Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

herciv

Members
  • Compteur de contenus

    25 123
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    73

Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Je fais la distinction entre les deux termes parce que le souverainiste refusera un modèle extérieur par conviction qu'il a tout ce qu'il lui faut comme modèle dans son propre pays. La référence à De Gaulle pour nous. Le nationaliste ira chercher ses références en fonction de ses besoins budgétaires.
  2. On va avoir un début de réponse le 14 mars si Trump laisse le shutdown sans réponse. Les vrais purges de fonctionnaires commenceront alors. Quant à extorquer quelques milliards c'est pour "montrer l'exemple" et l'énergie qu'il faut mettre pour exister comme un vrai MAGA.
  3. Mais à quoi joue les US. C'est incompréhensible. Ils veulent renégocier leur contrat d'armement avec les UK ?? Si c'est transactionnelle est-ce que le problème est d'obtenir des sous pour financer un budget très mal en point ? Je le crois. Mais il y a d'autres interprétations possibles dont celle d'un total revirement US qui expliquerait que pendant qu'ils remettent en question leurs ventes en Europe ils essayent de vendre des F-35 à L'Inde allié à la Russie. Il nous la font à l'envers ? Sincèrement je souhaite que çà soit purement budgétaire. Et dans ce cas tous les contrats subventionnés seront réévalués (F-35 Suisse et Finlandais par exemple).
  4. Ce comportement des nationalistes de tous pays est suspect par nature. Ils se font passer pour des souverainistes mais ne savent pas exister sans soutien extérieur. C'est assez clair dans ton article.
  5. J'ai fait bien attention à distinguer souverainisme et nationalisme. Le second cherche par nature un soutien extérieur et particulièrement un modèle.
  6. herciv

    KC-46 A Pegasus

    Et dans cet article on apprend qu'il y a pire que le F-35 en dispo, oui oui c'est possible : le KC-46. https://www.opex360.com/2025/03/01/des-fissures-ont-ete-decouvertes-sur-deux-avions-ravitailleurs-kc-46a-pegasus-destines-a-lus-air-force/
  7. Conséquence indirect sur les nationalistes européens gènés aux entournurs et obligés de "partir en Suisse" le temps de trouver une stratégie qui tienne la route. Faire référence à Trump ou à Poutine va devenir très compliqué maintenant. Le souverainisme est d'un seul coup beaucoup mieux compris par tout le monde et les modèles nationalistes comme celui de Trump et avant lui celui de ceux qui ont mis les UK dans le mur semble beaucoup plus risqué maintenant. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Pour-Marine-Le-Pen-Trump-et-Zelensky-n-ont-fait-que-defendre-leur-pays-49209415/ Pour Marine Le Pen, Trump et Zelensky n'ont fait que défendre leur pays PARIS, 1er mars (Reuters) - Ni Donald Trump ni Volodimir Zelensky ne sont à blâmer pour leur altercation publique à la Maison blanche, chacun ne faisant que défendre les intérêts de son pays, a déclaré samedi Marine Le Pen. Pour la présidente des députés Rassemblement national, la brutalité des échanges vendredi entre les présidents américain et ukrainien n'est "pas quelque chose d'extraordinaire", la surprise étant qu'ils aient eu lieu devant les caméras du monde entier. "C'est être naïf que de penser que des échanges entre des présidents de nations ne se déroulent pas parfois de manière brutale", a dit Marine Le Pen aux journalistes lors d'une visite au Salon de l'Agriculture à Paris. "(Ils) se déroulent souvent de manière brutale (...) mais dans la discrétion des salons, sans les médias." "On ne peut reprocher ni à l'un ni à l'autre de défendre les intérêts de leur nation, (...) la vision qu'ils considèrent juste pour le monde", a-t-elle ajouté. "Que ces visions puissent se frictionner et même être en opposition, c'est le principe même d'une négociation." "Je veux ne voir dans cet échange brutal, dur, qu'un moment dans la construction de la paix", a-t-elle poursuivi. Volodimir Zelensky s'est rendu à Washington en espérant convaincre son homologue américain de poursuivre le soutien des Etats-Unis à son pays et de ne pas favoriser Moscou dans la recherche d'un règlement du conflit déclenché par l'invasion de l'Ukraine par la Russie, mais il s'est retrouvé confronté aux attaques verbales de Donald Trump et de son vice-président J.D. Vance, qui l'ont accusé de manquer de respect et de reconnaissance. La quasi-totalité des dirigeants européens ont ensuite apporté leur soutien au président ukrainien. (Rédigé par Bertrand Boucey)
