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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. Tu rigoles peut-être mais quand on voit ce que les f-35 sont réellement capable de faire en terme de temps de vol par an et donc par jour, je suis certain que c'est vers quoi tous les possesseur de f-35 européens vont créer un pool. Le f-35, comme tout chasseur, est une cible facile au sol. Mais comme il passe beaucoup de temps au sol il y a des missions qui seront totalement inaccessible sans regroupement dont la mise en oeuvre de la B-61.
  2. Un point de vue intéressant sur la nouvelle façon de valoriser les capacités spécifiques de la France par l'Europe. https://www.latribune.fr/opinions/tribunes/l-atout-de-la-puissance-militaire-francaise-dans-l-ue-905585.html (..) Dans ce nouveau contexte, la situation de la France, puissance militaire moyenne à vocation mondiale (force de frappe nucléaire, industrie de défense parmi les premières au monde, première armée de l'UE, cinq bases militaires à l'étranger, expérience certaine des opérations extérieures, deuxième domaine maritime mondial) est regardée dans l'UE avec un œil neuf. Quelles que soient ses limites et ses lacunes, la politique française de lutte contre le djihadisme au Sahel (Serval puis Barkhane ; impulsion du G5 Sahel) s'est européanisée. D'une part avec la force Takuba, qui regroupe des forces spéciales de dix États membres de l'UE ; d'autre part, avec l'implication des Européens dans la Coalition internationale pour le Sahel, dont le siège est à Bruxelles. Cette dernière rassemble des ressources humaines et financières de pays européens, africains et américains pour l'aide au développement et au renforcement des services et des politiques publics. Ce sont deux signaux faibles qu'à l'invitation de la France, les Européens seraient en train de considérer le Sahel comme la frontière sud de l'UE. De façon comparable, la perception de l'implication de la France en Libye a changé. Elle était classiquement perçue par les autres pays de l'Union comme une facette de l'interventionnisme post-colonial d'une France « gendarme de l'Afrique ». Après avoir été critiquée pour son interventionnisme en échec dans la guerre civile, la France est dorénavant un peu plus vue par l'UE comme porteuse d'une expérience spécifique mobilisable au service des intérêts des Européens : ramener la paix civile et à la stabilité politique aux portes de l'Europe tout en y endiguant l'immixtion des États turc et russe. La conférence de Paris sur la Libye de novembre 2021 a été conçue comme le prolongement de celle de Berlin du mois de juin précédent. Français, Allemands et Italiens convergent dorénavant plus qu'ils ne rivalisent dans leur appréhension de la crise libyenne. Cette convergence se nourrit notamment d'un diagnostic partagé sur une Russie et une Turquie dont les menées déstabilisent les politiques européennes dans la région méditerranéenne. En Libye, donc, où la Turquie et la Russie sont devenues deux acteurs influents à la faveur de l'absence de politique commune des Européens dans la guerre civile. En Syrie, où la Russie a soutenu avec succès le régime de Bachar Al-Assad, adversaire des Européens, tandis que la Turquie a attaqué et affaibli les Kurdes, alliés des Européens contre Daech. À Chypre, la Turquie occupe militairement la partie nord de cet État membre de l'UE. En République centrafricaine et