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Tout ce qui a été posté par TarpTent

  1. SN15 vient d’être juché sur le Suborbital Pad B. La plateforme qui l’a amené de son aire d’atterrissage jusqu’au launch pad est elle déjà repartie par la route, direction le site de production.
  2. TarpTent

    Le F-35

    Commander des fonctionnalités avancées ne pouvant être mises en oeuvre que grâce à la puissance promise par des technologies hardwares non encore opérationnelles, voire même pas encore développées, puis s’étonner de prendre un retard considérable en devant débourser des fortunes pour essayer de maintenir le Programme à flots. Qu’ils continuent de boire le calice…
  3. TarpTent

    Achat suisse

    Ou alors on définit un minimum technique, puis on tranche sur des critères politiques sur tous les appareils qui sont au-dessus de ce minimum. Et là, le processus de choix n’a rien de débile, bien au contraire. Certes la fois précédente, Uli Neuer a réussi à retenir le seul qui ne passait pas le cap, d’où le scandale, mais ici, on ne repart manifestement pas sur les mêmes bases. Donc si à la fin le choix est politique entre ceux qui répondent aux besoins opérationnels, sans pour autant que ce soit le tout meilleur du groupe qui sera retenu, ça n’aura rien de choquant ni d’infamant. En clair, on arrête de réfléchir en noir et blanc et de confondre idéologie et pragmatisme, et l’on admet que pour un dirigeant, un choix se fait heureusement sur des bases plus larges que les simples critères techniques d’un outil.
  4. 2 petits zooms en bonus : - Photo un peu insolite de la future grue géante « Kong » en cours d’assemblage et qui servira à monter les prochains segments de la tour OLIT - avec 2 travailleurs pour les proportions - : - Une nouvelle barge de récupération en mer, ou droneship, est en cours de transformation. Elle s’appellera "A Shortfall of Gravitas", ou aSoG, un nom encore une fois tiré du recueil de nouvelles ”Culture” de Ian Banks : SpaceX prévoyait d’y faire s’y poser les 2 boosters de Falcon Heavy en tandem, à l’époque. Nous verrons lors des prochains tirs de Falcon Heavy si c’est toujours d’actualité.
  5. Si des fois vous manquiez de news concernant SpaceX… SpaceX commence à travailler sur son démonstrateur de ravitaillement en orbite, pour le compte de la Nasa. «En octobre 2020, la NASA a accordé à 15 entreprises différentes plus de 370 millions de dollars pour des projets de recherche et de développement liés à la gestion des propergols cryogéniques dans l'espace, aux opérations sur la surface lunaire et à la technologie d'atterrissage autonome. Plus des deux tiers de ce financement ont été consacrés à quatre démonstrations réelles de gestion et de stockage de propergol cryogénique dans l'espace, réalisées par Lockheed Martin, United Launch Alliance (ULA), SpaceX et la jeune entreprise peu connue Eta Space.» Dans ce cadre, SpaceX est récipiendaire d’un prix de 50m$ pour développer et démontrer le ravitaillement dans l’espace d’ici fin 2022, dont 15m$ viennent de lui être versés. Et pour le coup, il ne s’agit pas d’un petit démonstrateur, puisque l’objectif est une "démonstration en vol à grande échelle pour transférer 10 tonnes d'oxygène liquide entre les réservoirs d'un vaisseau spatial." (Pour le moment, pas de précision si le transfert doit être réalisé entre 2 vaisseaux ou bien au sein d’un seul Starship spécialement aménagé pour, mais la démonstration restera de taille significative) C’est vrai que ça manquait un peu de challenges en ce moment, chez SpaceX.
