-
Compteur de contenus
616 -
Inscription
-
Dernière visite
Tout ce qui a été posté par Nicks
-
Qui sait, sans les critères de Maastricht...Et il me semble quand même qu'Aérospatiale avait un léger savoir faire dans le domaine des hélicos. En tout cas, j'eus largement préféré qu'on se lance dans des coopérations plutôt que de fusionner nos fleurons dans des entités tentaculaires qui diluent le savoir-faire et la souveraineté, pour un résultat qui n'est pas toujours à la hauteur.
-
Crise financière mondiale [info only]
Nicks a répondu à un(e) sujet de debonneguerre dans Economie et défense
Pas besoin d'être communiste pour aspirer à un meilleur partage des richesses. Certes l'humanisme le commande, mais il suffit d'avoir un peu de bon sens économique pour savoir que ce genre de déséquilibre n'est pas tenable. Malheureusement, la sagesse n'est pas une caractéristique première de l'humanité et encore moins de ceux qui ont le pouvoir (mais ceux qui le leur donnent ou leur laissent ne sont souvent pas en reste). Nous sommes en effet au seuil d'une nouvelle déflagration financière, qui ne sera qu'une secousse supplémentaire de la crise que connaît le monde depuis 2007 et qui n'a pas été résolue, faute de s'attaquer aux causes principales. Le souci, c'est que cette fois-ci, les Etats ne pourront pas renflouer la finance et que l'austérité ne peut-être poussée plus loin sans d'une part fragiliser encore davantage l'économie, d'autre part sans menacer la démocratie plus encore qu'elle ne l'est aujourd'hui. Une sortie par le haut est possible, mais la probabilité est très étroite... -
Guerre civile en Syrie
Nicks a répondu à un(e) sujet de maminowski dans Politique etrangère / Relations internationales
En effet, cela s'appelle de la collaboration avec l'ennemi et cela doit être jugé comme tel. -
[BREXIT]
Nicks a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est simplement faux sur le long terme. Les accidents de crise ne démentent pas la tendance lourde. Sur l'euro, j'ai bien précisé que n'y étant pas, cela donnait mécaniquement plus de marges aux pays cités. Enfin, un referendum est une modalité de consultation des citoyens qui ne préjuge pas de l'application du projet de politique, économique en l'occurrence. Faut-il rappeler le précédent de 2005 en France et tous les contournements divers et variés ? Pour finir, je ne vois absolument pas pourquoi on pourrait conclure de mes propos que les britanniques ne sont pas légitimes, simplement parce qu'ils n'ont pas la même conception de la communauté politique. J'en parlais à propos de la cohésion intérieure... -
Il est quand même assez facile de comprendre que le smic est un verrou, et pas pour la hausse des salaires, mais bien le contraire. Là où il n'y a pas de salaires minimum, les bas revenus pullulent, au moins dans les secteurs où les organisations de défenses des salariés ne peuvent pas s'implanter, dans les services notamment (Cf Allemagne) Qu'on aide les PME à se financer, à avoir des marges de négociations avec les donneurs d'ordre qui les étouffent, à ne pas supporter quasi-seules l'impôt sur les sociétés que contournent les multi-nationales ok, qu'on appauvrisse les plus pauvres, quitte à leur faire la charité ensuite, je ne vois pas trop l'intérêt financier, et économiquement, c'est très contre-productif à moyen terme. Le seul intérêt, c'est de pouvoir annoncer une baisse du chômage qui ne sera que statistique et pas économique.
