, les "patriotes ukrainiens" doivent déménager de Crimée.

http://nationalinterest.org/blog/the-buzz/exposed-chinas-false-south-china-sea-narrative-13277 (7 juillet 2015) Lors d'une audition au Sénat le 13 mai 2015, deux sous-secrétaires du gouvernement américain ont indiqué le décompte suivant des "avant-postes" dans les Spratleys (un îlot peut être compté plusieurs fois si plusieurs avant-postes séparés sont sur le même îlot) : Vietnam : 48 Philippines : 8 Chine : 8 Malaisie : 5 Taïwan : 1 Pour l'auteur, ce décompte n'est pas très ingénieux et il serait préférable de comparer les superficies artificialisées. Il oppose un cas de deux avants-postes vietnamiens sur un seul îlot totalisant 3.5 acres, à un avant-poste chinois de 800 acres sur un seul îlot.

En 2006 l'UNESCO a classé dans la "liste du patrimoine en péril" la vallée de l'Elbe à Dresde, site du patrimoine mondial, à cause de la construction d'un nouveau pont. Finalement le pont a été construit et l'Allemagne a décidé de désinscrire la vallée du patrimoine mondial pour ne plus avoir de problèmes. Dans l'autre sens, la France a renoncé à mettre des éoliennes au Mont Saint Michel parce que l'UNESCO s'y opposait.

Sondage. Faites vous confiance à Xi-Jin-Ping ? (oui en rouge, non en vert) La Chine et Taïwan appartiennent-ils à "une seule Chine" ? (oui en bleu) En cas de reconnaissance mutuelle, Taiwan et la Chine continentale devraient-ils former une alliance ou une union dans un nouvel État ? (oui en jaune) Source : http://solidaritytw.tumblr.com/post/118932247341/tisr-chu-xi-poll-bad-news-for-kmt-plus-tsai-v (14 mai 2015) cité par http://thinking-taiwan.com/hung-hsiu-chus-uphill-charge/ (17 juin 2015)

La seule chose que j'aie trouvée pour recouper cette information c'est ceci : http://www.taipeitimes.com/News/taiwan/archives/2015/05/09/2003617857 (9 mai 2015) Hung demande à Tsai Ing-wen (la candidate DPP) de relire les Trois Communiqués (qui sont les accords sino-américains entre Nixon et Mao en 1972), où figure une promesse américaine de réduire les ventes d'armes à Taïwan.

http://thediplomat.com/2015/06/the-strange-case-of-the-kmts-hung-hsiu-chu/ (23 juin 2015) Hung a appelé à mettre un terme aux achats d'armements américains, l'un des pilliers de la relation sécuritaire américano-taïwanaise, et a dit que les Taïwanais devaient "arrêter de se plaindre" des environ 1600 missiles à courte et moyenne portée que le Deuxième Corps d'Artillerie chinois pointe sur Taïwan. Probablement pour la première fois depuis la création du Kuomintang, l'un de ses leaders risque de s'aliéner le haut commandement militaire.

Avez vous-lu mon post sur les Navajos ? C'est un peuple qui est différencié, qui vit au moins en partie dans une réserve, et qui ne va pas bien, qui est en souffrance : http://www.air-defense.net/forum/topic/11243-usa/?view=findpost&p=866135

Vous ne dites pas le contraire, mais il y a d'autres minorités en Chine que celles que vous indiquez. Surtout dans le sud du pays, en particulier dans la province de Yunnan, il y a une pléthore de petits peuples aux traits culturels extrêmement variés. Le peuplement massif n'est pas une spécificité chinoise, puisque l'Arizona, la Californie, et de façon générale tous les Etats-Unis sont peuplés massivement d'Européens. Sur la possibilité d'avoir plus d'un enfant, c'est le contraire. Les minorités en Chine sont exemptées de la politique de l'enfant unique. Finalement c'est plutôt le premier point, la répression armée qui serait une spécificité chinoise, puisqu'on n'en voit plus aux Etats-Unis depuis le 19e siècle. Il y a aussi des Tibétains heureux, comme le montre l'affaire des photos de mariage sur les réseaux sociaux : http://foreignpolicy.com/2015/05/02/china-tibet-wedding-photos-censorship/ (2 mai 2015)

J'ai un peu de mal à voir de quel point de vue le traitement différencié des minorités pourrait être un reproche à faire à la Chine. Les Etats-Unis, le Canada, ou l'Australie accordent un traitement différencié à leurs aborigènes. La Chine est-elle différente de ce point de vue ?

http://www.theguardian.com/politics/2015/jul/07/evel-commons-quasi-english-parliament-mps-english-votes-laws (7 juillet 2015) Le projet EVEL (English Vote for English Law) est en train d'être débattu, qui introduit deux points de procédure parlementaire spécifiques pour les lois qui concernent uniquement l'Angleterre ou l'Angleterre et le Pays de Galles. - Examen en "grande commission" formée des seuls députés anglais (ou anglais et gallois) permettant d'amender le texte ; - Vote d'approbation du texte lorsqu'il revient de la chambre des lords, par une double majorité : majorité du parlement et majorité parmi les seuls députés anglais (ou anglais et gallois). Le pouvoir de déclarer un texte "Anglais" donc relevant de cette procédure, sera confié au speaker de la chambre. Pour l'opposition travailliste, l'introduction de ce fédéralisme constitue du "vandalisme constitutionnel".

