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Le pire, c'est qu'ils seraient capables de le proposer. Et même d'expliquer que c'est plus sur qu'un tir d'ASMP vu que la DCA ne va pas savoir quel bombe intercepter...
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Un peu de tout ? C'est la logique de chaque entreprise qui rachète un de ses concurrents couvrant une autre zone.
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Si on reprend la même image et qu'on remplace le F35B (1100 km) par un Rafale (1850 km) et/ou qu'on rajoute un ravitaillement en vol (donc entre +50% et +100% de gain de distance franchissable, voir plus s'il y a des pistes de déroutement) le porte-avions redevient performant. Après il faut aussi se poser la question de la crédibilité du missiles. On est à la limite du missile balistique "stratégique" qui va déclencher une riposte nucléaire immédiate avant qu'on ne se rende compte qu'il est conventionnel.
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Tu oublies que l'Égypte n'est pas notre seul client. On a vendu 96 Rafale, heureusement qu'on en a produit 12 de plus que prévu... maintenant si tu sais me dire combien on aurait produit de Rafale en exportant juste 72 Rafale... personnellement je l'ignore et je le précise en utilisant le mot "doute". Être catégorique et dire que c'est vrai ou faux me paraît difficile en se limitant aux informations publiques. En règle générale j'évite d'être trop affirmatif et je ne vois pas où tu as prouvé que je me suis trompé.
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Pour des Typhoon pas encore commandé, ça ne devrait pas être bloquant. Et puis on veut juste que ce soit fait pour 2030... Enfin, même avec un bon câblage, on se retrouve avec un Typhoon... il faudra réfléchir à la configuration envisagée. Je n'imagine pas une configuration bi-B61 donc on se retrouve à vouloir installer la B61 en point central. Vu certaines photos et la place prise par le train, je ne suis pas sur que ce soit possible. On va donc devoir le mettre sous une aile et avoir une configuration dissymétrique... on se retrouve donc à imposer la présence d'un réservoir qui servira de contre poids pour réduire (et non supprimer la dissymétrique) L'autonomie d'un Typhoon en configuration dissymétrique avec 2 bidons de 1000 L risque de ne pas être énorme. Pour la maniabilité ou l'agilité, le Typhoon risque de réduire son domaine de vol à cause de cette configuration dissymétrique... en plus pour la phase de tir, soit on envisage d'être vraiment en configuration dissymétrique (bidon vide et bombe donc pas le même poids avant le tir ou bidon conservé après le tir) soit on envisage de larguer un bidon à moitié plein lors du tir ce qui réduirait encore l'autonomie. Pour le tir d'ASMP (depuis le SEM), donc à distance de sécurité, ça me paraît moins problématique d'avoir les contraintes d'un vol dissymétrique. Même pour le tir d'AN-52 depuis un SuE, c'est peut-être contre un sous-marin ou une cible faiblement défendue (et prise par surprise vu qu'elle est trop loin pour craindre une attaque des FAS) donc la limitation devient acceptable (surtout que c'est une arme politique) mais pour le Typhoon, ce ne serait pas très sérieux.
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Si la commande est décalée, ça revient quasiment à dire qu'elle est réduite pour les 5 à 10 ans de retour sur investissement espéré. Ce qui compte c'est plus les livraisons (enfin la production) que les commandes. La commande a eu lieu en 2015, on est en 2020 (donc 5 ans plus tard) je ne suis pas sur qu'on ait reçu tous les Rafale qu'on aurait reçu sans commande égyptienne. Si je ne me trompe pas, on n'a reçu que 11 Rafale depuis 2015. En l'absence d'export, on aurait probablement maintenu la cadence de 11 Rafale par ans donc on aurait reçu bien plus que 11 Rafale. A long terme, oui, on recevra autant de Rafale. Et si la question concerne en réalité la production d'une pièce détachées servant à la maintenance, la France a pu dépenser l'argent économisé par le non achat de Rafale pour payer des pièces détachées donc il se pourrait même que la France ait reçu plus de pièces de Rafale qu'elle n'en aurait reçu sans export. Et le Rafale étant produit en 3 ans, il est aussi possible que le sous-traitant ait déjà produit pour la France bien plus que les 11 pièces de Rafale déjà livrés. Bon, la question qui se pose, c'est le temps de retour espéré. Sur 5 ans, je pense que les 24 Rafale égyptien ne comptent pas pour 24, mais sur 10 ans, ils doivent s'en rapprocher et sur 20 ans, ce sera vraiment 24 et même probablement plus si ça peut influencer un autre client (dont la France qui n'envisage plus d'arrêter la production)
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Je ne serai pas aussi catégorique, mais de toute façon la Turquie a encore des F-4 et surtout ses F-16 (les plus récents) sont plus récents que les F16 Belges ou Néerlandais donc ils devraient être retirés du service dans longtemps. D'ici 2040, on peut s'attendre à beaucoup de choses. Les 3 autres pays clients (et prochainement usagers eux) du F-35 vont demander la capacité B-61 bien avant que la question ne se pose pour la Turquie. D'ailleurs pour la Turquie, les F-4 ont la capacité nucléaire ?
