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Tout ce qui a été posté par Rochambeau
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Haïti: la leçon ? Moyens d'intervention civile / Montée en puissance ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Politique etrangère / Relations internationales
Cette article suggère fortement que ces méthodes sont courante dans les équipes médicales américaines ... ( Ne serai-ce pas de l'anti-américanisme non assumé ?) Le point de vue de ces équipes américaines se défend, il est vrai qu'il sera impossible de faire un suivi dans un pays comme Haïti ou il manque de tout ; mais encore faudrait-il amputer correctement. -
Pour ma part, ce n'est pas une grande perte que "éolienne industriel" vise d'autre contrée. J'ai toujours trouvé celle-ci encombrante, peu productive et moche. D'ailleurs, je pense la même chose pour les central solaire. Attention, je ne suis pas contre l'énergie renouvelable ; mais mon opinion est plus favorable aux modèle d'éolienne plus petite, panneaux photovoltaïque (sur les habitations) et l'utilisation de la façade maritime (et fluviale). Malheureusement, on peut toujours fantasmer sur un plan cohérent pour le développement des énergies renouvelables ou propres. En faite, vous parlez des RER dans les banlieues mais il avait le fameux "plan banlieue" qui prévoyait un développement des transports publiques, que devient-il ?
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En parlant de éolienne, un article intéressant qui confirme mon scepticisme envers cette source d'énergie. Cinq éoliennes aux pieds du massif du Mézenc, c'est Beaubourg au milieu des champs ! L'éolien industriel génère de l'iniquité territoriale, c'est ce qu'affirme Yves Verilhac un écologiste, professionnel de la nature marqué notamment par 10 ans à la direction de la FRAPNA et la lutte contre le cloisonnement du Rhône par des barrages. Aujourd'hui, il demande un moratoire pour les projets éoliens. AE : La demande de moratoire sur l'implantation d'éoliennes en France (1) que vous avez initié il y a quatre mois compte près de 6 000 signataires. Pourquoi cette démarche ? Yves Verilhac : Ma prise de fonction de directeur du Parc Naturel Régional (PNR) des Monts d'Ardèche, dont j'avais préalablement coordonné l'élaboration de la charte, a coïncidé avec l'adoption du premier arrêté (du 8 juin 2001) fixant les conditions d'achat de l'électricité produite par les installations utilisant l'énergie mécanique du vent. L'éolien véhiculant l'image d'un développement durable, et les Parcs naturels étant des outils conçus pour, j'étais a priori favorable. C'est la pratique de ce dossier qui m'a ouvert les yeux. Très vite nous avons vu les limites des soit disant « vertus » de cette industrie. Et comme tout le monde nous avons dit, grâce à un schéma de développement éolien, que nous étions favorables mais qu'il serait préférable d'ériger ces machines encombrantes de 120 mètres de haut... en limite ou mieux à l'extérieur du Parc, chez les voisins. C'est ce que font trois-quart des collectivités ou territoires qui essayent tant bien que mal de s'organiser. Une sorte de force centrifuge, appelée autrement Nimby (not in my back yard). Dès 2008, 65 mâts avaient été érigés dans le seul département de l'Ardèche la plupart en dehors du Parc. Mais ça continue et la pression augmente dans le parc naturel ! Dans la vallée de l'Eyrieux, sur les contreforts du Massif Central, un projet envisage l'implantation d'une dizaine d'éoliennes sur les crêtes, entre Gluiras et Saint-Genest-Lachamp. Un projet inconcevable, en ce haut-lieu de résistance des Huguenots (assemblées du désert) où une route sommitale donne à voir toute la Chaîne des Alpes ! Heureusement, le préfet vient d'en refuser le permis de construire. Mais il n'est pas rare que les promoteurs fassent appel, et les Préfets sont relativement désarmés, ou peu enclins à résister. Sur l'ensemble du territoire français, nous en sommes déjà à près de 2.300 pylônes. Aux vues de l'objectif du « Grenelle de l'environnement » d'atteindre une capacité de 25 000 MW électriques éoliens en 2020, 8 à 12.000 autres sont à venir. Et nous sommes de plus en plus nombreux à dire « ça suffit ! ». AE : D'où vient ce terme ''éolien industriel'', utilisé pour désigner ce qui est communément dénommé ''ferme éolienne'' ? YV : ''Ferme éolienne'' est un anglicisme de « wind farmer », mais c'est surtout un véritable oxymore car ces projets n'ont rien de rural. Au contraire et c'est bien ce que je leur reproche, ils signent la mort de la campagne ! Cinq éoliennes aux pieds du massif du Mézenc, c'est Beaubourg au milieu des champs ! Sur les grands plateaux bocagers agricoles du Massif Central, on vient poser là des mats de 120 m de haut qui occasionnent mouvement, bruit et pollution lumineuse. Finis les ciels étoilés ! C'est un viol du territoire. Certains n'ont pas d'autre argument que « oui, mais c'est beau ». La plupart de ces donneurs de leçons ne les ont pas sous les yeux. Qu'est-ce qui leur permet de dire ça ! Je leur impose mon goût du beau, moi ? J'ai vu des gens pleurer, parce qu'on avait détruit leur environnement immédiat. L'éolien industriel ne respecte même pas