au Mali, la Russie cherche à perturber, voire à saper, les politiques françaises et européennes en Afrique centrale et au Sahel. Moscou déploie dans ces deux pays un dispositif hybride qui mêle l'implantation cœur du pouvoir de la compagnie de mercenaires russe Wagner et la diffusion d'une propagande très hostile à la présence française. Le vigoureux soutien de la marine française à la Grèce durant les quelques semaines où la marine turque a pénétré son espace maritime pour en contester la souveraineté hellène et européenne a montré de façon inédite que l'UE comptait sur la spécificité militaire française pour faire face à des menaces extérieures. Face aux agressions de l'administration Poutine (déstabilisation et morcellement de l'Ukraine pour punir les Ukrainiens de se rapprocher de l'UE ; instrumentalisation de la dictature biélorusse pour provoquer une crise des réfugiés sur la frontière orientale de l'UE ; viol des espaces maritimes, aériens et cyber des États membres de l'UE riverains de la Baltique...), la force de dissuasion nucléaire de la France n'apparaît plus seulement comme une bizarrerie ou un particularisme. Le format Normandie (forum quadripartite de gestion du conflit de l'Est ukrainien) initié par les autorités françaises et allemandes, peut être perçu comme la mise au service de l'intérêt général européen de la tradition diplomatique française de gestion des crises militaires. Cela d'autant plus qu'il s'agit d'une démarche qui n'est pas solitaire mais menée avec l'Allemagne. Il y a certes débat entre, d'un côté, le couple franco-allemand, et, de l'autre, la Pologne et les États baltes sur l'opportunité de dialoguer ou non avec les autorités russes ; pour autant, tous s'accordent à considérer qu'il y a une menace russe et qu'il convient de la parer ensemble. ... et de son plaidoyer pour l'Europe de la défense Le classique plaidoyer des dirigeants français pour une Europe de la défense, quels qu'en soient les contours, est désormais considéré avec plus d'attention et d'intérêt. Puisque l'administration Biden semble encourager les progrès de cette dernière dans le cadre de sa réassurance de l'Alliance atlantique, le chantier de l'Europe de la défense pourrait bien être la plus féconde des nombreuses priorités de la présidence française du conseil de l'UE du premier semestre 2022. L'UE, prix Nobel de la paix en 2012, s'est en sept décennies édifiée en dehors du (voire en opposition au) paradigme de la puissance et du rapport de force. Face au retour de la géopolitique qui bouscule ce fondement de la construction européenne, l'aptitude persistante de la France à l'autonomie stratégique et aux interventions militaires offre à sa classe politique une chance d'être écoutée par ses homologues européennes. En ce sens, la présidence semestrielle du Conseil de l'UE par la France en 2022 est pour le président Macron une opportunité d'en finir avec le stéréotype de l'arrogance française. _______ Par Sylvain Kahn, Professeur agrégé d'histoire, docteur en géographie, Centre d'histoire de Sciences Po, Sciences Po.
  3. Cabirol prévient que si les allemands prennent plus de 30 F-35 les Français l'interprèteront très mal (et donc que si c'est moins ils ne l'interprèterons pas si mal) https://www.latribune.fr/entreprises-finance/industrie/aeronautique-defense/comment-les-etats-unis-ont-impose-le-choix-du-f-35-a-l-allemagne-905804.html
  4. herciv

