Alberas
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L'amour vache entre Trump et MOHDI Je sais pas si c'est vrai, mais ça fait toujours plaisir .. https://www.opex360.com/2025/08/02/linde-ecarte-lidee-de-se-procurer-des-chasseurs-bombardiers-f-35a-aupres-des-etats-unis/ L’Inde écarte l’idée de se procurer des chasseurs-bombardiers F-35A auprès des États-Unis par Laurent Lagneau · 2 août 2025 Pour contrer l’influence de la Chine en Indopacifique, les États-Unis misent sur l’un de ses principaux rivaux, c’est-à-dire l’Inde. Et cela, malgré ses liens avec la Russie. C’est la raison pour laquelle ce pays n’a jamais été inquiété par la loi CAATSA [Countering America’s Adversaries Through Sanctions Act], qui permet de sanctionner toute entité ayant signé des contrats avec l’industrie russe de l’armement. Mieux : ces dernières années, Washington et New Delhi ont cherché à approfondir leurs relations militaires, ce qui s’est traduit notamment par les achats d’hélicoptères [AH-64E Apache, CH-47 Chinook], d’avions de patrouille maritime P-8I Poseidon et, plus récemment, de drones MALE [Moyenne Altitude Longue Endurance] MQ-9B SkyGuardian. En février, à l’occasion d’une visite de Narendra Modi, le Premier ministre indien, à la Maison Blanche, le président Trump fit savoir que les États-Unis allaient « augmenter leurs ventes militaires à l’Inde » et « ouvrir la voie » à la livraison de chasseurs-bombardiers F-35 à l’Indian Air Force [IAF]. Une telle option n’avait jamais été officiellement envisagée jusqu’alors. Cette annonce avait été faite alors que le ministère indien de la Défense se préparait à émettre un appel d’offre pour se procurer 114 nouveaux avions de combat au titre du programme MRFA [Multi-role fighter aircraft], dont la réalisation est urgente dans la mesure où l’IAF n’est actuellement pas en mesure d’aligner les 42 escadrons de combat inscrits dans son contrat opérationnel. Parmi les candidats à cet appel d’offres, on trouve Dassault Aviation [Rafale, donné favori], Lockheed-Martin [F-21, une version dérivée du F-16 Viper], Boeing [F/A-18 Super Hornet et F-15 Eagle II], Saab [Gripen E/F] ou encore le consortium Eurofighter [Typhoon]. La Russie y prendra part, avec le Su-35 Flanker E et le MiG-35. Quoi qu’il en soit, six mois plus tard, les bonnes dispositions du président Trump à l’égard de l’Inde ont volé en éclats quand ce dernier a indiqué que les produits indiens importés aux États-Unis feraient l’objet de 25 % de droits de douanes à compter du 1er août. Et de préciser qu’une « pénalité » allait être ajoutée afin de punir New Delhi pour ses achats de pétrole auprès de la Russie. « Nous faisons peu de commerce avec eux [les Indiens] car leurs droits de douane sont parmi les plus élevés au monde et les barrières non tarifaires les plus fatigantes et odieuses », a justifié M. Trump, via le réseau Truth Social. « Nous avons un déficit commercial massif avec l’Inde ! », a-t-il insisté, avant de rappeler que l’Inde « achète une majorité de ses équipements militaires à la Russie » et qu’elle est l’un des principaux clients du pétrole russe avec la Chine, « alors que tout le monde souhaite que la Russie cesse de tuer en Ukraine ». Si les négociations commerciales entre Washington et New Delhi devraient cependant se poursuivre dans les jours à venir, il n’est pas question pour l’Indian Air Force de se procurer des F-35. C’est en effet ce qu’ont indiqué des sources proches du dossier à l’agence Bloomberg, le 31 juillet. « L’Inde a informé les États-Unis qu’elle n’avait aucun intérêt à acheter des F-35 de Lockheed Martin malgré la pression croissante de Washington pour lui vendre des équipements militaires », a rapporté l’agence de presse. « Le gouvernement [indien] est davantage intéressé par un partenariat basé sur la conception et la fabrication conjointes d’équipements de défense », a confié l’une des sources de l’agence de presse. Ce qui n’est guère surprenant étant donné que l’Inde cherche à renforcer son autonomie stratégique, au travers de ses politiques dites « Make in India » et « Aatmanirbharta » C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le ministère indien de la Défense a lancé, en mai, le développement de l’Advanced Medium Combat Aircraft [AMCA], un chasseur-bombardier de 5e génération. Toutefois, ce dernier ne devrait pas être opérationnel d’ici 2034… alors que le Pakistan a l’intention de se procurer des avions de combat furtifs J-35 auprès de la Chine. Y a-t-il un rapport avec la justification donnée par M. Trump au sujet des droits de douane ? Toujours est-il que, lors du dernier salon Aero India, la Russie, via son agence Rosoboronexport, a proposé de vendre des chasseurs-bombardiers de 5e génération Su-57E « Felon » à l’Inde, tout en assurant que ces appareils pourraient être construits par le groupe indien Hindustan Aeronautics Limited [HAL] à partir de 2026 et intégrer des systèmes d’armes locaux, comme le radar AESA Virupaksha ou encore les missiles Astra [air-air] et Rudram [antiradar]. Cette offre n’a, jusqu’à présent, jamais été commentée publiquement par le gouvernement indien.