-
[BREXIT]
Nicks a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
Précisément, c'est l'appartenance à l'euro et Maastricht qui scelle l'impossibilité de déroger à une certaine vision de politique économique. Les cas polonais et hongrois ne rentrent donc pas dans le champ que je décrivais. Ensuite, il faut se souvenir de la crise du début des années 2000 et précisément du choc qu'a subi l'Allemagne à ce moment. C'est donc déjà une conséquences des politiques néolibérales qui dans ce cas, comme en 2007 également, ne laissent d'autres choix que de passer outre temporairement le cadenas budgétaire, sauf à aller sonder les abysses. Encore faut-il ensuite que la planche à billets serve autre chose que la finance, ce qui n'a pas été le cas. Les "performances" de croissance ont été réalisées essentiellement par le dumping salarial et/ou fiscal, surtout en Grande-Bretagne (services et finance, bulles, inégalités, industrie sinistrée), renforcée par la spécificité du tissu industriel dans le cas de l'Allemagne. Mais ça n'a été possible précisément que parce que les autres ne l'ont pas fait à ce moment là et c'est un des facteurs qui ont ensuite abouti à la crise de la monnaie européenne, du fait des trop grands déséquilibres des balances commerciales. Par la suite l'austérité a bel et bien montré qu'elle était toxique. Je ne reviens pas sur les multiplicateurs budgétaires, basique pourtant ignoré par les orthodoxes, avec les résultat que l'on sait. On tourne en rond et les traités européens expliquent grandement pourquoi. Enfin, je sais que la laïcité à la française est une particularité et c'est sans doute ce à quoi je tiens le plus dans notre pays, avec également cette conception universaliste de la politique, qui fait que la communauté se définit essentiellement hors ethnie et religion, sur le projet politique. C'est le ciment de sa cohésion. Les anglo-saxons ne pratiquent pas de la même façon et je pense que le problème irlandais découle en partie de cette différence de conception. -
Ca veut dire que c'est un travail préliminaire avant de supprimer le salaire minimum. Ne pas l'indexer, c'est de toute façon le diminuer, mécaniquement. Le pivot de la réflexion sur le sujet de la compétitivité des entreprises, c'est le degré d'intervention sur le cadre économique. Soit on s'adapte à ce qu'il est aujourd'hui et l'aboutissement, c'est un salariat privé de droit et de salaire décent, par simple dynamique concurrentielle, soit on juge que la volatilité issue de la dérégulation financière et la course au dumping qu'elle a contribué à engendrer est intenable, ne serait-ce qu'à moyen terme, et on tente de redéfinir le cadre. Mais ne considérer les solutions que par le prisme de la flexibilité ou du "coût" du travail, c'est se priver de solution durable et renoncer au progrès social, dans une logique assez darwiniste de la société. On peut certes adhérer à cette vision, mais au moins, il faut l'assumer.
-
Le problème c'est que permettre de passer outre le smic aura une conséquence directe certaine, cela fera baisser le salaire moyen. C'est simplement une déflation salariale à l'Allemande, 20 ans après, dans un contexte encore assez déprimé, donc une mesure pro-cyclique, idéologique. Le problème des entreprises c'est avant tout d'avoir un carnet de commande et une visibilité. Là on leur permet juste de s'adapter à la course au dumping, qui est un suicide économique à moyen terme par épuisement de la demande (le crédit à outrance, on sait ce que ça donne, surtout quand c'est récupéré par la finance dérégulée : des bulles et des crises). Le seul effet qui peut être escompté et je pense que c'est celui qui est envisagé, c'est le transfert statistique des chômeurs vers le salariat pauvre, à l'image de ce qui se passe dans tous les pays qui ont adopté ces politiques.
-
USA - Criailleries 2 - Rumeurs, controverses, polémiques
Nicks a répondu à un(e) sujet de rogue0 dans Politique etrangère / Relations internationales
Pas besoin d'aller dans le particularisme. Le protestantisme s'est toujours bien accommodé avec l'enrichissement personnel. De son côté le catholicisme lui s'est fort bien marié avec l'hypocrisie (je professe un certain égalitarisme mais je ne m'oublie pas quand j'appartiens aux sphères supérieures). Mais malgré tout sur le plan culturel, il y des similitudes géographiques entre les aires d'extension du libéralisme et du protestantisme. -
[BREXIT]
Nicks a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
Je parlais de politique économique bien évidemment. A part le Portugal à la marge, mais avec un succès qui laisse augurer de belles possibilités, je ne vois pas trop d'exemple de politiques hétérodoxes qui seraient menées en ce moment. Et ce n'est pas une question de rapport de force politique actuel dans les différents pays européens, puisqu'à la fin des années 90 il y a eu une période où 13 pays sur 15 avait des gouvernements de "gauche" et que cela n'a rien changé. Pour cause, puisque les traités définissent les orientations économiques. Cela dit le Brexit ne s'est pas réellement joué sur ces questions, qui pour le coup épousent assez bien les conceptions libérales anglo-saxonnes. On en revient au mensonge qu'ont porté les formations pro-brexit à des fins de politiques intérieures... Par ailleurs, quand je parle de communauté politique, j'exclue pour ma part des conceptions ethniques ou religieuses qui pourraient en être exclusives. En effet, à ce moment là, cela débouche quasi systématiquement sur des violences sans issue. La situation irlandaise était un peu plus complexe et malgré tout témoignait des dysfonctionnement des systèmes politiques non universalistes et inégalitaires. Ceux-ci précisément finissent par focaliser l'opposition sur des critères d'appartenances que j'appellerai pour ma part extra-politiques. -
