Kamelot
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Les youesses vont reprendre du Bradley. C'est peut-être une opportunité pour profiter du mouvement, y compris pour nous, et avoir un VCI à pas cher avec un canon CTA. "Il faut acheter américain pour ne pas créer une guerre économique..." https://www.bfmtv.com/economie/economie-social/union-europeenne/strategie-du-carnet-de-cheque-christine-lagarde-conseille-a-l-ue-d-acheter-davantage-americain-pour-eviter-la-guerre-commerciale_AD-202411280517.html?at_brand=BFMTV&at_compte=BFMBusiness&at_plateforme=facebook Ok, pas taper, je vais faire un tour...
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Texelis dans la chenille, ce n'est pas anodin pour le futur et intéressant pour le développement des plateformes "satellites" du MGCS. http://www.paxaquitania.fr/2024/11/milrem-robotics-choisit-le-francais.html?m=1
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Ariane Group a des compétences dans la propulsion aérobie à grande vitesse et Thales, hors électronique, avec des missiles LMM, starstreak, Marlet... Je suis curieux de savoir ce qu'ils vont proposer !
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Tout ne rentrera pas dans un Sylver 70, il y a le dimentionnent et l'échappement des gaz avec un tir à chaud. Les sabords latéraux inclinés ne sont pas encore exclus pour certaines applications. Bien entendu, une standardisation des silots et containers reste souhaitable. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Sylver_(arme) Tirer des missiles avec un VLS depuis un SNA n'est pas dans l'air du temps dans la Marine Nationale. Mais qui sait dans un avenir lointain ? Quant aux SNLE, c'est NIET pour la discrétion et la dilution qui répondent à la dissuasion nucléaire. Pour les positionneurs terrestres, mis à part les roquettes basiques ou à guidage terminal, les projectiles guidés peuvent se satisfaire d'un pointage approximatif en azimut comme pour le positionnement du Caesar. Un débattement limité en azimut peut répondre à un mode polyvalent, nonobstant la problématique du rechargement avec une grue. L'élévation, demeure pour des raisons évidentes. Une véritable tourelle tous azimuts et élévations n'est pas sans rappeler le lanceur modulaire polyvalent, mais ce n'est pas le sujet pour les effecteurs considérés. https://www.meretmarine.com/fr/defense/naval-group-s-associe-a-thales-et-knds-pour-equiper-son-lanceur-modulaire-polyvalent Les plus sophistiqués comme les MdC, RC et missiles lourds peuvent former leurs trajectoires dès le départ, d'autant si le tir est vertical...
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Pour la solution MdC, atteindre les 2000 km est faisable en augmentant le dimensionnement (réservoir de carburant) et, à terme, avec le développement d'un réacteur plus performant en consommation et/ou en y associant un carburant "lourd" (SAFRAN-RR). Le MdCM est contraint par la taille des TLT et de son VSM. L'Hades, mono-étage, aurait aujourd'hui des performances doublées avec l'évolution des techniques tout en restant dans le même dimensionnement. La charge "classique", polyvalente ou duale et sa précision avec son guidage terminal conditionnent l'ensemble et ses effets sur une cible donnée. Il existe d'autres solutions comme un CR/glider... Mais là, les coûts seront différents ! La question est de savoir combien de vecteurs avons-nous besoin avec leurs conditions d'accessibilité et d'emploi. Après la "roquette Indienne" un missile rustique Agni X-Fr, dans le cadre d'un échange stratégique, peut-être ? https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Agni_(missile)
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Texelis va nous arranger ça avec un bon 8×8 ou 10x10...
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"Oui, mais ça c'était avant", déjà la "roquette de base améliorée" va poser problème en matière de coût dans notre budget : "ce n'est pas Versailles ici !" Bon, un M51 recyclé sur véhicule terrestre c'est un peu beaucoup surdimensionné. À la limite, pour un défilé du 14 juillet ça pourrait faire peur suffisamment (?). Heureusement les Hollandais vont se joindre au programme et partager les investissements pour finalement acheter Israélien. https://www.opex360.com/2024/11/29/les-pays-bas-sinteressent-aux-projets-de-char-franco-allemand-du-futur-et-de-frappe-a-tres-longue-portee/ Avec les progrès techniques nous devrions pouvoir, quand même, faire moins lourd, moins moche, plus fonctionnel et plus discret, en principe, que les SSBS d'antan et leurs véhicules pour la mise en silo. Néanmoins, ça donne une idée d'un V2+ sur roues. http://www.milinfo.org/2018/04/modif-berliet-vtc-au-1/43-par-meyer.html Aaaahh Berliet... (Nostalgie, mais les jeunes ne vont pas comprendre).
