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AIR-DEFENSE.NET

Titus K

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Tout ce qui a été posté par Titus K

  1. Titus K

    Marine Britannique

    "Les États-Unis, la France, la Russie et maintenant la Grande-Bretagne. Tout le monde a des problèmes avec ses porte-avions C'est pourquoi Il ne faut pas en avoir un seul"
  2. Je n'ai pas accès a l'article complet ... 6 MRTT pour l'AS ? https://www.bloomberg.com/news/articles/2024-02-05/airbus-in-talks-with-saudi-arabia-for-military-air-tanker-order
  3. Ils parlent d'un achat de 96 typhoon dans l'article, ce serait donc pour remplacer aussi les tournedos ? Deux options pour l'AS : 96 Typhoon /// 48 Typhoon + 54 Rafale
  4. Quel est l'impact de l'altitude ou se trouve le MLT sur la performance de l'aster ? Un MLT en haut de l'alpe d'huez doit permettre d'engager plus loin qu'un MLT dans la vallée en dessous ?
  5. Je l'avais posté ici par rapport au prospect rafale en AS... j'aurais en effet du poster dans le fil "rafale prospect/export"
  6. Titus K

    Marine Britannique

    Un problème mécanique empêche le HMS Queen Elizabeth de naviguer sur l'exercice de l'OTAN https://www.navylookout.com/mechanical-issue-prevents-hms-queen-elizabeth-from-sailing-on-nato-exercise/ Lors de vérifications de dernière minute avant le départ pour l'exercice Steadfast Defender de l'OTAN, il a été découvert que l'arbre d'hélice tribord du HMS Queen Elizabeth présentait un problème important. Le navire n'appareillera pas le 4 février comme prévu et c'est le HMS Prince of Wales qui sera préparé pour le remplacer. L'armée nationale a mis en place des contrôles supplémentaires sur les lignes d'arbre du porte-avions à la suite des leçons douloureuses tirées de l'expérience passée avec le HMS Prince of Wales. Au cours d'une inspection, des inquiétudes sont apparues concernant l'un des accouplements de l'arbre tribord. Il convient de noter qu'il ne s'agit pas du même problème que celui qui a affecté le HMS Prince of Wales. Bien que le navire reste en classe (c'est-à-dire techniquement en état de naviguer), il a été décidé, par mesure de précaution, de le retirer de l'exercice jusqu'à ce que le problème puisse être examiné en profondeur et résolu. Le commandant de la flotte a déclaré : "Les vérifications de routine effectuées hier avant le départ ont permis d'identifier un problème d'accouplement sur l'arbre d'hélice tribord du HMS Queen Elizabeth. En conséquence, le navire ne naviguera pas dimanche. Le HMS Prince of Wales remplacera le HMS Queen Elizabeth dans le cadre des missions de l'OTAN et partira dès que possible pour l'exercice Steadfast Defender". Démontrant l'intérêt de disposer de deux porte-avions, l'équipage du HMS Prince of Wales a reçu l'ordre, dans un délai très court, de se préparer à appareiller. Ce processus prendra probablement une semaine environ et impliquera une accélération rapide des tâches de maintenance existantes, le transfert d'équipements de son frère, ainsi que le stockage et le ravitaillement du navire. Le HMS Prince of Wales devait prendre la relève de son navire amiral dans le courant de l'année, mais il devra maintenant se préparer beaucoup plus rapidement que prévu, car il n'a jamais encore embarqué plus de quelques jets ou même un groupe aérien complet. L'année 2024 continue d'être difficile pour la royal navy, mais la capacité à s'adapter et à surmonter les difficultés est l'une des valeurs fondamentales du service. D'autres informations suivront dès qu'elles seront disponibles.
  7. Ne faudra-t-il pas un jour developper des Sylver plus gros à l'image de ce que font les chinois/us/coréens ? Ou vaut il mieux conserver un système plus léger mais moins polyvalent pour avoir un produit qui se démarque de la concurrence ? Les missiles BMD (Aquila?) rentreront ils dans les A-50/70 existants ?
  8. Le enforcer de MBDA ne correspond pas au type de produit recherché ?
  9. Tu sous entend qu'un achat de rafale aurait placé la Belgique sous parapluie nucléaire français, a l'image du couple F35/B61, ce qui est faux. Il n'y a pas de parapluie Francais lié a tel ou tel achat d'armement ... La Belgique, de par sa position géographique, profite déjà officieusement du parapluie FR dans la plupart des scénarios... Pas besoin d'acheter un avion français. A l'inverse les belges ont le sentiment (que l'on peu remettre en question) que pour être couvert par le parapluie US ils se doivent d'héberger des B61 et donc d'acheter du F35...
  10. Donc la Croatie est maintenant sous parapluie nucléaire français ?
  11. Objectif de 200 SM-6 par an en 2026 et 300 SM-6 par an a partir de 2028. https://insidedefense.com/daily-news/dod-dials-sm-6-max-annual-production-capacity-target-300-guided-missiles-2028
