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herciv

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Tout ce qui a été posté par herciv

  1. As-tu jamais supposer que VZ soit conseillé et écoute Macron ? C'est une hypothèse bien sûr mais elle est plausible compte tenu de la fréquence de leurs appels. Je te reprend quelques élements : - Match VZ contre Zalujni : gagant VZ alors que Zalujni est mis en avant au US - Match VZ contre commendement US : gagnant VZ - Match VZ contre VP et Trump : gagnant VZ - On aurrait donc match Biden vs Macron gagné par Macron et forcément match Trump / Macron remporté par Macron Trump ayant refusé de jouer le match. Bon la main invisible tout çà .. Mais on peut aussi estimer que les conseils sont bons et ont permis à VZ de survivre à bien des coups fourrés. Pour l'instant il a la légitimité de sa population et de la coalition et tout çà après 3 ans de guerre. Pas trop mal pour un chanteur de cabaret.
  2. Avec une telle phrase il est clairement envisagé que cette Coalition se substitue à l'OTAN à un moment ou à un autre. La présence du Japon et de la Turquie se comprend bien dans ces conditions.
  3. C'est cool maintenant que j'ai un nom faire des recherches va beaucoup plus vite. J'utiliserai ce post pour vérifier les changements de posture et comprendre l'escalade qui se met en place : https://fr.euronews.com/my-europe/2025/04/03/tout-ce-que-nous-savons-a-ce-jour-sur-la-coalition-des-volontaires-pour-lukraine Tout ce que nous savons à ce jour sur la "coalition des volontaires" pour l'Ukraine L'élément central de la coalition est une force de réassurance qui sera composée de soldats occidentaux et visera à terme à être déployée sur le sol ukrainien. "L'Europe, dans son ensemble, n'a pas été aussi forte et unie depuis très longtemps". C'est ainsi que Keir Starmer, premier ministre du Royaume-Uni, a décrit les efforts diplomatiques déployés pour réunir une "coalition des volontaires" afin de préserver un accord potentiel mettant fin à la guerre de la Russie contre l'Ukraine, une tâche qui a pris une urgence soudaine après que Donald Trump a pris l'Europe au dépourvu en lançant unilatéralement des négociations avec Vladimir Poutine. Depuis cet appel téléphonique de 90 minutes le 12 février, le continent s'efforce de réaffirmer sa position dans l'enchaînement rapide des événements afin de s'assurer que sa voix est entendue et que ses intérêts sont pris en compte. Parmi ceux-ci figure la nécessité impérative de garantir la survie de l'Ukraine en tant que nation indépendante et souveraine et de freiner l'agenda expansionniste de Poutine, dont beaucoup craignent qu'il ne se poursuive sans contrôle si son invasion l'emporte. Pour ce faire, il faudra un accord de paix qui tienne la route et qui dure. Or, l'Europe se méfie profondément de la Russie, qui n'a pas respecté les engagements pris dans le cadre des accords de Minsk visant à mettre fin à la guerre dans le Donbass. Cela explique pourquoi cette fois-ci, avec le conflit le plus sanglant sur son sol depuis la Seconde Guerre mondiale, l'Europe se rassemble à une échelle plus grande et plus audacieuse pour éviter que le passé ne se répète. "Notre objectif est clair : garantir la paix", a déclaré le président français Emmanuel Macron la semaine dernière, après avoir accueilli un sommet des dirigeants à Paris. "Pour ce faire, nous devons mettre l'Ukraine dans la meilleure position possible pour négocier et veiller à ce que la paix négociée soit solide et durable pour les Ukrainiens et tous les Européens." Voici tout ce que nous savons à ce jour sur la "Coalition des volontaires". Qui fait partie de la coalition ? Les germes de la coalition ont été plantés le 17 février, lorsque Macron a convoqué une petite réunion de dirigeants en réaction à l'appel téléphonique entre Trump et Poutine. Le choix des invités, triés sur le volet, laissait penser qu'un nouveau format politique était sur le point d'émerger. Moins de deux semaines plus tard, le 2 mars, alors