on peut egalement ajouter l'insurrection des Maus Maus au Kenya dans les années 50, celles des communistes indonésiens, celles des Hottentots, celle des Malgaches, celle des Zoulous et des Boers (bon d'accord a prt les communistes indonésiens, des sagaies et des vieilles petoires face a des mitrailleuses lourdes et des avions ca fait pas lourd.....) mais egalement la revolte indienne aux USA dans les années 1970
Après il est evident que de nombreuses guerillas perdurent (Karen et Kachin en Birmanie, PKK au Kurdistan, LTTE au Sri Lanka, Front Moro de Liberation en Indonesie...etc) tout depend effectivemnt de la pugnacité des 2 camps et du nombre de pertes acceptables pour atteindre les objectifs de chacun (destruction de la guerilla pour les etats etablis, reconnaissance politique et/ou independance pour les guerillas)
Cela dis je suis persuadé que le tout repressif dans ce schéma est la voie de reflexe "naturelle" mais la moins efficace qui soit
Je reprendrais l'exemple antique romain
Controle des regions douteuses grace a des auxiliaires locaux avec pour ces derniers une reconnaissance reelle du point de vue politique/economique/de la citoyenneté
Gestion en amont des problèmes par des discussions
Evidemment en cas de revolte les romains n'y allaient quand même pas avec le dos de la cuillère (deportation, esclavage, destruction des villes) mais c'etait les dernières extremités
je pense que les etats actuels pourraient s'inspirer de cette gradation avant d'entrer dans des operations non discriminantes des le depart