    Le F-35

    TU es plein d'élégance !! ET non je te montre seulement que ton histoire d'heure pour la RAAF ne peut pas être généralisée partout et que le F635 est incapable de produire autant d'heures que le SUPER HORNET. Même avec la meilleur volonté possible et avec un avion tout neuf la RAAF est incapable de sortir plus de 170 heures/ an. Le F-35 ne peut voler qu'une heure tous les deux jours alors que l'expérience de l'USN montre que faire voler le f-18 tous les jour une heure est quasiment possible. C'est une limite infranchissable ni plus ni moins. Bref pour maintenir en vol un F-35 24h/24 il te faut 48 f-35. Avec un super Hornet il t'en faut 30 ... Vive la QRA parce que le 24h/24 en vol est inaccessible à une flotte de moins de 48 F-35. C'est là où on se dit que les Suisses se sont totalement assis sur les prérequis qu'ils avaient affichés en début de compétition. 4 chasseurs en vol pendant un mois ... Je ne suis même pas sûr que le F-35 soit capable de fournir un sûrcroit d'heures sur peu de temps (Surge).
  5. herciv

    Le F-35

    Oui je sais. Je te montre juste que d'une part tu ne peux pas généraliser uniquement à partir de l'expérience de la RAAF. D'autre part comme chasseur embarqué le SUPER HORNET est un chasseur à tout faire comme le f-35 aurait dû l'être. Juste après l'expérience du VINSON La navy a décidé d'avoir à bord de ses portes-avions plus de chasseur à tout faire SUPER HORNET que de chasseur à tout faire F-35C jusqu'à au moins 2030. l'expérience récente des 40 minutes pour dégager un pont d'envol donne aussi une autre limite. Soit un groupe aéronavale est systématiquement constitué de 2 portes-avions ce qui limite le nombre de flottes possibles. Soit la flotte doit rester à moins de 40 minutes d'une terrain de déroutement. Sans ravitaillement un F-35 tient combien de temps en l'air ? Idem SUPER-HORNET ? et OSPREY, GREYHOUND et tout ce qui ne se pose pas verticalement. L'endurance des F-35 vs SUPER HORNET est un point critique. Sur ce seul point des terrains de déroutement on comprend mieux pourquoi l'USN ne veut que 14 F-35 à bord en plus des problème de place dans les ateliers/Magasins du porte-avion.
  6. herciv

    Le F-35

    Je n'ai pas fait d'affirmation. J'ai bien fait attention à mettre du conditionnel. J'ai quelques copains dans l'aéronaval donc je sais parfaitement comment çà se passe pour les qualification des pilotes. Je remarque par ailleurs que c'était la première sortie opérationnelle de plein de pilotes ainsi que du F-35C et que donc de nombreux processus n'étaient pas au point. Je suis content que tu admettes la nécessité de voler pour de vrai même pour s'entrainer. Cette association de 2 porte-avions à quand même permis d'éviter une situation pire. C'est une référence US Navy. Ils volent 250 heures par SUPER HORNET bientôt 300. C'est une référence LM. Le mois dernier 760 f635 ont volé 10000 heures (comme le mois précédent) soit en moyenne 157 heures par an. En moyenne le super hornet va voler 2 fois plus que le F-35. A mon avis c'est parce que les simulateurs du SUPER HORNET sont moins bien qu'avant si on suit la logique.
  7. herciv

    Le F-35

    Il n'est peut-être pas si facile à piloter quand on voit l'accident du Karl Vinson. Soit l'atterissage automatique n'est pas au point soit le pilote manquait d'expérience et a fait une erreur soit il y a eu un incident technique. Dans tous les cas on a bien eu une situation dans laquelle le pilote a été incapable de sortir son avion. J'imagine que le stress de la vie réel rend les choses bien plus compliquée que sur simulateur ... 40 minutes pour dégager le pont. C'est quand même une sacré performance de l'équipage ... et aussi une sacré remise en cause parce que sans le second porte-avion à côté les choses auraient pu être bien pire ... Et je ne dis pas çà uniquement pour l anavy mais pour toutes les marines opérants un PA.
  8. herciv

    Le F-35

    Quoi qu'il il y a un lien entre nombre d'heures de vol et savoir-faire ?
  9. herciv

    Le F-35

    Parce que le DOT1E ne publie pas alors il est tombé ?? Désolé mais quand j'ai travaillé pour la DGA aucun de mes rapports n'a été publié.
  10. herciv

    L'Inde

    D'une part j'ai l'impression que Modi avait anticipé ce moment mais de l'autre rien ne dit que face aux pressions qu'on voit maintenant il ne va pas devoir choisir.
  11. herciv

    Le F-35

    Valerie Insinna pas contente des deux versions du rapport du DOT&E. Malgré tout elle a vu la version à accès restreint qui n'amène pas grand chose de neuf. Sauf un truc que Valérie lâche à la fin : En outre, une description indiquant que l'Air Force, le Marine Corps et la Navy ont déclaré que toutes les versions du jet étaient prêtes pour les opérations initiales a été supprimée - peut-être parce que cette section indique que le jet est conçu pour survivre et fonctionner jusqu'à environ 2025, soit environ 10 ans après que le F-35B a été déclaré opérationnel. https://breakingdefense.com/2022/03/pentagon-restricted-known-info-about-f-35-in-controversial-controlled-tester-report/
  12. herciv

