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CONTRE PROPOSITION EUROPENNE sur les ressources minérales ukraniennes !!! On a définitivement changé de monde. L'UE va sur les plates-bandes US. SI les US veulent les ressources ils vont devoir contribuer . Mais c'est pas dans leur stratégie, mais çà n'est pas dans la stratégie trumpienne de repartir la besace vide. Donc nouveau round avec l'UE dans le coup cette fois-ci. https://uatv.ua/en/eu-offers-ukraine-its-own-agreement-on-critical-materials-eu-commissioner/ 'UE offre à l'Ukraine son accord sur les matériaux critiques – Commissaire européen Le commissaire européen chargé de la stratégie industrielle, M. Stéphane Séjourné, a déclaré que lors de sa visite à Kiev aux côtés de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, il avait proposé un accord mutuellement bénéfique sur les minerais critiques de l'Ukraine aux responsables ukrainiens. Comme l'a indiqué l'AFP, Séjourné a fait cette déclaration lundi. Les vastes richesses minières de l’Ukraine, dont le manganèse, le titane, le graphite et le lithium, sont devenues un point central d’intenses négociations entre Kiev et Washington. États-Unis Le président Donald Trump insiste sur le fait que les États-Unis méritent un « retour sur leur argent » pour avoir aidé l’Ukraine à se défendre contre l’invasion de la Russie. Séjourné a déclaré qu'au cours de sa visite, il avait offert aux responsables ukrainiens un autre accord potentiel. « L’Ukraine peut fournir 21 des 30 matériaux critiques dont l’Europe a besoin dans le cadre d’un partenariat mutuellement bénéfique », a déclaré Séjourné à l’issue d’une réunion marquant le troisième anniversaire de l’invasion totale de la Russie. «La valeur ajoutée que l’Europe apporte est que nous n’exigerons jamais un accord qui ne soit pas mutuellement bénéfique», a-t-il ajouté. Lundi, Donald Trump a annoncé qu’il était prêt à rencontrer Volodymyr zelenskyy « ceci ou la semaine prochaine » à la Maison Blanche pour signer un accord sur les ressources minérales. Plus tôt dans la journée, le vice-premier ministre Olha Stefanishyna a confirmé que les équipes ukrainiennes et américaines étaient dans la phase finale des négociations sur un accord concernant les ressources minérales de l'Ukraine. Dimanche, lors d'une conférence de presse, le président zelenskyy a déclaré que tout accord avec les États-Unis sur l'utilisation des ressources naturelles de l'Ukraine doit inclure des garanties de sécurité claires de la part de Washington.

@gianks C'est quand le dernier achat important de l'Italie à la France ? A l'inverse nous on a 4 BRF ultra nécessaires en commande chez vous. Vous tenez le déploiement du GAN et des Mistrals dans vos mains. Tu vois on sait faire des concessions sur notre souveraineté parce qu'on a toujours considéré que le sort de l'Italie et de la France était lié. Evidemment comme on est prudent par nature on a gardé une parti de nos capacité industriels, particulièrement celles importantes pour la dissuasion. Vous vous avez confié votre aviation aux US. Mais comme les US peuvent avoir des objectifs stratégique très différents de l'Italie forcément çà a fini par coincer.

Macron et le DGA ont dit qu'il fallait innover et accélérer. Je ne vois pas pourquoi un industriel ne se positionnerait pas et laisserait passer des milliards. Je pense donc que la dualité est déjà dans les tablettes industrielles. Quand aux procédures de la DGA. Elles sont faites pour maintenir les coûts au plus bas et éviter les dérives des programmes particulièrement sur les plans financiers et planning. Si les industriels arrivent avec des solutions clef en main vers la DGA une bonne parti du dérisquage est déjà fait. Il reste alors l'intégration dans les forces. La DGA n'a plus qu'à s'assurer que l'industriel a les capacité de production. A l'inverse de toi je pense que la DGA est une vrai force pour maintenir la cohérence capacitaire et pour assurer la fluidité entre les forces et les industriels.

Une ligne Maginot ?