que l'Europe était encore sous le choc de la rencontre désastreuse que le président Volodymyr Zelensky avait vécue dans le bureau ovale, Keir Starmer a organisé une deuxième réunion des dirigeants à Londres, avec une liste plus longue de participants. À l'issue de ces délibérations très suivies, le premier ministre a déclaré publiquement la naissance d'une "coalition de volontaires", codirigée par la Grande-Bretagne et la France. Le sommet de la semaine dernière à Paris a encore élargi le nombre de participants. Outre Macron, Starmer et Zelensky, le sommet a rassemblé les dirigeants de la Belgique, de la Bulgarie, de la Croatie, de Chypre, de la République tchèque, du Danemark, de l'Estonie, de la Finlande, de l'Allemagne, de la Grèce, de l'Islande, de l'Irlande, de l'Italie, de la Lettonie, de la Lituanie, du Luxembourg, des Pays-Bas, de la Norvège, de la Pologne, du Portugal, de la Roumanie, de la Slovénie, de l'Espagne et de la Suède. La Turquie a envoyé son vice-président, Cevdet Yılmaz, tandis que l'Australie et le Canada étaient représentés par leurs ambassadeurs respectifs en France. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, António Costa, président du Conseil européen, et Mark Rutte, secrétaire général de l'OTAN, étaient également présents, ajoutant une dimension plus large aux discussions. Au total, 33 délégations. M. Starmer avait déjà mentionné le Japon et la Nouvelle-Zélande comme faisant partie de la coalition, même si ces deux pays n'ont pas participé à la récente réunion de Paris. Qui ne fait pas partie de la coalition ? Il est clair que la majorité des participants à la coalition sont également membres de l'Union européenne, que l'Ukraine souhaite rejoindre un jour. Il y a cependant quelques exceptions qui attirent l'attention. Malte et l'Autriche n'ont jusqu'à présent pas participé aux réunions en raison de la neutralité de leur pays. En revanche, l'Irlande, également neutre, était présente à Paris. "Nous sommes prêts à faire tout ce qui est en notre pouvoir pour aider", a déclaré Micheál Martin, le Taoiseach, en mars. La Hongrie et la Slovaquie sont les autres pays de l'UE qui n'ont pas rejoint la coalition. Ils ne sont pas neutres - tous deux sont en fait membres de l'OTAN, - mais sont en profond désaccord sur l'approche européenne de la guerre. La Hongrie et la Slovaquie s'opposent à l'envoi d'une assistance militaire à l'Ukraine, qu'elles considèrent comme une escalade. Viktor Orbán a franchi un nouveau palier dans son opposition en bloquant à deux reprises les conclusions communes de l'UE sur l'Ukraine, bien que la Slovaquie ait approuvé le texte. La Suisse, État neutre de longue date, et les six pays des Balkans sont également restés à l'écart des discussions. La coalition est codirigée par Emmanuel Macron et Kier Starmer.Ludovic Marin/AP Sur quoi la coalition travaille-t-elle ? La "coalition des bonnes volontés" a établi "trois domaines de travail", a expliqué M. Macron à la fin du sommet à Paris. Tout d'abord, la poursuite du soutien aux forces armées ukrainiennes, que Kyiv et l'Europe considèrent comme la première garantie de sécurité pour dissuader l'agression russe. Le rapprochement entre Washington et Moscou a déjà donné lieu à de nouvelles promesses de dons militaires de la part des pays européens, qui se concentrent sur l'artillerie, les systèmes de défense aérienne, les missiles, les drones et la formation. Deuxièmement, la création d'une toute nouvelle force de réassurance qui pourrait être déployée sur le sol ukrainien comme garantie de sécurité supplémentaire. M. Macron s'est empressé de préciser que cette force n'agirait pas comme une mission de maintien de la paix stationnée le long de la ligne de front. Cette tâche, a-t-il suggéré, devrait incomber aux Nations unies ou à l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). Au lieu de cela, la force de réassurance sera basée dans "certains lieux stratégiques" du pays, tels que les villes, les ports et les centrales électriques, et agira