  6. C’est demain vendredi 14 mai !
  7. Via une demande d’autorisation de transmissions réalisée auprès de la FCC ce jeudi 13 mai, des détails du 1er vol orbital qui doit être mené courant juillet grâce au couple BN3 / SN20 sont maintenant disponibles : "Le vol d'essai orbital du vaisseau spatial partira de la base Starbase du Texas. L'étage d'accélération se séparera environ 170 secondes après le début du vol. Le Booster effectuera ensuite un retour partiel et atterrira dans le Golfe du Mexique à environ 20 miles de la côte. L'Orbital Starship continuera à voler entre les détroits de Floride. Il atteindra son orbite avant d'effectuer un atterrissage motorisé ciblé à environ 100 km (~62 miles) au large de la côte nord-ouest de Kauai lors d'un atterrissage en douceur dans l'océan." En clair : - Après 170 secondes de poussée, séparation de BN3 et de SN20 - BN3 est attendu pour se poser (« Booster touchdown ») quelque part au milieu du Golfe du Mexique => procédure strictement identique à celle d’un Falcon 9 lorsqu’il revient atterrir sur barge. - SN20, pour maximiser sa poussée et le succès de sa mise en orbite puis de sa désorbitation avec rentrée dans l’atmosphère, ne fera pas de tentative d’atterrissage, sur terre ou sur barge => il amerrira (« ship splashdown ») - l’histoire ne dit pas s’il l’atteindra en belly flop ou bien s’il réalisera une bascule juste avant de toucher l’eau - .
  8. La bombe du jour, c’est le Washington Post qui la lâche : Où l’on apprend donc que SpaceX a présenté dans le cadre du contrat HLS une offre de presque 3 M$ contre 6M$ pour Jeff Bezos et sa proposition perdante coordonnée sous drapeau Blue Origin (avec demande d’avance de fonds en prime, ce qui était éliminatoire)…. et qu’une sénatrice fait tout pour que Blue Origin gratte une partie de ce même contrat HLS, en proposant de rajouter 10M$ de budget supplémentaire pour soutenir ce projet de la Nasa. Après, ça peut aussi bien être considéré comme un soutien à peine déguisé à l’industrie aérospatiale américaine face à un concurrent chinois en pleine bourre. Le fait de maintenir des concurrents nationaux forts n’est pas forcément une mauvaise chose, et c’est en partie l’argumentaire développé pour Bezos qui s’était associé à Lockheed Martin, Northrop Grumman et Draper pour répondre à cet appel d’offre dans le cadre du Programme Artemis. (et ça éviterait les c***ries façon Pentagone, même si LM en est un grand spécialiste).
  9. Pour s’y retrouver, le bâtiment gris et plat visible en arrière-plan à gauche de la tente sur la photo de gauche se trouve sur la photo de droite derrière la midbay et à gauche de la highbay… - - - - - Le simulateur de pression MaxQ a été ramené au site de production*, tandis que SN15 a été sécurisé et est en attente d’être positionné sur le Suborbital Pad B. * je vais adopter la terminologie des gars du coin : "Site de production" ("Build Site") pour l’ensemble de la zone adossée au village de Boca Chica, et "Site de lancement" ("Launch Site") pour l’aire de lancement et d’atterrissage. Ça sera plus simple. - - - - - Couleurs du matin sur le site de lancement : À gauche, Tankzilla prêt a soulever SN15 pour le positionner sur le Suborbital Pad B visible devant à droite du SN. A centre à gauche en arrière-plan, les 2 réservoirs GS1 et GS2 qui seront bientôt rejoints par un autre compère (il y en aura 6 au total). Au centre en avant-plan, la grue rouge qui sert à assembler « Kong », la nouvelle grue géante visible à droite et qui servira a assembler OTIL et assurer les opérations de manipulation (mise en place de BN2 puis SN3 / BN3). - - - - - Il y a 4 ans, E. Musk envisageait initialement un premier vol vers Mars en 2022… c’était avant qu’il ne décide de redesigner totalement Starship en acier et en lance la production. Désormais, il envisage plutôt de profiter du créneau suivant en octobre 2024 pour se faire : Le contrat gagné auprès de la Nasa pour l’adaptation de sa solution au transport de fret et de personnes vers la Lune s’intercale sans aucun doute à présent dans ce calendrier, qui lui permettra de développer tout l’intérieur du Starship avec ses ascenseurs de chargement / déchargement rapides. Un autre point important des premiers vols vers la Lune sera la définition des solutions technologiques pour garder le carburant à température extrêmement basse : pour le moment, le vol dure suffisamment peu de temps pour qu’il n’y ait pas de variation significative. Lors d’un vol de 5 ou 10 jours autour de la Lune, la question pourrait devenir moins triviale. Mars devrait ajouter son lot de défis sur le sujet à la suite.