ET les incorporation/formation sous off et officier subalterne

Via lefigaro : https://www.latribune.fr/economie/international/ce-qu-il-faut-retenir-de-la-rencontre-entre-trump-et-macron-1019139.html (..) La TVA [de 20 % en France, NDLR] n'est pas un droit de douane », a notamment souligné Emmanuel Macron. « Ce n'est vraiment pas le moment d'augmenter les droits de douane. Pourquoi ? Parce que l'urgence, c'est d'augmenter nos dépenses en matière de défense et de sécurité. Comment voulez-vous qu'on le fasse si on est en guerre commerciale ? (..) Vladimir Poutine a renchéri en affirmant que des entreprises américaines et russes étaient déjà en contact, suggérant des investissements américains dans les territoires occupés d'Ukraine. (..) Version pessimiste et si la guerre commerciale était là pour soutenir Poutine ?

La signature d'un accord entre les iles cooks et la Chine plonge l'Australie dans l'effroi :

Pour l'instant tous le monde semble tirer dans le même sens voir avec la même volonté. C'est assez nouveau comme attitude. Comme d'autres distracteurs ne sont plus dans leur champs de vision on peut penser que cette coordination va un peu durer. Quand les choses vont se tasser je dis pas.

Il y a en a deux : la verrière dont je parle depuis quelques mois et le module chaud du F135. Tous les deux s'usent rapidement, sont long a fabriquer, demandent des compétences et des usinages très pointus et forment donc un goulot d'étranglement. Et aucun n'est fabriqué hors des US.

Je pense maintenant qu'on peut rajouter que Macron veut montrer que l'Europe est là et en particulier qu'elle a un leadership fort et avec Stamer et maintenant Mertz que le leadership peut tenu par des nations fortes capables de se coordonner. Quant à l'industrie ... L'Ukraine a fait installer chez elle des capacités de production de plein de choses et çà a pris ... quelques mois. On ne serait pas capable de faire pareil ? Certe produire en quantité des eurocanards c'est long mais Dassault est déjà presque en capacité de faire du 3/mois voir plus (on avait parlé de 6/mois à un moment), pour les typhy et les gripen arriver à 3/mois ne semble pas être beaucoup plus compliqué. Maintenant que la volonté ne semble plus être un problème, que la coordination politique semble se mettre en place, que le développement des capacités industrielles à l'échelle de l'Europe va aussi se mettre en place de manière accéléré, il reste le problème de la formation des cadets qui lui est plus long.

Certe mais le problème est le même pour le gars en face. Et lui il agit sur des lignes extrêmement tendues. Ce gars est en position d'attaquant et par nature est obligé d'exposer ses lignes de ravitaillement bien plus que nous. Forcément une guerre aérienne ira taper là où ca fait mal. Ce que les HIMARS faisaient avant mais que faute de munition ne sont plus capable de faire. Les russes pratique la guerre de saturation pour vider les défense AA de ses munitions puis faire leur bombardement mais il doit multiplier ses objectifs et donc disperser ses attaques. Si on fait de même et compte tenu des lignes logistiques vitales des russes, il y a moyen de le stopper bien plus franchement que maintenant.

Tu peux le dire aussi de des Hamkeye. Alors oui il y a des dépendances qui vont rendre incertains quelques politiques.

Principalement les moyens de coordinations entre agences de l'état (surtout les membres des codex qui par fonction se parlent beaucoup) et les moyens d'assurer les salaires des fonctionnaires le temps que la poussière d'un éventuel putsh redescende. Tout çà est méthodiquement supprimé.

Je ne suis pas certain que les militaires US notamment le laisse longtemps en place.

Je reformule. le Groenland nous permettra d'exister en temps que Puissance grâce à ses réserves potentiels de ressources.

Ecoutes je sais pas si c'est nouveau mais manifestement l'attention de VP se tourne vers l'Europe. Il accepte de discuter avec les Européens. Maintenant que çà commence à se coordonner. Via le figaro Vladimir Poutine ouvre la porte à la présence des Européens lors des négociations Le président russe Vladimir Poutine affirme qu’il ne «voit rien de mal» à ce que les Européens participent aux négociations sur la guerre en Ukraine, mais rappelle que «les Européens ont refusé tout contact» avec la Russie «de leur propre chef». «Les Européens, mais aussi d’autres pays, ont le droit et la possibilité de participer. Et nous respectons cela», a déclaré Vladimir Poutine lors d’un entretien télévisé.

Macron a sorti l'artillerie lourde sans en avoir l'air sur ce coup-là Via le Figaro «Nous devons nous assurer de la dissuasion» contre la Russie, affirme Emmanuel Macron Le président français a rappelé que la question de la «dissuasion» devait être une priorité pour éviter de faire face à une nouvelle agression russe à l’avenir. «Nous sommes prêts à fournir des garanties de sécurité à l'Ukraine», a ajouté Emmanuel Macron.

