Kelkin

Les Talibans pakistanais, c'est ceux qui font des attentats au Pakistan (d'où le "réfugiés en Afghanistan") ; tandis que les Talibans afhans, ce sont ceux qui sont soutenus par le Pakistan. Oui, c'est pas simple.

C'est sûr que la Syrie a une expertise indéniable dans ce domaine. La Turquie n'a qu'à attendre un siècle, puis passer une loi reconnaissant officiellement le génocide des sunnites syriens (entre autres) par le régime d'Assad. Comme ça ils seront quittes.

Pour le moment, on est dans la période de transition, où le Brexit n'est pas encore réellement effectif en ce qui concerne le fret. Donc les pénuries en tout genre, il faudra voir ça à la fin de cette période de transition.

Statistiquement, ça rend la maladie moins dangereuse.

Au delà de l'ingérence politique et culturelle, la main américaine détenait une forme de suprématie juridique sur les îles britanniques. Washington revendiquait la légitimité de statuer sur les transactions et les échanges de données sur tout sujet ayant une quelconque implication commerciale, ce qui dépassait largement la seule juridiction sur les questions de commerce bilatéral. Ces prérogatives étaient pratiquement sans limites, si le présidant désapprouvait les opérations commerciales d'une entreprise, il pouvait lui infliger des amendes ou placer son pays sous sanctions. J'attend avec impatience de voir comment les Britanniques vont profiter du Brexit pour "déclarer leur indépendance" et "tracer leur propre destin"...

Les Espagnols semblent plus intéressés par l'aspect réseaux que par l'aspect avion ; il n'a qu'à voir leur choix d'Indra comme entreprise coordinatrice nationale.

Il a longtemps été en tête dans les sondages, mais a perdu beaucoup de points après les primaires en Ail-au-ouah et au Niou Hampchaïre. Sanders est maintenant passé devant.

