Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Picdelamirand-oil

Members
  • Compteur de contenus

    16 212
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    306

Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. On pourrait la construire en France (un an de délai) et la transférer en Inde le jour où ils se décident à faire une commande sérieuse.
  2. Si on a les deux on ne pourra livrer que 5 Rafale à chacun en 2025 et en plus en les prenant sur des Rafale prévus pour la France. Je raconte pas la crise si on a en plus l'Indonésie.
  3. Mon bilan est le suivant: Fin de production pour Inde + Qatar : Juin 2022 Donc fin 2022 on aura Qatar + Inde + 5 Grec En 2023 Production de 1 Grec + 10 Français En 2024 Production de 8 Egyptien + 20 Français En 2025 Production de 12 Egyptien + 21 Français En 2026 Il reste à produire 10 Egyptien +1 Français on peut donc rajouter 22 Rafale sur un nouveau contrat cette année là. On peut aussi commencer en 2025 avec 11 Rafale en décalant 11 Rafale Français en 2026, mais si on le fait on n'aura pas 129 Rafale en 2025 comme promis par le min def.
  4. C'est une façon pas très chère de soutenir l'industrie Aéronautique Française, plan de relance COVID oblige.
  5. Je rappelle que pour du largage à haute altitude tu prônes d'équiper les torpilles avec un kit leur permettant de suivre une trajectoire de précision. Je crois qu'il y a des ailes dans ce type de Kit.
  6. Je cite la manière dont les choix ont été fait pour attribuer les domaines de responsabilité à chaque nation: Cela veut dire qu'on se pose la question : "dans quels domaines l'Espagne est la plus forte?" Et ce sont ces domaines qui lui sont attribués, même si l'Allemagne ou la France sont encore plus fortes qu'elle pour ces mêmes domaines, c'est pas la force relative entre pays qui compte sinon c'est bien la France qui aurait eu tout.
  7. Rafale Fighter Jets Will Emerge Victorious If A War Breaks Out In The Mediterranean Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Les avions de combat Rafale sortiront vainqueurs si une guerre éclate en Méditerranée : un expert russe Par EurAsian Times Desk Le 10 septembre 2020 Avec les avions de combat d'origine française Dassault Rafale dans l'arsenal de la Grèce, un analyste de défense et journaliste russe a déclaré que la victoire "penche" vers Athènes (Grèce) dans un combat de chiens avec la Turquie. Comme l'a rapporté EurAsian Times, dans un contexte d'escalade des tensions entre la Grèce et la Turquie, la France aurait décidé de soutenir Athènes en l'équipant de 18 avions de combat Dassault Rafale pour combattre ses voisins méditerranéens. Le contrat entre les gouvernements français et grec est à un stade avancé, qui verra l'armée de l'air hellénique ajouter un escadron entier de Rafale à sa flotte existante de Lockheed F-16 Fighting Falcons, de Dassault Mirage 2000 et de McDonnell-Douglas F-4 Phantom II. Selon Alexander Sitnikov, cité par le site d'information Pentapostagma, l'ajout de 18 jets Rafale français à la force existante de la Grèce, sera certainement une très mauvaise nouvelle pour le président turc Recep Tayyip Erdogan. "En effet, Ankara ne pourra imposer aucun de ses avantages défensifs contre Athènes, afin de décourager les Grecs de toute velléité de résistance", a-t-il ajouté. Les jets Rafale ont fait les gros titres en Inde lorsque New Delhi a reçu son premier lot en juillet et sont officiellement intronisés aujourd'hui (10 septembre 2020) . "Avec sa capacité de charge exceptionnelle et son système de mission avancé, le Rafale peut effectuer à la fois des frappes air-sol, ainsi que des attaques et des interceptions air-air au cours de la même sortie. Il est capable d'effectuer plusieurs actions en même temps, comme le tir de missiles air-air pendant une phase de pénétration à très basse altitude : une démonstration claire de la véritable capacité "Omni-Rôle" et de la survivabilité exceptionnelle du Rafale", selon Dassault Aviation. Le Rafale est un avion de combat biréacteur fabriqué par la société française Dassault Aviation. Les Rafale sont capables d'opérer à partir de bases terrestres et de porte-avions. D'autre part, le F16 turc, qui pourrait être utilisé contre la Grèce, est armé de missiles antinavires Pingouin, de bombes à fragmentation, de bombes antipiste, de missiles air-air à courte portée AIM-9 Sidewinder, de missiles air-air à moyenne portée AIM-120, de bombes guidées par GPS et de bombes conventionnelles, y compris des bombes nucléaires et un canon interne Vulcan de 20 mm. Les jets Rafale peuvent intégrer des missiles tels que les missiles air-air MICA, les missiles à longue portée SCALP, les bombes à guidage laser, les missiles antinavires AM39, le canon interne GIAT 30, les missiles air-air à longue portée METEOR et les armes à guidage de précision air-sol. "La bataille en Méditerranée orientale, dont le prix est constitué de plusieurs milliards de dollars de gisements de pétrole et de gaz, sera principalement menée par les avions de chasse et les navires de guerre des parties belligérantes. Néanmoins, de nombreux experts en défense sont convaincus que la victoire reviendra au pays qui obtiendra le premier la suprématie aérienne", a souligné le journaliste russe en comparant les Rafales aux F-16. Le rapport cite le journal turc Haber7 et affirme que la Turquie a déjà ordonné le transfert de réseaux de défense aérienne S-400 vers le sud-est de la Turquie (qui contrôlera la zone contestée), tandis qu'elle envisage d'acquérir plusieurs avions à réaction Su-35. L'auteur ajoute également qu'en raison des systèmes de défense aérienne russes S-400, les Turcs ont une certaine avance dans le contrôle de l'espace aérien de la Méditerranée orientale, mais pour obtenir un contrôle total, ils ont également besoin d'un nombre suffisant de systèmes S-400 russes, qui ne laisseront aucune chance aux avions Rafale de survivre au combat.
