Si ce que Perry énonçait était vrai, ça serait bien, sauf que ça n'est pas le cas. On ne peut pas se passer des importations chinoises, pars que nous n'avons aucune possibilité de substitution rapide, et même à terme, faute d'une politique économique et industriel planifié. L'Europe n'existe pas politiquement, les chinois ont raison tout comme les russes de ne pas prendre les déclarations européennes au sérieux. Comment peut on annoncer d'un coté qu'on revient dans le giron américain via l'OTAN et de l'autre espérer être considéré comme autre chose qu'un laquais de Washington ?