  8. Pour ma défense un tel article, écrit par les principales victimes, a comme intérêt de montrer leur ressenti.
  9. Tribune très synthétique qui met en perspective le piège budgétaire qui se referme aux USA et qui pour moi est la grand driver dont on ne veut pas parler de la politique américaine en général et de Trump en particulier. Retenez le mot "shutdown". Il va souvent revenir dans les mois qui viennent. https://www.latribune.fr/opinions/editos/ils-sont-fadas-ces-maga-1019469.html Ils sont fadas ces MAGA ! Premier bilan d'un mois de folie trumpiste. Une histoire qui pourrait bien se terminer comme celle de l'arroseur arrosé... Un peu plus d'un mois déjà depuis l'entrée en fonction de « Don », comme l'appelle désormais The Economist, à la Maison Blanche et on peut le dire, le monde a changé. Comme rarement aussi vite dans l'histoire. Le monde de Trump avance ses pions sans complexes, dans toutes les directions, et donne le tournis quand ce n'est pas la nausée. De Gaza promise à un destin de « riviera du Proche-Orient » mais vidée de ses 2 millions de Palestiniens à Zelensky accusé d'avoir déclenché la guerre avec Poutine et d'être le dictateur de l'Ukraine (qualificatif que Trump a vite oublié quand le président ukrainien s'est résigné à venir négocier à Washington les conditions d'un deal "terres rares contre garanties de sécurité"...), le dealmaker de Mar-a-Lago n'en a pas raté une. Sans parler de sa volonté d'annexer le Groenland et le Canada, voire le Mexique et le Canal de Panama. Il n'y a qu'avec la Chine que le président américain y va, pour l'instant, avec des pincettes avec seulement 10% de droits de douanes contre 25% promis pour le Canada, le Mexique ou l'Europe bientôt. Comme quoi il vaut mieux faire partie de ses puissants ennemis que de ses plus faibles amis... l'Europe groggy Sur l'économie non plus, Trump n'y va pas de main morte, même si ses menaces de guerre commerciale restent imprécises : simple application de sa recette magique, appliquée tout au long de sa carrière, consistant à commencer une négociation sur un rapport de force et l'affirmation d'une volonté de domination ? Possible, mais beaucoup de dirigeants occidentaux prennent au sérieux la révolution nationaliste-réactionnaire d'un Trump dont la stratégie MAGA (Make America Great Again) est beaucoup mieux préparée qu'au cours de son premier mandat. Le Danemark craint déjà des manipulations de l'opinion via les réseaux sociaux américains lors des prochaines élections au Groenland. L'alliance apparente entre Trump et Poutine pour se partager les dépouilles de l'Ukraine, le lithium et autres « minerals » essentiels pour l'un, l'accès à la mer Noire pour l'autre, deux objectifs stratégiques des empires américain et russe, laisse l'Europe groggy et sans alternative autre que s'unir. La très rapide visite du futur chancelier Merz à Emmanuel Macron ce mercredi à l'Elysée, trois jours après des élections législatives qui révèlent une scène politique allemande autant fragmentée qu'en France, en dit long sur la révision déchirante à laquelle se rallie notre voisin d'outre-Rhin. Pour la première fois de son histoire, l'Allemagne se résout à la nécessité d'une défense commune et accepte d'envisager de se placer sous la protection d'un bouclier nucléaire français et britannique. Il était temps, se dit-on, que l'Allemagne comprenne que sa stratégie mercantiliste est périmée, son industrie automobile étant prise au piège entre une énergie devenue trop chère depuis l'arrêt des livraisons de gaz russe et la fermeture de ses marchés à l'exportation avec l'élection de Donald Trump. Bonne nouvelle donc si l'Europe comprend enfin que son salut réside désormais dans sa propre autonomie stratégique et de nouvelles alliances, avec l'Inde (où s'est rendue Ursula Van der Leyen) et l'Afrique. Vers des War Bonds ? L'Europe aurait dû écouter Emmanuel Macron lorsqu'il a déclaré que l'OTAN était en état de « mort cérébrale ». C'était en 2019, juste à la fin du premier mandat de Trump et avant la parenthèse du Covid. On peut regretter qu'elle n'ait pas fait en cinq ans ce qu'elle va maintenant devoir réaliser dans l'urgence : amplifier ses dépenses militaires au prix sans doute de révisions déchirantes dans la générosité de son modèle social. Ira-t-elle