comme une "force de dissuasion" contre la Russie. Les troupes occidentales pourraient être déployées sur terre, dans les airs et en mer. "Rien n'est exclu à ce stade", a déclaré le président français à la presse. En mettant en place cette nouvelle force, la coalition sera "prête à rendre opérationnel un accord de paix quelle qu'en soit la forme précise", a déclaré M. Starmer. "Il s'agit d'une force conçue pour dissuader (et) envoyer un message à Poutine selon lequel cet accord sera défendu", a-t-il ajouté. "C'est la meilleure description que l'on puisse en faire. Le troisième domaine de travail concerne le renforcement des capacités de défense de l'Europe. La Commission européenne a proposé un nouveau plan visant à mobiliser jusqu'à 800 milliards d'euros de nouveaux investissements pour la défense, dont l'Ukraine devrait bénéficier. Combien de pays ont engagé des troupes ? La question de l'envoi de troupes sur le terrain plane sur la coalition depuis sa première réunion. Aujourd'hui, elle continue de diviser malgré l'intérêt politique qu'elle a suscité. Jusqu'à présent, seuls la France et le Royaume-Uni se sont officiellement engagés à fournir des soldats dans le cadre de la force de réassurance. La France et le Royaume-Uni sont les seuls pays européens dotés d'armes nucléaires. Ils sont tous deux membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies. "Il n'y a pas d'unanimité sur ce point", a admis M. Macron. "Certains États n'ont pas la capacité de le faire, d'autres n'ont pas le contexte politique qui leur permet de le faire". D'autres membres de la coalition devraient s'engager à envoyer des troupes à mesure que les pourparlers progressent. La Suède, le Danemark et l'Australie ont publiquement exprimé leur volonté d'envisager l'envoi de leurs soldats en Ukraine dans le cadre d'une mission internationale. Plus récemment, la Belgique a déclaré qu'il serait "logique" de participer "si l'Europe décide de le faire". En revanche, la Pologne et la Grèce, deux des pays européens qui dépensent le plus en matière de défense, ont déjà déclaré qu'elles n'enverraient pas de soldats sur le terrain en raison des menaces auxquelles elles sont confrontées dans leur voisinage (la Biélorussie dans le cas de la Pologne, la Turquie dans le cas de la Grèce). La première ministre italienne, Giorgia Meloni, a également rejeté cette possibilité, mettant en doute l'"efficacité" de la proposition franco-britannique. "À mon avis, elle est très difficile à mettre en œuvre", a-t-elle déclaré le mois dernier. Entre-temps, la Russie a protesté à plusieurs reprises contre tout plan prévoyant l'installation de troupes occidentales à l'intérieur de l'Ukraine. Mais ces plaintes n'auront aucune incidence sur les délibérations de la coalition, ont déclaré M. Macron et M. Starmer. "Ce n'est pas la Russie qui choisira ce qui se passera sur le territoire ukrainien", a déclaré M. Macron. "Nous savons ce que veut la Russie. Elle veut une Ukraine sans défense", a déclaré M. Starmer. L'armée ukrainienne restera la première garantie de sécurité, a convenu la coalition.Oleg Petrasiuk/Ukrainian 24th Mechanized brigade Les États-Unis seront-ils impliqués d'une manière ou d'une autre ? En l'état actuel des choses, les États-Unis ne sont pas membres de la "coalition des volontaires". En fait, la principale raison pour laquelle cette coalition existe est que M. Trump a rompu le front uni de trois ans entre les alliés et a fait cavalier seul pour lancer les négociations avec M. Poutine. Toutefois, le groupe espère toujours que les États-Unis s'impliqueront à un moment donné dans le processus et fourniront une assistance à la force de réassurance, comme la protection aérienne ou le partage de renseignements. Cela incitera probablement d'autres pays à engager des troupes supplémentaires. C'est ce que l'on appelle le "filet de sécurité américain", auquel M. Starmer a fait référence à plusieurs reprises. "Comme je l'ai toujours dit, cela nécessitera l'engagement et le soutien des