Pour moi, la définition d'une guérilla, c'est des forces armées qui font des opérations coup de poing et se retirent aussitôt sans occuper le terrain. Cela correspond assez à Al-Qaïda, qui n'a pas cherché à conquérir et occuper le territoire des Etats-Unis après le 11 septembre. En revanche, Daèche se comporte comme une force d'occupation dans les territoires qu'il conquiert. Donc Daèche n'est pas une guérilla, mais une force armée conventionnelle de ce point de vue.

Cela n'a rien d'un problème "gravissime", mais j'ai posté sur le fil "Ukraine 3" il y a quelques heures, et le fil n'est pas "remonté".

test

https://foreignpolicy.com/2015/07/06/ukraine-is-a-mess-but-its-still-no-greece/ (6 juillet 2015) et http://www.nytimes.com/2015/07/04/business/mindful-of-greece-ukraine-is-in-a-rush-to-line-up-debt-relief.html (3 juillet 2015) L'Ukraine doit restructurer sa dette. Le gouvernement ukrainien, en accord avec le FMI veut que les créanciers privés renoncent à 40% du principal. L'article de Foreign policy, qui est à prendre, je pense, avec quelques pincettes, joue sur le contraste Grèce, enfant polisson avec le bonnet d'âne, qui ne fait pas ce qu'on lui dit de faire, et Ukraine élève docile qui fait toutes les réformes qu'on lui demande. On ne nous dit pas que la ministre des finances, l'ukraino-américaine Natalie Jaresko, a de bons sondages - les instituts de sondage ont-ils oublié de poser la question ? - mais c'est tout comme : elle est épargnée par la critique des médias et des réseaux sociaux. Et quand elle fait une conférence de presse à la télévision, les sondages montrent le lendemain que son message a été reçu 5 sur 5. On a donc l'impression que le peuple ukrainien est pendu aux lèvres de Mme Jaresko. Le New York Times précise que le FMI a conclu un accord "au niveau des employés", donc des fonctionnaires des ministères concernés, sur les réformes à faire. Comme si, mais je surinterprète peut-être, l'accord des hommes politiques en charge du gouvernement ou l'accord de la Rada s'il y a des lois ou des budgets à voter, était acquis d'avance. Comme si l'Ukraine était finalement le "client idéal" du FMI, qui accepte tous les produits qu'on lui propose, sans rechigner. Il me semble que pour faire la part des choses entre cette promotion de l'Ukraine dans les médias américains et une réalité possiblement différente, il est bon de revenir à un article posté au début de la crise : Dans cet article, George Friedman indiquait que l'un des traits de l'Ukraine était la propension à "demander à être gouvernée (de l'extérieur)". Au contraire de la Grèce qui défend farouchement son indépendance, l'Ukraine qui ne connaît de l'indépendance que la période récente assez décevante et dysfonctionnelle, n'aspire qu'à une chose, revenir à la dépendance au sein d'un empire qui fonctionne. C'est donc la tsarine Christine Lagarde qui a été choisie comme nouvelle autocrate d'Ukraine, au nom de la "vrai foi", à savoir l'orthodoxie financière du FMI.

https://foreignpolicy.com/2015/07/06/ukraine-is-a-mess-but-its-still-no-greece/ (6 juillet 2015) et http://www.nytimes.com/2015/07/04/business/mindful-of-greece-ukraine-is-in-a-rush-to-line-up-debt-relief.html (3 juillet 2015) L'Ukraine doit restructurer sa dette. Le gouvernement ukrainien, en accord avec le FMI veut que les créanciers privés renoncent à 40% du principal. L'article de Foreign policy, qui est à prendre, je pense, avec quelques pincettes, joue sur le contraste Grèce, enfant polisson avec le bonnet d'âne, qui ne fait pas ce qu'on lui dit de faire, et Ukraine élève docile qui fait toutes les réformes qu'on lui demande. On ne nous dit pas que la ministre des finances, l'ukraino-américaine Natalie Jaresko, a de bons sondages - les instituts de sondage ont-ils oublié de poser la question ? - mais c'est tout comme : elle est épargnée par la critique des médias et des réseaux sociaux. Et quand elle fait une conférence de presse à la télévision, les sondages montrent le lendemain que son message a été reçu 5 sur 5. On a donc l'impression que le peuple ukrainien est pendu aux lèvres de Mme Jaresko. Le New York Times précise que le FMI a conclu un accord "au niveau des employés", donc des fonctionnaires des ministères concernés, sur les réformes à faire. Comme si, mais je surinterprète peut-être, l'accord des hommes politiques en charge du gouvernement ou l'accord de la Rada s'il y a des lois ou des budgets à voter, était acquis d'avance. Comme si l'Ukraine était finalement le "client idéal" du FMI, qui accepte tous les produits qu'on lui propose, sans rechigner. Il me semble que pour faire la part des choses entre cette promotion de l'Ukraine dans les médias américains et une réalité possiblement différente, il est bon de revenir à un article posté au début de la crise : Dans cet article, George Friedman indiquait que l'un des traits de l'Ukraine était la propension à "demander à être gouvernée (de l'extérieur)". Au contraire de la Grèce qui défend farouchement son indépendance, l'Ukraine qui ne connaît de l'indépendance que la période récente assez décevante et dysfonctionnelle, n'aspire qu'à une chose, revenir à la dépendance au sein d'un empire qui fonctionne. C'est donc la tsarine Christine Lagarde qui a été choisie comme nouvelle autocrate d'Ukraine, au nom de la "vrai foi", à savoir l'orthodoxie financière du FMI.

