Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

collectionneur

Moderateur
  • Compteur de contenus

    22 980
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    7

Tout ce qui a été posté par collectionneur

  1. Voici quelques photos prises coté Iranien, je rappelle que c'est l'Iran qui à demander le cessez le feu car ses forces étaient épuisé en 1988 :arrow: http://www.abadan.net/war.html http://www.abadan.net/war/tn_war6_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war7_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war8_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war9_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war10_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war11_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war12_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war13_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war14_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war15_jpg.jpg http://www.abadan.net/war/tn_war16_jpg.jpg
  2. Je signale ce mémoire sur les effets démographiques de la guerre 1980/1988 entre l'Iran et l'Irak coté Iran :arrow: http://www.college.interarmees.defense.gouv.fr/03pub/memoire/geo/galharba0804.pdf Les pertes de l'armée réguliére représente moins de 30 % des pertes militaires totale de ce pays, ce sont les "pasdarans" qui ont le plus souffert - Devinez pourquoi- :rolleyes: Ce mémoire long à s'afficher si vous n'avez pas le haut début récapitules tout les effets de cette guerre sur la population telles que le taux de chomage, le nombre d'handicapés, les mariages, les personnescontraintes de quitter leur domiciles, statistiques en tout genres, ect... Pétrolier Chypriote "Pivot" aprés une attaque Iranienne Victime iranienne "carré militaire" d'un cimetiére Iranien T-62 Iraquiens franchissant la frontiére le 1er jour du conflit :arrow: Equipage d'un BMP-1 Iraquien évacuant en vitesse à cause d'une alerte aérienne "Gazelle" Iraquienne ( ~ 40 vendues à ce pays) Monument au morts en Iran
  3. Discuter avec avec des manisfestants est une toujours considéré comme une grave erreur par le gouvernement Chinois Chine: Pékin maintient que Zhao Ziyang a fait de "graves erreurs" :? PEKIN (AFP), le 21-01-2005 Le gouvernement chinois a maintenu vendredi que le dirigeant réformiste Zhao Ziyang avait fait de "graves erreurs" en 1989, tandis qu'une source diplomatique a indiqué que le Premier ministre Wen Jiabao s'était rendu à son chevet deux semaines avant sa mort. Pékin a réitéré dans un communiqué son jugement sur l'ancien patron du Parti communiste chinois (PCC) formulé le 24 juin 1989. "Jusqu'au début de la période d'ouverture et de réformes (dans les années 1980), le camarade Zhao Ziyang avait fait des contributions bénéfiques à la cause du parti (communiste) et du peuple", selon le texte du Département de l'information du gouvernement. "Pendant la crise politique de la fin du printemps et du début de l'été 1989, il commis de graves erreurs. Le quatrième plénum du 13e comité central est arrivé à des conclusions politiques sur la nature de cette crise et les graves erreurs commises par le camarade Zhao Ziyang. Ces conclusions sont parfaitement correctes", poursuit le communiqué. Quelques jours après la sanglante répression armée de la nuit du 3 au 4 juin 1989, qui a fait des centaines, voire des milliers de morts, le mouvement pour la démocratie de la place Tiananmen avait été qualifié de "contre-révolutionnaire" et Zhao Ziyang accusé de "soutenir les émeutes". Le Premier ministre Wen Jiabao, qui fut bras droit de M. Zhao en 1989 et que des photos montrent à ses côtés sur la place Tiananmen devant les étudiants en grève de la faim, s'était rendu deux semaines avant sa mort au chevet de l'ancien dirigeant, âgé de 85 ans et souffrant des problèmes cardio-vasculaires et pulmonaires, a indiqué une source diplomatique dans la capitale chinoise. Cette visite n'a pas été signalée par les médias en Chine. M. Wen, qui n'avait pas été mis à l'écart en 1989, a publiquement tenté de justifier la répression contre le Printemps de Pékin depuis qu'il a pris ses fonctions de chef du gouvernement en mars 2003. Celle du vice-président chinois Zeng Qinghong une heure avant son décès, annoncée à l'AFP par des proches, n'a pas été médiatisée non plus. Jeudi, le gouvernement avait annoncé que ses obsèques seraient celles d'un simple vétéran du parti, sans mentionner que M. Zhao avait été secrétaire général du PCC de 1987 à 1989 et Premier ministre de 1980 à 1987. L'Etat "refuse que la famille arrange de manière privée" les funérailles, a déclaré vendredi sous couvert de l'anonymat à l'AFP une source proche de la famille de M. Zhao. "Les autorités veulent que la famille les laisse organiser" les obsèques, a ajouté cette source.