États-Unis", a déclaré M. Starmer. "C'est une discussion que nous avons eue avec le président américain à de nombreuses reprises". Les dirigeants britannique et français ont été en contact régulier avec M. Trump pour le tenir informé des progrès réalisés par la coalition. Ils décrivent leur travail comme étant dans l'intérêt de l'Europe et de l'Amérique, car il permettra de sauvegarder l'accord de paix recherché par M. Trump. Malgré les nombreuses ouvertures diplomatiques, y compris les visites à la Maison Blanche, rien n'indique que les États-Unis fourniraient le fameux "backstop". Au contraire, l'administration Trump a suggéré une réduction progressive des troupes américaines en Europe. "Il y a un manque de clarté sur la nature des engagements américains pour le jour d'après", a déclaré M. Macron. "Nous devons espérer le meilleur mais nous préparer au pire". Related Emmanuel Macron annonce une aide militaire supplémentaire de 2 milliards d'euros pour l'Ukraine La "coalition des volontaires" exhorte Poutine à accepter un cessez-le-feu en Ukraine Guerre en Ukraine : Emmanuel Macron propose la création d'une mission onusienne Quelle est la prochaine étape pour la coalition ? Après les sommets de haut niveau de Paris et de Londres qui ont permis d'élargir le nombre de ses membres, la coalition se concentre sur les détails de la force de réassurance. Le président Zelensky a invité des représentants militaires à se rendre en Ukraine et à entamer des discussions techniques pour concrétiser le projet abstrait. "Nous avons besoin de décisions opérationnelles claires et d'une vision commune du futur système de sécurité", a-t-il déclaré aux dirigeants la semaine dernière. Selon Zelensky, les questions auxquelles il faut répondre sont les suivantes : "Quels pays déploieront des soldats sur terre, dans les airs et en mer ? Où ces soldats seront-ils exactement localisés ? Quelle sera la taille de la force de réassurance ? Quelle sera sa structure ? Comment la force réagira-t-elle en cas de menace de la part de la Russie ?" Le président ukrainien a posé une autre question : "Quand notre coalition déploiera-t-elle réellement des forces en Ukraine : au début du cessez-le-feu ou une fois que la guerre sera complètement terminée et qu'un accord aura été conclu ?" Le résultat de ce travail devrait être présenté aux dirigeants lors d'un prochain sommet, bien qu'aucune date n'ait encore été annoncée. Selon l'AFP, les ministres de la Défense de la coalition doivent se réunir le 10 avril à Bruxelles.
  4. "Dont on ne dira jamais" tu as tout dit. Dans l'escalade un des point important est la visibilité du coup joué. C'est pour çà que je ne confond pas les actions menées par les FS avec les action menée par les FS et annoncées par le MINARM. SI le coup est jouées sous le seuil de visibilité par définition on ne peut pas te l'attribuer.
  5. Allez un petit coup d'échec. A mon sens celui-là sert : à donner un nom à la coalition, a montrer les joueurs qui jouent la partie (ici la Finlande) et enfin à donner une légitimité à ceux qui vont mener la partie. Via zonebourse
  6. Euh je crois avoir été clair pourtant. la RU n'a plus le même temps devant lui pour faire ce qu'il veut depuis que l'Europe a décider de rentrer dans l'arène. Si la RU veut prendre l'Ukraine à partir de maintenant elle doit trouver un allié pour ouvrir un front ailleurs et divertir les moyens Européens. Avant cette décision européenne, le maitre des horloges était Poutpout puisqu'il avait l'avantage grâce à la taille de son armée. Maintenant cet avantage va rapidement disparaitre au profit de l'Europe qui n'est plus freinée par les US. Les US ont fait l'erreur d'élire un mauvais joueur d'échec qui n'a rien compris à l'utilité de la notion d'escalade. Ca ce sont des notions stratégique militaires Les notions d'évènements existentiels et fondateurs sont des notions politiques à ne pas mélanger donc. Elles sont importantes parce que elles permettent de cimenter les européens sur un même objectif.
