Rien d'extraordinaire dans tout ça, ce n'est qu'une technologie de rendez-vous orbital "violent", ce qui est la base. Les amériain et les russes savent faire ça depuis des dizaines d'années, et ça fait des années que l'ESA à étudié et mis au point les procedures de rendez-vous orbital "doux" (de loin plus complexe à mettre en oeuvre). C'est un joli coup de pub, mais ce n'est que ça, un coup de pub. Percuter un satellite abandoné à la trajectoire parfaitement connue (car lancé par eux) est nettement plus simple que d'intercepter un satellite espion en temps de guerre : sa trajectoie ne serait pas fixe, les satellites espions étant dotés de routine pour rendre celle-ci imprevisible, et donc interceptable, l'inconvenient est que ça consome les reserves de propergols du satelite, et donc empute sa durée de vie en orbite, mais en temps de guerre, ce genre de chose, on s'en fout, seule compte l'information ramenée par le satelite, qui pourra quand même tenir assez longtemps (ces systèmes ont été conçu dans l'optique d'une guerre USA/URSS, et donc, une guerre longue... très longue...)
@+, Arka