-
Compteur de contenus
25 744 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
73
Tout ce qui a été posté par herciv
-
C'est vrai que quelque part c'est le point important. BOn apparemment mon latin et ton latin se ressemble ce qui est une bonne nouvelle. Mais je voudrais savoir si ce terme a bien été utilisé officiellement ou simplement par le journaliste.
-
Donc "Sine Die" serait bien une interprétation du journaliste un brin moqueur quant à son gouvernement ?
-
Donc soit c'est moi qui est râté quelque chose soit c'est le journaliste, soit c'est le KERN. A vue de nez "sine die" n'a pas été évoqué officiellement mais je peux me tromper.
-
C'est juste que je suis cablé (plus ou moins bien faut bien avouer) comme un cartésien. Octobre veut dire que ce n'est pas sine die ou l'inverse, mais les deux en même temps ça colle pas.
-
Comment fonctionne ce comité restreint (KERN). Il est convocable de façon exceptionnelle, ou pour préparer des évènements comme un budget (comme ici) (convocation ordinaire) ? "Un point important encore : le dossier "F16" n'a pas obtenu de consensus. La N-VA avait souhaité mettre sur le table des négociations le très sensible choix de l'avion de chasse qui remplacerait les F-16 belges. Le F-35 et l'Eurofighter sont en compétition mais les Français de Dassault étaient arrivés en dehors des règles d'attribution du marché pour vendre leur Rafale. Les nationalistes flamands (et le ministre de la Défense Steven Vandeput) ont dit, à plusieurs reprises, qu'ils voulaient rester dans les règles initiales et qu'ils ne voulaient pas de l'offre française. Le Premier ministre Charles Michel, par contre, semblait vouloir prendre en compte Dassault dans le choix final. La N-VA espérait donc précipiter la décision - qui peut attendre jusqu'octobre - en la faisant passer durant ce conclave. Mais cette tactique n'a pas fonctionné manifestement... " La question n'a même jamais été évoquée durant les réunions ", confie une source." Je suis un peu perdu, pourquoi on évoque d'un côté octobre et de l'autre on dit report "sine die". C'est contradictoire non ?
-
Cet accord de gouvernement s'est fait en KERN ?
-
Toi qui aime les signaux faibles, qu'un des principaux relais d'opinions du F-35 commence à émettre des réserves ça ne te pose pas question ?
-
La guerre de l’ombre des Français en Afghanistan 1979-2011
herciv a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
Je peux te dire que mon père a commandé le MONTCALM pendant la guerre en Yougoslavie. Il a eu à arraisonner et détruire un gros YATCH de plaisance appartenant apparemment à un trafiquant. L'équipage a été ramené à terre et remis aux autorités ni plus ni moins. -
Comme pour ta voiture ou ton PC, à un moment si tu négliges ton matériel et bien il marche moins bien. Autrement dit l'USAF subit ce que toute les armées du monde subissent : un problème de choix entre investissement dans du nouveau matos et entretien de l'existant. Et ce problème de choix est amplifié par le retard de certain matériel et donc le besoin de maintenir du matériel de plus en plus vieux.
-
Oui, oui il commence bien son article en réaffirmant haut et clair son statut de lobbyiste pro LM. Un lobbyiste pro f-35 qui se défend commence d'abord par nier toute concurrence donc ... Mais c'est après qu'on sent que sa ferveur commence à décliner. Le fond de son article c'est quand même "vachement bien toutes ces perf du f-35, mais elles nous serviront à quoi si on est dépassé par les chinois et les russes à cause de l'obsolescence du bouzin ?" @Picdelamirand-oil Ce monsieur semble être le chantre de la communication de LM. Pour que ce monsieur commence à émettre des doutes c'est qu'il y a un ver dans le fromage (une c**ille dans le pâté) ou alors il n'a pas reçu ses derniers pourboires de LM ?