  4. Prit sur blog ;) :arrow: Il me semble que Bush parle là d'une situation comme elle s'est par exemple présentée en Ukraine. Les américains y auraient soutenu le mouvement d'opposition. . Est-ce que Bush souhaite que l'Iran se dirige dans la même direction que l'Ukraine? Des éléctions y ont lieu en printemps... J'en doute et je ne sais surtout pas si ces élections pourraient apporter du nouveau et surtout du meilleur. Mais je pense qu'il est extrêment important que le "problème iranien" trouve une solution, c'est-à-dire le désarmement. C'est une bien trop grande menace qui est en train de se mettre en place. Le blabla et les soi-disantes négociations de l'UE avec l'Iran n'ont mené qu'à une seule chose: prouver que les mollahs restent les maîtres de la manipulation et qu'ils ne veulent que gagner du temps. Qu'en pensez vous, l'opposition légale et "illégale" Iranienne est elle crédible aprés les législatives tronquées dans ce pays :?:
  5. Selon cette article, le nombre de sites qu'il faudrait mettre hors jeu en cas de frappe varierait de 23 à 63 :? :arrow: http://www.strategypage.com/dls/articles/200511123.asp Osirak vue par un F-16; les Iraniens ont aussi bombardé la centrale alors qu'elle était en reconstruction ;) Mais ce type de frappe ne ferait que relentir un programme d'armement. Le programme nucléaire iranien ne cessera que lorsque les dirigeants de Téhéran se résoudront à accepter que l'arme atomique n'est pas la meilleure option stratégique à privilégier. Et si le gouvernement actuel ne l'accepte pas pacifiquement, il faudra le faire changer d'avis d'une autre maniére ( Le retour du Shah :?: ) Au fait, selon les sondages, les Iraniens serait l'un des quelques peuples qui auraient voté pour Bush Jr :lol:
  6. Poid à vide de 4,8 tonnes, ce n'est pas un poid léger :lol: Au fait, la mitrailleuse du toit, elle est téléopéré :?:
  7. "Nous pouvons revendiquer le fait que nous avons rapidement produit un équipement dont il a résulté le plus fort élément de dissuasion", Le ministre Iranien donne le baton pour ce faire battre :lol: Bombe "sale" ou gaz de combat peut étre :?:
  8. Voici le démenti du Pentagone à propos de cette article avec des précisions sur quelques point de celui ci : http://www.defenselink.mil/releases/2005/nr20050117-1987.html
  9. C'est peut étre comme pour l'histoire de La Mecque, une info dirigée pour faire monter la pression sur Téhéran et l'inciter à négocier sérieusement sur ces installations nucléaires avec l'AIEA et l'Europe ;)
  10. Les Britannique nous recopie le concept de notre ancienne 4ème Division Aéromobile de la FAR :lol:
  11. Je précise que le Japon n'a pas non plus de missiles de croisiéres -armes offensive contraire à leur constitution- ;)
  12. Et les milliards de piéces détaché produites pour les Black Hawks, ils en font quoi :?: :lol: Je signale qu'il reste encore des centaines Hueys dont la conception remonte aux années 60 en service 8) Les Hercules volent depuis 50 ans et ils se vendent toujours :lol: Les prix du UH-60M seront nettement inférieurs à ceux du NH-90, et les frais des industriels sont largement amorti :rolleyes:
  13. On continue les négociations de part et d'autre mais on se prépare au cas ou :arrow: Téhéran multiplie les démonstrations de force Téhéran : Delphine Minoui [14 janvier 2005] Au cours de ces dernières semaines, la République islamique d'Iran a multiplié, de façon ostentatoire, les déclarations laissant entendre qu'en cas d'intervention militaire extérieure, elle aurait les moyens de réagir. Certes, l'épreuve de force, envisagée préalablement par certains faucons de Washington n'est plus aujourd'hui à l'ordre du jour, au vu de l'enlisement des forces américaines en Irak. Certes, les capacités militaires de l'Iran sont limitées. Mais les Iraniens se sont engagés dans une politique de défense dissuasive. «D'un côté, ils jouent sur l'ambiguïté au niveau du nucléaire et, de l'autre, ils développent depuis plus d'un an la tactique de la guerre asymétrique – comme en Irak –, qui viserait à ne pas résister à une pénétration de forces étrangères, mais à