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La question réelle qui intéresse JM43, n'est pas de savoir si le Rafale va s'exporter, mais de savoir s'il va y avoir une augmentation de la production. Le marché égyptien a repris des Rafale français, en pratique sur les 24 qu'on a vendus, je doute qu'on ait réellement produit 12 avions de plus qu'on ne l'aurait fait autrement. Un client "surprise" risque de se contenter d'une petite commande donc ce sera quasiment transparent sur la production à 5 à 10 ans.
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Ils doivent être certifiées avant le retrait des derniers Tornado italiens ou des derniers F16 belges, néerlandais ou turcs. Donc il faudrait s'attendre à 2025...
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15 F35A allemands, c'est pas grand chose sur un programme de plus de 300 SCAF en France, allemagne et espagne. Mais on va se rendre compte, qu'en fait il y avait 30 Tornado pour la composante nucléaire et pour une carrière de 30 à 50 ans, il faudra un peu plus de 30 F35A pour la Luftwaffe. Mais si 15 ne posent pas de problèmes, 30 non plus. Puis l'Espagne va expliquer que pour sa marine le F35B est indispensable. L'alternative aux 15 F35B pour équiper leur futur PA STOVL demanderait de choisir un PA CATOBAR avec SCAF et peut-être même de devoir collaborer avec la marine française... Et 45 F35 à la place des SCAF, même sur un programme de 300 SCAF, ce n'est plus négligeable. Et oui, ça pourrait remettre en cause le SCAF. Plus de nuc aéroportée. Le Tornado servait aux missions nucléaires pour ses 3 pays fondateurs. Lors du début des négociations sur le Typhoon/Rafale, 4 des 5 pays (tous sauf l'Espagne qui est arrivé plus tard) avaient besoin d'un bombardier nucléaire. L'Angleterre aurait même du collaborer avec la France pour le développement de l'ASLP qui devait remplacer l'ASMP. L'incapacité du Typhoon d'opérer une arme nucléaire est juste un raté du programme et non une absence de besoin qui serait différent de celui du Rafale.
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Trop fort les allemands... ils viennent de décider de ne décider qu'en 2022 ou 2023 de décider de commander en 2025 des avions à recevoir en 2030 pour les premiers exemplaires donc de pouvoir retirer les derniers Tornado en 203X et transmettre la mission nucléaire en 203X... Tout ça parce qu'il faudrait plusieurs années pour homologuer la B-61 sur Typhoon et que ça ne pourrait pas être fait avant 2027 ou 2028... Personnellement, je comprend qu'ils font tout pour forcer le choix du F35 vu qu'en 2025 les F18 ne seront plus proposés à la vente ou pour encourager l'abandon de leur composante nucléaire (les anglais et les grecs l'ont bien fait) vu qu'il faudra trop longtemps pour homologuer le F18 et mettre en service un avion de transition après 2030 alors que les premiers SCAF pourraient être mis en service avant 2040 si les allemands le demandaient...
