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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Oui sûrement UK si il est produit là-bas. Mais sils discutent sûrement entre différentes entités histoire de se partager les savoirs-faires.
  2. EN l'occurrence que Thalès soit capable d'intégrer un nouveau capteur en quelques mois serait plutôt une bonne nouvelle sur la réactivité de notre industrie de défense. Je suis totalement dans l'hypothèse. Mais je la crois réaliste.
  3. Oui forcément pour les lois de pilotage mais si Thalès avait un tel projet dans les tiroirs, ils ont peut être proposé de le sortir. Pour les leurres il y a deux conditions : une bonne dynamique de ton CAPTEUR pour éviter que toute ton image soit saturée et des lois de filtrage un peu récente. Bref toujours dans le réalisable.
  4. Ton capteur laser dans le missile est forcément un capteur video avec une résolution plus ou moins bonne. Je ne sais pas dans quel longeur d'onde fonctionne le laser du starstreak mais intégrer un capteur avec une meilleur résolution que le capteur initial dans la même longueur d'onde que le laser ne me parait pas être sorcier. Ca se complique ... un peu ... si il faut changer l'optique mais toujours dans le domaine du réalisable.
  5. Moi je pense à une tête IR bricolée par Thales à la place du Laser.
  6. Le scénario auquel je pense est celui où les A-50 font des hippodromes toujours de la même façon un peu comme des montagnes russes : Des hauts et des bas et au-dessus d'une zone qui a pu être repérée. Dans ces conditions une équipe d'infiltration doit se positionner dans l'hippodrome a un endroit probable ou le A-50 est le plus proche du sol. Le coup des montagne russe est un classique pour les patmar. Je ne sais pas pour ceux qui font de la veille.
  7. Compte tenu de la dangerosité de cette zone on peut peut-être envisager une altitude de travail différente que 10000 / 12000 M ?
  8. Et un starstreak modifié avec un détecteur IR plutôt que LASER ?
  9. T'es sûr pour les 10/12000 m parce que sur les images on a l'impession qu'il est beaucoup plus bas ??
  10. euh il va falloir recouper ton info mais le cas échéant le mot Europe ressort à chaque fois ... Je modifie le titre alors mais j'avais pas prévu.
  11. Le retour de la guerre sur mer donc. A quand la guerre de course pour se procurer les matières premières de l'adversaire quand on en manque chez soi et armer des navires sans l'aide de l'impôt ?
  12. Oui mais il y a moins de concurrences mondiales donc les producteurs font ce qu'ils veulent avec les prix.
  13. A un moment il faut bien comprendre que les surcoûts sont d'abord des surcoûts de fabrication que l'état voudraient ne pas prendre en charge. C'est l'intérêt d'une filière industrielle intégrée depuis les hauts fourneaux ... et donc les matières premières, histoires de pouvoir flècher la production. Le retour du plan.
  14. Le problème c'est que j'ai l'imprzssion qu'on est stock (ou prod quasi artisanal de munitions de très haute techno) vs prod grosse quantité de munitions basiques.
  15. herciv

    [EBRC/Jaguar]

    Présentation détaillé du JAGUAR :
  16. Merci les contrôles surtout.
  17. Bon voilà. C'est à peine commencé que les difficultés apparaissent clairement : Commentaire dans l'article : Entre l’impact de la crise sanitaire puis celui de la guerre en Ukraine sur le coût des matériaux et équipements, ainsi que l’inflation qui est venue encore accroître la hausse des prix, certains programmes d’armement notifiés avant 2021 n’entrent plus dans les enveloppes budgétaires initialement fixées.
  18. Heuuuu. C'est quoi le plan B ? Acheter à L'Inde ? Adopter des solutions sans remorqueur / pousseur ? EN plus çà montre un symptôme qui n'est pas spécifique à la marine et qui va l'être à toutes les filières d'armement !!!!
  19. J'aurais pu écrire remontée en puissance de l'industrie de défense. Mais je place çà dans le contexte géostratégique actuel de compétition avec la Russie voir une éventuelle alliance RUSSIE/CHINE/IRAN. Macron en a parlé et c'est un sujet avec plusieurs facettes très stratégiques : - il participe à la dissuasion puisque comme je l'ai dit dans un autre poste comparer une capacité de production entre une nation ou une alliance avec une autre nation permet de situer la posture. Je rappel les ordre de grandeur que j'ai retenu, c'est discutable. Tenir une posture défensive signifie qu'il faut un tier de la production d'un pays ou d'une alliance concurrente. Tenir une posture agressive signifie qu'il faut trois fois la production du pays ou de l'alliance concurrente. - Ce sujet participe également à la résilience en cas de conflit. Dans l'équation de la résilience de guerre ratio hommes (attaquant vs défenseur) x ratio munitions (attaquant vs défenseur) x ratio matériels (attaquant vs défenseur) il occupe deux des éléments qui peuvent être la cause d'une défaite. Evidemment il y a plein de sujets connexes comme l'importation et le stockage. Je pense qu'il n'est plus possible de penser ce genre de puissance à l'échelle d'un pays isolément à moins qu'il ne soit un pays avec une population très conséquente comme la Chine, L'Inde ou les USA. C'est pour cette raison que je pense que nous devons placer l'effort Français en la matière dans un effort plus global européen. Voilà je commence avec cette video qui présente plusieurs aspects de cet effort français justement. Ca parle remontée en puissance, ca parle cadence, ca parle délai, çà parle formation mais uniquement pour le segment terre. Le segment munitions aériennes n'est pas abordé. Pourtant on voit bien avec les FAB que c'est un vrai sujet.