    L'Inde

    Article très a charge quand même qui voudrait que Modi fasse un choix. Pas sûr qu 'il partira dans ce sens.
  13. herciv

    Le F-35

    RETEX des déploiement F-35 sur le VINSON et le QUEEN ELISABETH. Beaucoup d'attentes de ce RETEX pour le JPO concernant la gestion des stocks. Une corrosion très différente entre les F-35C et le F-35B qui intrigue. https://news.usni.org/2022/03/09/f-35-jpo-evaluating-spare-parts-following-vinson-queen-elizabeth-deployments "La façon dont le pool mondial de pièces de rechange fonctionne et la façon dont les règles commerciales associées à ce pool mondial de pièces de rechange fonctionnent est que les unités opérationnelles bénéficient d'une priorité plus élevée que les unités non opérationnelles lorsqu'il s'agit de l'attribution de pièces et je dirais même de l'expédition de ces pièces", a déclaré Fick. "Ainsi, lorsque le Lincoln, le Vinson et le Queen Elizabeth sont à portée de tir et engagés dans des opérations et des combats, la priorité qui leur est accordée en matière de pièces détachées dépasse celle de n'importe quel site [continental des États-Unis] ou d'entraînement, dans le but de leur donner ce dont ils ont besoin pour atteindre leurs objectifs de combat - à flot ou dans le cadre d'un déploiement. " Compte tenu de l'espace limité à bord d'un porte-avions, M. Fick a déclaré que le JEA veut s'assurer que l'ASP est bien conçu. "Il s'agit de s'assurer que, du point de vue de l'ASP, nous disposons des bonnes pièces et rien de plus, ni de moins, car lorsque vous êtes en mer, vous êtes vraiment une île en soi", a-t-il déclaré. "Je pense que c'est en nous assurant que nous avons les bonnes pièces que nous ferons la différence pour la marine, pour les responsables de la maintenance et pour leur capacité à générer de la puissance aérienne". M. Fick a déclaré qu'il avait été informé des déploiements du Vinson et du Queen Elizabeth. Alors que son équipe s'efforce de résoudre les problèmes de corrosion sur l'ensemble de la plateforme F-35, le JPO a constaté que les F-35B à bord du Queen Elizabeth ont subi beaucoup moins de corrosion que prévu. "Nous finissons en fait par voir des résultats différents à différents endroits, n'est-ce pas. Ainsi, si le Vinson présentait une corrosion surprenante, en même temps, ce que nous avons vu lors du déploiement du Queen Elizabeth était nettement inférieur à ce que l'on avait imaginé", a déclaré M. Fick. "Nous nous efforçons donc de comprendre ces choses, de les creuser. Nous avons des personnes qui travaillent à la fois avec les utilisateurs et avec Lockheed - le fabricant - pour essayer de comprendre les mécanismes, ce qui pourrait conduire aux résultats que nous avons vus différemment sur ces deux plateformes différentes." Certains des joints des F-35C déployés à bord du Vinson n'ont pas fonctionné comme prévu dans l'environnement en mer. Le commandant des forces aéronavales et de la force aéronavale du Pacifique, le vice-amiral Kenneth Whitesell, a déclaré le mois dernier à USNI News que Lockheed Martin avait déjà conçu de nouveaux joints. " Il y a donc un certain apprentissage qui a été fait. Mais ces plates-formes doivent être réévaluées par rapport à la base de référence pour savoir comment elles se sont comportées lors de ce déploiement ", a déclaré Whitesell. Interrogé au sujet de l'attaque sur rampe du F-35C à bord du Vinson en janvier, M. Fick a répondu qu'il n'avait pas connaissance d'une quelconque notification à l'échelle de la flotte à la suite de cette mésaventure, ni de celle du F-35B à bord du Queen Elizabeth en novembre. "Personne ne m'a fait part d'un quelconque besoin de notification à l'échelle de la flotte lié à l'accident du F-35C ou du B que vous suivez probablement tous depuis le Queen Elizabeth ", a déclaré M. Fick. "Rien de ce que j'ai vu jusqu'à présent. Nous continuons à soutenir les enquêtes dans ces cas et s'il en ressort quelque chose qui nécessite une notification de la flotte, je le ferai absolument."
  14. L'agenda de la réunion de demain et après demain à Versailles. https://www.touteleurope.eu/l-ue-dans-le-monde/sommet-europeen-de-versailles-un-ordre-du-jour-bouscule-par-la-guerre-en-ukraine/
  15. Réforme de la bundeswehr ... y'a du rafale et pas qu'un peu. https://warontherocks.com/2022/03/waking-a-sleeping-giant-whats-next-for-german-security-policy/
  16. herciv