jusqu'à émettre des War bonds ? Le président français a évoqué un appel à l'épargne pour financer par emprunt un effort de Défense devenu prioritaire. Le pire n'étant pas certain, regardons aussi le verre à moitié plein. Dans le monde de Trump, tout se négocie. Et le président américain, qui n'est certainement pas stupide, pourrait bien prendre conscience des conséquences économiques désastreuses de sa politique commerciale. Le moral des affaires et des ménages américains commence à se retourner, avec la crainte d'une perte de débouchés en cas de rétorsions commerciales et d'un regain d'inflation. L'action Walmart, la principale chaîne de supermarché, a violemment chuté dans la perspective d'une chute de la consommation en 2025. Trump a aussi un rendez-vous assez difficile à venir avec la réalité budgétaire américaine, pire encore que celle de la France. Le 14 mars, ce sera la fin du prolongement des autorisations de dépenses. Sauf extension, il y aura un shutdown du gouvernement fédéral, déjà traumatisé par les actions erratiques d'Elon Musk, patron du Department of Government Efficiency (DOGE). On sait que Trump a été à l'origine du plus long shutdown de l'histoire des Etats-Unis, en 2018. Mais, même s'il peut mettre celui-ci sur le dos de son prédécesseur, Joe Biden, qui a laissé filer le déficit à 7% du PIB, le nouvel homme fort de la Maison Blanche risque d'y laisser des plumes. Surtout que de nombreux américains commencent à se retrouver au chômage du fait des actions brutales de Musk, à l'image de cette jeune militante trumpiste, Ryleigh Cooper, un agent de l'administration des Forêts dans le Michigan, victime des premières coupes du DOGE et qui se fait insulter sur le réseau X sur le thème « il fallait réfléchir avant de voter, idiote » ! Un peu l'histoire de l'arroseur arrosé, qui pourrait bien atteindre Trump lui-même en raison des contradictions inhérentes à sa politique économique. Car ce n'est que le début : Elon Musk a demandé à tous les fonctionnaires fédéraux de justifier de leur emploi du temps de la semaine passée, une méthode éprouvée lors de la reprise de Twitter, et table sur 5% à 10% de démissions dans la fonction publique. Même si cela arrive, et que les personnes concernées retrouvent rapidement un emploi dans le secteur privé, les Etats-Unis ne seront pas au bout de leurs peines puisque le couperet du plafond de la dette tombera cet été, avec le risque réel d'une dégradation de la notation des Etats-Unis, ce qui ferait désordre. Elon Musk a promis à Donald Trump de financer ses baisses d'impôts par 2000 milliards de dollars d'économies avec le DOGE. En réalité, il n'a pas d'autre choix car en décembre prochain tomberont à échéance les précédentes baisses d'impôts votées sous Trump I. Si aucune solution n'est trouvée pour financer leur prolongation, les Américains subiront un choc fiscal correspondant à 1,5 point de PIB, notent les analystes de la banque Oddo. Pas sûr que cela plaise aux contribuables américains, même les plus fadas des MAGA. Bref, la belle histoire du nouvel eldorado américain que raconte Donald Trump est loin d'être écrite et le risque d'un backlash en politique intérieure est réel, avec les élections de mi-mandat de 2026 en ligne de mire. Il ne manquerait plus que le « Don » fasse défaut sur la dette des Etats-Unis pour achever de rendre le monde MAGA complètement fou.
  10. Donc quand on évoque le mot "escalade" tu ne comprends pas le concept. A ce jour Poutine n'a rencontré aucun soldat envoyé officiellement par un autre pays combattre en Ukraine. A priori, je dis bien a priori, les nord-co n'ont pas passé la frontière ou en tous cas les européens n'en ont pas conclu à une escalade extérieure. Si d'aventure Poutine envoyait de Nord Co sur le sol Ukrainien là çà serait lui qui escalade et les européens pourraient envoyer des troupes avec beaucoup moins de risque que Poutine se sente agressé et réplique en mobilisant en masse chez lui. Il y a une nouvelle fenètre diplomatique qui s'ouvre de facto à partir de maintenant puisque les US se sont mis tout seuls hors jeux. Poutine va donc devoir discuter avec les européens en direct. Il ne pourra plus nous ignorer surtout que Macron a déjà prévenu implicitement que le nucléaire français valait pour l'UE.