utiliser ensuite sur le terrain toutes sortes de capacités de nuisance», confie un expert occidental, sous couvert de l'anonymat. Tout a commencé, début décembre, avec cette annonce en grande pompe de l'organisation de manoeuvres militaires iraniennes au sud-ouest de l'Iran, près de la frontière avec l'Irak. L'exercice militaire, présenté comme un des plus importants depuis la révolution de 1979, aurait mobilisé quelque 120 000 hommes. Et puis, plus récemment, la presse iranienne rapportait que l'armée de l'air iranienne avait reçu l'ordre de tirer sur tout engin étranger qui violerait l'espace aérien iranien, quelques jours après avoir menacé de riposter en cas d'attaque étrangère contre les sites nucléaires iraniens. «Il est évident que dans le contexte actuel d'encerclement de l'Iran par les Etats-Unis et de la pression américaine sur le nucléaire, l'Iran cherche à faire une démonstration de force», souffle un diplomate occidental. Mais l'Iran a-t-il vraiment les moyens de transformer ses paroles en actes ? «Difficile à dire, répond l'expert en la matière, car l'accès aux manoeuvres militaires est toujours fermé aux étrangers, à l'exception des deux défilés officiels annuels.» Seule exception : la présentation publique, l'année dernière, à Qazvin, du «bataillon iranien du maintien de la paix» devant un parterre de spécialistes étrangers. A cette occasion, certains signes de faiblesse ont pu être détectés. «Le matériel avait trente ans d'âge. Il y avait des vieux véhicules américains M113, capables de rouler sur quelques mètres. Mais quid d'une situation de combat ?», s'interroge l'expert. Dans un récent rapport sur les capacités militaires de l'Iran, réalisé pour le compte du Center for Strategic and International Studies, le chercheur Anthony H. Cordesman fait le même constat : «L'Iran a vu entre 50 et 60% de ses équipements militaires détruits pendant la guerre Iran-Irak (1980-1988), dit-il. Aujourd'hui, la plupart des équipements sont vieux et usagés.» Et d'ajouter : «Si grandioses soient les plans militaires annoncés, l'Iran n'a pas été en mesure de se procurer un nombre significatif d'avions de combat moderne.» L'embargo américain et celui, plus récent, des Européens sur la vente d'armes à l'Iran (selon la déclaration du Luxembourg, en 1997) ont largement limité toute possibilité de se rééquiper. Néanmoins, précise Cordesman, «L'Iran est le seul pays de la région qui pose une sérieuse menace militaire à la stabilité du Golfe. Il y a une preuve évidente selon laquelle l'Iran cherche à développer des missiles ainsi que l'arme nucléaire». Le chercheur américain fait bien sûr référence au dernier missile balistique iranien Shahab 3, d'une portée pouvant aller jusqu'à 2 000 kilomètres. Il sous-entend également que la suspension, annoncée en novembre dernier, du programme iranien d'enrichissement d'uranium au terme de longues négociations avec l'Union Européenne ne garantit pas la suspension totale des activités iraniennes. «Dans le cadre du nucléaire, la confiance est en effet difficile à établir avec les Iraniens», confirme, de son côté, l'expert, qui partage les propos d'Antony Cordesman. Pour lui, «cette ambiguïté autour du nucléaire, entretenue en permanence par l'Iran, s'inscrit dans une politique de défense dissuasive». La preuve en a été faite cette semaine, avec l'acceptation de la visite des inspecteurs de l'AIEA sur le site militaire iranien de Parchine, mais une condition : se limiter au prélèvement d'échantillons, seulement à l'extérieur. «C'est un coup d'épée dans l'eau», constate l'expert. D'autant plus que la demande de la visite du site avait été formulée en octobre. Depuis, les Iraniens ont pu jouer avec le temps pour réorganiser leur site. Mais, d'après lui, ils jouent aussi avec les mots. «Les responsables iraniens ne cessent de clamer haut et fort que le but de leur programme est civil et que l'utilisation militaire de l'arme nucléaire est «haram» (interdit par l'islam). Mais quelle est la part de la sincérité dans tout cela ? Le problème, c'est qu'à l'époque, l'ayatollah Khomeiny a déjà donné le mauvais exemple en déclarant qu'au nom de ce fameux principe chiite de la «takiya», on a le droit de dissimuler la réalité quand ses propres intérêts sont en jeu. Donc à partir de là, aucune déclaration n'est totalement fiable», commente-t-il. Autre politique actuelle de dissuasion iranienne : la tactique de la guerre asymétrique. «Conscient de sa