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Après ELSA, un cran en-dessous avec le programme FLPT qui devrait porter jusqu'à 200 km. https://www.forcesoperations.com/flpt-un-appel-doffres-envisage-avant-fin-2025/ Considérant le faible nombre de matériel à acquérir, le temps contraint et le budget à y consacrer, il va falloir ramer dur ou acheter sur étagère le moins mauvais pour nos intérêts...
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Diversifier les vecteurs et les trajectoires n'est pas stupide. Avec les trois formules en sus du "balistique" classique ou diversifié, le panel sera complet. V-max va faire son chemin, comme l'ASMPAr/ASM4G, les MdC/RC..., ainsi que les corps de rentrée manoeuvrants (successeur du M51.3 et futur glider). Ne pas disposer des mêmes armements que l'adverdaire crée des lacunes dans l'emploi. Dans le terrestre, envisager un emport dual (les Russes ne se gênent pas...) peut nous rapprocher de la triade dissuasive. Mais il s'agit d'un sujet sensible et potentiellement dangereux, faute d'une bonne discrimination entre les genres. Comme le disait un certain Général : "La bombe, c'est la bombe !". Un missile ou MdC placé sur un porteur et sa suite d'une manière discrète, tout en étant dilué dans l'environnement, le risque de sa destruction est minime. 1000/2000 km c'est du "tactique profond" ou de "théâtre" tout en interceptant le domaine du stratégique MRBM. Tout dépend, aussi, des distances séparant les antagonistes. Cette solution a été envisagée dans les années 80 pour nos Forces. Le développement d'un propulseur à poudre, combiné ou à étages (?) de moindre diamètre qu'un M51 peut s'avérer nécessaire pour garder la maîtrise industrielle et la souveraineté des "petits" propulseurs comme les fusées sondes ou micro-lanceurs. Le lanceur du V-Max devrait nous faire réfléchir ! Le sujet est à suivre, en ayant conscience des moyens à mettre en oeuvre et leur accessibilité dans la période...
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Et l'Afrique..., la suite aux EAU : https://www.opex360.com/2024/11/27/devant-reduire-la-voilure-en-afrique-larmee-de-terre-va-renforcer-sa-presence-aux-emirats-arabes-unis/
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L'intérêt pour un système terrestre est d'utiliser des containers, paniers ou palettes avec différents effecteurs sur un même porteur avec un positionneur unique. Le choix du porteur doit se faire en cohérence avec les matériels en dotation, le dimentionnent des armes. La difficulté relève de la connectique, des liens mécaniques, des logiciels de préparation et de tir. Des adaptateurs et passerelles logicielles sont réalisables, à défaut d'une standardisation globale. Cela se fait dans l'aérien... La palette des moyens et effets seraient agrandis avec la possibilité d'un accès élargi, faute de pouvoir disposer d'armements souverains ou disponibles. Tirer de la roquette Indienne, du Safran, du RCM MBDA, du GMLRS ou autres drones... deviendrait possible et bénéfique pour l'interopérabilité. Quid des dernières acquisitions européennes? Sinon, il faudra subir le diktat technico-politico-commercial du "fournisseurs".
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La vie des drones ne sera pas un long fleuve tranquille. Les systèmes issus des "techniques civiles" ont de nombreuses failles. La militarisation technique va devenir incontournable pour la résistance aux agressions de toutes natures, dont celles électromagnétiques à impulsions. https://air-cosmos.com/article/toute-premiere-presentation-publique-d-e-trap-l-arme-anti-drone-a-impulsions-electromagnetiques-francaise-69656
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Une unité assez méconnue, le 17ème GA : https://www.forcesoperations.com/le-17e-ga-acteur-central-dune-lad-terrestre-en-pleine-transformation/ Un article assez exhaustif.
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Et l'Afrique...? https://lignesdedefense.ouest-france.fr/de-2300-a-600-le-rapport-sur-la-reconfiguration-du-dispositif-militaire-francais-en-afrique-presente-a-macron/
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Une unité et des drones pour faire de l'anti-drones : https://www.forcesoperations.com/le-17e-ga-acteur-central-dune-lad-terrestre-en-pleine-transformation/
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Penser l'Infanterie et ses équipements autrement ? https://www.forcesoperations.com/protection-du-combattant-et-resilience-des-transmissions-deux-imperatifs-capacitaires-pour-linfanterie-de-demain/
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Un petit article pour comprendre l'usage des drones: https://www.cerbair.com/articles/liaisons-de-donnees-des-drones Et connaître les moyens adverses : https://www.cerbair.com/articles/geran-2-du-missile-low-cost-a-la-munition-rodeuse
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Il faut, peut-être, tout lire pour se faire une opinion... Sinon il y a les lettres d'information de Guerrelec. Pour les conflits récents, il faudra attendre un peu. https://www.guerrelec.com/publications/
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C'est dit...! https://www.opex360.com/2024/11/24/pour-le-chef-detat-major-de-larmee-de-terre-la-coherence-est-plus-importante-que-la-masse/
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Après le M120 RT : la guerre électronique au contact. https://www.opex360.com/2024/11/23/larmee-de-terre-a-lance-le-projet-isis-pour-doter-ses-unites-dinfanterie-dune-capacite-de-guerre-electronique/ Et un article pour la connaissance portant sur les REX de la GE dans le conflit Ukrainien et au-delà. https://www.cerbair.com/articles/guerre-electronique-les-enseignements Les drones d'observation et MTO de courte portée devraient suivre. Quid de l'usage avec les autres Armes comme l'Artillerie et avec la déconfliction ?