Chers lecteurs, Permettez-moi avant toute chose de m’excuser pour la longueur inhabituelle de l’analyse qui suit. J’ai conscience que votre temps est précieux, mais le sujet traité ici mérite toute notre attention. Je sollicite donc humblement votre patience, convaincu que l’importance et les subtilités de ce débat diplomatique justifient pleinement une lecture attentive. Je vous remercie sincèrement de votre compréhension et de votre indulgence. Je soumets humblement à votre appréciation une analyse académique de ce notable échange entre Donald Trump et Emmanuel Macron : Contexte et enjeu du débat : Ce moment notable s’inscrit dans un cadre diplomatique sensible, mettant en jeu la question du financement occidental de l’aide militaire et économique à l’Ukraine face à l’agression russe. Ce débat précis oppose deux visions du partage du fardeau financier : celle portée par l’ancien président américain Donald Trump, insistant souvent sur la responsabilité européenne à fournir plus de ressources financières, et celle défendue par Emmanuel Macron, président français, qui rappelle l’engagement substantiel et direct de l’Europe. Analyse du discours : Donald Trump : Trump adopte une posture critique envers les partenaires européens, conforme à son approche isolationniste et transactionnelle des relations internationales. Il affirme explicitement : •« Europe is loaning the money to Ukraine » : Cette affirmation laisse entendre que l’Europe fournirait principalement des prêts, suggérant une aide conditionnelle et récupérable, réduisant ainsi la portée réelle du sacrifice européen. •« They’re getting their money back » : Trump sous-entend ainsi un investissement européen à faible risque, cherchant implicitement à minimiser l’implication européenne en contraste avec l’engagement américain présenté comme plus généreux et irréversible. L’intention de Trump ici est probablement d’insister sur l’idée d’un déséquilibre dans les responsabilités internationales, une rhétorique récurrente chez lui visant à démontrer que les États-Unis assument une part disproportionnée du coût. Emmanuel Macron : L’intervention immédiate de Macron traduit une volonté de corriger factuellement le discours de Trump. Son interruption directe souligne l’importance d’une clarification immédiate pour éviter toute confusion médiatique ou diplomatique : •« No, in fact, to be frank, we paid. We paid 60% of the total effort. » : Macron répond avec une précision factuelle, quantifiant explicitement la participation européenne à hauteur de 60 %. Le choix du chiffre concret (« 60 % ») a pour effet immédiat de recadrer la discussion en la recentrant sur la réalité effective de l’engagement européen, en opposition à la présentation déformée suggérée par Trump. L’utilisation de l’expression « to be frank » renforce l’aspect de vérité directe, transparente, visant à asseoir une légitimité morale et diplomatique forte. Portée diplomatique : Cet échange révèle plusieurs dynamiques majeures : •Un choc de narratifs : l’opposition entre une vision américaine critique de l’Europe, portée par Trump, et une vision européenne (particulièrement française) insistant sur l’ampleur réelle de l’effort collectif européen. •L’affirmation de l’autonomie européenne : la réponse de Macron, immédiate et ferme, reflète un besoin européen croissant de contester explicitement une lecture américaine souvent jugée simpliste ou injuste, et de rappeler l’importance des efforts européens. •L’impact médiatique et diplomatique : l’interruption par Macron dans un cadre aussi symbolique que l’Oval Office revêt une dimension stratégique. C’est un message clair adressé à l’opinion publique internationale, soulignant que l’Europe refuse désormais d’être dépeinte comme un partenaire passif ou secondaire dans les crises internationales.

Mais comme le parlement actuel restera valide pendant encore quelques semaines Mertz va mettre à profit ce temps pour obtenir un changement sans risque de veto. J'ai entendu çà à la radio tout à l'heure.

Je pense que la vrai raison du voyage de Macron n'est pas d'obtenir quelque chose de Trump mais de voir ce qu'il a dans la tête.

Il y a un sentiment d'urgence dans ce discours que je ne comprend pas, ou plutôt qui me fait un peu peur.