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Le F5 c'est bien loin. On va quand même vendre du F4.3, non?
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Tu veux dire que la marine allemande ne sort jamais de la Baltique?
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Actualité, principales commandes et MCO du navaliste Naval Group ex-DCNS/Thales/Piriou/CMN
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Un concurrent non identifié? C'est un peu contradictoire, non? C'est enterré maintenant. Comme risque d'être enterrée l'affaire actuelle, du moins publiquement. Ca tombre bien, c'est le mois d'août. -
La liste est longue. Mais quels sont les plus proches d'un choix?
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Un complexe d'infériorité culturelle par rapport aux Anglais? La nostalgie du Commonwealth? Cook? Nelson? Churchill? The King? On pèse quoi par rapport à ça?
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Si on en revient au sujet export Rafale, si j'ai bien suivi, la dernière info positive était une LoI indonésienne pour 24 avions. Mais il y a beaucoup d'autres prospects! Même si, en cette période, la plupart des clients et commerciaux sont sur les plages, quels sont les dossiers les plus chauds?
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Groupe Dassault Aviation, fil sur l'avionneur/industriel
Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Hou là, c'est pas si simple que ça! D'abord "tuer la concurrence " est un tabou de l'UE qui ne veut pas de situation monopolistique .... sur le marché européen. Cz qui, évidemment, affaiblit nos leaders sur le plan mondial. Ensuite donne moi des exemples des grands groupes européens dont tu parles. On a plein d'exemples de fonctionnement "européen": - la fusion entre concurrents: Airbus. C'est un succès dans le civil et un quasi échec dans la défense et le spatial. Le tout avec une rentabilité faible et de gros problèmes de gouvernance. - les coopérations entre sociétés et Etats autour d'un projet: eurofighter, NGF, Tempest, FREMM, NH90. A des degrés divers, ce ne sont pas des francs succès. - Le financement européen par saupoudrage: les lanceurs et satellites financés par l'ESA. Ce n'est pas un exemple de rentabilité et les américains nous ont largué. - MBDA: ^peut être le seul exemple de réussite ... mais sans la Commission et le Parlement européen. - La taille de l'entreprise n'est pas une fin en soi; si tu compares Airbus et DA, sur leur marché défense, DA se porte beaucoup mieux qu'Airbus. Ce qui importe c'est la part de marché. Par exemple, j'ai du mal à identifier le gain d'une fusion NG + Thales + DA. Ils sont déjà interconnectés. En revanche, je comprends mal l'immobilisme de DA, qui ne fait rien de sa puissance financière. Je m'étonne qu'ils ,'aient pas investi dans le spatial. - -
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Au stade des réflexions provoquées par le post de @Rouletabille sur le fait que "certains cadres de DA " révaient" d'une telle fusion, elle me parait de plus en plus improbable (c'est juste un avis personnel) car elle conduirait à une trop grande concentration de la BITD française qui est déjà très concentrée et interconnectée. -
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
La famille a simplement salarié Eric Trappier pour présider le CA du GIMD. -
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Politiquement, je ne vois pas comment les partis pourraient valider une opération qui remettrait la quasi totalité de la BITD française dans les mains d'un groupement familial. -
Le contrat indsutriel a été signé à la suite d'un accord politique et ne porte que sur la 1ère phase.. Et on sait que ce contrat a été accouché dans la douleur. Avec leur direction juridique respective DA et Airbus savaient très bien que rien n'était réglé et que ce contrat ne servait qu'à recevoir les 1er financements. Il est donc "normal" que les conflits réapparaissent avant la phase suivante. Quant à la lecture du contrat (que nous n'avons pas!) si les divergences portent sur la définition du leader, la position Airbus tient la route: le leader est un chef de projet avec des fonctions d'orgaisation des travaux et de reporting, mais il doit respecter les intérêts de chaque participant.Sauf qu'il aurait fallu que la répartition des taches soit identifiée dans le contrat ... ce qui ne peut être le cas que dans les phases suivantes. Et là, c'est l'argument de DA qui reprend la main: le leader c'est au maitre d'oeuvre de répartir les taches en fonction des savoirs faire de chacun. Les discussions vont reprendre pour un nouveau contrat... ou pas!