  7. Désolé je ne suis pas une IA. Je met un peu de temps à forger mes opinions et à comprendre les tenants et les aboutissants des informations qui nous arrivent. DT a des constantes qu'il a exprimé il y a longtemps (première mandature) et qu'il a repris. Il a aussi de l'insconstance quand il utilise ses tarifs pour obtenir des avancés sur autre chose.
  8. Je suis d'accord. Le problème fondamental est le temps. L'Europe doit encore se renforcer sur plusieurs segments et surtout comme tu le disais dans ta réponse à stark il faut mobiliser les coeurs. C'est l'un des intérêt majeur d'une gestion en escalade et pas en ligne rouge. Plus le temps passe plus l'Europe renforce ses moyen de virer Poutine. ET si poutpout ne peut pas l'emporter il devient un problème pour son pays et risque l'accident de parapluie. Poutine ne peut pas l'emporter contre l'Europe son armée est trop mauvaise. Elle est contenue par les ukrainiens. Mais forcément il faut que les pékins européens acceptent la réalité de cette guerre et les conséquences sur l'engagement à avoir.
  9. J'espère qu'il a quelques mines à vendre à Trump pour qu'il accélère le tempo avec le Groenland. Sinon il faudra qu'il propose son chien.
  10. Non c'est de l'escalade décidée par les capitales européennes et vue comme c'est partie poutpout va avoir beaucoup de mal à la contrôler sans aide extérieure.
  11. Non maintenant que l'Europe a commencé à envoyer des hommes sous uniformes en Ukraine, l'opportunité de Poutine pour prendre ce pays ou simplement une partie de ce pays va se fermer. L'objectif européen a été annoncé : rétablir l'Ukraine dans ses frontière de 2014.
  12. A bah c'est sûr que maintenant que l'Europe rentre franchement dans l’arène militaire, la fenêtre d'opportunité de Poutine va commencer à se fermer. Déjà que ses armés avancent à la vitesse de l'escargot contre un pays 3 fois plus petit... à moins d'une révolution stratégique contre l'Europe sur un autre front et par un autre pays.
  13. herciv

    La Force aérienne suisse

    Il faut bien avouer qu'il est totalement imprévisible dans le contenu exacte. Mais par contre il est prévisible quand on regarde ce qu'il avait mis en place à sa première mandature. D'autre part et c'est ce que je cherche à faire comprendre depuis longtemps, il n'est pas sûr qu'il y ait un retour en arrière possible quand on voit comment sa politique a un soutien important actuellement. Je ne suis même ^pas sûr que la démocratie là-bas ne soit pas secondaire par rapport à son maintien au yeux de bien des citoyens.
  14. Eh oui, il y a loin de la coupe aux lèvres. N'empèche que Trump fini toujours par faire ce qu'il annonce. La seule chose à comprendre de tout çà c'est que le Canada et le Groenland ont un peu de temps devant eux mais que la stratégie politique pour les réduire est déjà déployée. Je pense en outre que les US ont un problème avec l'accès à la méditerranée qu'ils risquent de perdre si ils sont trop vindicatifs avec l'Europe. La méditerranée est vital pour assurer la survie d'Israël. D'ailleurs comme il n'y a pas de hasard Trump a papoté avec Sissi la semaine dernière. Pas sûr que Sissi lui ait donné beaucoup d'espoirs.