faiblesse technique, l'Iran serait prêt, le cas échéant, à envisager de laisser pénétrer un ennemi étranger sur son territoire, pour ensuite l'affaiblir par tous les moyens : ouverture de barrages, blocage de routes, recours à des bombes sales», confie l'expert. Dans ce cadre-là, les soldats de l'armée régulière pourraient être amenés à se mobiliser, et plus particulièrement l'armée d'élite, les fameux Pasdaran (Gardiens de la Révolution), fidèles au Guide religieux, l'ayatollah Ali Khamenei. Sans compter les 7 à 8 millions de bassidjis, ces fameux miliciens islamistes volontaires. Signe des temps : cette force paramilitaire d'intervention populaire massive a récemment augmenté ses effectifs et multiplié ses rassemblements.
  14. Pris sur "Tunis Hebdo", édité le 20 décembre 2004 : Les faux calculs de Téhéran Le bras de fer entre la République islamique d’Iran et les Etats Unis d’Amérique, ainsi que l’Europe communautaire, évolue en dents de scie, sans qu’il soit clair de prévoir avec certitude l’issue de cette bruyante affaire, qui accapare désormais la troisième place de l’actualité internationale. Voire. Téhéran avait savamment entretenu, durant ces deux dernières années, la politique de la «balançoire» sur la poursuite de son programme nucléaire, dans l’espoir de voir George Walker Bush quitter la scène politique américaine lors de l’élection présidentielle, et s’éloigner du danger. Cet espoir s’étant évanoui, les options qui restent aux mains du Pouvoir iranien sont, de l’avis des observateurs avertis, assez minces, pour ne pas dire très ténus. Le départ de Colin Powell, seule «colombe» dans le gouvernement de faucons de George Bush, et son remplacement par la «dame de fer», dont les positions maximalistes sont légendaires, Condoleezza Rice, nouveau Secrétaire d’Etat US, augurent en eux-mêmes un genre de «dialogue» qui présidera aux rapports des deux parties. «Condy» n’a jamais écarté et, encore moins, démenti la possibilité d’une attaque militaire contre l’Iran, si ce dernier ne mettait pas définitivement fin à son programme nucléaire. Une menace d’autant plus prise au sérieux que le président des Etats-Unis a en tête, pour son second mandat, le fameux projet de «Grand Moyen-Orient», lequel place le pays de Omar Al-Khayyam au cœur du chambardement envisagé. Washington et Tel-Aviv, son allié numéro un, s’inquiètent plus que les Européens que l’Iran devienne une puissance nucléaire et n’hésiteront pas à recourir à la force, assure-t-on à Tel-Aviv et à Washington. Le gouvernement iranien, compte certainement sur un certain nombre de facteurs pour contourner cette menace et revenir à la charge de son projet. Téhéran pense que l’horrible expérience des Etats-Unis en Irak, où ils ont perdu beaucoup plus de mille soldats et de l’argent fou, en plus de l’hostilité anti-américaine qui se propage dans le monde à une vitesse supersonique, dissuadera l’Oncle Sam de se lancer dans une aventure iranienne qui serait désastreuse pour les USA sur tous les plans. Erreur, répondent des analystes : les néo-conservateurs américains peuvent interpréter le vote majoritaire en leur faveur comme le signe que le peuple des Etats-Unis accepte la perte de soldats comme «un prix raisonnable à payer». Téhéran pense également que la toile d’araignée commerciale et économique qu’il a tissée avec les grandes puissances, lesquelles disposent du droit de veto à l’ONU, découragerait Washington d’entreprendre contre lui une action militaire. L’Iran a engagé avec la Chine ce que les économistes appellent «le marché du siècle» : un énorme accord gazier, jamais réalisé sur la scène internationale. L’Inde et le Pakistan, alliés stratégiques de Washington et de Tel-Aviv sont, eux aussi liés à l’Iran par de grands accords commerciaux et économiques, qu’il serait chimérique de la convaincre à les résilier ou seulement à les suspendre. New Delhi tient à son projet d’oléoduc qui lui fournira du gaz iranien via le Pakistan. La Russie, la Turquie et même le Koweït, poumon pétrolier des USA, se trouvent organiquement liés à l’héritière de la grande Perse par des projets d’importance capitale. Idem pour le Japon dont les intérêts en Iran sont immenses. Faux calculs, que tout cela ? Possible. Très possible même : George Walker Bush n’a-t-il pas attaqué l’Irak malgré l’opposition du monde entier, de l’ONU et de toutes les organisations ? L’Iran est bel et bien dans l’œil du cyclone. T.H
  15. collectionneur