  11. Tu n'est pas responsable de ta grandeur d'âme et de ta tenue ?
  12. Un ancien diplomate US atterré : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/c-est-inouï-un-ex-diplomate-américain-atterré-après-le-clash-à-la-maison-blanche-entre-trump-et-zelensky/ar-AA1A0HLD?ocid=msedgdhp&pc=HCTS&cvid=bcdc0ae701ad43e79de0607a441d0a78&ei=28 Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a quitté ce vendredi la Maison-Blanche prématurément, après un affrontement verbal inédit avec Donald Trump à propos du règlement du conflit avec la Russie. Il était venu pour signer un accord sur l’exploitation des minerais dans son pays. La conférence de presse commune qui devait avoir lieu a été annulée, laissant planer des craintes sur la suite du conflit. Jeff Hawkins, ancien diplomate américain et chercheur associé à l’Iris (Institut de relations internationales et stratégiques), analyse cette séquence d’une brutalité sans précédent. Ce clash à la Maison-Blanche est-il inédit dans l’histoire de la diplomatie ? JEFF HAWKINS. C’est inouï. Ce n’est pas comme cela qu’on fait de la diplomatie. S’il y a des différences entre dirigeants, on ne les étale pas sous les yeux des médias. Insulter un chef d’État d’un pays qu’on a soutenu, dans l’enceinte de la Maison-Blanche, c’est une honte. On n’invite pas un « ami » pour remettre en question sa sécurité. On est en train de passer d’une diplomatie, certes intéressée, mais fondamentalement basée sur des valeurs, à une diplomatie incompréhensible. Je ne vois même pas l’intérêt pour Donald Trump dans cette séquence. Il est en train de miner la puissance des États-Unis. Qu’est-ce qui vous surprend ? Ce genre d’événements, entre chefs d’États, dans le Bureau ovale, est hautement chorégraphié. Les accords sont déjà généralement pratiquement signés, les discours sont préparés d’avance. La diplomatie ne s’improvise pas. Donald Trump avait obtenu ce qu’il voulait : un accès aux minerais de l’Ukraine. Mais parce que Zelensky dit qu’il veut quelques assurances pour la sécurité de son pays, le président américain l’attaque. N’importe quel chef d’État dans la même position aurait demandé la même chose. Son comportement est inexplicable. Peut-on craindre pour la suite du conflit en Ukraine ? La séquence marque une rupture entre les deux hommes. C’est un échec pour Volodymyr Zelensky, un échec aussi pour Donald Trump. Et ce n’est pas bon pour l’Europe non plus. C’est le moment de réagir. Les propos de Donald Trump mettent Vladimir Poutine dans une position très confortable. La séquence peut-elle susciter un rejet dans l’opinion américaine autour Donald Trump ? Non, parce que le peuple américain est assez mal informé sur la politique étrangère, ce n’est pas une préoccupation majeure. L’électorat MAGA, acquis à Donald Trump, va suivre son président. Une autre partie de l’électorat ne comprend pas bien les enjeux, et accepte ce qui vient de se passer. Une dernière partie, minoritaire je dirais, sera consternée par cette prise de position, mais elle était déjà anti-Trump avant.