    Le F-35

    Finalement il se pourrait que les prix garantits sur le f-35 pour le Lot 14 ne soient plus garantit à cause de la méchante inflation : https://breakingdefense.com/2022/03/f-35-to-get-more-expensive-in-next-deal-program-exec-says/ WASHINGTON : Les prix de la prochaine série de chasseurs d'attaque interarmées F-35 de Lockheed Martin seront probablement plus élevés que les précédents, a déclaré aujourd'hui le responsable du programme F-35 du Pentagone. Toutefois, il est prématuré d'affirmer que le coût de la variante à décollage et atterrissage conventionnels du F-35A, qui est utilisée par l'armée de l'air américaine et la plupart des clients internationaux, dépassera une fois de plus l'objectif de coût de 80 millions de dollars par exemplaire fixé par le Pentagone, a déclaré le lieutenant-général Eric Fick aux journalistes lors d'une table ronde. "Je pense qu'il est probable que nous verrons les coûts augmenter au fur et à mesure. Je pense qu'il est trop tôt pour dire où je pense qu'ils vont finir", a déclaré Fick. Depuis environ un an, Lockheed et le ministère de la Défense sont engagés dans des négociations sur les lots 15 à 17 du F-35, qui comprendront environ 400 appareils destinés à des clients américains et internationaux. RELATIF : La production à plein régime du F-35 ne sera pas réalisée avant au moins un an. Le contrat pour les lots 12 à 14, signé en 2019, comprenait 478 F-35 pour l'armée américaine et des clients internationaux. Selon les termes de l'accord, un F-35A coûtera 77,9 millions de dollars dans le lot 14, la variante à décollage et atterrissage courts F-35B s'élevant à 101,3 millions de dollars et la variante porteuse F-35C à 94,4 millions de dollars au cours de la même période. Il est peu probable que ces prix se maintiennent. De BREAKING DEFENSE Lockheed a clairement indiqué que la hausse de l'inflation et du coût des fournitures pendant la pandémie de COVID-19 a entraîné une augmentation du prix des matériaux qui fait déjà grimper les coûts du jet. Lors d'une conférence téléphonique sur les résultats en janvier, les dirigeants de Lockheed ont également souligné que les mises à niveau du bloc 4 à venir et une commande potentiellement plus petite étaient des facteurs de coûts. "Il s'est avéré plus difficile que prévu de parvenir à un accord sur une base de coûts qui intègre les impacts que nous voyons associés au fait que notre client commande moins d'avions dans les lots 15-17 que dans les lots précédents de 12-14", a déclaré John Mollard, directeur financier par intérim de Lockheed, en janvier, selon Air Force Magazine. Les négociations entre le gouvernement et Lockheed semblent être loin d'être terminées, M. Fick ayant déclaré aujourd'hui qu'il "perdait confiance dans la possibilité de conclure le contrat d'ici la fin du mois, ce qui était notre objectif révisé". "Nous essayons de trouver comment trier les vents contraires et les diriger pour trouver un endroit qui nous permette d'obtenir les avions dont nous avons besoin à un coût que nous pouvons nous permettre, tout en reconnaissant certains de ces défis auxquels Lockheed est confronté", a déclaré Fick. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Ah et puis pas de Full rate production avant la fin 2023 ... EN fait le pentagone n'a pas encore finalisé sa nouvelle timeline. https://breakingdefense.com/2022/03/full-rate-production-for-f-35-is-at-least-another-year-away/
  17. herciv