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Au fait, je n'ai pas dit qu'on aurait pu gagner la bataille, j'ai dit, qu'on aurait pu la gagner à quelques "détails" près, donc que la stratégie de l'état major n'était pas si mauvaise. Mais ces détails sont en pratique presque impossible à réaliser et l'état major aurait du le savoir. Dans les "détails", il y a le fait que nos moyens de transport étaient basés sur des avions comme les C-47 alors que le premier C-130 a volé quelques mois plus tard. C'est du "détail", mais le progrès potentiellement apportés par nos Noratlas (à peine en service en France) n'aurait peut-être pas été suffisant et les Transall (véritable gain opérationnel) ne sont arrivés que 10 ans plus tard. Le temps qu'on les maîtrise vraiment, il faudrait repousser la bataille de 15 à 20 ans... Pour l'aviation de combat, on devait se protéger d'un danger potentiellement bien plus menaçant en France alors qu'en Indochine, il s'agissait juste de gérer notre départ. Et honnêtement, même presque 10 ans plus tard en Algérie, on n'avait toujours pas d'avions vraiment adaptés. Des Vautour auraient pu être utiles (rayon d'action et charge utile important) mais les prototypes venaient tout juste de décoller puis il s'agissait d'un avion "performant" qu'on a à peine déployé en Algérie. Il n'aurait pas fallu grand chose pour qu'on dispose de C160 et qu'on puisse donc déployer rapidement un grand nombre d'AMX13. La même bataille avec une centaine d'AMX13 (et un soutien logistique par parachutage massif) n'aurait pas du tout eu le même sens, mais c'est inimaginable... On aurait aussi pu imaginer un appui héliportée (pour la logistique ou pour déployer des troupes permettant de prendre l'ennemi à revers ou de casser leur ligne logistique) avec un usage massif d'hélicoptères lourd H-21, mais c'est la aussi de la fiction.
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Pour l'anecdote, sur l'aérotransport des char, à partir de la page 52, il y a une présentation des opérations "Rondelles" https://www.emb.terre.defense.gouv.fr/IMG/pdf/M_T_177.pdf On voit toute la difficulté de la mission de transport (démontage et remontage de char) et ça doit être valable pour la plupart des autres chargement. En France, on se souvient de Dien Bien Phu comme d'une défaite et l'exemple type de ce qu'il ne faut pas faire. Mais quand on voit les pertes, je ne suis pas sur que la défaite était aussi évidente. J'ai l'impression que beaucoup de "détails" auraient pu changer la donne. Au rythme des pertes, je ne suis pas sur qu'on aurait du tenir encore longtemps avant de "gagner". Augmenter la quantité de fret aérien (donc améliorer la qualité de nos installations défensives ou notre capacité de contre attaque avec plus de char) aurait pu permettre de tenir plus longtemps certains points donc de conserver plus longtemps l'utilisation de la piste ce qui renforce tout le dispositif. Pour le fret, c'est un détail technique, mais à l'époque on venait tout juste d'imaginer équiper les avions de transport d'une rampe de chargement permettant d'accélérer le chargement mais aussi de décharger lors d'un survol à très basse altitude de la piste. Le C-130 a effectué son premier vol quelques mois après la bataille, son utilisation lors de la préparation puis lors de la bataille aurait changé beaucoup de chose. Améliorer notre soutien aérien (en s'équipant d'avions plus performant ou en utilisant une piste plus proche) aurait pu compenser la supériorité de l'artillerie adverse. Bon la mauvaise météo réduisait dans tous les cas la qualité du soutien aérien. Attaquer la logistique adverse (et pas juste par l'aviation) aurait pu réduire fortement la capacité d'attaque adverse. Si on rajoute qu'en plus on arrive à conserver la piste (donc un bon soutien sanitaire), ça permettrait de conserver une logistique plus performante côté français que côté vietnamien. Et après la fin de la bataille, des renforts terrestres (en nombre significatifs vu les effectifs français) sont arrivés avec quelques jours de retard. Ils n'auraient probablement pas suffit pour conserver le camp, mais s'ils avaient pu permettre son évacuation donc de sauver les presque 12 000 soldats qui ont été fait prisonniers, on se serait souvenu de Dien Bien Phu comme d'une bataille particulièrement meurtrière pour les 2 camps sans qu'aucun n'ait pu gagner. Au vu des pertes vietnamiennes, une bonne évacuation aurait peut-être même été considérée comme une victoire.
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Fret aérien civil : sa place ? son importance stratégique ?
ARPA a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Aviation de ligne, d'affaire...