  13. Je rappel qu'il y a des gens en ce moment qui meurent. Un peu de tenu voir de grandeur d'âme ne serait pas de trop.
  14. Le détail des dégagements US citant le NYT. Vous avez dit "planification" ? https://www.kyivpost.com/post/48071 L'aide américaine à l'Ukraine pourrait prendre fin avec Trump-Vance Rant Un responsable de l'administration Trump a déclaré au New York Times que le président pourrait décider de mettre fin même au soutien indirect fourni par les États-Unis. L’administration Trump envisage de couper toute aide militaire restante à l’Ukraine, citant les remarques du président Volodymyr zelensky lors de leur réunion du Bureau ovale de vendredi. Une réunion de la Maison Blanche vendredi entre le président américain Donald J. Trump, vice-président J.D. Vance, et zelensky sont redescendus dans un échange de chaleur, Trump et Vance lançant des accusations à zelensky et en Ukraine. Un haut fonctionnaire de l'administration, parlant anonymement au Washington Post (WP), a déclaré que la décision, si elle était prise, affecterait des milliards de dollars de radars, de véhicules, de munitions et de missiles en attente d'expédition sous l'autorité de réduction des effectifs de la présidence. Le fonctionnaire a également rejeté les allégations selon lesquelles Donald Trump et J.D. L’échange tendu de Vance avec zelensky était planifié à l’avance, insistant sur le fait que « des efforts ont été faits pour frapper un ton plus positif » avant la réunion. D’après la source du WP, cela s’est traduit par l’abandon par Trump de son accusation selon laquelle il est un « dictateur » avant ses discussions. Le New York Times (NYT) a rapporté que le zelensky est entré à la Maison Blanche vendredi, sachant déjà que les livraisons militaires américaines à destination de l'Ukraine avaient effectivement cessé. Plus tard dans la journée, un responsable de l'administration Trump a déclaré au NYT que toute l'assistance américaine - y compris les dernières livraisons de munitions et d'équipements approuvées sous l'administration de Biden - pourrait bientôt être entièrement annulée. Quelques conclusions rapides de la lutte dans l'Oval Office. À la suite de l'invasion à grande échelle par la Russie en février 2022, l'aide militaire dans le cadre de Biden a été annoncée à peu près toutes les deux semaines, parfois à quelques jours d'intervalle. Cependant, le NYT a rapporté qu'avec environ 3,85 milliards de dollars encore autorisés pour l'Ukraine à partir du stock du Pentagone, l'administration Trump pourrait retirer le bouchon avant que ces envois ne soient livrés. Un ancien haut responsable de la défense sous Biden a ajouté que les dernières armes achetées par l'Ukraine aux entreprises de défense américaines seraient expédiées dans les six prochains mois. Plus que de simples armes à risque Le rapport du NYT a averti que l'administration Trump pourrait également mettre fin au soutien indirect à l'Ukraine, y compris : Financement militaire Partage des services de renseignement Formation des troupes et des pilotes ukrainiens Coordination militaire américaine de l'aide internationale à partir d'une base en Allemagne « Après le spectacle de vendredi dans le bureau ovale, le responsable de l’administration Trump a déclaré que le président pourrait décider de mettre fin même au soutien indirect fourni par les États-Unis », écrit le NYT. Depuis son entrée en fonction, Trump a à plusieurs reprises exagéré le soutien américain à l’Ukraine, selon les données de l’Institut Kiel, un organisme de recherche allemand. Il a également affirmé à tort que les contributions européennes étaient des prêts que Kiev doit rembourser. En réalité, les nations européennes ont fourni 138 milliards de dollars à l'effort de guerre de l'Ukraine, soit plus que les 119 milliards de dollars d'aide militaire et humanitaire américaine, a rapporté le NYT. Alors que l'aide américaine s'éteindra, la principale source d'assistance militaire de l'Ukraine sera le groupe de contact ukrainien pour la défense (UDCG), une coalition d'environ 50 nations formée en avril 2022. Le 6 février, le Pentagone a annoncé qu'il remettait la direction de l'UDCG au Royaume-Uni, signalant un changement potentiel dans la responsabilité de la coordination du soutien à la défense de l'Ukraine.
  15. L'impression que tout ca laisse c'est que Trump avait besoin d'un alibi. Il a tendu un traquenard public a VZ. Grace a ça il peut maintenant couper les aides. Ca a commencé.
  16. J'ai peur que @Stark_Contrast soit en plein milieu des trumpurges. C'est une intuition. Rien de plus.
  17. Au début de l'OS de VP j'avais pensé que le but était de radicaliser les camps afin de pousser tout le monde soit dans le camp des US soit du côté chinois. Trois ans plus tard on a un magma informe de pays qui se foute comme de l'an40 des ukrainiens, les européens qui vont probablement revoir de fond en comble leur fonctionnement, les russes qui continuent leur petite guéguerre et les chinois qui tache de continuer à signer des contrats comme avec les iles cooks la semaine dernière. Bref à l'heure actuelle rien ne montre une très grande efficacité de cette stratégie. Je dirais même que les USA vont se retrouver seule si Trump reste au pouvoir 4 ans.