  10. Comme le chantait Brassens « Ne jetez pas la pierre à la femme adultère, je suis derriè-re» (À l’ombre des maris) (encore une chanson de Brassens avec des paroles extraordinaires)
  11. Le prochain gros défi technique semble être le ravitaillement en orbite, qui sera tout sauf « simple ». D’ici là, les plus gros points techniques ont en réalité déjà été résolus, il s’agissait essentiellement de mettre au point un moteur Raptor à flux complet, une carburation méthane LoX et gérer l’atterrissage (Falcon 9 comme Starship). Èvidemment qu’il y a d’autres défis, mais ceux qui restent à relever à « court » terme ne sont pas absolument insurmontables : pour l’atterrissage sur la Lune (et sur Mars), SpaceX va bénéficier de toute la science de la Nasa en la matière : Il n’y aura donc pas de surprises, les manœuvres pourront largement être simulées avant. Un pépin technique est bien évidemment possible lors de chacune des phases, mais dans la durée, cela ne sera pas insoluble. Au-delà de cette échelle de temps « court » terme, toutes les incertitudes liées au redécollage, à la production de carburant sur place et bien évidemment la conception d’espaces-vie sont encore loin dans le futur.
  12. … … … Starship SN15 vient d’être amené à proximité du Sub-Orbital Launch Pad B, et Tankzilla s’apprête à le hisser dessus… Ce qui est quand même fou, c’est de se dire qu’à moins d’une catastrophe - effondrement de l’entreprise ou décès d’E. Musk, le programme Starship ne va pas cesser de progresser, que ce soit vers du transport terrestre, la Lune ou vers Mars, en fret comme pour les passagers voire en ravitaillement, et que seul aujourd’hui E. Musk a une telle vision de progression et d’effort continus pour développer sa solution sur les 25 prochaines années, sachant qu’il ne s’arrêtera pas là en plus. Aucun État ni aucune autre société n’a aujourd’hui une telle projection dans le futur quant au développement de ses programmes de transports aérospatiaux.
  13. Il y a quand même une hypothèse que je n’ai pas exploré : celle où SN15 attend patiemment qu’on lui ramène des pieds neufs avant d’être repositionnée sur son pas de tir. Je serais bien incapable d’évaluer le pourcentage de crédibilité de celle-ci, mais la possibilité demeure néanmoins. Parce qu’après tout, s’ils sont très confiants quant à la solidité de leur châssis, le contrôle des Raptor peut lui être effectué directement sur le pas de tir (où ils peuvent tout aussi bien être retirés aisément).
  14. Le survol réalisé par RGV Aerial photography entre autres me semble confirmer la démarche suivante : - sortie prochaine du SN16 pour le positionner sur son pas de tir - rapatriement du SN15 en highbay Pourquoi cette analyse : - SN16 a été bougé au sein de la highbay pour finaliser les préparatifs et le rendre apte à être amené sur le pas de tir - des fermetures temporaires de la route ont été émises hier pour aujourd’hui, ce qui indique au moins un transport spécial - SN15, bien que monté sur remorque pour être déplacé, n’a pas quitté l’aire d’atterrissage -> la place est laissée pour que le convoi SN16 puisse passer, il n’y a pas de volonté de positionner SN15 directement sur un pas de tir (il y serait déjà sinon, les grues étant sur place) et SpaceX attend que la highbay soit libérée pour ramener SN15. Par ailleurs, le simulateur de pression à MaxQ est indiqué comme devant être ramené très bientôt au centre de production. Donc normalement entre aujourd’hui et demain, ça devrait être journée(s) swap(s).