  15. Déjà on ne sait pas la qualité des observateurs envoyés. J'avais dit généraux histoire de te faire comprendre que le but n'était pas le terrain mais le fait que ces gens soit en uniforme militaire non ukrainiens et pendant une durée suffisamment longue pour que çà ressemble à un début d'installation et suffisamment courte pour que Poutine ne puisse pas prendre de vrai mesures politiques contre cette mission.
  16. ??? Des généraux c'est pas des observateurs ? A la limite si tu comprend pas c'est pas grave. Le message il est pour Poutine.
  17. Concernant l'article du NYT, il est intéressant à plus d'un titre. Clairement son objectif est de déstabiliser VZ. Pourtant il n'a eu aucun impact sur la stratégie européenne. Systématiquement VZ a été légitimé à son poste par la plupart des pays européens. Ca montre simplement que la stratégie adoptée par l'Europe concernant l'Ukraine n'est plus écrite aux USA. Concernant le fond maintenant. A aucun moment le NYT ne s'est interrogé pour savoir si VZ prenait ses conseils auprès des seuls US. Pourtant on sait que VZ et Macron s'appelle quasiment tous les jours. Je ne suis pas sûr que çà soit pour parler petits gâteaux. Auprès de VZ, La ligne USA porté par Biden a échoué par rapport à la ligne France portée par Macron. VZ n'est pas seul contrairement à ce que le NYT veut faire croire.
  18. C'est existentiel et fondateur. Existentiel parce que nul ne sait si Poutine compte s'arrèter là et tant que ses troupes se font carboniser en Ukraine elles ne le sont pas sur un autre front, les pays baltes par exemple. Fondateur parce que après le départ des USA il faut bien créer une nouvelle dynamique et cette dynamique ne peut s'appuyer que sur de l'existant. Clairement les deux pays nucléaires de l'Europe doivent montrer l'exemple. Ensuite il n'y a pas d'empressement. Au contraire il y a un contrôle du timing qui va se vérifier dès demain avec l'envoi de simples observateurs sous drapeaux UK et FRA pendant une semaine et pas plus. Je ne sais pas qui a eu l'idée d'une seule semaine et de juste UK et FR mais c'est vraiment un signal envoyé à Poutine. Clairement le but est de gérer nous même l'escalade en rentrant dans l'arène avec une politique de petits pas que Poutine aura du mal à maitriser. Le but est de maitriser le temps pour reconstituer les capacités militaires de l'UE et de ses alliés. Dans cette dynamique il est important que les pays volontaires ne se déclarent pas trop vite. Le cas de la Pologne et des pays baltes par exemple. Ils sont concernés en priorité et n'ont pas du tout envi de voir l'armée russe à leur frontière. Pourtant ils ne fournissent aucune troupe. La stratégie à l’œuvre est évidente. "Chacun son tour et surtout prenez votre temps". Tout ceci me parait parfaitement coordonné à l'échelon européen et Poutine aura du mal a briser cette stratégie.
  19. EN ces temps de guerre qui guette je pense que c'est une bonne décision quant aux capacités disponible de Dassault et au risque que la prod à destination de la Colombie soit affectée à quelqu'un d'autre.
  20. AH oui quand même. Ils avaient viré les fonctionnaires chargés de çà et ont mis des clowns ?
  21. SI l'économie mondiale fini en bloc comme elle semble s'y diriger, il faudra bien se doter d'une stratégie allant dans ce sens.
  22. St Pierre et Miquelon a 50%. Je sais pas ce qu'ils exportait vers les US. Leur pèche ?
  23. Musk sur le départ : Elon Musk pourrait quitter prochainement son poste au sein du gouvernement américain, selon Politico https://www.lefigaro.fr/international/elon-musk-pourrait-bientot-quitter-son-poste-au-sein-du-gouvernement-americain-selon-politico-20250402
  24. https://www.lefigaro.fr/les-etats-unis-retirent-son-visa-au-prix-nobel-oscar-arias-qui-denonce-un-signe-de-l-autocratie-americaine-20250402
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