  20. Oui mais çà c'était prévisible vu comment la Russie pouvait s'appuyer sur l'Inde et la Chine en particulier dans le cadre des BRICS. Ca a toujours été dit par quelques 'un ici.
  21. Comme prévu les Taïwanais se posent des questions sur la réalité de l'aide US si guerre il y a avec la Chine. https://www.politico.eu/article/taiwans-leadership-extremely-worried-us-could-abandon-ukraine/ Les États-Unis à Taiwan « extrêmement inquiets » pourraient abandonner l'Ukraine Une délégation du Congrès a assuré de hauts responsables que les États-Unis « se tiendra fermement » avec l'île indépendamment des résultats de l'élection présidentielle américaine. République. Mike Gallagher (quatrième de droite) reçoit une décoration traditionnelle du président du Parlement taiwanais Han Kuo-yu (quatrième à partir de la gauche) en février. Sam Yeh/AFP via Getty Images 24 février 2024 9 h 37 CET Par Phelim Kine Les hauts responsables taiwanais ont interrogé à plusieurs reprises les membres d'une délégation du Congrès américain en visite sur ce que l'on a bloqué l'aide à l'Ukraine pour les engagements pris par les États-Unis de défendre l'île contre une éventuelle agression chinoise. La semaine dernière, le Sénat a adopté la semaine dernière la sécurité nationale - qui comprend 1,9 milliard de dollars de financement américain pour les réapprovisionner les armes à destination de Taiwan - mais le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, s'est engagé à bloquer le projet de loi à moins qu'il ne comprenne des dispositions pour renforcer la sécurité aux frontières. « Taiwan est extrêmement intéressé par l’Ukraine et nous sommes extrêmement inquiets de nous éloigner de l’Ukraine », a déclaré le représentant. Mike Gallagher (R-Wis.), président du House Select Committee on China, a déclaré aux journalistes vendredi à la fin d'un CODEL de trois jours à l'île autonome. La question du soutien des États-Unis à l'Ukraine a été soulevée à plusieurs reprises lors de réunions que les membres de Gallagher et du CODEL, y compris le membre du comité, Raja Krishnamoorthi (D-Ill.), avaient avec de hauts responsables, dont le président tai-tai Tsai Ing-wen et le président élu Lai Ching-te. « Ils regardent les demandes supplémentaires pour l’Ukraine comme des faucons et ils considèrent que l’Ukraine régnant contre l’invasion criminelle par la Russie comme extrêmement importante pour envoyer un message au parti communiste chinois », a déclaré Krishnamoorthi. Le potentiel d'une victoire de Trump à l'élection présidentielle américaine et la possibilité qu'il entraîne un changement dans le soutien traditionnel des États-Unis à Taiwan inquiète également ses dirigeants. Le CODEL a essayé d'apaiser ces craintes en assurant leurs hôtes taiwanais de la forte soutien bipartisane de l'île au Congrès. « La population taiwanaise devrait être sûre que, quelle que soit le résultat notre élection, l’Amérique se tiendra fermement aux côtés de Taiwan », a déclaré Gallagher. Ces préoccupations reflètent l'effet d'entraînement de l'impasse sur Capitole Hill en fournissant à l'Ukraine l'armement dont elle a besoin pour repousser l'agression russe. L'impasse du Congrès a gelé l'aide militaire américaine à Kiev et a suscité des avertissements du Pentagone selon lesquels les soldats ukrainiens en première ligne sont à court de munitions et d'autres armes nécessaires pour lutter contre les forces russes envahis. Cela a effrayé un leadership taiwanais qui dépend également fortement des armes américaines pour dissuader le dirigeant chinois Xi Jinping de fuir les menaces répétées de la part du dirigeant chinois Xi Jinping pour recourir à la force pour « se réunifier » avec Taiwan. Taiwan est déjà aux prises avec un goulet d'étranglement dans les livraisons d'armes aux États-Unis. L'administration Biden a augmenté le rythme des approbations de vente d'armes pour l'île autonome, mais quelque 19 milliards de ces armes - y compris les missiles Harpoon antinavires et les missiles sol-air Stinger - n'ont pas encore été livrés en raison des problèmes de la chaîne d'approvisionnement. Gallagher a déclaré que l'arriéré n'était « pas en train de se fixer de sitôt » et avait besoin de solutions « créatives », notamment en déplaçant la production de drones aériens et submersibles américains