-
[BREXIT]
herciv a répondu à un(e) sujet de Gibbs le Cajun dans Politique etrangère / Relations internationales
On part sur un Brexit très dur alors : fermeture hermétique des frontières, pas d'accord sur le marché entre les deux côté de la manche, non appurrement des dettes bien que May a reprécisé qu'il était hors de question que le RU ne paye pas, et frontière Irlandaise de merde ? -
On est bien d'accord que les choses ne sont pas aussi simples que ce que j'ai dit au-dessus. Mais à la base il y aura les spécifications Franco-Allemande. En dehors point de salut. Après le reste est histoire de partage de Valeur-ajoutée, de compétences existantes ou à acquérir. Si le marché est suffisamment vaste alors il y aura du taf pour tout le monde. Maintenant il y a certains joyaux de la couronne qui seront forcément négocié pied à pied (exemple spectra).
-
Il semble que LOREN THOMPSON soit un hardent supporter de LM (lobyiste de LM selon f-16.net) et du f-35 mais là il commence à prendre du recul (d'après SNAFU) et prévenir que le nombre de f-35 commandé pourrait ne pas être si élevé.
-
Il y aura plus de partenaires dans le programme. C'est immanquable. Mais ces partenaires ne pourront rentrer que si ils sont d'accord sur la définition du SCAF. Maintenant rien n'empèche d'avoir deux motoristes, un pour les allemand, un pour les français, pareil pour tout le reste. On parle d'un systeme de systemes. Donc à la limite tant que tout ce petit monde est synchronisé et bien pas de problème pour même accepter le TEMPEST.
-
Voici un article écrit dans le forbes par Loren Thompson un analyste de la défense qui semble très connu outre atlantique. Son point de vue est intéressant car il ne nie pas les avancées technologique du f-35. CE qu'il met en lumière c'est que le f-35 va devenir obsolète très vite et que s’entêter à le financer risque d'handicaper sévèrement tous les services armées US et alliés. D'autre part la définition même du F-35 ne convient plus au menace notamment son allonge. Lui pense que même l'USAF commence à s'en rendre compte et commence à mettre en doute des commandes trop importantes. Bémol perso : il y a un block buy en cours de négociation de 400 F-35 couvrant les LRIP 12, 13 et 14. Apparemment un accord aurait été atteint mais il n'est que oral. Donc attendonc de voir comment les impressions de THOMPSOn se traduise dans le réalité. "Comment la Force aérienne pourrait-elle devenir la plus grande menace au succès du chasseur F-35 ? Loren Thompson 19 juil 2018, 10:36 61,455 vues #BeltwayBriefBrief Deux décennies et trois présidents après le développement de ce qu'on appelait autrefois l'avion de combat interarmées, le F-35 semble être un succès. Trois variantes adaptées aux besoins de l'Armée de l'air, de la Marine et du Corps des Marines ont atteint tous leurs objectifs de performance. Un programme d'essai comprenant plus de 9 000 vols distincts a été réalisé sans un seul incident majeur. Les prix de la cellule et du moteur baissent dans chaque lot de production successif. Et les alliés réclament l'achat de l'avion. Personne n'a besoin du F-35 plus que l'armée de l'air, qui exploite aujourd'hui la plus ancienne flotte de combat de son histoire. La plupart des chasseurs de cette flotte ont été conçus bien avant que des mots comme "furtif" ou "numérique" ne deviennent monnaie courante dans le langage militaire. La stratégie américaine mettant l'accent sur la concurrence des grandes puissances, la capacité de ces anciens aéronefs à survivre dans l'espace aérien près de la Russie et de la Chine est de plus en plus remise en question. Vous n'avez pas besoin de me croire sur parole puisque j'ai des liens d'affaires d'une sorte ou d'une autre avec plusieurs entreprises travaillant sur le programme ; jetez un coup d'œil aux différentes prévisions disponibles sur www.af.mil. Le F-35 est le seul chasseur actuellement en production qui peut faire face à l'environnement de guerre émergent. Il est invisible au radar. Il recueille et partage l'information sur de vastes étendues du spectre électromagnétique. Il génère dix fois plus de puissance rayonnée pour brouiller ou tromper les ennemis que les avions existants. Et après le programme d'essais en vol le plus complexe de l'histoire, la Force aérienne sait que toutes ses caractéristiques clés fonctionnent réellement. Le service prévoit donc d'acheter des F-35 au taux d'environ un par semaine pendant de nombreuses années à venir. Le F-35 est essentiel pour les plans de guerre