l'histoire des lieux. En Ardèche, l'industrie est dans les fonds de vallée, les villages sont à mi-pente, et les pâturages au sommet. Là, où l'agriculture recule, ils érigent ces éoliennes industrielles comme les croix d'un vaste cimetière rural ! Au Puy en Velay, la FRSEA (Fédération Régionale des Syndicats d'Exploitants Agricoles) Auvergne a même constitué une société spécialisée dans les énergies renouvelables, Agréole Développement, pour hypothéquer des terres agricoles à des fins de développement de panneaux photovoltaïques et d'éolien industriel. Est-ce la vocation des exploitants agricoles ?! Et puis, dans l'éolien industriel, il y a un côté colonisateur : le développement se fait sans logique, sans planification. On jette les dés sur le tapis vert. On discute d'un projet de 20 mats et cinq ans après, 30 autres se dressent au même endroit sans que ça n'ait été annoncé au départ. En écologie, on ne peut pas soutenir un projet dont on ne connaît la réalité donc l'impact final. En ce moment il n'y a de nouveaux permis déposés à Cros de Géorand (07) pour un parc pré existant. Qui va se déplacer pour l'enquête publique en plein hiver là-haut sur le plateau ardéchois, une énième fois ? AE : Etes vous satisfait de la perspective de classement des parcs éoliens en Installations Classées pour la Protection de l'Environnement (ICPE), comme le prévoit la loi Grenelle 2 ? YV : Peu m'importe, car avec l'éolien, on est plus dans une problématique urbanistique ou paysagère que de risque ou de pollution. On est plus dans une logique de cohérence, de greffe, de tolérance avec le monde agricole en milieu rural. En France, on a pourtant construit des systèmes de protection des milieux naturels et des paysages. Une quinzaine de garde-fous ont des conséquences très concrètes et très contraignantes, qui s'imposent à tout le monde. Ainsi, on a évité le mitage, construit des paysages agréables à l'oeil. Dans le Massif central, la loi Montagne interdit de construire une maison neuve à plus de 100 m d'un village ou d'un hameau. Sur les côtes, la loi Littoral s'applique. Et partout ailleurs, tous les nouveaux projets doivent respecter les plans d'occupation des sols, les plans locaux d'urbanisme. Mais pas pour l'éolien industriel : on est en pleine iniquité ! Et on détruit des paysages extraordinaires comme ceux des PNR, dont le malheur avait pourtant fait la force : c'est parce qu'ils ont loupé les trente glorieuses, qu'ils se retrouvent aujourd'hui détenteurs de patrimoines naturels, culturels et paysagers qui sont leurs meilleurs atouts pour un développement intelligent. Sauf si on coupe la branche sur laquelle ils sont assis. Le développement anarchique de l'éolien industriel pose cruellement la question du devenir de nos campagnes en général, et de l'agriculture extensive en particulier. AE : En tant qu'écologiste convaincu, qu'est ce qui fait que vous ne vous reconnaissez pas dans l'attitude actuelle des associations de défense de l'environnement à l'égard du développement de l'éolien ? YV : Comme elles, je suis ''pour'' le développement des énergies renouvelables, mais à condition qu'il soit réalisé localement, à l'échelle humaine, des familles, des hameaux et conduit en même temps qu'un plan national d'économie. C'est à cette échelle qu'il prend tout son intérêt. On ment aux gens en prenant des exemples de consommation dans les villages avoisinants pour justifier des installations puisqu'il n'y a pas d'utilisation locale. Instaurons des incitations fiscales pour installer des panneaux photovoltaïques sur les maisons neuves et réhabilitées, du solaire thermique, de la biomasse. Et considérons ces éléments comme constitutifs d'une ressource énergétique à domicile : quand ça marche, vous vous en servez ; quand ça ne marche pas, vous accédez au réseau ; quand vous en avez trop produit, vous vendez à EDF. Et cessons de développer des centaines de parcs éoliens et des milliers d'hectares photovoltaïques industriels (dont l'emprise au sol gèle des terres agricoles, et le développement pollue les prix du foncier) qui nécessitent le raccord au réseau électrique et de nouvelles lignes à THT ! Avec les pertes d'énergie qui en découlent... Je ne me reconnais pas dans les associations de défense de l'environnement favorables au développement de l'éolien industriel. Le fait que nombre d'entre elles réalisent les volets écologiques des études d'impact (trop souvent d'ailleurs de simples inventaires) contre rémunération m'interroge sur leur capacité à être de véritables contre pouvoirs... Comment ces associations dites de « protection de l'environnement » peuvent-elles encourager des projets qui portent dommage à l'avifaune, aux chiroptères ? Si on m'avait dit un jour que je verrai des Préfets ou des ingénieurs de l'équipement donner des avis défavorables à des équipements aussi impactant et ce pour protéger les patrimoines, tandis qu'en face des associations dites de protection de l'environnement les cautionnent, je ne l'aurais pas cru ! Si on m'avait dit que France Nature Environnement publierait des communiqués de presse pour s'offusquer de ce que le Sénat veuille planifier et encadrer un développement industriel (alors que nous poursuivions ensemble