à Taiwan pour accélérer leur déploiement dans les unités militaires taiwanaises. « La technologie de défense co-productrice à Taiwan aurait l’avantage supplémentaire d’aider à prépositionner les armes et de renforcer la dissuasion, de sorte que Xi Jinping pense à deux fois avant de croire que l’Armée populaire de libération pourrait prendre rapidement et facilement le contrôle de l’île », a déclaré M. Gallagher. Le CODEL a également entendu des rapports alors qu'il était à Taiwan, le réseau Starshield, une version militaire du système Internet par satellite Starlink développé par SpaceX d'Elon Musk, refuse le service à Taiwan. L'armée ukrainienne s'est fortement appuyée sur Starlink dans sa campagne de deux ans pour repousser les forces russes. « Nous essayons de confirmer ces rapports en ce moment. Nous les avons entendus de nombreux partis. Et nous espérons avoir un dialogue avec Elon Musk et SpaceX » à propos de ce déni de service, a déclaré Gallagher. Space X n'a pas répondu à une demande de commentaire.
  22. Chef d'Intel de l'Ukraine: la chute de l'avion d'alerte rapide russe A-50 est le résultat d'une opération de deux semaines Dimanche 25 février, 2024 11:30:29 https://uawire.org/ukraine-s-intel-chief-downing-of-russian-a-50-early-warning-aircraft-was-result-of-a-2-weeks-operation Le chef des services de renseignement militaire ukrainiens, Kyrylo Budanov, a révélé les détails d'une opération qui visait un avion russe d'alerte rapide et de contrôle A-50U. Bien que le général Budanov n'ait pas précisé l'arme utilisée, les experts de Defence Express ont proposé certaines hypothèses sur la question. Budanov a déclaré aux journalistes en marge de la conférence « Ukraine, année 2024 » qu'une préparation méticuleuse de deux semaines a précédé l'opération spéciale visant à détruire l'avion d'alerte rapide russe. Les analystes de Defense Express soulignent que cela souligne non seulement le caractère unique de l'événement, mais aussi le haut niveau d'organisation et d'expertise de ceux qui participent à l'exécution d'une telle opération. En ce qui concerne les moyens de destruction, les analystes ont noté que l'avion était abattu au-dessus du Krai de Krasnodar, à quelque 170 km de la ligne de front. Même en supposant que les systèmes de missiles Patriot ukrainiens étaient utilisés, tirer un missile GEM-T d'une portée revendiquée allant jusqu'à 160 km ne serait pas suffisant pour frapper l'A-50U russe. En outre, le déploiement d'un système de missiles «roving» même sur la ligne de contrôle effectif est invraisemblable, car les systèmes de défense aérienne sont positionnés au moins au-delà de la portée de l'artillerie ennemie. Pendant ce temps, il existe des informations non confirmées suggérant qu'un système de missiles S-200 était responsable de la chute du A-50U. Les experts rappellent toutefois que ce système nécessiterait d'importants ajustements et une modernisation en raison de son obsolescence intrinsèque. En Russie, les responsables affirment que l'avion avertisseur a été touché par des tirs amis. Le scénario supposé serait que les forces russes ont essayé d'intercepter un missile S-200 lancé avec un intercepteur du système S-400, mais le missile a frappé à tort leur propre avion. Budanov a en outre mentionné le reste de l'inventaire de ces appareils dans les forces aériennes et spatiales russes. Il a déclaré que, sur le papier, il y avait neuf avions de reconnaissance, trois modèles A-50 et six modèles A-50U. L'un d'eux a été abattu au-dessus de la mer d'Azov le 14 janvier, un autre a été détruit le 23 février, et un tiers a été endommagé au Belarus vers la fin du mois de février 2023. Par la suite, Budanov a ajouté que la perte d'un autre A-50 empêcherait la Russie d'entretenir 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Le 25 février, le porte-parole de l'armée de l'air ukrainienne, Iouhnat, a affirmé que la destruction d'un autre A-50 russe n'affecterait pas les frappes russes contre l'Ukraine. Toutefois, les capacités de l'aviation russe sont réduites avec la perte d'un A-50.
  23. On est d'accord que ce sont les missions mais la contraintes d'attractivité des emprunts d'état existe. SI la BCE ne baisse pas ces taux la FED va se retrouver coincées.
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