    Aéronavale US

    Tu as décidément beaucoup de mal avec les dates. L'intervention de LOISELLE date de aout 2021 quand aucune décision n'avait encore été prise. Le propos de LOISELLE était juste de dire qu'il n'y avait encore aucune décision. Maintenant que la décision est prise de passer à 14 (et pas 20) on attend de savoir si la NAVY va en tirer toute les conséquences ... ET là je te rejoins qu'on ne sait pas encore si le nombre total de F-35C sera réduit suite à cette décision. Sachant que cette année 20 F-35C ont été commandé soit un escadron format à 20 il n'est pas impossible quepour le budget FY23 uniquement 8 seront commandés, puis à nouveau 14 pour le budget FY24.
  18. herciv

    Le F-35

    Non il n'a jamais dit çà.
  19. herciv

    Le F-35

    C'est moi qui me suis mal exprimé. Je dis que en 2020 (l'article date de 2020) la RAAF voulait faire durer ses SUPER HORNET jusqu'à 2030. Maintenant compte tenu du nouveau context géostratégique et que le F-35 n'arrive pas à faire les heures de vol dont la RAAF a besoin , je pense que çà va évoluer. Sauf que le context a changé la semaine dernière. Tout le monde veut se réarmer à grande vitesse mais il n'y a pas de capacité de production adaptée. Pour l'instant la seule façon de répondre dans l'urgence ce sont les programmes de SLM.
  20. herciv

    Le F-35

    Là tu me parles de décision prise avant que Poutine ne fasse rentrer le monde dans un temps de guerre. la RAAF va avoir besoin de passer dans une configuration très différente ou les patrouilles seront plus nombreuses.
  21. herciv

    Le F-35

    Merci pour l'article. Donc ce qui était prévu en 2020 c'est 2030 pour les SUPERHORNET et 2035 pour les GROWLER. Moi je pense que la RAAF va devoir annoncer à la fois un glissement (2035 pour le SUPERHORNET et 2040 pour le GROWLER) et une utilisation plus intensive (qu'elle a déjà commencé à mettre en oeuvre) comme l'USN.
  22. herciv

    Le F-35

    Ce n'est pas un problème d'honnêté puisque j'insiste dans mon liminaire sur la confiance en baisse concernant la RAAF. N'oubli pas que ton général a proposé des réponses que l'USN n'a pas repris alors qu'elle utilise des SUPER HORNET. Si tu vois où je veux en venir. Je pense qu'il est très probable que LA RAAF suspende le retrait de service de ses SUPER HORNET et applique un programme de SLM destiné à prolonger la vie des SUPER HORNET et GROWLER à 10000 heures et 300 heures/ an de la même manière que l'USN. La RAAF risque d'être déclassée dans la région avec autant de Rafale autour d'elle.
  23. herciv

    Le F-35

    Donc là la navy exprime un rêve humide. Whitesell a répondu que dans la réalité et jusqu'à 2030 les escadron de F-35C seraient à 14 chasseurs, que les SUPER HORNET auront une durée de vie prolongé à 10000 heures et qu'il feront 300 heures (au lieu de 250 maintenant). Bref la navy ne compte pas trop sur les simulateurs du F-35 pour faire des heures de vol ni sur un besoin opérationnel réduit comme a RAAF ... Peut-être que la navy est plus dans la réalité et que elle ne cherche pas à justifier ses erreurs seulement à trouver des solutions. Il reste combien de superhornet / Growler à la RAAF ? Parce que il semble qu'il soit utilisé au-delà de leur potentiel non ? Ils pourraient peut-être profiter du programme de SLM de l'USN ? Moi je dis çà, je dis rien ...
  24. herciv