  12. Pour les experts : le réacteur nucléaire est dans la section du bas de l'image ou du haut ?
  13. Ils l'ont re-publiée (je poste quand même vue que le lecteur twitter bug parfois)
  14. On parlait de bénéfice pour d'industrie de la défense française, pas de budget de la défense. Je me doute bien que ça coute la peau du...
  15. Commandes Missiles Akeron MP & Mistral 3 La DGA a commandé auprès de @MBDAFrance 1300 missiles Akeron MP 329 missiles Mistral 3 La commande des 1300 missiles Akeron MP donnera lieu à la livraison d’un 1er lot de 200 missiles dès la fin de l’année 2025. La commande des 329 missiles Mistral s’inscrit dans le cadre de la lettre d’intention signée en juin 2023 pour l’acquisition conjointe de systèmes de défense anti-aérienne par : la France la Belgique Chypre l’Estonie la Hongrie.
  16. Moi je trouve que si l'avion devient un Falcon 10 et que le radar ventral et l'optronique deviennent français on aura déjà gagné au change par rapport à un achat éventuel de wedgetail ou autre avion US ... De toute façon certains connaisseurs on l'air de dire qu'il faudra plus un Liner qu'un Bizjet ... (Et sur la Coop européenne, il me semble que Saab serait tout a fait en mesure de faire un concurrent au Akheron et que pourtant les suédois ont l'air de vouloir acheter français par exemple)
  17. Dommage parce que la suède est justement un des derniers bastions indépendants dans l'aéro en Europe ... Si les 2 seuls pays qui sont prêts a fournir une solution européenne arrivent a créer deux produits concurrentiels c'est fort !
  18. C'est un choix délibéré qui est ici assumé, notamment pour profiter en partie de l'infrastructure existante et du foncier disponible pour réduire les couts globaux. Vu qu'un des objectifs est l'export, le nombre de centrales thermiques en Europe qui pourraient être remplacée par un Nuward doit être conséquent.
  19. Entre Rotterdam, Amsterdam, Antwerpen et Zeebrugge, nos terminaux câblés sous marins, les futurs parcs éoliens offshore etc ... le fait qu'on l'on arrive pas à fournir plus de 4 frégates ASM entre NL/ BE c'est franchement navrant au vu de l'économie que génèrent ces sites
  20. 2 FREMM DA pour la Belgique ça aurait eu de la gueule franchement ... voir 3
  21. Pourquoi l'avenir des SMR français, et notamment du mini-réacteur Nuward d’EDF, se joue au CEA https://www.usinenouvelle.com/editorial/pourquoi-l-avenir-des-smr-francais-et-notamment-du-mini-reacteur-nuward-d-edf-se-joue-au-cea.N2204938 Dans les laboratoires de son centre de Cadarache (Bouches-du-Rhône), le CEA teste la sûreté passive du mini-réacteur nucléaire Nuward d’EDF, une brique cruciale. L’État lui demande aussi d’aider techniquement les autres projets de SMR français. C’est la grande promesse des SMR. Ces mini-réacteurs nucléaires modulaires sont destinés à remplacer les centrales à charbon ou au fioul, et donc à fournir, un peu partout, électricité et chaleur à l’industrie, aux villes et aux zones isolées. De par leur taille et leur design intégré, ils promettent tous une sûreté passive. Sans être totalement autonomes, ils pourront non seulement s’arrêter seuls, mais aussi se refroidir. Si une présence humaine sera toujours nécessaire sur les lieux, ce dispositif laissera plusieurs jours à des équipes de maintenance pour intervenir, si besoin. Reste à le démontrer aux autorités de sûreté du nucléaire qui devront délivrer les licences d’exploitation pour ces nouveaux types de réacteur. Dans le cas du SMR d’EDF Nuward, la filiale de l'énergéticien français a été aidé par le CEA pour la R&D. Après de premières discussions en 2013, le projet de mini-réacteur français, né en 2017, était développé par un consortium composé d’EDF, de TechnicAtome, du CEA et de NavalGroup. Si la tête de série est en France avec l'objectif d'autres réalisations dans l'Hexagone, le projet commercial de Nuward vise désormais l'export. Il est porté depuis mars 2023 par une filiale d’EDF, Nuward, qui a élargi le nombre de ses partenaires en signant avec le belge Tractebel et Framatome. Pour aller plus vite, le projet fait aussi l’objet d’une collaboration inédite entre autorités de sûreté européennes. Composé de deux réacteurs à eau pressurisée (REP), la technologie du parc français actuel, de 170 MWe (mégawatts électriques), Nuward, promet une disponibilité de 90 % et de fonctionner durant 60 ans. Le premier béton pour la tête de série en France, qui pourrait être à la centrale charbon de Cordemais (Loire-Atlantique), est prévu pour 2030. Mais aucune date de mise en service n’est donnée. A ce stade, on sait seulement qu’en rythme de croisière, il faudra 40 mois pour construire un Nuward. On n’en est pas encore là. Un banc d'essai de 2,5 millions d'euros Pour assurer une sûreté passive, mais aussi construire plus vite en série ces mini-réacteurs, tous