Ecrit par un certain Paul Mason (anglais de son état). C'est stupéfiant. Pierre l'Hermite réincarné. Il prêche quasiment la croisade (le mot n'est pas utilisé mais on pourrait l'entendre) contre la russie et ... Trump grâce à STAMER et MACRON. Si si rien de moins. Et il demande des armes nucléaire tactique ... sous entendu à la France. Nous nous rapprochons du minuit diplomatique... Il y a trois sortes de personnes en politique occidentale en ce moment. Les gens qui comprennent que Trump vient de faire exploser l'ordre de l'après 1945 ; les gens qui soupçonnent qu'il l'a fait mais espèrent que « le système » s'arrangera ; et les gens qui s'en sortiraient dans l'ignorance blyth, en adoptant des lois, en publiant des communiqués de presse, en organisant des séances de photos comme si notre démocratie et notre mode de vie n'étaient pas gravement menacés. Je viens d'une réunion publique à la RSA de Londres avec l'ancien ministre des affaires étrangères de l'Ukraine, Dmytro Kuleba. Il tombe définitivement dans le premier camp. Trump, a-t-il dit, tentera de forcer l’Ukraine à signer un accord en réduisant le calendrier dans lequel l’administration zelensky et les Européens peuvent l’influencer. C'est de cela qu'il s'agit toutes les insultes. Il ne s’agit pas seulement d’un agressement américain pour les richesses minières de l’Ukraine. Les États-Unis sont en concurrence directe avec les tentatives européennes de développer leur propre industrie de l'IA, l'autonomie géopolitique stratégique et une relation économique indépendante avec l'Ukraine. C’est aussi une tentative d’empêcher les Européens d’adopter la défense «militante de la démocratie» contre le fascisme. Au fil des jours, je pense qu’il va de soi que l’objectif de Trump est un accord stratégique avec Poutine, relançant le régime ethnonationaliste en tant que partenaire de l’Europe. Je crois également que l'Europe survivra à cela et triomphera. Mais nous avons besoin que les classes politiques britanniques et françaises s'enlèvent de leur stupeur et de leur tête. Keir Starmer et Emanuel Macron se sont bien étendus jusqu'à présent : Macron parle d'envahissements massifs de défense, Starmer a promis des troupes à l'Ukraine une fois qu'un accord a été signé. En conséquence, les deux sont maintenant dans la ligne de mire de la machine-restaurante dirigée par Musk et l'extrême droite américaine. Ce qui est en jeu au cours de la semaine prochaine, c’est si Trump tente d’humilier et de frapper les deux pouvoirs de la P5 nucléaires à acquiescement. J'ai parlé à d'anciens diplomates de ce soir qui n'ont aucune idée si Trump avait réellement un plan ou non. Le discours de Hegseth, malavisé, était au moins clair: il contenait un langage clair sur les armes conventionnelles et nucléaires et une demande claire - 5 % de dépenses de défense - il aurait dû être demandé depuis longtemps. Peu de gens dans la boucle prétendent maintenant savoir si ce discours représente la politique étrangère de l'administration Trump, ou si la politique est simplement improvisée par les dimwits milliardaires. C'est donc bien pire que les années 1930. Dans les années 1930, il y avait une menace évidente ; nous savions ce qu'elle voulait ; nous pouvions donner la priorité à la lutte contre l'Allemagne plutôt que de lutter contre le Japon ; nous avions le temps. Et les États-Unis étaient isolationnistes mais pas dirigés par des joailleurs vénaux. En outre, les États-Unis dans les années 1930 - Joseph P. Malgré Kennedy – n’essayait pas systématiquement de perturber l’antifascisme européen. Aujourd'hui, l'extrême droite américaine s'immisce ouvertement dans la politique européenne. Que pouvons-nous faire ? La première chose que je veux voir se produire, c'est que les hommes politiques européens se bourrent de leurs électeurs: heure par heure, jour après jour. La décision de Trump de faire exploser l'alliance occidentale est une attaque contre nous tous. Elle sape nos forces armées, notre sécurité nationale, notre investissement économique dans la construction d'une démocratie stable et un partenaire en Ukraine. Bien sûr, nous devons utiliser la diplomatie – mais ni Poutine ni Trump n’utilisent la diplomatie. Et à un moment donné, les gouvernements occidentaux doivent utiliser l'électricité brute pour se tailler une position dans les négociations. Kuleba était clair ce soir – il