  8. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    General Atomics s'impose en Inde Le groupe américain menace désormais le premier marché export des drones israéliens 30 Guardian Fruit d’une location urgente en novembre 2020, les deux MQ-9B Sea Guardian de l’Indian Navy seraient bientôt rejoints par 30 systèmes supplémentaires. Ces nouveaux aéronefs seraient répartis équitablement entre les 3 armées (10 unités chacune). Cette décision du MoD indien intervient juste avant la visite du secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, qui viendra en voyage officiel à la fin du mois. Si ce contrat est confirmé par un premier "down payment", ce serait le premier achat conjoint impliquant les trois armées. Il s'agit là de l'une des conséquences de la création en décembre 2019 du poste de Chief of Defence Staff (CDS), occupé par le général Bipin Rawat. Vers une version armée Le coût estimé de ce contrat serait de 3 milliards de dollars, et les détails concernant les versions (Sea Guardian ou Sky Guardian) comme les options (munitions, charges utiles ..) n’ont pas encore été révélés. Cette décision intervient après l’échec des négociations d’octobre 2020 car l'Indian Navy ne souhaitait pas à l'époque d'armements sur ses futurs drones. General Atomics s'engagerait à livrer l'intégralité de la commande en moins de 3 ans. Environnement contesté Ce RPA (Remotely Piloted Aircraft) certifié au standard OTAN (stanag-4671) qui succède au Reaper, a fortement impressionné les militaires grâce à son autonomie (plus de 40 heures en fonction de la charge utile) et aux performances de ses capteurs embarqués. Tout d'abord déployés dans l’Océan Indien, les Sea Guardian auraient été déployés dans le Ladakh pour mener des opérations de reconnaissance contre l'armée chinoise. Mais surtout cette version navale du Guardian viendrait doper les capacités anti sous-marines de la marine indienne. Complémentaires des P-8 Poseidon, ils couvriraient ainsi des hippodromes de surveillance situés à des altitudes plus basses. La capacité des Guardian à opérer dans des conditions difficiles avec une empreinte logistique faible, a convaincu les militaires de se tourner vers General Atomics, au détriment des israéliens. Car jusqu'à présent l'Inde était le premier client export du drone Male concurrent d'IAI, le Héron.
  9. Motorisation militaire: Un casse-tête chinois Désormais en service actif, le WS-10B va profondément améliorer les capacités du "Dragon Vigoureux". Néanmoins, l'industrie chinoise devra résoudre le casse-tête concernant la motorisation du J-20. WS-10B Postée récemment sur le site d' une radio d'État chinoise, un cliché montre un J-10C opérationnel et motorisé pour la première fois par le WS-10B « Taihang » de conception locale mais dérivé du CFM-56. Si l’identification de l’appareil n’est pas permise du fait d’un floutage, il semblerait que ce J-10C appartienne à la 25th Air Brigade basé à Shantou/Waisha, qui dispose également du biplace d’entrainement J-10S. Le WS-10B se présente comme une version améliorée du WS-10 avec une poussée et une maniabilité accrues. Cette confirmation est donc une étape cruciale pour les motoristes chinois qui, depuis 2011 teste cette version sur le J-10 alors que le WS-10A équipe déjà les Shenyang J-11B et J-16. Priorité militaire Malgré des investissements conséquents, l’APL ne parvient pas encore à se doter d’une gamme moteur complète de conception nationale. Pour cela, elle a fait appel à la Russie avec son turboréacteur Saturn AL-31F FN/FN3/M2 qui équipe en grande partie ses J-10A/B/C/S, J-11A et J-20 mais le "turbofan" WS-15 se fait toujours attendre. Dans le transport stratégique, la PLAAF doit compter sur le Soloviev D-30KP-2 pour ses premiers Y-20 avant l’arrivée en service du WS-20. Dans l’optique d’une autonomie complète sur ce secteur stratégique, Pékin avait entrepris de racheter discrètement l’ukrainien Motor Sich pour bénéficier de sa technologie, mais cette tentative s'était heurtée aux pressions de Washington. Le casse-tête J-20 En essai sur les plateaux Himalayens au moins depuis 2016, le J-20 éprouverait de sérieuses difficultés à évoluer dans la haute altitude, pourtant possible terrain de conflit en cas d’affrontement avec l’Inde sur la LAC (Line of Actual Control). En effet, le chasseur de la Chengdu Aircraft Corporation (CAC) motorisé par le WS-15 afficherait des indicateurs de consommation excessifs par rapport aux AL-31F M2 Russes, réduisant fortement sa portée. Ce problème pouvant être résolu en augmentant les réserves de carburant, aux prix d’une diminution de la charge utile et de la maniabilité. De son côté, L’AL-31F M2 qui équipe les premiers lots de J-20 s’avère sous motorisé pour le combat en haute altitude, réduisant encore le champ des possibilités opérationnelles. Aussi Pékin expérimente le WS-10b3 à poussée vectorielle, présenté au salon de Zhuhai 2019 pour franchir le mur du son sans post-combustion.
  10. Picdelamirand-oil