[BREXIT]
Nicks a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
Cela n'enlève rien au fait qu'une communauté politique qui s'estime comme telle, doit pouvoir décider réellement des politiques qu'elle veut mener. Celles-ci seront bien entendu contraintes par des contingences extérieures mais il n'en demeure pas moins qu'une diversité d'options sera possible. Ce n'est plus le cas au sein de l'Union sauf à la marge et à risquer l'ire de l'orthodoxie. Le principal problème du Brexit, ce n'est pas le Brexit en lui-même, c'est qu'il a été porté par opportunisme électoral en majorité et non sur un véritable projet réfléchi, que sa victoire s'est appuyée sur le mensonge (et ça aurait été le cas si l'autre camp l'avait remporté aussi) et que cela nuit forcément à sa mise en oeuvre et à la démocratie en général. -
La Corse
Nicks a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
L'opportunisme ne m'apparait pas être un véritable facteur de nouveauté surtout quand on applique une politique vieille de plus de trente ans et qu'on s'aperçoit en tant que député, pour les quelques ceux qui avaient vraiment cru au renouveau, qu'il n'y a rien à dire ou faire qui ne soit autre chose que de valider les volontés du patron. On peut cesser là en effet, puisqu'il n'y a rien à dire de plus. -
La Corse
Nicks a répondu à un(e) sujet de georgio dans Politique etrangère / Relations internationales
Il ne faut pas oublier, encore une fois, le poids de l'abstention, considérable. Comme en 2017 à l'échelle nationale, mais avec les spécificités corses, on assiste ici à un vote par défaut qui sanctionne avant tout des formations politiques sclérosées qui ont occupé l'espace depuis des décennies. En Marche, dont on sait bien qu'il n'a de renouvellement que ce que les naïfs veulent bien y voir, n'a pas fait illusion. Il manquait une véritable liste FI puisque les communistes ont encore une fois décidé de jouer les usurpateurs avec la calotte électorale prévue à la clé. Cela profite donc à des identitaires bien dans l'air du temps, qui peuvent incarner pour un petit quart de la population, une solution neuve qui ne devrait a priori engendrer que des problèmes à moyen terme, puisque le gouvernement se fout à peu près totalement de l'aménagement du territoire et des régions périphériques et qu'il n'y aura donc aucun projet de réponse en face. -
Allemagne
Nicks a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Et beaucoup, beaucoup plus en travailleurs pauvres. Les réformes Hartz et les Lois Travail de Macron /Hollande n'opèrent qu'un simple transfert d'une case statistique à une autre, relativement proche, mais qui sert pour la communication.. -
D'un autre côté, je répète que je n'y connais rien et que mes constations et réflexions sont celles d'un profane qui s'intéresse. En général, j'interviens pour susciter l'expertise des lieux
-
Le problème financier est avant tout politique. L'actualité paradisiaque montre que l'atonie budgétaire peut avoir certaines causes bien précises, qui sont elles-même des conséquences de décisions politiques. Cessons de croire que l'austérité est une punition divine incontournable. La France seule n'aura jamais les moyens des Etats-Unis, mais elle peut encore mener un projet en solo si la volonté politique suit. En revanche, elle ne le pourra plus technologiquement si on laisse mourir ou s'échapper des savoirs-faire stratégiques, comme c'est la mode en ce moment. Quant à Airbus, c'est désormais une multinationale qui échappe de plus en plus au contrôle de l'Etat français, c'est en cela que je trouverai cela dangereux de lui confier la conception de notre prochain avion de combat. Et c'est aussi pour cela que je suis opposé à ce projet d'appareil franco-allemand dans le contexte politique actuel parce que selon toute probabilité, c'est Airbus qui sera choisi si on souhaite que l'Allemagne participe, et Dassault sera sacrifié à cette aune en même temps que la capacité de la France à produire un avion militaire seule.
-
Ce n'est pas ce que j'ai dit. Le F 22 m'apparaît plus crédible parce que ses capacités furtives ne mangent pas la possibilité qu'il vole bien, ce qui revient à ne pas présumer du degré d'avantage que procure la furtivité et de la possibilité de l'adversaire de faire aussi bien ou de la contrer en faisant différemment. Or le problème du F 35, c'est que sur le papier il n'a peut-être pas besoin d'être très manoeuvrant pour s'en sortir tranquillement, mais que la somme de ses capacités semble pour le moment être plus un problème qu'un avantage en en faisant plutôt un avion virtuel que furtif. A ce degré là, il va effectivement être difficile à abattre puisque jamais en l'air ou alors, sa mise en oeuvre opérationnelle va être tellement retardée que le fameux compromis se verra peut-être annihilé par la mise au niveau technologique des concurrents, qui d'ailleurs ne sont peut-être pas si largués que cela. A ce titre là, qu'est ce qui fera la différence si la supériorité déclarée n'est pas au rendez-vous ? Mais encore une fois, que sait-on vraiment des performances du système d'arme du F 35 en pratique ? Les rumeurs sur des récentes sorties impressionnantes en BVR récentes sont-elles avérées ? @Dany40 Sur les videos d'évolution du F 35, j'ai cru constater une tendance à l'instabilité avec de méchantes corrections des commandes de vol après des manoeuvres serrées, ce qui tendrait à montrer qu'il est vraiment sur la crête de ses possibilités lors de ces shows. On a des retours sur sa facilité de pilotage ?