pense que Trump va forcer par le biais d’un accord, qui fige la guerre. Mais cela ne peut se produire sans l’Europe et l’Ukraine, et l’UE, le Royaume-Uni et l’Ukraine unis autour des mêmes objectifs seraient un facteur puissant dans les événements, en particulier parce que Trump incendie la puissance douce des États-Unis. Le Royaume-Uni doit maintenant se réarmer. Pas à 3% du PIB, mais plus comme 5 ou 6%, évolutif au-delà. Cela signifie emprunter pour investir. Faites-le correctement et l'économie sera en plein essor dans 18 mois, et Reform UK ressemblera à un triste groupe de mariées poutins, plus proche de l'ennemi que le drapeau de l'Union. Nous allons avoir besoin d'armes nucléaires tactiques, car nous ne pouvons plus compter sur les États-Unis. Et oui, c'est un facteur d'esprit que j'aurais aimé ne pas avoir à envisager, mais sans un plus grand éventail d'options d'escalade, nous perdons notre liberté d'action dans le monde. C'était l'un des plus grands points à retenir de la conférence de Kuleba : ne pensez jamais que cela ne vous arrivera pas. Et voici le plus grand. On lui a demandé comment la guerre allait se terminer. Il a dit : l'un de nous disparaît. C'est existentiel pour Poutine à long terme. Comme dans l'essai de 2021, il ne peut pas considérer l'Ukraine comme un pays européen et démocratique. Il doit le détruire – et donc l’Ukraine et les démocraties européennes sont vouées à détruire le régime de Poutine. Dans les prochains jours, j’attends de toutes les forces internes alignées sur le plan platonique de Poutine et de la guerre de Trump pour commencer à se mobiliser : la réforme est conflictuelle – elles ne savent pas comment jouer cela ; mais les staliniens fiables de l’extrême gauche sont déjà à bord de la vision de Trump pour une vente ukrainienne. En réponse, je serai dans les rues demain, en protestant à l'extérieur de l'ambassade de Russie. Mais la véritable action doit se produire dans la tête de quelques dizaines de milliers de personnes politiquement actives en Grande-Bretagne – dans les travailleurs, les conservateurs, les libéraux, même les verts s’ils veulent vivre dans un continent où le Net zéro compte réellement. Et Fleet Street. La question fondamentale est : de quel côté êtes-vous ? Poutine, Musk, Trump et le Bannon sieg-heiling ? Ou la démocratie européenne. Si vous avez déjà mis les pieds au Louvre, les Offices ou la Reina Sofia, la réponse devrait être assez claire. Trump et Poutine s’est entendu pour détruire l’Occident en tant que concept. Nous avons deux dirigeants, en Macron et Starmer, qui se sont approchés de la plaque et ont besoin de soutien - plus un ensemble admirable de petits pays qui savent de quel côté ils sont. S'ils reviennent de Washington avec une traînée d'insultes et rien d'autre, nous devrons alors tirer des conclusions sombres: le réarmement nucléaire pour nous protéger; probablement le réarmement nucléaire de l'Ukraine, aussi. Et déstabilisation active du régime de Poutine sans aucune restriction. Vous n'êtes pas entrés en politique pour faire ça ? Vous voulez vous en tenir aux 1001 justes causes et campagnes qui vous risquons de bêtises avec les électeurs ? Dur. Trump et Poutine ont appelé le temps sur tout cela. Février 2025 est le tournant, après quoi vous avez répondu aux grandes décisions politiques de notre époque, c’est ce sur quoi vous allez être jugé.

Les européens disent en gros que l'attitude pro poutine de Trump ne leur plait pas. Et les ricains disent que Trump a raison.

Proteus. Refit de vieux canon de 20mm comme arme anti-drone. Développé en 4 semaines et commandé illico en 50 exemplaires. Livraison complète avant fin 2026. https://www.opex360.com/2025/02/24/concu-par-larmee-de-terre-le-systeme-antidrone-proteus-sera-produit-a-au-moins-50-exemplaires/ Pour rappel, l’idée de la STAT a consisté à associer le vieux canon antiaérien de 20 mm monté sur affût tracté 53T2 à une caméra thermique SANDRA [Système d’arme Alternant les visions Nocturne et Diurne pour la Recherche d’Aéronefs] et à un ordinateur. Le tout est installé sur un camion TRM 2000. Produit dans les années 1970 par GIAT, le canon monté sur affût tracté 53T2 a une cadence de tir de 700 coups par minute et sa portée contre les cibles aériennes est de 1 500 mètres.

En tous cas sur f-16.net le ton monte entre européen et américains très très supporter de Trump.