Il faut bien admettre que parfois, Israël recule et renonce, magnanimement, à des plans de constructions, à la suite de protestations... https://www.haaretz.com/israel-news/.premium-e-jerusalem-arab-neighborhood-project-halted-over-jewish-neighbors-objections-1.8525181 Le maire de Jérusalem, Moshe Leon, et le ministre des Affaires de Jérusalem, Zeev Elkin, ont décidé la semaine dernière de suspendre les plans d'un centre commercial à côté du quartier palestinien de Umm Tuba, dans le sud-est de Jérusalem, parce que les résidents juifs du quartier voisin de Har Homa s'y sont opposés. Certains des opposants au projet de centre, qui devait inclure des bureaux et d'autres espaces commerciaux, ont fait valoir que le projet conduirait à un "mélange des populations" et constituerait un danger pour les jeunes femmes de Har Homa. Des sources qui ont été impliquées dans les plans ont déclaré que la sensibilité due à la période précédant l'élection à la Knesset du 2 mars et l'inquiétude des politiciens face à la réaction de la population de droite les ont empêchés d'intervenir pour tenter de sauver le projet. Une source, qui a confirmé que les planificateurs ont récemment reçu l'ordre d'arrêter les travaux sur le projet, a ajouté : "C'est terrible. Nous avons détruit la capacité de développement de tout un quartier". Le développement de quatre centres d'affaires pour les quartiers de Jérusalem-Est a été un projet phare du ministère des affaires de Jérusalem ces dernières années. Les plans prévoyaient qu'un des quatre centres, un projet de 134 000 mètres carrés (1,4 million de pieds carrés), soit construit à côté de Umm Tuba. Par le biais de la Société de développement de Jérusalem-Est et en coopération avec la municipalité de Jérusalem, le ministère des Affaires de Jérusalem a dépensé environ 2 millions de shekels (585 000 dollars) pour les plans du centre, qui devait inclure une série d'entreprises, de bureaux et de services, tels que des banques et des cliniques de santé communautaires. Il devait également desservir le quartier juif de Har Homa. Une partie du centre devait se trouver sur des terres privées appartenant à des Palestiniens, tandis que le reste devait se trouver sur des terres expropriées de Palestiniens lors de la construction de Har Homa, également connu sous le nom de Homat Shmuel, dans les années 1990. Présenté aux résidents Le plan a progressé tout au long du processus de planification et a été présenté la semaine dernière à un rassemblement de résidents à Har Homa. Certains résidents se sont opposés avec véhémence au plan, tandis que d'autres ont qualifié les objections de racistes. Un homme a résumé les objections au plan comme suit : "C'est dangereux pour les filles. Nous devons vivre séparément. Nous devons garder [les habitants d'Umm Tuba] loin de nous. Ils feraient du mal à nos enfants et nous devons construire un mur entre eux et nous". Selon d'autres personnes présentes, une autre résidente a déclaré qu'elle ne voudrait voir les Arabes de près que "comme des bergers avec des moutons". Un autre aurait dit : "L'État d'Israël n'appartient qu'aux Juifs, et les Arabes doivent être des porteurs d'eau et des coupeurs de bois", une référence du livre de Josué faisant référence aux travailleurs manuels. "C'était vraiment dégoûtant", a déclaré une personne qui a assisté à la réunion. Les habitants du quartier ont soulevé des objections similaires au projet dans des messages partagés entre les membres d'un groupe de messagerie WhatsApp du quartier. Haaretz a obtenu les messages. "Nous ne voulons pas de mélange de groupes ethniques. Je crains pour nos filles juives, si je dois dire les choses telles qu'elles sont", a écrit une femme. "Je ne comprends pas pourquoi nous devons leur construire de tels centres. Après tout, ils sont dans les centres commerciaux en masse", a écrit une autre résidente. "Réduire les disparités à Jérusalem-Est, [mais] pas à nos dépens ! !! Cela peut se faire dans leurs villages", a lu un autre message. Un résident a exprimé sa crainte que Haaretz "nous fasse passer pour des racistes". L'administration communautaire objecte Le président de l'administration communautaire de Har Homa, Shlomo Golbary, a écrit au maire de Jérusalem, Leon, pour lui dire que l'administration communautaire s'opposait au projet en partie pour des raisons de sécurité. Les habitants se sont souvenus d'expériences particulièrement difficiles dans les premières années du quartier, notamment des cambriolages et des vols en plein jour, a écrit M. Golbary, et se sont montrés de plus en plus préoccupés par la présence d'une importante population arabe dans un nouveau centre commercial, "notamment parce qu'il est prévu de construire des écoles et un centre de jeunes en face du centre". Golbary a demandé que le projet soit abandonné et qu'à la place un projet soit développé pour les seuls habitants de Har Homa. Il a également demandé à Leon de laisser le terrain appartenant aux Arabes sur le site comme espace ouvert et qu'aucune autre construction n'y soit réalisée. Parmi les autres objections au projet, on peut citer l'argument selon lequel les habitants de Har Homa se sont habitués à utiliser les services disponibles dans la zone industrielle de Talpiot au nord et que le centre d'affaires proposé endommagerait un mémorial aux soldats israéliens et un ancien aqueduc. Il y a également eu l'opposition de personnes affiliées à la yeshiva de Har Hamor, qui a déménagé à Har Homa il y a deux ans, tout comme un grand nombre des diplômés de la yeshiva. Parmi les liens de la yeshiva figurent des contacts avec le parti extrémiste Noam, entre autres. Arieh King, un membre de droite du conseil municipal de Jérusalem qui a été mentionné comme étant derrière la protestation contre le projet d'Umm Tuba, a déclaré à Haaretz qu'il ne faisait pas partie des opposants initiaux du plan mais qu'il s'y opposait "définitivement". King a déclaré qu'une entité non municipale telle que le ministère des affaires de Jérusalem ne doit pas être autorisée à développer un tel plan et à "agir comme un taureau dans un magasin de porcelaine". "C'est une erreur de placer un tel projet à côté d'un quartier juif", a déclaré M. King, ajoutant qu'un emplacement plus approprié pour ce projet existe à l'est d'Umm Tuba. L'opposition des habitants de Har Homa a porté ses fruits exceptionnellement rapidement par rapport aux objections à des développements ailleurs. Quelques jours seulement après la réunion de la communauté de Har Homa, la ville a publié une déclaration disant que le maire ne soutiendra pas un plan que les résidents de la zone n'acceptent pas. "Le plan a été promu et est promu par le ministère des affaires de Jérusalem. Le maire Moshe Leon a demandé une large participation du public à son égard et à entendre les positions des résidents de Homat Shmuel sur son effet sur le quartier", a déclaré la municipalité. Le ministre des Affaires de Jérusalem, M. Elkin, dont le ministère a promu le plan, a décidé de ne pas intervenir à ce stade. "Nous ne sommes pas une entité de planification", a déclaré Elkin à Haaretz. "Nous n'avons pas décidé de l'emplacement. C'est la décision de la ville et je n'ai aucun moyen d'imposer le plan au maire. Ce qui est important, c'est que l'idée de principe est que ces centres sont très importants pour le progrès de la ville. Il est heureux que ces objections aient été soulevées à un stade relativement préliminaire du plan", a ajouté M. Elkin.

Et qu'est-ce qu'apporte la prise de hauteur ? De pouvoir dire morguement "au fond, on s'en fout" ?