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Complément d'information avec Mars-Attaque... https://mars-attaque.blogspot.com/2024/11/mto-fronde-quand-le-processus-de.html?m=1
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Réflexion : Faire de grands stocks de drone et MTO demande un minimum d'organisation pour une conservation sécurisée et lmune mise à disposition en condition opérationnelle (péremption batterie, poudre, etc...) L'ėvolution des techniques (liaison de données, capteurs, algorithmes, etc...) et la disponibilité des charges (surtout de récupération) réclament une attention particulière avec les renouvellements de générations rapides. La capacité de production (temps de guerre impromptue ?) d'une start up ou dune PME ainsi que les certifications nécessaires posent aussi question. Bien sûr, au-delà des créations limités, voire d'un artisanat éclairé, basés sur des éléments "civils" adaptés, un produit "munitionaire" en quantité aura d'autres qualités avec les coûts qui en résultent. Faudra-t-il en passer par des familles de plateformes polyvalentes multicharges et évolutives ou du basique multiple et jetable pour faciliter la masse, le tout sans réinventer l'eau chaude ? Le stockage concerne aussi les éléments techniques et matières premières pour une production rapide et souveraine. Là, pas question de dépendre, le moment venu, de la Chine, de Taïwan (puces électroniques !), des USA ou de "l'Euro-Allemagne". Les PME et la BITD du drone en France ont les idées et les techniques, il s'agit de mettre en oeuvre la musique et de payer les artistes. Tout un programme pour la DGA et les utilisateurs, dans le cadre de la LPM.
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Le BME est en distribution... https://www.forcesoperations.com/debut-de-deploiement-imminent-pour-le-bariolage-multi-environnement/
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Et bien en voilà une idée qu'elle est bonne ! https://www.twz.com/air/watch-a-ukrainian-uncrewed-aerial-mothership-launch-kamikaze-drones L'adversaire n'a plus qu'à se doter de drones anti-drones, y compris sur un drone-mère avec un moyen de détection, ou pas en faisant relais. La robustesse de ces systèmes reposera sur la résilience des transmissions de données, de l'état de la météo et de la DAL globale. Notre Patroller national pourra se recycler, lui aussi, et l'Eurobeurk pourrait servir de relais en fond de court.
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Même 7 km max, sans la munition RAP, c'est quand même une bonne portée. Aujourd'hui, la profondeur du "champs de bataille" devient presque sans limite et 50 km est une distance commune pour certains effecteurs modernes ou en devenir. Je l'ai dit plus haut c'est du réemploi à l'économie avec un matériel connu, éprouvé et polyvalent... pour des combats divers et variés. Au pire, si l'arme devient obsolète ou atteint sa date de péremption : on la jette, on modifie le compartiment du Serval pour les derniers servants et on lui adjoint une remorque lance-MTO ou de robots volants... pour du mieux, un drone terrestre fera l'affaire. Les nouvelles techniques avec les drones, robots et leurs dérivés vont compléter les moyens actuels. Le "tout drone" n'est pas une garantie en soi. Les MTO et leurs moyens de lancement ou de mise à poste vont encore évoluer techniquement et dans l'usage. Les moyens "classiques" devront s'adapter, y compris avec de nouvelles munitions pour ne pas disparaître et assurer en particulier les feux lourds permanents. Chacun aura sa perceptions sur telle ou telle solution efficiente en terme de canon, mortier, "hybride" et autres effecteurs. Les combats futurs dans un champs de bataille transparent en temps réel auront sûrement des aspects différents que nous ne percevons pas encore. L'Ukraine n'est pas l'archétype des conflits, bien d'autres peuvent se révéler sachant qu'une guerre peut être perdue sans tirer un coup de canon. Une chose est certaine, pour l'Infanterie si elle n'est pas remplacée par des "Terminator ", la pelle US va demeurer avec quelques adaptations pour la guerre des tranchées et le combat rapproché.