    [Mirage F1] Refonte

    Crash d'un Mirage aux Etats-Unis Un Mirage F-1 s'est crashé après un exercice impliquant un F-22. Accident en Floride Un F-1B immatriculé N601AX s’est crashé le 25 février aux alentours de 11h30 sur la base de Tyndall qui héberge le 325th Wing, en charge de l'entraînement des équipages de F-22 Raptor. Ses pilotes, dont l’un s’est éjecté, sont actuellement à l’hôpital, ne souffrant que de légères blessures. L’accident s’est produit lors de l’atterrissage, et des rapports non confirmés indiquent que le train ne s’est pas déployé correctement, obligeant le chasseur à se poser sur le ventre à côté de la piste. F1 contre F22, F35 63 exemplaires ont été rachetés à l'Armée de l'Air par la société américaine ATAC (Airborne Tactical Advantage Company). Ce chasseur supersonique mis en service en 1973 sert désormais de «plastron » pour la formation des pilotes américains. Il est notamment déployé auprès des 43rd Fighter Squadron, qui est l’école du F-22 Raptor, et au 58rd Fighter Squadron, l’école du F-35A. le F-1 malgré son grand âge reste un adversaire à ne pas sous-estimer puisqu'il remplace progressivement les T-38 Talon dédiés à cette mission. Le boom des forces aériennes privées En octobre 2020, le Commandement du combat aérien (Air Combat Command) de l’US Air Force a accordé à sept compagnies un juteux contrat d’une valeur totale de 6,4 milliards de dollars afin de challenger ses pilotes au cours des cinq prochaines années. En dehors d'ATAC, les autres compagnies qui ont remporté le contrat sont Air USA, Blue Air Training, Coastal Defense, Draken International, Tactical Air Support (TacAir) et Top Aces. Les pilotes américains disposent désormais d’un large choix d'aéronefs à affronter, allant du Mig-21 au F-16, en passant par le F-5, le L-39, le Skyhawk, l' Alphajet ou encore le MB-339.
  11. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    La fusion de données?
  12. Picdelamirand-oil