Les Allemands ne se sont jamais vraiment guéris de leur complexe de supériorité. Deutsch Qualität : si c'est teuton, c'est bon ; si c'est germain, c'est bien ; si c'est étranger (par exemple : français), c'est mauvais. On ne peut qu'espérer que la France se ressaira et décidera d'avancer sans l'Allemagne si le Bundestag continue à jouer la pression. On a déja vu, à travers maintes interventions de politiciens, que les Allemands considèrent les atouts de la France comme étant voués à passer sous leur contrôle sous couvert "d'européanisation". Là ils veulent piller notre savoir-faire industriel en aéronautique. Et si encore c'était juste pour eux, ça pourrait se comprendre, mais c'est pour les Américains, vu qu'ils continuent obstinément de ne jurer que par l'OTAN, l'OTAN, l'OTAN, et l'Amérique, l'Amérique, l'Amérique pour toutes les questions de stratégie et de défense.

Il est d'ailleurs utile de rappeler que la Cisjordanie n'a pas de frontière commune avec elle-même non plus... Pour donner une idée du morcellement de la Palestine, une personne s'est amusée à remplacer toutes les parties annexées (officieusement, en attendant de l'être de manière officielle) en mer. Ça donne un archipel. Notez le petit village d'Abou-Dis. Le "Plan de Paix" de Trump prévoie de le renommer en Al-Aqsa afin de prétendre que les Palestiniens ont eux aussi leur propre Jérusalem comme capitale...

Ce que j'aimerais bien voir, c'est un tableau croisé des deux questions. C'est à dire, séparer les "should/should not" des "would not" de ceux des "would". Je m'attend à ce que le non-interventionnisme soit plus prononcé chez ceux qui se disent que l'Amérique va s'en charger.

On n'a pas une meilleure traduction ? J'arrive pas à deviner si c'est positif ou négatif pour le F-35. J'ai envie de dire que c'est négatif, mais bon, c'est peut-être mon a priori.

L'option F-CK ne me parait pas si mal comparée à l'option F-35.

Si je comprend bien, si la Finlande opte pour e F-35, elle va devoir prendre en compte le budget pour 32 ravitailleurs en plus des 64 chasseurs ?

C'est pour ça qu'ils veulent annexer toutes les zones frontalières et s'assurer que la Palestine est entièrement enclavée, en plusieurs morceaux séparés. Et bien sûr, on laisse faire sans réagir.

Tout comme le RU avec son special relationship et beaucoup d'autres.

Vaut-il mieux tuer 100 000 personnes d'un seul coup en les vaporisant avec une bombe nucléaire, ou bien au court de plusieurs jours en les étripant à la machette ? Le plomb et l'uranium appauvri des munitions sont des métaux lourds, très toxiques, que les impacts des tirs répandent en poussière dans l'atmosphère, provoquant tout un tas de problèmes de santé. Mais bon, peut-être ne devrais-je pas trop insister là-dessus. La conviction que certaines armes sont qualitativement pires que d'autres est ce qui permet à la dissuasion de marcher.

Elle dit que la dissuasion est un mythe, sans étayer son argument, mais pour le moment, c'est un fait avéré qu'en 75 ans d'existence des armes nucléaires, elles n'ont jamais été utilisées contre un pays qui en possédait. Et oui, la guerre c'est horrible, même quand les armes atomiques ne sont pas utilisées. Une bombe thermobarique conventionnelle a les mêmes effets immédiats, juste à plus petite échelle. L'idée que certaines armes sont inhumaine suppose que les autres sont "humaines", ce qui est absurde. Il n'y a que Jean-Louis Aubert pour avoir trouvé une bombe humaine.

L'OTAN n'était pas intervenu pour les Malouines. Peut-être que si on renomme la Guyane en "Algérie" ça passera ? En l'état des chose, le seul territoire français d'outremer protégé par l'OTAN est Saint-Pierre-et-Miquelon.

Pendant ce temps, en Autriche, des journalistes ont essayé d'interviewer un lobbyiste d'EADS au sujet des affaires de pots-de-vin et des transgressions ITAR. Le résultat : Faut-il y voir une opération de transparence ? En tout cas, il ne cache rien.

L'OTAN ne protège pas la Guyane.

The British already Brexited from the joint stealth drone project. And if we can't get the MTU to play nice with Safran, I don't even want to imagine Rolls-Royce.

C'est plutôt la Nouvelle Zélande à nos antipodes. Mais le trou le plus profond est en Russie (le légendaire optimisme slave, sans doute), donc il faudrait peut-être aller là-bas pour commencer ?

C'est pour le ravitailleur qu'il se font du souci dans ce climat, officiellement en tout cas, donc d'accord, fair enough comme ils disent.