http://television.telerama.fr/television/m6-revele-le-matraquage-fiscal-de-daesh,127980.php (15 juin 2015) « Daesh assome ses 10 millions de citoyens de toutes sortes d’impôts », dénonce le numéro de Capital consacré à « la multinationale du terrorisme »

À rebours des écrits polémiques opposant stérilement la Russie et l'Occident ou cherchant à créer une confrontation, une sociologue formée à Berkeley publie le livre « Femmes sans hommes : mères célibataires et transformation de la famille dans la Russie nouvelle », paru en avril 2015, permettant une approche comparatiste : la société américaine et la société russe ont quelque chose à se dire et peuvent s'enrichir d'une connaissance mutuelle de leurs différences. Alors qu'aux États-Unis la famille monoparentale tend à être problématisée par son association à la pauvreté ou à des groupes sociaux défavorisés, elle est en Russie largement banalisée et inscrite dans la famille étendue, avec la présence fréquente de la grand-mère, la babouchka, ou de la tante. L'enfant est donc bien souvent élevé par "deux mères". La justice russe actuelle est souvent trop faible pour faire respecter aux pères divorcés leurs obligations de pension alimentaire, alors que le système soviétique était très efficace dans ce domaine avec un prélèvement à la source. Présentation de l'éditeur : http://www.cornellpress.cornell.edu/book/?GCOI=80140100573890&fa=author&person_id=5193 Larges extraits sur Google Books : https://books.google.fr/books?id=MDLJBwAAQBAJ

http://www.afrik.com/cameroun-terrorisme-ou-democratie-le-malaise-de-francois-hollande (4 juillet 2015) Au Cameroun, le président français a préféré éviter de se pencher sur la démocratie.

http://www.stamfordadvocate.com/news/article/Reasonable-gun-control-saves-lives-6340188.php (21 juin 2015) Une étude comparative avec 4 autres États qui n'ont pas cette loi, établit que la loi sur le permis de port d'armes adoptée en 1995 au Connecticut a permis depuis lors de réduire les homicides dans cet État de 40%.

Ce rapport continue de faire parler de lui dans l'article suivant, publié la veille de l'attaque de Charleston : http://www.nytimes.com/2015/06/16/opinion/the-other-terror-threat.html (16 juin 2015) La plupart ont été déjoués, mais les 20 complots [terroristes islamistes] des treize ans et demi passés ont causé 50 morts. Au contraire, les extrémistes d'extrême droite ont lancé en moyenne 337 attaques par an, causant un total de 254 morts, durant la décennie suivant le 11 septembre, d'après une étude d'Arie Perlinger, professeur au Combating Terrorism Center de West Point.

Oui mais l'UE n'a pas vocation à être une "grande Pologne", ennemi héréditaire de la Russie. L'UE a plutôt vocation à être une "grande Finlande" ou une "grande Suisse". L'adhésion de la Finlande à l'UE constitue plus la traduction d'un désir de rester soi-même qu'un désir de basculer vers un autre chose que ce que les Finlandais sont déjà.

J'ai indiqué dans l'un de mes précédents messages pourquoi je ne crois pas à cette notion d'"ancrage à l'ouest" de la Finlande depuis la fin de la guerre froide sur le plan économique en montrant qu'il n'y avait pas eu à cette date de basculement dans la structure du commerce extérieur de ce pays. Le basculement s'est produit entre l'indépendance (1917) et la seconde guerre mondiale. Il restait à critiquer la notion de "développement". C'est ce que font les auteurs de l'article http://genuineprogress.net/wp-content/uploads/2013/01/GPI-Finland-Paper.pdf (2013) : Dans cet article l'Indice de Bien-être Durable (ISEW) et son dérivé, l'Indice de Progrès Véritable (GPI) ont été adoptés pour traiter les données finlandaises. Le résultat est que la croissance économique mesurée par le Produit Intérieur Brut (PIB) n'a pas amélioré le bien-être économique de la population en Finlande depuis le milieu des années 1980. Ce résultat suggère que le PIB est un mauvais indicateur du bien-être dans les pays post-industriels. Sondage sur l'adhésion de la Finlande à l'OTAN : http://yle.fi/uutiset/poll_nearly_a_third_of_finns_uncertain_about_nato/7923464 (11 avril 2015) - Contre l'adhésion à l'OTAN : 40% - Pour : 28% - Ne sait pas : 32%