Finalement cette crise va permettre de voir des A380 en version Fret. Il s'agit d'une transformation provisoire, mineure qui se limite presque au retrait des sièges passagers, mais c'est déjà ça. https://www.aerobuzz.fr/breves-industrie/lufthansa-technik-convertit-un-a380-en-cargo/ -
Pour les avions, il faut reconnaître qu'on n'était pas au top. Pour le transport notre avion "performant", c'était le C-47. Donc compliqué/lent à charger et à décharger. Et pour le trajet, vitesse de croisières de 260km/h. A cette époque, en métropole, on mettait en service le Nord 2501. Donc possibilité de chargement/déchargement accéléré par les grandes portes de la soute arrière. C'est du détail, mais diviser par deux le temps de déchargement donc le temps au sol va permettre de réduire significativement la vulnérabilité des avions à Dien Bien Phu, donc peut-être de continuer les rotations plus longtemps. On a aussi la possibilité d'augmenter le nombre d'avions desservant l'aéroport vu qu'ils restent moins longtemps sur place. Sans oublier la possibilité de transporter des charges plus grosses ou non démontés. Et pour le trajet, on passe à 320 km/h, ça permet de réduire de le temps de vol donc d'augmenter légèrement le nombre de rotation quotidienne, si on rajoute qu'en plus le Noratlas a une charge utile bien plus importante que les C-47 ou Ju 52, il aurait pu remplacer plusieurs de nos avions de transport. En avion moderne, les américains nous ont prêté des C-119, mais trop tard. Si je me souviens bien, c'était même après les premiers affrontements. Même pour l'aviation de combat, la question de nos avions aurait du se poser. Vu leur rayon d'action, nos ouragan ou F86 n'auraient pas été très utiles, mais les USA avaient déjà commencé à retirer les premiers Skyraider. On aurait aussi pu s'équiper de Canberra. Un avion à réaction consomme plus et coûte plus cher, mais son entretien est plus rapide que celui d'un moteur à piston. On aurait pu avoir une meilleur disponibilité avec les premiers jet qu'avec les derniers avions à piston. Sinon, même sans passer au B29, il devait rester des lancaster, des B17 ou des B24 d'utilisables et avec une capacité d'emport de bombes à grande distance nettement plus importante.
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La log est souvent négligée, mais c'est ce qui fait gagner ou perdre une bataille. J'avais lu qu'une des causes de la défaite avait été notre incapacité à livrer de quoi faire du ciment... donc nos abris étaient en réalité bien trop fragiles face aux bombardements. En point fort, mais largement insuffisant, il y eu notre capacité à aerotransporter des char... Et c'était presque plus leur blindage (contrairement aux canons dans des casemates sans ciments) que leur mobilité qui a été utile. Bon, 10 char ça ne suffit pas à renverser le court d'une bataille.
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Au milieu d'un convoi de pétroliers et porte-conteneurs ou au milieu de chalutiers ?
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J'ai du mal avec tes questions. A mon avis, tu te poses trop de questions sur comment ça marche plutôt que à quoi ça sert et dans quels conditions. Essaies déjà de savoir à quoi ça sert d'avoir un radar, une radio, un système de positionnement par satellites ... avant de demander comment celui du Rafale fonctionne. Pour l'exemple du SPS du Rafale, en recherchant tu ne comprends pas entre GPS et Galileo (dont on ne parle pas) pourquoi les pub de Dassault citent le Glonass... Il ne faut pas se dire qu'aujourd'hui le Rafale devrait... Il faut se rappeler que le Rafale a une histoire (héritier des mirage) qui a commencé à être écrite il y a plus de 30 ans. Le Rafale F4.2 est très différents du Rafale A, mais une grosse partie des informations publiques que tu pourras trouver concernent plus le Rafale A qu'un F4.2. Pour revenir aux GPS, lors du développement du Rafale, la France (mais aussi le marché export) voulait être relativement indépendante des autres pays. L'idéal est évidemment d'avoir son propre système, mais le Galileo n'a été mis en service qu'en 2016... bien après la mise en service du Rafale qui a pourtant eu du retard. La France a donc proposé d'équiper le Rafale du système choisi par le client. Pendant une grande partie de la carrière commerciale du Rafale, indiquer GPS et/ou son unique concurrent Glonass était aussi un moyen de dire qu'on propose le service GPS mais sans la dépendance aux USA. Pour un avion affiché ITAR free, c'est presque indispensable. Sinon du point de vue opérationnel, il faut se méfier des comparaisons entre 2 SPS (mais pas uniquement, sous certaines conditions même le Typhoon doit pouvoir faire mieux que le Rafale) Dire qu'un système est plus précis qu'un autre ne veut pas dire grand chose, le GPS (mais c'est aussi le cas pour les autres) a déjà une précision qui varie très significativement suivant la date/heure et l'endroit. Et si tu veux comprendre le Rafale ( ses équipements, sa conception...) je te conseillerai plutôt de commencer par du "basique" plutôt que par des sujets trop complexes. Rien que la question du carburant est en réalité beaucoup plus vaste qu'elle n'y paraît. Et pour l'anecdote, l'Inde a acheté à Dassault les Rafale mais aussi le carburant des X prochaine années...
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Les Typhoon le font bien avec un AMRAAM ... C'est juste un moyen de mettre la pression au pilote du -5F.
