Kamelot
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Le retour de la chenille Estonienne chez THALES... https://www.forcesoperations.com/chez-thales-un-partenariat-pour-faire-rayonner-la-robotique-de-combat-au-moyen-orient-et-au-dela/
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Et pendant ce temps, du côté des "concurrents" https://www.edrmagazine.eu/idex-2025-rosoboronexport-promotes-the-kornet-em-atgm Les portées maxima sont à considérer avec la nature du terrain, l'aide d'un ciblage déporté (?) et les effets optiques ambiants... A priori, la tranche des 8 km inspire son monde, ainsi que les effecteurs légers...
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Efficacité, si vous préférer une approche sémantique et temporelle..., tout en considérant qu'il n'y a pas un seul emploi. "La différence entre efficience et efficacité réside dans les ressources utilisées une fois que vous avez atteint les objectifs. Tout se joue dans la rapidité et l'optimisation dans l'efficience, tandis que l'efficacité cherche à faire les bonnes tâches peu importe le temps ou l'argent que cela prendra."
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Et la chenille reviendra... https://www.forcesoperations.com/chez-thales-un-partenariat-pour-faire-rayonner-la-robotique-de-combat-au-moyen-orient-et-au-dela/
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Un coup de pub promotionnel ne peut pas faire de mal dans l'ambiance actuelle. Un système développé et produit en Europe peut avoir ses adeptes hors sectes, en principe. https://www.edrmagazine.eu/idex-2025-eurosam-promotes-advanced-aster-30-b1nt-missile-and-sampt-ng Entre l'influence, la sous-traitance et les manques industriels : dépenser 5% d'un PIB demande quelques "ambitions politiques souveraines et communes"...
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En transverse pour d'autres applications : Ces deux charges de qualité militaire sont intéressantes par leurs masses et effets différents, c'est un REX des derniers conflits. La plus petite "a une tête à fragmentation incendiaire explosive de 550 grammes conçue dans le cadre de COLIBRI. Elle convient pour de l'antipersonnel et matériel. L'autre développée dans le cadre de LARINAE reprendra la charge génératrice de noyau de 2,5 kg dérivée de l’obus de précision BONUS. Elle traitera les véhicules blindés en ciblant leur toit. Une charge que KNDS cherche à optimiser avec une capacité de déclenchement proximétrique pour en maximiser les effets" CGN. Cette dernière peut avoir des applications sur les effecteurs AC sol-sol et potentiellement sur les mines AC bondissantes... Entre les cope cages et les APS, la CGN et son emploi à trajectoire quasi-verticale reste un bon moyen de destruction. Utiliser les développements consentis, y compris pour d'autres drones, MTO voire RC, serait pertinent pour les coûts.
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À la marge du jour et de la nuit, dans un spectre particulier, ce développement sera à suivre pour de nombreuses applications : https://www.opex360.com/2025/02/20/le-ministere-des-armees-soutient-le-developpement-dun-capteur-infrarouge-plus-performant-et-abordable/
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Vers une autre famille ? https://www.edrmagazine.eu/mbda-cooperation-with-a-uae-partner-generates-a-diamond-shaped-loitering-munition
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Reste à vérifier sur le terrain des opérations l'efficience de l'emploi et sa résilience (?). https://defence-blog.com/knds-france-unveils-centurio-x30-robotic-vehicle-at-idex-2025/
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En complément, un autre autre article : https://www.opex360.com/2025/02/19/knds-france-devoile-sa-gamme-de-munitions-teleoperees-mataris/
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En 81 mm, avec 3 fardeaux de +/- 15 kg, une optique de pointage et les accessoires, l'ensemble n'est pas très encombrant sur un blindé de cette catégorie. Une fois "débarqué", il peut être facilement dissimulé dans la verte ou "dilué" dans le béton urbain. Bon, de là à faire une marche commando avec tout le barda, une mule serait la bienvenue... Pour du 120 lisse c'est "un peu" plus lourd et le 120 RT demande un train de roulement pour le manoeuvrer... La vraie sujétion ce sont les munitions en sus à transporter, comme aux Malouines et à préparer pour le tir. Il est vrai, aussi, que même un homme en train de ramper est détectable en optique par la 3D et en 2D par les radars (Souvenir de l'Olifant...). À l'avenir, il faudra des tactiques de Sioux ou des conditions climatiques particulières pour passer inaperçu !
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Les MTO rentrent dans la la famille des UAV pour sous-entendre un engin téléopéré pas forcément récupérable... Pour les puristes : https://altigator.com/fr/drones-uav-uas-rpa-ou-rpas/ https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Drone La game s'élargit avec un emploi qui se précise et des effecteurs différents. C'est un bon début !