    Achat suisse

    Maintenant j'ai peur de me faire dépasser.
  13. Picdelamirand-oil

    Achat suisse

    C'est déjà fait: le block 4 est déclaré nécessaire pour fermer la phase SDD le planning officiel dit que le block 4 sera terminé en 2026, mais ils viennent de dire que dans l'approche C2D2 ne prendre que 6 mois entre chaque itération était beaucoup trop court et que donc il fallait prendre 1 an. Donc la mise à jour du planning devra doubler le temps restant pour finir le développement c'est à dire passer de 26-21 = 5 ans à 10 ans ce qui nous met bien à 2031.
  14. Oui mais tu vois un ATL2 c'est la même catégorie qu'un Transall et c'est quand même assez différent. Un A 200 M serait plus que suffisant du point de vue catégorie. En tous cas ça aurait de la persistance sur zone.
  15. Ce sont les Indiens qui ont voulu un Mad à tout prix, je ne sais pas si il marche bien parce qu'ils ont mis au même endroit un radar pour avoir des détections à l'arrière de l'avion.
  16. Non tu fais le pistage du sous marin avec de l'acoustique passive, ça suffit pour "tenir" le contact, si tu veux faire une attaque à la torpille tu peux compléter ton dispositif avec plus de bouées passives en en employant des plus chères, ou utiliser des bouées acoustiques actives ou utiliser le MAD qui reste passif même si l'avion fait du bruit. Pour ce dernier cas tu vas faire des passes MAD autours de la position estimée grâce à l'acoustique, c'est donc seulement à ce moment que tu lancerais ton drone MAD.
  17. Le Mad sur avion est un engin très coûteux et assez lourd, vouloir le remplacer par un Mad jetable c'est comme comparer les performances d'une bouée acoustique avec celles d'un sonar de bateau. Cela veut dire que la précision et la sensibilité seront dégradées. Il suffira au sous marin de plonger à une certaine immersion pour ne pas être détecté. D'autre part l'utilisation courante du MAD c'est de larguer une torpille dès qu'il y a contact MAD, sinon la précision de localisation (qui se dégrade avec le temps) ne sert plus à rien assez vite. Pour une mise en œuvre comparable il faudra que le MPA soit proche du Drone ce qui le rend aussi vulnérable que si c'était lui qui portait le MAD. Si l'avion largue sa torpille à haute altitude, la précision de l'impact dans l'eau est dégradé d'à peu près H/10.
  18. Russie: Les mines anti-drones Conscient des dommages créés par les drones, ZALA présente une nouvelle solution C-UAS. Son efficacité fera l'objet d'une évaluation poussée dans les zones urbaines, principales utilisatrices des drones suicides. La BITD Russe se met en ordre de marche Face à la menace des "loitering munitions" (drones kamikazes), la Russie longtemps en retard dans le domaine de la lutte anti-drones vient de présenter une solution innovante conçue par la société ZALA. ZALA Aero Group est le premier fabricant de mini-drones en Russie, cette compagnie créée en 2005 par 5 jeunes entrepreneurs fut rachetée par Kalashnikov en 2015 et compte aujourd’hui plus de 270 personnes. La solution présentée il y a quelques jours, permettrait d’accompagner des unités autonomes spécialisées (artillerie, cavalerie, infanterie…) en ne rajoutant pas de poids supplémentaire aux unités engagées. Une solution qui viendrait compléter son gilet anti-drones présenté l'été dernier. Bulle de sécurité Cette solution s’appuie sur le drone kamikaze Lancet-3 guidé depuis le sol et doté d’une charge utile de 3 kilos. L’idée est simple, au lieu de les utiliser comme des drones ISR ou suicides, l’ajout de nouveaux capteurs embarqués couplés à des systèmes de détection au sol leurs permettraient d’effectuer des hippodromes de sécurité de 30 km en autonomie, et ce autour des unités alliées, pour pouvoir neutraliser toutes menaces aériennes en explosant à proximité. ZALA indiquant que chacun de ces nouveaux systèmes Lancet pourrait rester en vol plus d’une dizaine d’heures (?), avec une possibilité de reconditionnement rapide pour les lanceurs non-utilisés. La plus-value et l’efficacité de ce système s’appuieraient sur le nombre élevé de lanceurs en vol au même moment, et donc la densité de cet essaim. Aucunes informations concernant les systèmes de détection et les modes de guidage n’ont en revanche été révélées. Rattraper le retard dans la lutte anti-drones Cette montée en puissance rapide de la BITD Russe sur cette thématique fait suite aux conflits en Libye, en Syrie et au Haut-Karabagh où les systèmes anti-aériens ont pu facilement être pris en défaut par les drones tactiques armés et suicides, qu'ils soient turcs ou israéliens. D'ailleurs et symboliquement, la vidéo de présentation de ZALA montre la destruction en vol d’un drone Bayraktar TB2. Les Etats-Unis testent également l’usage de petits drones intercepteurs dans le cadre du programme GBAD (Ground-Based Air Defense).
×
×
  • Créer...