  18. Macron dispo pour en parler : https://www.lefigaro.fr/international/dissuasion-nucleaire-europeenne-macron-se-dit-pret-a-ouvrir-la-discussion-20250228 Le futur chancelier allemand Friedrich Merz avait évoqué cette semaine la nécessité de discuter d’une dissuasion européenne reposant sur ses deux puissances nucléaires, la France et le Royaume-Uni. Le président français Emmanuel Macron, à la tête d'une des deux puissances nucléaires en Europe avec le Royaume-Uni, s'est dit prêt vendredi février à «ouvrir la discussion» sur la dissuasion nucléaire européenne, après une demande en ce sens du futur chancelier allemand Friedrich Merz. «Si les collègues veulent avancer vers une plus grande autonomie et des capacités de dissuasion, alors nous devrons ouvrir cette discussion très profondément stratégique. Elle a des composantes très sensibles et très confidentielles mais je suis disponible pour que cette discussion s'ouvre», a-t-il dit dans une interview aux chaînes portugaises RTP1 et RTP3. Friedrich Merz, 69 ans, reçu mercredi à l’Élysée par Emmanuel Macron, est un défenseur déclaré du moteur franco-allemand pour faire avancer l’Europe. Il a maintes fois reproché à son prédécesseur Olaf Scholz de l’avoir négligé. Le futur chancelier a affiché des positions beaucoup plus tranchées et plus proches de la France, se disant prêt à s’affranchir de 80 ans de tradition atlantiste allemande face à l’imprévisible Donald Trump, et se prononçant en faveur de la constitution d’une défense autonome en Europe. Il a aussi évoqué la nécessité de discuter d’une dissuasion européenne reposant sur ses deux puissances nucléaires, la France et le Royaume-Uni. Une révolution pour l’Allemagne qui jusqu’ici s’appuie sur les missiles nucléaires américains basés sur son sol. Le pays s’était montré jusqu’ici très peu réceptif à cette idée comme à celle, également défendue par la France, d’une autonomie stratégique de l’Europe.
  19. Et l'escalade. Pour pas que çà parte en vrille avec VP, il va falloir un très bon dosage.
  20. Difficile de dire si c'eest simultanée mais : Les États-Unis suspendent les programmes de soutien au réseau électrique de l'Ukraine – NBC News Yurii Panchenko, Tetyana Oliynyk, vendredi 28 février 2025, 22:19 Le département d'État américain a suspendu l'initiative du projet de l'Agence américaine pour le développement international (USAID) visant à restaurer le réseau énergétique de l'Ukraine après les attaques russes. Source : NBC News, citant deux représentants de l'USAID travaillant dans la mission de l'agence en Ukraine, comme l'a rapporté la Pravda européenne. Citation : « Elle affaiblit considérablement la capacité de cette administration à négocier sur le cessez-le-feu, et cela signalerait à la Russie que nous ne nous soucions pas de l’Ukraine ou de nos investissements passés. La Russie mène une double guerre en Ukraine : une guerre militaire mais aussi une guerre économique. Ils essaient d'écraser l'économie, mais l'USAID a joué un rôle central en l'aidant à résilier, y compris en renforçant le réseau énergétique... Nous avons apporté une grande quantité de soutien au gouvernement ukrainien pour éviter une crise macro-économique ». Détails : Les responsables de l'USAID signalent que la suppression du financement rendrait le réseau énergétique de l'Ukraine vulnérable car il fait l'objet d'une nouvelle attaque de nouveaux missiles russes. Sur la base d'un document obtenu par NBC News, le Département d'État a également ordonné la fin d'un programme visant à "l'activité de réforme du secteur financier".
  21. https://www.kyivpost.com/post/48055 Le président de l'ukraine appelle Macron et le chef de l'OTAN après le différend avec Trump L'Elysee Palace a confirmé que Macron et zelensky avaient une conversation, mais n'ont pas partagé de détails. Il est également en contact avec Rutte, le journaliste du Financial Times Christopher Miller.
  22. Une petite révolution sur f-16.net. Une des vieux supporter finlandais du F-35 écrit çà : Hornetfinn : Je pense que la meilleure chance maintenant serait la France de tous les pays car ils peuvent fabriquer la plupart des choses par eux-mêmes et avoir l'économie pour faire de grandes choses s'ils voulaient juste... Ce n'est pas que je retiens mon souffle pour que ça arrive non plus.
