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Armée de l'Air Jordanienne
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de scorpion-rouge35 dans Afrique / Proche Orient
Si c'est le cas, la loi de Murphy a été mise à rude épreuve... - Il a fallu que le gars ait un incident technique au mauvais moment. C'est déjà rare en temps normal de perdre un F-16 à cause de ça. - Il a fallu qu'il s'éjecte en périphérie d'une grande ville. En zone hostile, y'a mieux comme choix étant entendu qu'un incident technique laisse du temps, donc le choix. - Il a fallu qu'il plante l'avion à haute vitesse vu comment il l'a enterré (d'après les photos). Or quand on a une panne, on tâche de s'éjecter dans de meilleures conditions. - Et il a fallu que les barbus le voient atterrir lui et le reste de son avion (verrière comprise) pour pouvoir tout récupérer aussi rapidement. Mais il a eu la sagesse et le temps d'avertir de son problème technique par radio puisque les autorités savent pourquoi cet avion est tombé, bien que tout cela ait été suffisamment bref pour que des actions de sécurisation/sauvetage aient échoué (si elles ont eu lieu). Non, sérieusement, il est plus probable que le temps ait manqué pour tout faire de manière optimale, ce qui suppose un scénario catastrophe (feu ennemi) avec éjection quasi-immédiate. -
Armée de l'Air Jordanienne
DEFA550 a répondu à un(e) sujet de scorpion-rouge35 dans Afrique / Proche Orient
J'ai quand même du mal à acheter cette version... -
Vu la manière drastique dont la BA fait chuter la portée des missiles, c'est évident.
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Parce que lorsqu'on débarque à plusieurs au même endroit, USA en tête, on s'aperçoit vite qu'ils arrivent avec leur matos, leurs normes, leurs règles et surtout que c'est aux autres de s'adapter ou d'aller jouer ailleurs.
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Je ne pense pas... Il a fait demi-tour à proximité d'axes de ravitaillement connus. Cf la carte officielle : http://www.dircam.air.defense.gouv.fr/dia/images/stories/Doc/CAM6_RECTO.pdf
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Oui, c'est énorme. Ca veut dire qu'à quantité équivalente à celle d'un propulseur à poudre on peut fournir la même poussée 6x plus longtemps. Sur le Meteor le ramjet ne sert quasiment qu'à maintenir le régime de croisière, l'accélération initiale étant obtenue avec un propulseur à poudre. La poussée demandée en croisière étant nettement moindre, on dépasse largement le facteur 6x sur la durée de fonctionnement du moteur. C'est aussi pour ça que ce qui est dit sur l'AIM-120D ne tient pas la route. Soit il utilise lui aussi un ramjet (ou autre système aérobie), soit il ne porte pas beaucoup plus loin que ses prédécesseurs.
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Bon. Ben j'étais à la bourre aussi... :D M'enfin ça change tellement souvent que j'intègre les nouveautés quelques années après leur entrée en fonction. Comme ça les changements les plus éphémères passent à la trappe...
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J'aurai effectivement préféré lire "proposé". Déjà qu'il est réputé pas cher, si en plus il est offert...
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Et on sort des chiffres comme ça, sans rien expliquer ! Ca fait avancer le schmilblick ? La durée d'exposition à une forte accélération a son importance.
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On parle de ces brigades depuis plus de 2 ans. Les journalistes devaient être en très longue finale est viennent juste d'atterrir...
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Pascal, encadre ce que tu viens d'écrire et garde-le précieusement parce que les occasions de le resservir ne manquent pas ! La conséquence directe de cet état de fait c'est que la mise aux normes quasi-permanente, selon un calendrier inflexible, finit par coûter cher.
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Ce qui est intéressant dans cette formule, c'est qu'on y retrouve la notion de "fuel fraction" sous la forme du ratio entre la masse initiale (tous pleins faits) et la masse finale (à vide). A rapprocher de ce qu'on répète souvent concernant le rayon d'action des avions... En dehors de ça, et pour vulgariser un peu, l'Isp (impulsion spécifique) caractérise l'efficacité, qu'on pourrait traduire par la quantité d'énergie, de la poudre propulsive (qui n'est pas sous forme de poudre...). Plus cette valeur est élevée, moins il faut brûler de poudre pour obtenir une poussée donnée. L'unité de cette valeur est la seconde (temps) ; c'est ce qui reste après simplification d'un calcul faisant intervenir la force de poussée et le débit massique (quantité de poudre consommée par seconde), entre autres choses.
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C'est tellement évident qu'il vaut mieux le dire clairement ! ;) L'idée du BVR est bien d'éviter d'avoir à se "maillocher" les yeux dans les yeux. Plus on peut flinguer de loin, moins il en reste à flinguer de près. L'idée est poussée à son paroxysme en estimant qu'arriver au combat rapproché est déjà un échec, pas une seconde chance.
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Ca m'embrouille aussi et je ne retrouve plus de sources fiables (Protac a disparu, MBDA fait dans la simplicité). Reste ce delta-V imparable qui correspond effectivement à M2.5 de 11000 à 20000m et qui remet en cause mes certitudes.
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Parce qu'on n'a pas de quoi en payer plus chaque année. Alors on les prend au compte-gouttes.
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Je reformule : la vitesse serait largement supérieure si l'accélération durait plus longtemps. Par analogie avec une voiture, c'est comme si on levait le pied au bout de quelques secondes ; on atteint une certaine vitesse, mais ce n'est pas la vitesse maximale.
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Ok pour le décollage. Mais ça ne dure pas une heure. Le reste ne se passe pas à la verticale du terrain. Il faut se rendre sur zone, puis en revenir. Et ça, ça se fait en palier à vitesse croisière. Il faut aussi considérer les domaines d'emport, les domaines de tir, et accepter qu'un F-15 armé ne vole pas à M2.6 parce qu'il existe des limitations diverses et variées qu'il faut bien respecter. Je ne dis pas lequel coûtera moins cher que l'autre en carburant. J'en sais rien et je m'en fiche. Mais les choses sont assurément bien plus compliquées que ce qu'il paraît.
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Ca, c'est ce qu'on dit quand on pense que la traînée limite la vitesse atteinte. En réalité ce qui limite cette vitesse c'est la durée de combustion. Autrement dit l'accélération stoppe largement avant d'avoir atteint la vitesse maximale. @Kovy Je me souviens pas d'avoir vu des chiffres précis à ce sujet. Mais dans le principe ça doit tourner autour d'un gain de M2 en accélération suivi d'un régime de croisière d'une bonne dizaine de secondes autour de M3.
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La vitesse max ne donne aucune indication sur l'aérodynamisme. La plupart du temps elle est limitée par d'autres considérations que la poussée maximale ou la traînée, comme par exemple la résistance à la chaleur de certains éléments ou les caractéristiques des entrées d'air.
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Le Meteor a un accélérateur à poudre pour l'amener à une vitesse largement supersonique dès le tir, puis le stato prend le relais. S'il faut chercher une explication au "trou" entre le MICA et le Meteor, elle serait d'après moi liée à la propulsion toujours effective après plusieurs dizaines de nautiques parcourus, rendant le missile plus facilement détectable avec toutes les conséquences que cela peut avoir sur l'efficacité du tir.