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Bon, disons qu'on a monté, à moindre coût un mortier rayé "automatisé" disponible sur un porteur existant, le tout d'une manière nazionâle... Il ne faut pas y voir une "nouvelle artillerie" mais un complément opportun qui demande un emploi raisonné, comme le Caesar. De même, le 120 RT aura toujours son usage au sein de l'infanterie, comme la pelle US... Le tir "courbe en marche" n'est pas la panacée pour la précision, surtout en lisse et/ou la hausse pour l'ellipse des impacts. De même, cela n'empêche pas les MTO ou FPV d'agir, cope cage ou pas, dans la profondeur des 4 Km, à moins de vouloir faire du tir direct et se prendre une OFL (?!). Le mieux est de tirer de plus loin et plus gros pour les effets, avec un maximum de trajectoires possibles et de munitions précises adaptées aux emplois. Effectivement, l'éclairant en visible ou IR ainsi que le fumigène ou autres munitions spéciales sont souvent oubliés dans nos réflexions. La pudeur Francaise sur les sous-munitions et les incendiaires (phosphore blanc ou thermite), ne nous facilitera pas la tâche face à un adversaire sans éthique... De toute façon, la guerre c'est sale et moche ! Avec les nouveaux radars AESA terrestres et aériens, l'omniprésence des drones et autres détecteurs acoustiques..., il ne faudra pas trop traîner à découvert sur un champs de bataille moderne, dont la profondeur est en augmentation avec des boucles de décisions courtes. La versatilité et la dissimulation ont de l'avenir.
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À priori, le premier concept n'aurait pas donné satisfaction aux essais. Précision, nature de la gerbe et effets n'étaient pas optimisés. Il est toujours difficile de trouver la bonne formule entre l'arme, sa munition en fonction de la cible.
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Une petite innovation qui peut avoir ses effets : https://mars-attaque.blogspot.com/2025/02/arastelle-faire-simple-pour-permettre.html?m=1 " Face à la durée très relative des batteries d’un micro-drone de 1 kg environ, quelle réponse apporter à cette limitation de leur emploi ? Leur mettre un câble d'alimentation, mais pouvoir très facilement passer d’un mode à l’autre, selon le besoin. C’est ce que propose la start-up française Arastelle avec un dispositif simple pour rendre filaire certains drones, en les reliant à une source d’énergie avec un adaptateur et un fil ne nécessitant aucune modification du hardware et du software, et permettant donc d'utiliser un drone standard, parfois déjà détenu."
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Tout sur le dernier système d'artillerie CAESAR
Kamelot a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Europe
Fiable le Caesar ? https://www.opex360.com/2025/02/16/artillerie-selon-knds-france-aucun-incident-de-tir-impliquant-le-caesar-na-ete-signale-a-ce-jour/ "... lors d’une audition à l’Assemblée nationale, le 12 février, Alexandre Dupuy, le directeur des activités « systèmes » de KNDS France, son fabricant, a souligné un point rarement évoqué : la sécurité. « Il n’y a pas très longtemps, j’ai discuté avec un personnel de l’armée de Terre qui a participé à de très nombreux exercices et à des campagnes. Il m’a dit que l’une des choses qui le fascinait le plus, c’était de voir que des opérateurs d’autres armées n’avaient pas confiance dans leur matériel au niveau de la sécurité », a confié M. Dupuy aux députés de la commission de la Défense. Or, a-t-il ajouté, « il n’y a pas ce sujet là avec le CAESAr »." -
C'est l'interrogation nécessaire, après avoir répondu au type d'emploi voulu qui correspond à la menace prévisible. Là, il faut en revenir au Livre Blanc, la Revue Stratégique, Le Dogme et la LPM... pour mettre les choses dans l'ordre, tout en tenant compte des REX ainsi que les évolutions techniques et mentales pour se faire à l'idée. Après, vient la phase définition et acquisition des moyens avec la participation de l'EMA-EMAT-DGA-STAT ainsi que les sujétions politiques, industrielles et financières !... le tout pour se doter, peu ou prou, d'une cinquantaine d'exemplaires.