  23. Les marchés étaient attentifs : via zonebourse COMMENTAIRES : RICK MECKLER, PARTENAIRE, CHERRY LANCE INVESTMENTS, NEW VERNON, NEW JERSEY "Je ne pense pas que cela ait tant nui au marché en raison de ce qu'il avait à dire, mais la nature non conventionnelle a soulevé la question pour les investisseurs de l'imprévisibilité et de l'incertitude de l'administration Trump. Le marché aime la certitude. Il aime les plans. Il se passe tellement de choses en même temps dans ce gouvernement - qui sont toutes, dans une certaine mesure, révolutionnaires - et cela n'a fait qu'ajouter une caractéristique supplémentaire. C'est donc là que le marché (a) un peu baissé, pensant que c'est juste le signe d'un manque de prévisibilité et d'approches plus traditionnelles de la diplomatie." DAVID WAGNER, RESPONSABLE DES ACTIONS CHEZ APTUS CAPITAL ADVISORS À FAIRHOPE, ALABAMA "Le S&P 500 commence à connaître son premier recul de 2025. En surface, le S&P est à -5 % de ses plus hauts, mais des mouvements spectaculaires se sont produits sous le capot de l'indice. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'une grande partie de ces mouvements semble être due à des "dénouements de position" plutôt qu'à une "détresse fondamentale". L'examen de la saison des bénéfices du trimestre écoulé nous aide à valider cette idée, car l'écart entre les bénéfices du Mag 7 et ceux des 493 autres sociétés a été le plus étroit depuis le premier trimestre 2023. "Mais, maintenant que la saison des bénéfices est essentiellement terminée et que NVDA est derrière nous, je m'attends à ce que la politique de Washington DC dicte une certaine volatilité à court terme sur le marché. " JACK MCINTYRE, GESTIONNAIRE DE PORTEFEUILLE, BRANDYWINE GLOBAL, PHILADELPHIE "C'est inquiétant, mais peut-être que cela fait partie de la façon dont Trump négocie [...]. L'un des principaux moteurs des marchés est actuellement l'incertitude à de nombreux niveaux, et ce n'est qu'un autre élément de cette incertitude. Il semblait que nous progressions vers un accord de paix ou un cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine et peut-être que maintenant cela va être suspendu, donc vous devez intégrer un peu plus d'incertitude. Nous ne faisons rien, nous allons laisser la poussière retomber".
  24. Les marchés étaient attentifs : via zonebourse COMMENTAIRES : RICK MECKLER, PARTENAIRE, CHERRY LANCE INVESTMENTS, NEW VERNON, NEW JERSEY "Je ne pense pas que cela ait tant nui au marché en raison de ce qu'il avait à dire, mais la nature non conventionnelle a soulevé la question pour les investisseurs de l'imprévisibilité et de l'incertitude de l'administration Trump. Le marché aime la certitude. Il aime les plans. Il se passe tellement de choses en même temps dans ce gouvernement - qui sont toutes, dans une certaine mesure, révolutionnaires - et cela n'a fait qu'ajouter une caractéristique supplémentaire. C'est donc là que le marché (a) un peu baissé, pensant que c'est juste le signe d'un manque de prévisibilité et d'approches plus traditionnelles de la diplomatie." DAVID WAGNER, RESPONSABLE DES ACTIONS CHEZ APTUS CAPITAL ADVISORS À FAIRHOPE, ALABAMA "Le S&P 500 commence à connaître son premier recul de 2025. En surface, le S&P est à -5 % de ses plus hauts, mais des mouvements spectaculaires se sont produits sous le capot de l'indice. Ce qu'il faut retenir, c'est qu'une grande partie de ces mouvements semble être due à des "dénouements de position" plutôt qu'à une "détresse fondamentale". L'examen de la saison des bénéfices du trimestre écoulé nous aide à valider cette idée, car l'écart entre les bénéfices du Mag 7 et ceux des 493 autres sociétés a été le plus étroit depuis le premier trimestre 2023. "Mais, maintenant que la saison des bénéfices est essentiellement terminée et que NVDA est derrière nous, je m'attends à ce que la politique de Washington DC dicte une certaine volatilité à court terme sur le marché. " JACK MCINTYRE, GESTIONNAIRE DE PORTEFEUILLE, BRANDYWINE GLOBAL, PHILADELPHIE "C'est inquiétant, mais peut-être que cela fait partie de la façon dont Trump négocie [...]. L'un des principaux moteurs des marchés est actuellement l'incertitude à de nombreux niveaux, et ce n'est qu'un autre élément de cette incertitude. Il semblait que nous progressions vers un accord de paix ou un cessez-le-feu entre la Russie et l'Ukraine et peut-être que maintenant cela va être suspendu, donc vous devez intégrer un peu plus d'incertitude. Nous ne faisons rien, nous allons laisser la poussière retomber".
×
×
  • Créer...