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C'est un point de vue... Maintenant je voudrais bien savoir combien nous a coûté le programme Alpha jet et le comparer aux hawk, Pampa, C101, S.211 ou G4 Super Galeb... je ne suis pas sur que l'Alpha jet soit sur le podium. Ensuite même un programme "secondaire" peut s'avérer stratégique. En Afrique avec l'Alpha jet, on a pu compléter notre "diplomatie du Jaguar" par des coopérations militaires basées sur la création d'armées de l'air locale utilisant l'Alpha jet et servant de plot logistique à nos Jaguar. La carrière commerciale assez courte n'a pas permis de le généraliser, mais ça représente une bonne partie des clients de l'Alpha jet. Et le fait qu'il s'agisse d'une coopération réduit l'intérêt de prolonger la série. Je pense que l'Alpha jet M aurait eu plus de chance d'exister s'il n'avait été produit que par Dassault.
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C'est vrai, mais on ne peut pas dire que ça a pénalisé sa carrière civile. Et en pratique, les militaires ont fortement utilisés des 747F pour leurs transport stratégique via des locations à des compagnies aériennes. Je me demande à quel point il était utile d'avoir cette porte avant pour ces missions et si un autre modèle d'avions (hors An124, An22, Belfast...) aurait pu être utilisé. L'arrêt de la production du 747F et son retrait de service (à terme) risque d'impacter les capacités de transport stratégique. Une commande pour une soixantaine de 747-8F (aussi ravitailleur) pourraient suffire pour maintenir 10 ans de production et espérer d'autres clients. Pour l'USAF, en plus de fortement renforcer sa capacité de ravitaillement (le 747 ravitailleur a été vendu à l'Iran et était proposé face au KC-10 donc c'est crédible) ça devrait permettre d'économiser fortement le potentiel des C-5M et C-17 qui n'ont pas de remplaçant de prévus et doivent donc être économisé. Bon, vu que la production du 747-8F est définitivement arrêté, la question ne devrait pas se poser. Peut-être que l'USAF pourra récupérer une partie des 747-8F pas encore livré si les clients annulent leur commande. Sinon je me demande combien de 747F sont disponibles sur le marché de l'occasion et s'ils pourraient être convertis en ravitailleurs.
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Est-ce vraiment la question pour ce qu'on en a fait ? Ce qu'il fallait c'est qu'il soit plus performant que le fouga, fiable et économique... mais beaucoup de pays sont arrivés à se faire un avion "presque" aussi bien.
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La "Voix" L16, c'est juste qu'un correspondant qui a de la L16 communique en parlant. C'est du numérique, parce que le codage est numérique (comme skype...) et non analogique comme la plupart des radio. Mais sinon, à l'oreille, c'est pareil. On peut utiliser de la voix pour communiquer avec le pilote d'un autre Rafale ou avec un contrôleur au sol ou en vol qui dispose de la L16 donc même si ce n'est pas de la "radio", ça fournit le même service et ça permet de communiquer avec un correspondant qui a aussi la radio. Mais on peut aussi envisager de s'en servir pour communiquer avec un correspondant qui n'a que la L16 et pas de radio. Ou un correspond qui n'a que la L16 comme moyen de communication sécurisé...
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Non, la L16 utilise un "MIDS" qui est à la fois un équipement de chiffrement et une antenne radio. https://en.wikipedia.org/wiki/Multifunctional_Information_Distribution_System Si tu veux des précisions sur la L16, le page française de Wikipédia est vraiment très complète, même pour les professionnels.
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Donc le Rafale de Dassault, ce serait ok. Donc le Rafale de Dassault, ce serait ok. Donc le Rafale de Dassault, ce serait ok. Donc le Rafale de Dassault, mais produit sous licence en Bavière, ce serait ok. Donc le Rafale de Dassault, ce serait ok. Donc le développement par les allemands d'une version guerre électronique du Rafale de Dassault, ce serait ok. Si on rajoute en plus une Soit, mais ça ne concerne pas les Allemands. De toute façon, l'Eurofighter n'a (presque) aucune chance. Honnêtement, je doute que le choix d'un avion de combat change quoique ce soit. Donc le Rafale de Dassault, un programme mature avec 0 risques financier ce serait ok. En plus il serait même moins cher que la plupart des autres solutions. Ah, j'oubliais, le Rafale n’existe pas. Et dire que l'Alpha Jet est souvent cité en exemple de coopération réussie sur ce forum ...
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