les éléments du circuit primaire – le cœur du réacteur contrôlé sans bore soluble dans l’eau du circuit primaire (piège à neutrons) et les 8 générateurs de vapeur compacts (6 + 2 de sureté) prévus dans le design – seront tous à l’intérieur de la cuve. Le chargement se fera lui lors de la mise en route de la centrale. De 4 mètres de diamètre extérieur et 13,5 m de hauteur, celle-ci aura une taille équivalente à celle des réacteurs 1300 MW français. D’ailleurs, les deux cuves de la tête de série seront produites à l’usine Framatome du Creusot (Saone-et-Loire), mais pas les générateurs de vapeur innovants. Ces derniers ont été conçus par TechnicAtome, le spécialiste de la propulsion nucléaire des sous-marins et porte-avions. Il présente la particularité d’avoir des échangeurs de chaleur à plaque, et non tubulaires comme dans les EPR traditionnels. En cas d’arrêt brutal du réacteur, un système d’évacuation passif de la chaleur du cœur de réacteur par convection est prévu. Pour vérifier que ce système de sûreté passif fonctionne, le CEA a monté sur son site de recherche nucléaire de Cadarache (Bouches-du-Rhône) une plateforme d’essai, Poseidon, avec trois boucles de vapeur de forte puissance : Beench pour étudier l’encrassement des canaux secondaires, Exocet pour vérifier l’absence de phénomène de reflux de vapeur dans le condenseur Everest pour valider le refroidissement par convection naturelle diphasique (eau et vapeur) des échangeurs de chaleur à plaque secondaires et primaires. Les deux premières ont déjà livré les données pour alimenter les outils de simulations numériques indispensables au développement de tels projets. Les essais d’Everest n’ont, eux, débuté que début décembre 2023. Ils doivent durer jusqu’en 2026. L’installation, qui a mis deux ans à être montée et qui a couté 2,5 millions d’euros, reproduit les circuits primaire et secondaire d'échange de chaleur, mais aussi tertiaire (mur d’eau) et quaternaire (système aéroréfrigérant), avec 400 points de mesure. Le cœur du réacteur est simulé par une chaudière de 500 kW. «On va vérifier que toute la chaleur injectée est bien évacuée dans le mur d’eau», explique Jean Peybernès, le responsable de la plateforme Poseidon. 18,9 millions d'euros pour les autres start-up À la demande du gouvernement, le CEA va aussi devoir utiliser ses installations de recherche, pour valider les concepts des SMR de génération 4, ou AMR (Advance modular reactor) des start-up lauréates de l’appel à projets réacteurs nucléaires innovants de France 2030. Pour cela, une enveloppe de 18,9 millions d’euros sur deux ans lui a été réservée. «Ce montant résulte d’une estimation des besoins de six start-up, notamment pour l’utilisation des laboratoires chauds du CEA, mais aussi de son expertise sur le cycle du combustible et sur le calcul et la simulation», explique un porte-parole du CEA. Aucun contrat n’est signé et chaque demande sera étudiée au cas par cas en fonction des disponibilités des infrastructures du CEA à Cadarache, Marcoule et Saclay. Trois d’entre elles, Hexana, Blue Capsule et Otrera, issues du CEA, misent sur un refroidissement au sodium et comptent bien utiliser le laboratoire sodium Papirus du CEA à Cadarache, pour développer leurs instrumentations et tirer parti des essais en cours sur les pompes électromagnétiques. Deux autres, Newcleo et Naarea, développent elles des mini-réacteurs à neutrons rapides refroidis au plomb ou aux sels fondus, où l’expertise serait plutôt du côté du site de Marcoule pour le combustible ou de Saclay pour le calcul. La sixième, Renaissance fusion, pourra sûrement tirer parti de l’expérience acquise par le CEA dans le tokamak West de Cadarache, petit frère du projet international Iter. L'on peut penser le CEA n’est pas prêt à consacrer toute sa "bande passante" de recherche aux projets de SMR concurrents de Nuward, même ceux portés par des chercheurs issus de ses rangs. Après Poseidon, le CEA veut en effet travailler sur la brique de couplage de production électricité-chaleur pour les SMR. Le mini-réacteur d’EDF pourrait alors lui aussi s’imposer sur le marché de la production d’hydrogène haute température. Une technologie également issue du CEA, qui a fait l’objet d’un transfert vers la coentreprise Genvia, qui a lancé une première ligne pilote sur son site de Béziers.
  22. Pour les câbles sous marins il existe cette carte interactive —> https://www.submarinecablemap.com Il pourraient probablement couper assez facilement à côté de leur terminal à Al Hudaydah.
  23. Le canon Mk45 sur les navires US n’a pas de capacité anti missile ? Heureusement qu’ils ont SeaRAM+ Phalanx … Je me demande comment notre 76mm et nos 2 Narwhal 20mm s’en seraient sortis avec également les moyens de brouillage.
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