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Pour la gouvernance du système Rafale et NGF, c'est crédible. Mais l'activité Thales/Rfale baigne dans un ensemble dont il n'est pas extirpable sans nuire à son efficacité. Donc fusionner les 2 entreprises pourait aussi créer des problèmes ailleurs. De toute façon,une telle décision dépend du PR. Et si des rumeurs avaient fuité, la bourse s'en serait déjà occupée. Sinon, pour le plaisir, j'ai essayé de voir ce que serait l'actionnariat d'une newco en considérant les parts de la GIMD et de l'Etat, et que la valeur boursière de Thales est le double de celle de DA: GIMD a 66% de DA et donc 66% de la part de DA dans Thales (26.6%) soit 17.7 % de Thales. Le GIMD aurait donc 22% + 11.8% = 33.8 % de la newco L'Etat a 26.7% de Thales et aurait donc 17.8 % de la newco C'est pas ridicule, le GIMD n'aurait plus la majorité, ce qui ne peut que plaire à l'Etat. -
Après tout, c'est normal qu'il gueule. Les politiques ont signé un accord qui donne à Airbus une place qu'il ne mérite pas. Trappier a raison de bloquer mais Schollbron a des raisons de se plaindre que DA lui tourne le c...! Donc il va réclamer un lot de consolation Et ça tombe bien, la DGA lui en a promis un ... les Patmar..Et peut être que le gvnt allemand pourrait aussi lui en fournir au lieu de tout acheter aux USA.
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Ah oui! Tu as raison. C'eest une référence
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Le problème d'Airbus Défense est toujours le même depuis sa création sous le nom de EADS: un assemblage de'activités disparates dont aucune n'avait une position de leader comme le sont les grands noms des sociétés européennes, tels que la BITD française, BAE, SAAB, LEONARDO, MBDA, A force d'échouer à grandir en achetant de la compétence (Thales) ou à se marier avec BAE, ils ne sont pas sortis du role d'avionneur civil miitarisé. Et, pire que tout, ils n'ont pas de nationalité. A qui les Allemands ont ils vendu des Eurofighter? Personne. Le Typhoon est vu comme un avion anglais. Au contraire, les Allemands en ont bloqué la vente.