futurs de la Marine, du Corps des Marines et de nombreux alliés, mais cela dépend du respect par l'armée de l'air de la fin du marché. À ce rythme, cependant, il faudra des décennies pour recapitaliser une flotte qui en est déjà à ses dernières étapes. Ce qui m'amène à une réalité troublante. Parce que la version Air Force représente 72% de l'achat commun, et parce que sa variante "A" est celle que la plupart des alliés veulent, les choix d'investissement que les dirigeants de la Force aérienne feront au cours des douze prochaines années environ décideront si le F-35 remplit le rôle initialement prévu pour lui dans la revitalisation de la puissance aérienne américaine. Si l'armée de l'air réduit son plan actuel d'achat de 1 763 F-35, cela aura des conséquences profondément négatives pour les autres services militaires, les alliés et la sécurité globale des États-Unis. La raison en est facile à comprendre. Dès sa création, le F-35 a été conçu comme un programme de trois services avec une participation importante des alliés. Les participants ont partagé les coûts de développement dans l'espoir qu'une grande série d'avions de production partageant des caractéristiques communes serait plus économique que n'importe qui faisant son propre travail. Ces dépenses de développement, qui avoisinent maintenant les 100 milliards de dollars, étaient fondées sur l'hypothèse que tous les acteurs clés se sont engagés à jouer leur rôle. Si la Force aérienne devait réduire ses achats ou limiter ses tarifs, l'avion deviendrait moins abordable pour tout le monde. Les preuves commencent à s'accumuler que la Force aérienne n'est pas aussi concentrée sur le succès des F-35 qu'on le pensait auparavant. Par exemple, il n'augmente pas la production de sa version au rythme qui permettrait les économies les plus importantes, et il prévient que si les coûts pour maintenir l'avion en vol ne sont pas réduits, il pourrait devoir réduire ses achats par centaines d'avions. La raison d'être de ces mesures est, au mieux, incertaine, fondée sur une pensée confuse et des renseignements désuets qui ne tiennent pas compte des principales caractéristiques de la proposition de négociation des F-35. Par exemple, l'idée que le F-35 coûte cher à exploiter ignore le fait qu'il deviendra beaucoup moins cher à mesure qu'il mûrit ; ignore le fait que les derniers F-35 sont déjà les appareils les plus performants de l'inventaire de la Force aérienne ; ignore le fait que l'avion offre une bien meilleure fiabilité que ce qui est spécifié dans les documents d'exigences ; et ignore le fait que sa productivité lors des missions de combat dépassera de centaines de pour cent la performance des anciens appareils. Cela ne signifie pas que les coûts d'exploitation ne peuvent pas être réduits plus rapidement et plus profondément que prévu, mais cela soulève la question de savoir pourquoi la Force aérienne ne pense pas en termes plus rigoureux à l'avion décrit dans son rapport annuel d'acquisition comme "la pièce maîtresse de notre future capacité d'attaque de précision des chasseurs". Je soupçonne que je connais la réponse à cette question, car j'ai vu une analyse similaire se produire dans l'Armée de terre au cours de la dernière décennie. En termes simples, la Force aérienne est devenue trop amoureuse des grandes idées sur l'avenir pour penser clairement au présent. La plus grande idée qui captive les dirigeants de la Force aérienne est que les adversaires " proches de leurs pairs ", c'est-à-dire la Russie et la Chine, sont en train de rattraper la technologie de guerre américaine et pourraient bientôt la dépasser. Le service a déclaré dans son plan de vol Air Superiority 2030 que " la structure de la Force aérienne projetée en 2030 n'est pas capable de combattre et de gagner " contre " l'éventail de capacités adverses potentielles " auxquelles elle sera probablement confrontée. Vous pourriez en déduire que le service a besoin d'acheter des F-35 furtifs et en réseau plus rapidement, mais son plan de vol met en évidence d'autres éléments. Par exemple, il veut une capacité de "contre-air pénétrant" - peut-être un avion, peut-être une famille de systèmes - qui peut fonctionner dans l'espace aérien russe et chinois vers 2030. Cela lui permettrait de protéger le bombardier de la prochaine génération de la Force aérienne lors d'attaques contre les cibles les plus densément défendues, ou de mener des missions de recherche et de destruction contre des cibles sensibles au facteur