    Frégates AAW Horizon

    Je suposse que tout betement, on à rajouter un zéro de trop sur le post :lol: 22 millions pour 31 MM 40 modernisé soit la moitié du prix d'un neuf ;)
  16. Voici le site de la société de remorquage ;) :arrow: http://www.les-abeilles.fr/index1_fr.html Construites en Pologne, finitions en Norvége avec des moteurs Allemands sous license Anglaise, c'est vraiment le Marché Commun :shock: :arrow: Abeille Bourbon sur son chantier Norvégien
  17. collectionneur

    Frégates AAW Horizon

    Donc, il y aura de grosses différences par rapport au dessin d'artiste :? :arrow:
  18. collectionneur

    F-22

    Correction, les USA en recu 33 F-22 jusqu'a présent ;) Quand au dons pour l'Asie, avec les surenchéres tout les jours, je ne sait plus ou on en ait, sauf que déja l'aide militaire US leur à déja couter 45 millions de $ en 10 jours, moins le cout de l'hélico qui s'est planté ;)
  19. Un des marins est décédé hier de ses blessures et 23 autres ont blessés.
  20. Dimanche 09 Janvier 2005 LA COREE DU NORD NE SERAT PAS UNE "FASHION VICTIME" :lol: Campagne contre les cheveux longs et tenues "décadentes" en Corée du Nord SEOUL (AFP), le 09-01-2005 La Corée du Nord a intensifié une campagne contre les cheveux longs et les tenues négligées, dénonçant notamment à cet égard la "décadence capitaliste", selon la BBC citant les médias dans une dépêche datée de Pyongyang. Les télévision, radios et journaux ont demandé aux hommes de porter les cheveux courts, pas plus de 5 cm, et d'aller chez le coiffeur deux fois par mois. La télévision nord-coréenne a même expliqué que les cheveux longs "consommaient beaucoup d'éléments nutritifs" et pouvaient priver le cerveau d'une partie de son énergie. :shock: La radio considère, de son côté, qu'il est important de se vêtir correctement "pour repousser les manoeuvres ennemies d'infiltration d'idées et du mode de vie capitalistes". Le quotidien du parti communiste au pouvoir, le Rodong Sinmun, met, lui, en garde contre la décadence. "Les gens qui portent des vêtements d'un style et mènent une vie qui ne sont pas les leurs vont devenir des idiots et provoquer la ruine de la nation", dit-il. La télévision a montré des Nord-Coréens aux cheveux longs dans les rues de Pyongyang dans une émission inhabituelle utilisant une caméra cachée.
  21. 22:02 Un sous-marin nucléaire américain s'échoue à Guam HONOLULU, Hawaï (AP) - Un sous-marin nucléaire américain s'est échoué pour une raison indéterminée à environ 600km au sud de l'île de Guam dans le Pacifique, faisant une vingtaine de blessés parmi les matelots, dont un grave. L'équipage compte 137 hommes. La marine américaine n'a pas signalé de dégâts au réacteur de l'USS San Francisco qui continue apparemment de fonctionner normalement. Il s'agit d'un submersible de 110 mètres qui regagnait son port d'attache de Guam. L'échouage s'est produit vendredi après-midi et une enquête est en cours, a précisé Jon Yoshishige, porte-parole de la flotte du Pacifique basée à Pearl Harbor. Guam est un territoire américain situé à 6.000 kilomètres au sud-ouest de Hawaï. Sur Internet : Flotte américaine du Pacifique : www.cpf.navy.mil AP Bg/v00404 © AP - The Associated Press. Tous droits réservés. Voici une page sur le SNN 711 "USS San Francisco" de classe "Los Angeles" : http://navysite.de/ssn/ssn711.htm -------------------------------------- Un sous-marin nucléaire américain s'est échoué NOUVELOBS.COM | 08.01.05 | 15:47 L'USS San Francisco, un sous-marin d'attaque nucléaire, s'est échoué à 2h GMT alors qu'il était en plongée à 563 kilomètres du territoire américain de Guam, dans l'Océan