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
C'est à voir au cas par cas. Mais la plupart devraient être conservées. Ca donne une présence industrielle mondiale. Il faut poser la question à ceux qui militent pour la fusion. Dans une Newco, lla division radar ex-Thales aurait la division avions de combat comme client interne au lieu d'avoir DA comme client externe. Est ce que c'est plus efficace? Je n'en sais rien! On verrait de nouvelles technologies arriver dans une direction technique centrale et dans le laboratoire Albert Fert, ... -
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Tu peux ajouter USA, Canada, Singapour, Espagne, Inde et bien d'autres Ellles seraient filiales de la Newco comme elles le sont aujourd'hui de Thales. Après, chaque cas est particulier, sachant que les filiales défense sont toujours des fournisseurs de leurs forces armées. Ces filiales ont donné accès au MINDEF de leur pays, mais certaines ne sont pas rentables. Parce que les avions de combat sont devenus des ordinateurs volants interconnectant les capteurs, les armements, les communications, l'affichage au pilote, etc le tout avec une part d'IA de plus en plus importante. La part Thales dans la R&D du F5 est peut être déjà plus importatnte que celle de DA et on imagine sans mal que DA ne souhaite pas voir arriver des intrus dans ces systèmes pour le NGF -
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Les principaux clients sont Boeing et Airbus pur l'avionique et les compagnies aériennes pour les système d'info/divertissement des avions de ligne. Rien n'oblige à s'en séparer mais c'est surtout une activité civile. -
C'est pour punir la Suisse de s'être entendue avec Biden
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Je vois pas ce que vient faire Dassault systèmes dans le schéma. Quand au rachat des actions de l'Etat, ça dépend si l'Etat veut laisser la majorité des droits de vote de la nouvelle société au GIMD. J'en doute! Si une fusion DA/Thales devait se faire, il faudrait d'abord que Thales vende ou mette sur le marché les activités non fusionnées, par exemple le spatial (on sait qu'il y a des discussions pour créer une société européenne de satellites), l'avionique (pourquoi pas avec Safran?) et Identité/sécurité (il y aurait sûrement plusieurs candidats). Il resterait donc à fusiooner DA avec l'activité défense de Thales. A elle seule, Tlaes défense c'est 10 milliards de chiffre d'affaire et 35 milliards de carnet (chiffres à fin 2024) avec une rentabilité de l'ordre de 15%. Une fusion par OPE avec DA serait donc assez réaliste sous réserve des autorisations/conditions de toutes les entités considérées. Mais ça aurait de la gueule. -
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Thales pèse 50 milliards. Pour une prise de controle l'acheteur paye une prime d'au moins 20 %. Donc Thales vaut environ 60 milliards, c'est plus que le double de DA. Donc je ne pense pas à la possibilité d'une fusion-absoption où l'un rachète l'autre. En revanche, on peut imaginer une apport d'actif. Si les 2 entreprises apportent la totalité de leurds actifs, on crée une nouvelle société et les actionnaires de chacun reçoivent des parts de la nouvelle société. L'autre possibilité est l'apport partiel d'actif. Dans ce cas c'est Thales qui transfère certaines activités à DA. Ca doit pouvoir se régler par une compensation aux actionnaires de Thales par des parts de la nouvelle DA, donc avec une dilution des actionnaires de l'ancienne DA. Mais reste à vérifier la viabilté du reste de Thales. Tout cela reste très complexe administrativement et juridiquement et très très long à finlaiser. -
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Thales pèse environ 50 milliards en bourse. Acheter les parts de l'Etat lui couterait toute sa trésorerie pour avoir 51 % de Thales au lieu de 25%. Je n'y vois aucun intérêt sauf à vider les caisses de DA et remplir celles de l'Etat. Et Thales serait alors filiale de DA mais garderait son statut juridique propre. Aucun intérêt. -
Trump menace l'Inde de taxes douanières à 25% à cause de ses achats d'armement et d'énergie à la Russie. On dirait qu'il découvre les liens historiques entre les 2 pays. Taper sur l'Inde pour affaiblir la Russie, c'est risqué. Il a d'autres moyens pour soutenir l'Ukraine.
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Alberas a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Fusionner DA +NG+THALES reviendrait à faire un BAE Systems à la française. Mais ça n'a aucun sens car il manque l'accès au marché américain. Fusionner DA + THALES a certainement du sens pour DA car les capteurs, les communications et les systèmes au sens large représentent la majorité des investissements d'un NGF et même de l'évolution du Rafale. Le tout étant imprégné de IA et de Cyber. Mais en terme de chiffre d'affaires, le client DA ne doit représenter que 10 à 15 % du CA total de Thalès. Et Thalès est trop diversifié pour tout garder dans DA ... à moins d'inverser le sens de la fusion. Mais c'est improbable. La conséquence de la fusion serait donc un démantèlement de Thalès avec vente à la découpe. Solution très profitable pour les actionnaires, en particulier DA et l'Etat.