  15. < s’installe avec du popcorn pour voir jusqu’où ce HS avec appels du pied manifestes à le prolonger va aller. >
  16. E. Musk continue ses délires de Geek :
  17. Il y a beaucoup de rumeurs autour de cet hypothétique second vol, et la réalité est que personne n’en sait rien aujourd’hui puisqu’il s’agit à la source d’un papier de NasaSpaceFlight commentant différentes options... en l’absence de toute communication officielle de SpaceX. SpaceX a par contre tendance à s’adapter aux événements, donc tant qu’une visite complète des Raptor n’aura pas été réalisée, on n’aura pas plus de précision. Le revol n’aurait quasiment d’intérêt en soi que pour les Raptor, et peut-être un second test des éléments de protection : question d’opportunité, mais pas l’essentiel préalablement au vol en orbite du SN20, sauf à vouloir éprouver un peu plus les tuiles de protection (j’y reviens juste en dessous) Par ailleurs, on ne connait pas non plus le résultat des tests du simulateur de pression sur le nez pour sa résistance à MaxQ : de là à considérer que SN16 fera un vol à 20 kms, il y a de la marge même si ça semblerait l’essai le plus intéressant à mener dans l’absolu. En effet, autant refaire un vol à 10 kms pour les tuiles n’apporterait pas plus d’informations sur leur résistance à l’échauffement prolongé, autant un belly flop lors d’un vol à 20 kms serait sans aucun doute plus riche d’enseignements. Pour SN17, il est déjà bien avancé à ce stade en midbay : le supprimer ne gagnerait pas forcément grand chose industriellement parlant, si ce n’est d’économiser les 3 Raptor. il pourrait dans l’absolu laisser sa place à un revol de SN15 avant le vol orbital du SN20. Cela permettrait aussi à SpaceX de se focaliser sur le booster BN2. Mais est-ce la meilleure option ? Mon sentiment, mais je ne suis pas dans leur tête : - je prevoirais un vol de SN16 à 20 kms d’altitude (ce qui nécessiterait peut-être de le recouvrir de plus de tuiles qu’actuellement ? ) - après visite concluante, j’envisagerais un revol de SN15 afin : > de réaliser un 1er test grandeur nature de la réutilisabilité des Raptor > d’économiser la fabrication du SN17 si en parallèle le vol du SN16 à 20 kms est ultra-concluant, ou de dimensionner directement ce dernier pour un second test à 20 kms d’altitude. Dans tous les cas, il resterait en stand-by en midbay en attendant de décider de son sort > prioriser la fabrication du BN2 en attendant - je conserverais sous le coude les 3 Raptor alloués à SN17 pour éventuellement les reporter sur BN2, en attendant les résultats du vol du SN16 Quant à la question de l’atterrissage sur 1 réacteur après sortie du Belly Flop avec 3, cette configuration avait été annoncée par le commentateur avant l’atterrissage du SN15, et n’a pas été suivie des faits. Concrètement, il se dit que ( façon « on s’autorise à penser dans les milieux autorisés » ): « Aucune raison officielle n'a été fournie [sur le fait que le SN15 a finalement atterri sur 2 moteurs], bien que l'ordinateur de vol du Starship dispose de l'option permettant de modifier la séquence d'allumage des moteurs. En outre, il a été suggéré qu'un moteur a pu avoir un problème pendant l'ascension, ce qui a conduit le SN15 à ne pas sélectionner ce moteur pour le rallumage avant l'atterrissage. […] Elon Musk, avait précédemment fait référence à la possibilité d’un processus de sélection basé sur des options*, notamment pour une question de redondance. Par exemple, Starship peut rallumer les trois moteurs, puis désélectionner immédiatement le moteur ayant le moins de bras de levier afin de s'assurer que la manœuvre est terminée.»
  18. Selon un rapport sénatorial publié en novembre 2020, « le premier étage neuf coûte environ 18 millions de dollars, ce qui représente environ 40 % du coût total d’un lancement de Falcon 9. Avec un coût de remise en état de l’ordre d’un million de dollars et une dizaine de réutilisations, le coût moyen d’un premier étage qui serait utilisé dix fois serait de 2,8 millions de dollars, soit un coût de lancement de 29 millions de dollars et donc une économie de 34 % ».
  19. Ça ne parait pas différent de la 1er saison, ça. Une des raisons pour lesquelles je ne suis pas allé loin dans celle-ci, le manichéisme crasseux sans la moindre once de subtilité réussissant toujours à m’user prématurément.