Pacifique. Plusieurs blessés. Un sous-marin d'attaque nucléaire américain s'est échoué samedi 8 janvier au sud de Guam, une île du Pacifique sud, et il y a eu plusieurs blessés à bord du bâtiment, dont le réacteur atomique n'a toutefois pas été endommagé, a annoncé la Marine américaine à Los Angeles (Californie). L'USS San Francisco, un submersible de la classe Los Angeles, s'est échoué à midi heure locale (02H00 GMT), alors qu'il était en plongée à 563 kilomètres du territoire américain de Guam, où il est basé, selon le communiqué de la Marine. "L'étendue des blessures et des dommages à bord du San Francisco est encore en cours d'évaluation", poursuit le document, d'après lequel "une personne a été grièvement blessée et plusieurs autres plus légèrement". "Le sous-marin est en surface et retourne le plus rapidement possible vers son port d'attache à Guam", toujours selon le communiqué. "Nous n'avons pas été informés de dommages (éventuellement infligés) au réacteur nucléaire, qui fonctionne normalement", assure la Marine. Des avions de l'armée et des gardes-côtes ont été envoyés pour surveiller le déroulement des opérations, a ajouté le communiqué. Les sous-marins de la classe Los Angeles mesurent 109,73 mètres de long et disposent d'un réacteur nucléaire, selon les données fournies par la Marine.
  22. Juste pour rappeler que la Corée du Nord est toujours sous trés haute surveillance 8) Pas moins de 190 sorties d'U-2, de RC-135 et autres "avions espion" ont été dénoncé par celle ci pour le seul mois de d'Octobre 2004. :twisted: Ceci dans le cadre d'opérations mettant en oeuvre de 6 à 8 appareils - Je précise que ceux ci ne sont rentré dans l'espace aérien nord Coréen -
  23. Officielle, la RPC à 1 300 000 000 d'hab, sans compter la diaspora en Asie et ailleurs....
  24. Arianespace: deux fois plus de lancements en 2005 Promis, 2005 fera oublier l’année 2004, marquée par seulement trois lancements de satellites par Arianespace. Yves Le Gall, le directeur général de la société aérospatiale européenne, a annoncé six lancements pour 2005, dont la nouvelle version d’Ariane-5, un résultat financier équilibré, tout en présentant un carnet de commandes bien rempli pour les années à venir. Douze contrats de lancements ont été signés au cours de l’année 2004, a expliqué hier Yves Le Gall à la presse, dont 5 au mois de décembre. Au total, 40 lancements sont inscrits dans le carnet de commandes d’Arianespace, dont 5 qui seront effectués par la filiale franco-russe Starsem avec le lanceur Soyouz. Les cinq derniers contrats signés concernent le lancement de deux satellites militaires britanniques Skynet 5A et 5B, deux satellites Pléiades d’observation de la Terre du CNES et l’observatoire astronomique spatial Corot (CNES). L’événement majeur de l’année 2005 est le lancement de l’Ariane-5 ECA, capable d’emporter une charge de 10 tonnes, prévu pour le 11 février. La première tentative avait échoué. Cinq autres missions sont programmées pour l’Ariane-5 ‘’générique’’. Le chiffre d’affaire de 2005 devrait atteindre 700 millions d’euros, a précisé M. Le Gall, ce qui permettra d’atteindre l’équilibre pour la seconde année consécutive. Après plusieurs années dans le rouge, Arianespace a été recapitalisée à hauteur de 60 millions d’euros par ses actionnaires –les deux principaux sont le CNES et EADS. Cécile Dumas - Science & Avenir (05/01/05)
  25. Le journaliste à dut vouloir écrire F-14, une erreur de chiffre est vite arrivé ;) On parle de F-18 qui sont aussi des appareils embarqué donc pourquoi pas :? Peut étre un vol depuis l'Océan Indien jusqu'en Afghanistan :?:
×
×
  • Créer...