temps. Évidemment, cela exigerait une plus grande endurance que les combattants traditionnels. Il veut aussi des avions d'attaque et de reconnaissance sans pilote qui peuvent survivre dans l'espace aérien contesté, peut-être dirigés par des pilotes dans des avions pénétrant dans l'espace aérien. De plus, elle veut que tous ses moyens de guerre soient reliés par un réseau robuste afin que chaque opérateur puisse bénéficier des capacités de reconnaissance et de mise à mort de tous les autres, et que toute attrition des moyens puisse être couverte par la redondance du système. Et ces actifs ne seraient pas confinés aux plates-formes aérobies - le réseau s'étendrait sur plusieurs " domaines " de guerre, y compris l'espace et le spectre électromagnétique. La guerre électronique et cybernétique serait omniprésente dans l'espace de combat haut de gamme qu'elle envisage. Pendant ce temps, au bas de l'échelle des opérations de contre-terrorisme et de contre-insurrection, le service veut acquérir des avions moins coûteux que les F-35, peut-être des turbopropulseurs plutôt que des avions à réaction, qui peuvent faire face à des ennemis qui manquent de leurs propres forces aériennes ou de défenses aériennes. Ainsi, le F-35 se retrouve potentiellement dans une zone de compression entre les systèmes à moindre coût envisagés pour faire face aux menaces irrégulières et les systèmes à plus grande capacité nécessaires pour faire face aux futurs concurrents proches de leurs homologues. Ajoutez tous les autres éléments nécessaires à la résilience spatiale, à la mobilité, à l'entraînement et ainsi de suite, et le programme des F-35 commence à paraître bancal. J'ai suivi de si grandes idées depuis la fin de l'ère Reagan, alors je peux vous dire avec une certaine confiance que la plupart d'entre elles ne se réalisent jamais. Ce qu'ils finissent généralement par faire, c'est de saper des programmes déjà en main avant de subir un "vol contrôlé contre le terrain". Par exemple, l'armée avait son propre plan pour une famille de systèmes de combat en réseau qui a absorbé des milliards de dollars avant de disparaître dans les sables mouvants de Mésopotamie. Le programme de modernisation du service ne s'est jamais complètement rétabli. Ironiquement, le Joint Strike Fighter était, à sa naissance, le prétexte universel de l'administration Clinton pour ne pas dépenser de l'argent pour d'autres armes. Le programme était si ambitieux que c'est un miracle que le combattant a réussi dans la mesure où il a réussi. Mais aujourd'hui, le même genre d'idées préconçues qui infectent si fréquemment les plans d'investissement militaire en temps de paix menace de faire dérailler le seul avion capable d'assurer la domination aérienne mondiale des États-Unis jusqu'au milieu du siècle. Et c'est l'U.S. Air Force qui est le plus incontrôlable. Il n'y a rien de mal à planifier l'avenir. C'est un aspect essentiel de la préparation militaire. Mais la Force aérienne doit être réaliste quant à la fréquence à laquelle les prévisions passées se sont révélées fausses et quant à l'étroitesse des ressources budgétaires au cours de la prochaine décennie. Il n'y aura probablement jamais de système de contrepoids pénétrant en raison de l'évolution des circonstances technologiques, géopolitiques et fiscales. Il se peut même qu'il n'y ait pas de bombardier de la prochaine génération. La seule option sur laquelle le service peut compter est qu'il y aura certainement un F-35. La question est de savoir si la Force aérienne tirera le meilleur parti de cette option et, ce faisant, permettra à ses services frères et aux alliés de l'Amérique de faire de même. https://www.forbes.com/sites/lorenthompson/2018/07/19/how-the-air-force-could-become-the-biggest-threat-to-the-f-35-fighters-success/#6e58dae025dd Traduit avec www.DeepL.com/Translator "
-
L'économie du RU va mal et ira mal pendant un certain temps après le Brexit, https://www.lecho.be/opinions/carte-blanche/le-royaume-uni-victime-du-brexit/10027571.html alors quand les pays se seront mis d'accord sur un cahier des charges commun dans le tempest et un maitre d'oeuvre alors on pourra vraiment dire que le SCAF a un concurrent. Pour l'instant rien n'est sûr. Dis autrement le TEMPEST ressemble à un programme NEURON. Il est sur fond propre (l'engagement budgétaire du RU demande confirmation), attire un certain nombre d'industriels et va peut-être se terminer par un démonstrateur. Mais pas de cahier des charges, pas de quantité, pas de planning.