    Le F-35

    Soupe à la grimace en Australie. Bon article résumant bien les problèmes d'avoir différente version du f-35 rapidement obsolète. https://theconversation.com/australia-spent-billions-on-jet-fighters-off-the-plan-now-were-having-trouble-even-flying-them-177156 "Il y a un problème avec le tout nouvel avion de chasse australien : il n'est pas très fiable. En conséquence, il vole environ 25 % de moins qu'il ne devrait. Moins de vols signifie moins de pilotes bien formés, mais cela laisse également entrevoir d'autres problèmes qui se cachent en arrière-plan. Tous ceux qui achètent une maison ou un appartement sur plan savent qu'il peut y avoir des surprises en cours de route. Il en va de même pour les avions de chasse australiens. Pourquoi l'Australie a acheté ces avions L'Australie s'est engagée à acheter ses nouveaux chasseurs F-35 hors plan en 2002. À l'époque, le F-35 n'était encore qu'une étincelle dans les yeux des responsables marketing de Lockheed Martin. Les États-Unis et plusieurs pays européens avaient chargé l'entreprise aérospatiale de concevoir, construire et fabriquer le F-35, la première étape étant un prototype. Le plan de l'Australie prévoyait l'achat de quatre escadrons - soit environ 72 jets au total - pour un coût d'environ 16 milliards de dollars australiens. Le F-35 était destiné à remplacer les chasseurs Hornet et les bombardiers F-111 vieillissants de l'armée de l'air. Et en 2002, alors que les guerres du Moyen-Orient faisaient rage, un chasseur furtif à courte portée semblait plus qu'adéquat. Mais en 2010, avec la montée en puissance de la Chine, il est devenu évident qu'il s'agissait d'une mauvaise stratégie. Rétrospectivement, l'une des principales erreurs commises a été de considérer le F-35 comme un simple avion de remplacement, sans évaluer au préalable l'évolution de l'environnement stratégique. Mais à ce moment-là, trop d'argent avait été englouti dans le programme F-35 pour changer de cap. Ensuite, le développement du F-35 a pris du retard, et les premières tranches de la flotte australienne n'étaient pas prêtes à être déployées en opérations avant décembre 2020. Cela signifie que les F-35 australiens ne semblent pas être aussi performants que leurs adversaires potentiels. Il semble que l'Australie paie pour perdre la bataille du combat aérien. La seule solution : une autre mise à niveau Quelle est donc la solution à ces problèmes apparemment insolubles et d'un coût exorbitant ? Lockheed Martin préconise une mise à niveau majeure du logiciel du système d'exploitation : le Block 4. Il n'est pas surprenant d'apprendre que ce projet a maintenant plusieurs années de retard, la livraison étant prévue en 2027 ou plus tard. Le budget est également largement dépassé. Petite bonne nouvelle, les neuf derniers F-35 australiens qui sortiront des chaînes de production l'année prochaine pourraient être partiellement compatibles avec le bloc 4. M. Hinote pense que ces F-35 pourraient être capables de combattre des adversaires de premier ordre. La mauvaise nouvelle est que la mise à niveau complète du bloc 4 nécessite désormais une mise à niveau majeure du moteur, voire un nouveau moteur. Cela signifie donc que la flotte actuelle de F-35 de l'Australie pourrait ne pas être en mesure d'utiliser tous les logiciels du bloc 4 avant 2030 - et à un coût substantiel. Acheter une nouvelle mise à niveau extrêmement coûteuse pour un avion de combat flambant neuf est en fait la solution la moins chère. L'armée de l'air américaine se concentre déjà sur les avions modernisés du bloc 4. Les pays comme le nôtre, qui possèdent des F-35 plus anciens, devront se débrouiller seuls s'ils n'adoptent pas eux aussi la nouvelle technologie. Mais les coûts ne cessent d'augmenter, et les problèmes de ces avions F-35 ne semblent pas s'arrêter. C'est le prix à payer pour acheter hors plan, ce que toute personne ayant acheté une maison ou un