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En attendant, l'Artillerie évolue avec ses moyens d'observation et de ciblage : https://www.forcesoperations.com/les-premiers-drones-dt46-livres-aux-artilleurs-francais/ Le MEPAC a le même emploi que le Caesar, qui a bien fonctionner en Ukraine. Les cope cages ne protègent pas de tout. L'AdT n'utilise pas le 120 M lisse et le 120 RT est bien adapté aux troupes moyennes expéditionnaires. Bien que très rustique il a pour lui la discrétion et l'efficacité. Mettre un mortier de 120 (rayé pour la précision et les effets ?) sous tourelle est une solution plus coûteuse. C'est un choix... qui pour bien des choses doit être accessibles. Oui, nous n'avons pas assez de tube d'artillerie et encore moins de LRM pour faire face à un conflit HI de haut niveau. Le déni d'accès aérien est une vraie problématique. Les automoteurs d'artillerie lourds ne sont pas la panacée face à des forces équivalentes sur un champs de bataille observable. L'attrition en Ukraine le démontre. La voie est, peut-être, la formule RHC 155 avec des coûts bien supérieurs. Cela reste à démontrer sur le terrain. Il faut faire un distingo entre une "BB/BIA" Scorpion et les brigades blindées mécanisées classiques avec ses éléments lourds. L'emploi est différent. La manoeuvre devient observable et prévisible. La seule résilience des blindages ne suffira plus avec l'avènement des "drones" et autres effecteurs ainsi que l'emploi de la 5D. C'est bien là le dilemme et la difficulté de l'empilement des moyens et techniques. ‐-------------‐-------------------- Juste pour information, dans le cadre de notre "Division 2027", un extrait d'un article d'Aerion24 : "Des capacités émergent, qui changent la donne : les drones, la cinquième dimension (5D, c’est-à‑dire cyber, numérique, guerre électronique, données, systèmes d’information et de commandement). Par ailleurs, le combat futur aura lieu plus que jamais en localité et sera soumis à un risque d’hybridité qui oblige à revoir les manœuvres dans tous les champs. Le champ des perceptions, notamment, prend de l’ampleur du fait des nouveaux enjeux et des nouvelles possibilités de manœuvrer dans cet espace (perceptions des soldats engagés, des populations dans les zones d’engagement, des opinions publiques). Montée en puissance du niveau divisionnaire : L’enjeu d’un engagement de haute intensité réside à présent dans la réadaptation à des problématiques de flux, de masse et de saturation dans tous les champs de la manœuvre terrestre, ce qui se manifeste par une complexité qu’il s’agit de maîtriser en vue de permettre la prise de décision et la capacité à manœuvrer pour atteindre les objectifs militaires de l’opération. C’est le rôle dévolu au niveau de commandement divisionnaire, en pleine remontée en puissance. Ce système est constitué du poste de commandement de la division, chargé de coordonner la manœuvre terrestre ; de ses brigades interarmes subordonnées, françaises ou alliées, chargées du combat de contact ; et de ses éléments organiques divisionnaires, qui sont les moyens propres de la division pour mener des actions de son niveau. Ces unités sont insérées dans des chaînes techniques qu’il s’agit de consolider et de coordonner (avec une cohérence à tous les niveaux de commandement). Elles répondent à une logique de métier ou de milieu : la deuxième dimension (2D) pour les moyens concourant à l’insertion dans le milieu terrestre (génie, NRBC, appui au mouvement) ; la troisième dimension (3D) pour la basse couche aérienne, indissociable du dispositif au sol et dans laquelle la composante terrestre est dominante (feux d’artillerie dans la profondeur du dispositif adverse, drones employés de façon exponentielle qui vont à l’avenir saturer l’espace de bataille, hélicoptères de l’aviation légère de l’armée de Terre) ; enfin, la cinquième dimension (5D), qui représente l’espace cyberélectromagnétique. Ce dernier espace représente la vraie nouveauté et est amené à prendre une importance croissante compte tenu des évolutions technologiques qui en font un champ de confrontation à part entière. Le renseignement représente un enjeu majeur d’une action divisionnaire : au-delà des aspects techniques (imagerie drone ou satellite, électromagnétique), c’est le renseignement de contact qui permettra aux chefs de tout niveau de déceler le dispositif et de percer les intentions d’un adversaire manœuvrant en unités constituées et à rythme élevé. C’est la raison pour laquelle les forces terrestres se réapproprient les savoir-faire en ce sens, par la constitution de sous-groupements de renseignement de contact au niveau brigade et, à terme, de bataillons de reconnaissance divisionnaire"
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Oui, c'est pourquoi je fais allusion aux 6 galets. Avec un EMBT à 61,5 t et une tourelle plus plate mais allongée, nous ne sommes pas loin de votre estimation... Mais, il faut tenir compte des blindages avant, latéraux, voire supérieurs et inférieurs (?), ainsi que le canon Ascalon 120 (en 140 c'est + 200 kg), l'Eurotrofy, l'ARX-30 et le bric-à-brac de toiture. Donc réévaluer le poids en le tirant vers le haut. Même à 62 tonnes (souce EDR Magazine) nous restons dans le raisonnable haut. https://www.edrmagazine.eu/from-leopard-2a8-and-leclerc-xlr-to-mgcs-the-knds-roadmap-towards-the-future-mbt
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Avec un mortier-canon "long" on peut atteindre les 20 km... Le comparer à un un obusier de 105 ou 155 mm n'est pas raisonnable en plus de savoir si le tube est rayé ou lisse. Il y a d'autres considérations à prendre en compte au-delà du poids de la munition, ses qualités et les fonctionnalités de sa fusée. Rien que pour du 155 mm les écarts sont grands entre les portées, la précision et les effets. En tir courbe, un obus en rotation sera toujours plus précis qu'un pelot empennė, pour l'avoir souvent constaté. L'intérêt, à mon sens, est le pourquoi d'une arme et son comment dans son usage, contexte et effets.