  20. Les 10ième vol et retour de B1051 se sont donc déroulés de façon nominale, et les satellites Starlink ont été déployés sans heurt. Le bloc-5 actuel de Falcon9 était prévu pour réaliser 10 vols sans grosse maintenance. La B1051 leur permettra donc concrètement de constater si cette réutilisabilité peut être poussée au-delà de 10 vols sans intervention lourde, ou bien si c’est là une limite à ne pas dépasser. On a donc à date pour les Bloc-5 encore en activité : - B1051 : 10 vols - B1049 : 9 vols - B1058 : 7 vols, 8ième programmé le 15 mai 2021 - B1060 : 7 vols - B1052, B1053 et B1061* : 2 vols - B1062 : 1 vol, second vol programmé le 17 juin 2021 - B1063 : 1 vol - B1064 à B1067 : nouveaux Falcon9, vols planifiés entre juin et juillet 2021 *celle des 2 1ers lancements Crew Dragon habitée 115 tirs au total pour SpaceX, 61 vols pour le bloc 5 de la Falcon 9 dont 51 réalisés avec un premier étage ayant précédemment volé (1er vol d’une Bloc-5 en mai 2018). SpaceX en vient quand même à banaliser ce qui il y a 5 ans encore semblait utopique. D’après vous, combien coûte aujourd’hui réellement un vol avec une Falcon9 réutilisée pour envoyer des satellites Starlink, sachant qu’ils sont envoyés par grappe de 60 en prime ? La même démarche avec des lanceurs au tarif de 2010 et la constellation n’avait économiquement aucune chance de voir le jour.
  21. Petit point OLIT du jour, cette tour étant indispensable pour les essais du booster BN2 mais surtout pour le couple BN3 / SN20 espéré début juillet : Le 1er segment a été assemblé directement sur les fondations en béton. La tour en comprendra 6 de plus au final. Or 2 segments sont d’ores et déjà complètement assemblés à l’usine de production de Boca Chica, et il aura fallu 1 semaine aux équipes SpaceX pour réaliser l’opération. La 3ième grue géante, surnommée Kong (après Tankzilla et Bluto), est en cours d’assemblage près d’OLIT pour pouvoir les mettre en place. Si les essais et vols n’interrompent* pas l’assemblage d’OLIT, avec 6 segments qui seraient disponibles sous 4 semaines, il pourraient ensuite être empilés comme des legos. * à chaque remplissage de réservoir, tir statique ou vol, la grue est retirée, et les personnels doivent avoir quitté la zone en moyenne 4 heures avant, pour n’y revenir qu’après l’essai effectué (avec l’atterrissage réussi du SN15, la zone n’a été réouverte que 3h après). Bref, pas beaucoup de temps laissé à OLIT pour se monter, de fait.
  22. TarpTent

    Achat suisse

    Visiblement oui.
  23. Tu veux dire que Dassault a exprimé son amertume et son ressentiment ? Qu’il s’est montré sardonique, tout en étant parfaitement conscient du système au sein duquel il évoluait ? Parce qu’en psychiatrie, le passif-agressif exprime son opposition par procrastination, démotivation ou inefficacité volontaire. Ça n’a rien à voir avec de la colère froide ou les personnalités toxiques. L’expression américaine reprise partout actuellement n’a aucun sens (comme le terme "versatile", mais j’ai bien compris que c’était un combat perdu d’avance), même si c’est à la mode et que tous les jeunes l’emploient à tort et à travers.
  24. 1 - aucun véhicule à ce jour ne réalise ce genre de vol, et les engins « civils » à ramjet type Skylon sont encore moins avancés en développement que SpaceX avec son Starship 2 - Le Raptor brûle du Méthane et de l’Oxygène liquide, pas du kérosène, il est à flux complet (le premier au monde) et utilise la technologie additive pour pas mal de ses pièces, et la carlingue du Starship tout comme ses réservoirs sont en acier, l’ensemble se voulant entièrement réutilisable. Ça pourrait en défriser certains 3 - si militairement déjà ça s’avère avoir du sens - et ça en aura, aussi bien pour les US que pour la Chine -, ledit bilan carbone sera le cadet des soucis desdits exploitants. Ah si par contre, ça embarque aujourd’hui une batterie Tesla Lithium-ion qui pollue à produire et qu’on ne sait pas recycler : erf, arrêtez tout ! Bref, le bilan carbone, on en a aucune idée, et ça n’est pas et ça ne sera pas le sujet de sitôt.
  25. Petite photo pour mieux voir les tuiles toujours en place et celles cassées voire parties.
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