-
Rappelons-nous pourquoi le SCAF est uniquement Franco-allemand : pour pouvoir ficeler un cahier des charges émis par deux pays en cohérence qui lui pourra être proposé à différents industriels. Tu as entendu parlé d'une discussion autour d'un cahier des charges entre les italiens , les suédois et les anglais ? Ou seulement d'une alliance industrielle qui va travailler sur fond propre ?
-
Si le projet TEMPEST semble attirer beaucoup de bonne volonté, le cahier des charges de cet avion n'est absolument pas figé. Proposer une maquette est une chose, proposer un concept d'emploi utilisable par tout le monde une autre. Rien que la B-61 ; TEMPEST ou pas TEMPEST, QE et PW tempest ou pas, VSTOL ou pas, drone ou pas. Déjà on ne sait pas ce que le RU veut alors agréger des pays autour d'une proposition mal ficelée ... Le SCAF a le même problème mais avec le Rafale on sait déjà que Dassault a le savoir faire en omnirole : ce n'est pas le cas de BAE ni de SAAB. Ensuite L'inde pourrait très bien demander un ticket sur le SCAF (ou le TEMPEST) après avoir eu connaissance des capacités demandées en lieu et place de l'AMCA. Bon de toute façon les jeux ne sont pas fait. d'autant plus que BAE va devoir se réorganiser après le BREXIT. A vue de nez la branche aviation commercial va en faire les frais et BAE va se concentrer sur le militaire. Les budgets anglais vont aussi souffrir surtout si la population du RU se réduit suite au BREXIT.
-
Ce recul sera aussi valable pour l'allemagne, l'espagne et tous les pays européens. En soit ça n'est pas si grave sauf si on constate que sur la scène internationale on va devenir des pays de seconde zone et donc on sera systématiquement les dindons de la farce. Donc on a le choix entre l'europe ou la relégation.
-
Ton interprétation de cette demande de fusion entre BAE et AIRBUS est possible mais il y a aussi celle qui dit que AIRBUS veut tuer le TEMPEST. Pour moi vu la réaction de TOM ENDERS disant qu'il n'y a pas de place pour deux chasseurs en Europe c'est la seconde que je privilégie. Deux points avant de s'enflammer, d'une part TOM ENDERS est sur le départ et d'autre part il faudrait connaitre la répartition du capital chez BAE pour savoir à quel point AIRBUS peut se faire entendre.
-
Ce n' est pas ce que je pointais. Je disais seulement qu'il y aurait une limite à concilier les objectifs otan et ceux de maastricht.
-
Donc le ticket OTAN est à deux pourcent et je n'ai pas regarder le résultat sur les critères de MAASTRICHT pour les belges, les Italiens et tous les autres mais je sens que la France va se sentir moins seul à tangenter les 3% de déficit budgétaire.
-
Et moi je pensais que le ticket OTAN était fixé à 2% du PIB voir 4% pour les intimes.
-
Pas besoin qu'il soit tactile, juste de savoir ou sont tes pointeurs. Par exemple vers ou ta tête est tournée (mais pas tes yeux) amis aussi tes mains et tes pieds seront toujours des interfaces de contrôles. Je suis d'accord avec tout ça mais être le chef d'une patrouille de drone ne peut pas se faire avec un interface qui n'est pas travaillée pour ça. Effectivement ton glass cockpit pourrait servir à ça mais ce n'est pas idéal en terme d'ergonomie notamment à cause de la charge d'information et d'exploitation à mettre en oeuvre dans un environnement exigeant physiquement.
-
Il y en a plusieurs : - au niveau de l'ergonomie l'affichage dans son intégralité est focalisable à l'infini - il y a une très forte simplification du cockpit au point de pouvoir envisager un cockpit modulaire par exemple un choix entre un cockpit "humanisé" ou une charge en équipements complementaires. - une évolution du cockpit software et pas matériel. - si tu veux un Scaf pilotage au choix à distance il faut simplifier le cockpit donc la RA est une option du plus grand intérêt puisque tu peux envisager une interface synchronisé avec un (ou plusieurs) Scaf distant.