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56 tonnes c'est léger par rapport à l'Altay, Kf 51 ou T-14 : il ne fait pas désordre. Pour envisager une solution plus légère reprenant l'Ascalon 120/140, il va falloir faire compact avec du 6 galets et une architecture différente pour la tourelle. Nous en revenons aux origines avec les études sur l'EPC... pour envisager le char "lourd" canon du MGCS http://www.maquetland.com/article-phototheque/149 Depuis la technique a évolué dans de nombreux domaines mais avec les besoins daujourdhuiqui qui vont en augmentant, au demeurant. Il en est ainsi avec le nombre de pax formant l'équipage (?) et ses missions. Je prends, aussi, en compte que le Leclerc Evolution est un char de Salon et que son châssis serait potentiellement en nombre réduit. Donc il épouse la même problématique que le XLR ou les Leclerc tropicalisés. Un nouveau châssis, hors "Leo", devient un point bloquant pour aller jusqu'en 2050, au moins...
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D'ailleurs beaucoup se posent la question sur la formule à adopter pour le char futur, si ce n'est que d'utiliser un moyen pour intercepter l'agression avant qu'elle ne face son oeuvre. La mototisation et la surcompression peuvent avoir beaucoup de solutions techniques. Le procédé hyperbar est plus vieux que le Leclerc lui-même. Je me rappelle vaguement des essais sur un autorail de la SNCF... Personne ne se pleindra d'un moteur compact, frugal, puissant et réactif, associé à une source d'énergie suffisante moteur à l'arrêt.
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Faudra-t-il créer un nouvel Item pour le Leclerc Évolution ? https://www.opex360.com/2025/02/13/knds-france-souhaite-lappui-du-ministere-des-armees-pour-developper-et-exporter-le-char-leclerc-evolution/ KNDS commence à se manifester et la DGA à s'interroger sur l'élongation de l'intervalle temporel entre Leclerc XLR et le MCGS. De même l'actuelle tourelle du Leclerc sera-t-elle compatible avec les "patchs" et améliorations annoncées ainsi qu'un éventuel APS... ?
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Il y a cavalerie et cavalerie en fonction de son usage ainsi que de l'adversaire potentiel pour ses effets et sa protection. La connectivité et le cyber-numérique vont se généraliser dans toutes les armées pour un emploi collaboratif 5D interarmes et interarmées. Cela va dans le sens du temps et des techniques. Le conflit de l'Ukraine a bousculé bon nombre de certitudes sur l'emploi des forces et les moyens à utiliser. Même pour la "reconnaissance", vaste domaine, plateformes et moyens peuvent aller d'un extrême a l'autre, du plus petit au plus gros, en fonction du terrain, des tactiques et des besoins. Le modèle n'est pas unique et invariable.
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Avec un "niveau à bulle" sur la culasse, une table de tir et monté sur la pente d'une butte... Pas très top pour la précision, surtout avec un canon lisse et des munitions empenées. La problématique des "chars" c'est l'élévation du canon pour avoir un tir plongeant efficace, tout en ayant souvent des munitions peu adaptées. Même le Pole/FER, un "hybride", avec une élévation de 30° contre 18° ne pouvait avoir l'emploi complet de l'artillerie. C'est un pis-aller à défaut d'une véritable artillerie et toujours mieux que rien du tout, il est vrai. Avec un obusieur, le tir s'affranchi des masques, du terrain et des obstacles en urbain.
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