-
Sur l'idée que la France ne serait pas capable de mener aujourd'hui un projet de remplacement du Rafale seule, c'est évidemment technologiquement et financièrement faux. En revanche, politiquement, là c'est vrai. Et cette question politique va déterminer l'impossibilité technique et financière de le faire demain. Si nous mettons le doigt dans cet engrenage, c'en est fini de notre industrie aéronautique nationale à moyen terme. Le cas Airbus devrait être éclairant pour tout le monde...
-
Ce que j'ai pu lire des essais en cours du F 35 tendent à montrer qu'il a des lacunes réelles dans le combat à vue. Alors ok, tout est fait pour l'éviter je l'entends bien, mais le choix du système d'arme et sa conception, son effectivité réelle, sont-elles suffisantes au travers des connaissances que nous avons aujourd'hui pour dire que le choix de la furtivité au détriment des capacités dynamiques de l'avion, est le bon ? Encore une fois, même en partant du fait éventuel que les américains se sont un peu loupés, cela est compensé par le F 22. Mais il n'est pas disponible pour les autres forces aériennes. Dans les projets 5g voire 6g, y a t'il d'autres exemples de vecteurs qui aient ce profil ?
-
C'est plutôt la maniabilité que j'évoque et j'exagère un chouïa bien entendu. La question que je pose est simplement celle-ci : est ce que le F 35 dispose d'un système d'arme qui lui assure un avantage tel que cela dispense la possibilité de survie en combat rapproché.
-
La prospective n'est pas de la rhétorique, mais de la théorie à la limite. Le cas de figure que j'évoque , c'est la possibilité d'annuler l'avantage de la furtivité et je pense que c'est une voie qui est abordée par tous. On peut très bien envisager que le F 35 voie très bien sa cible bien longtemps avant son adversaire mais qu'il lui soit impossible de traduire en avantage réel cette situation. Ca ne signifie donc pas qu'il faille l'équivalent du F 35 pour que le cas de figure que j'évoque soit possible. Hors, pour le moment, le F 35 est un bel objet marketing qui ne fonctionne pas très bien au moment où on parle semble t'il. Par ailleurs, personne ne dit que le F 35 est plus proche d'un F 15 que d'un F 16, mais plutôt d'un A 7 furtif...
-
Attention, j'ai toujours posé mes propos dans le cadre d'un conflit symétrique dont le déroulement, par essence, aurait sans doute une tournure plus équilibrée. Un F35 qui n'aura pas pu locker son adversaire et qui le croisera fera sans doute transpirer son pilote un peu plus que sur un F16 non ? Après encore une fois, je n'y connais rien en guerre électronique et l'avance des américains est peut-être gigantesque. Mais si ce n'est pas le cas, ça mérite réflexion.
-
Certes non, mais il ne mettait pas tous ses oeufs dans le même panier. Il semble tout de même que si, pour une raison peut-être pas la plus probable, le F35 est obligé de s'engager dans un combat courte portée, il y a des chances que les pilotes regrettent le F16. Après, bien malin qui peut aujourd'hui connaître le potentiel réel de la blatte de LM. Le problème c'est que l'avion n'est toujours pas vraiment opérationnel et que c'est ce fameux "potentiel" qui semble en être la cause... @KnewEdge Je ne vais pas rentrer dans ces considérations d'histoire de la géopolitique, parce que c'est hors-sujet et qu'on pourrait aussi bien remonter à Napoléon sur l'unification de l'Europe. Mais le F35 est bien une machine qui en effet permet une sorte de finalisation d'une vassalité. Mais le choix existait bien. Il n'y a jamais de fatalité, simplement des choix politiques. L'ironie de l'histoire, c'est que c'est sans doute au moment où il serait plus que sage de commencer à prendre quelque distance avec les Etats-Unis de façon générale. Plus particulièrement, c'est un pari risqué de se porter sur le F35, qui est loin pour le moment, d'assurer la garantie opérationnelle que pouvait apporter un F15 ou le F22 (avec des limites pour ce dernier, du fait de son coût et de sa difficulté d'exploitation, bien que ses qualités fassent a priori l'unanimité) pour la supériorité aérienne, ou le F16 dans une optique de polyvalence tactique.
-
Il me semble qu'il y a une nuance entre ne pas pouvoir faire tout ce que l'on veut seul, et ne rien pouvoir faire seul. Mais si le F35 est une machine invulnérable en air-air, du moins quasiment imbattable, alors ce que je dis tombe à l'eau.