appartement connaît sûrement. Des problèmes qui s'aggravent La construction de l'avion s'est avérée plus difficile que prévu, ce qui a inexorablement entraîné une hausse des coûts. Une grande partie de l'argent qui aurait dû être consacré à la construction du système de soutien à la maintenance a été utilisée pour tenter de résoudre les problèmes matériels et logiciels persistants de l'avion. En conséquence, il y a maintenant moins de dépôts pour réparer les pièces cassées et moins de pièces de rechange qu'il ne devrait y en avoir. L'Australie n'a que peu de contrôle sur cette situation. La solution de soutien global (GSS) des États-Unis est utilisée pour maintenir la flotte de F-35 australienne en état de marche. Le GSS gère les pièces de rechange, la maintenance, le soutien de la chaîne d'approvisionnement, les systèmes de formation et l'ingénierie. Mais le programme est nouveau, ce qui crée des problèmes à la fois maintenant et au cours de la prochaine décennie. Un deuxième problème aggravant découle de la lenteur du processus de développement : les avions à réaction F-35 ont été construits à différents moments au cours des dix dernières années, dans sept configurations différentes. Imaginez que le personnel de maintenance doive réparer des appareils individuels dans une grande flotte sans configuration standard unique. Chaque réparation est une aventure - et une expérience d'apprentissage. La complexité de la configuration, l'insuffisance des pièces de rechange et la lenteur des délais de réparation des pièces de rechange signifient qu'il y a moins d'avions en état de marche sur la ligne de vol aujourd'hui que ce qui était prévu il y a seulement deux ans. En 2019, le ministère de la Défense a estimé que la flotte de F-35 effectuerait 11 800 heures de vol au cours de l'exercice 2021-22. Le chiffre réel, cependant, est inférieur de 3 000 heures à ce chiffre. En termes simples, il manque à l'Australie les heures de vol nécessaires pour que l'équivalent d'un escadron de pilotes soit prêt au combat. Cette situation est très préoccupante, car l'Australie ne dispose que de trois escadrons de F-35 opérationnels au total. Des mises à niveau permanentes à un coût énorme Une solution parfaite à ce problème n'est probablement pas possible. Par exemple, les deux avions F-35 que l'Australie a achetés en 2013 pour plus de 280 millions de dollars australiens sont désormais sans doute trop vieux pour être mis à niveau avec la configuration actuelle. En termes de vol de missions de combat, ces deux appareils sont obsolètes. L'US Air Force craint que ses F-35, tout aussi vieux, ne soient plus que des avions d'entraînement au coût écrasant. Il est prévu de moderniser la majeure partie de la flotte australienne pour qu'elle soit globalement similaire à la flotte américaine, mais cela coûtera encore plus cher. Il peut sembler étrange de devoir payer un supplément pour mettre à niveau un avion tout neuf à la livraison, mais ce n'est pas la fin des problèmes. Il existe une autre complication. Les derniers F-35 australiens (ainsi que les anciens appareils mis à niveau) utilisent le logiciel Block 3F, un système d'exploitation numérique conçu par Lockheed Martin. Ce système s'avère tout aussi coûteux à mettre à jour que les jets eux-mêmes. Le lieutenant-général S. Clinton Hinote, chef d'état-major adjoint de l'armée de l'air américaine, est très préoccupé par la vétusté de ce logiciel, le bloc qui sort de la chaîne en ce moment n'est pas un bloc qui me rassure pour affronter la Chine et la Russie. Il a souligné que les récents jeux de guerre étaient axés sur la perspective de défendre Taïwan contre les attaques aériennes chinoises. Chaque [F-35] qui sort de la chaîne aujourd'hui est un chasseur que nous ne prendrions même pas la peine d'utiliser dans ces scénarios. Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)
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