des promoteurs moins « impactants » devant les tribunaux administratifs) j'aurais pensé à un canular. Les naturalistes semblent avoir fondu comme neige au soleil dans les associations au profit d'environnementalistes. Les associations elles-mêmes ne connaissent pas l'effet cumulé à terme de tous ces aérogénérateurs ! Sans parler des milliers de tonnes de béton à jamais enfouies dans le sous-sol puisqu'on n'enlève que le tiers supérieur quand on démantèle. AE : Le débat ''pour ou contre l'éolien'' semble dévier vers le débat ''pour ou contre le nucléaire'', un sujet écarté des discussions du Grenelle de l'environnement. Comment expliquez-vous cela ? YV : Pour le mouvement écologiste français, la principale motivation dans la défense du développement de l'éolien industriel semble être de ''sortir du nucléaire''. Or l'éolien industriel est structuré comme le nucléaire, d'une manière centralisée. Comme pour le nucléaire, mais en pire compte tenu de la dispersion des sources de production, il faudrait pouvoir compenser le manque de production éolienne (lors des périodes d'absence de vent) par des centrales thermiques. Et cet objectif de 10% de production électrique d'origine éolienne en 2020 fixé lors du Grenelle de l'environnement, c'est l'histoire du tonneau percé... Globalement, la consommation électrique française est exponentielle : plus 5,8 TWh entre 2007 et 2008. Alors qu'on pourrait se fixer un objectif de 30 à 40 % d'économies d'énergie sans plus attendre. Mais on ne peut se fixer un pourcentage de capacité de production sur une courbe de consommation qu'on ne maîtrise pas ! Au résultat, la part des énergies renouvelables dans le bouquet énergétique sera proportionnellement forcément plus faible qu'elle ne l'est aujourd'hui. Et le reste, ce sera quoi ? Du nucléaire. Alors arrêtons l'hypocrisie pour les uns et la politique de l'autruche pour les autres : si on ne change pas les règles du jeu de la centralisation et du gaspillage représentatifs de l'éolien industriel, on aura à la fois le nucléaire et nos plus beaux paysages balafrés. AE : Ce qui vous dérange, c'est donc la politique publique qui entoure le développement de l'éolien ? YV : Oui ou plutôt l'absence de politique publique : depuis cet objectif de 10 % en 2020 qui dope le développement de l'éolien industriel, on court derrière pour encadrer un développement anarchique. C'est une course à l'échalote ! C'est comme la prime à la casse : on n'a jamais autant vendu de voitures ! Et puis pour faire une voiture il faut beaucoup de pétrole... Une démarche écologique serait de faire en sorte qu'une voiture dure le plus longtemps possible... Et puis le développement de l'éolien industriel est confié à des sociétés privées qui n'ont pas d'agrément et qui de plus ne garantissent pas le ré investissement dans l'environnement. Certaines collectivités auraient voulu créer une société d'économie mixte (SEM) pour gérer un parc éolien mais très peu y arrivent. Par contre, je connais une collectivité qui en a eu la volonté mais qui, devant la complexité de l'affaire, a dû confier l'exploitation du parc à une entreprise locale, bien vite rachetée par une société canadienne... Alors d'un côté, on oblige EDF à acheter l'électricité produite par les éoliennes à un coût fixe et supérieur à celui du marché de gros de l'électricité ; une opération que l'opérateur historique mène grâce à une taxe inclue dans la facture d'électricité que le citoyen paye. De l'autre côté, n'importe qui peut investir dans des équipements industriels, jusqu'au particulier fortuné dans son jardin sous les yeux du voisin ! Et rien n'oblige ces investisseurs en herbe à s'inscrire dans un cercle vertueux, à réinvestir les bénéfices engendrés par l'exploitation du parc dans la protection de l'environnement ou les économies d'énergie. Aussi, le tarif de rachat imposé à EDF s'apparente à un dopage, qui permet de raccourcir le taux d'amortissement de ces investisseurs. Le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est une branche qui rapporte, y compris pour les exploitants nucléaires. Propos recueillis par Camille Saïsset Source : http://www.actu-environnement.com/ae/news/eolien_moratoire_9344.php4
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Revue historique des armées
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Rochambeau dans Histoire militaire
De l’histoire bataille à l’histoire totale Un résumé d'un article parlant des batailles et de leur empreinte dans la mémoire collective. Les grandes batailles qui ont marqué l’histoire de France sont présentes dans la mémoire collective. Mais elles le sont inégalement. Qu’il s’agisse de victoires ou de défaites, de combats sur terre ou sur mer, certaines bénéficient d’une incontestable surexposition, tandis que d’autres, parfois décisives, sont relativement occultées. Si les raisons de ces décalages entre l’importance réelle d’un affrontement et sa trace dans le souvenir populaire sont nombreuses, la part des facteurs psychologiques est considérable, avec d’ailleurs de multiples facettes. L’article propose une analyse objective, en prenant des exemples dans l’ensemble de notre histoire, d’Alésia à Diên Biên Phu. Source : http://rha.revues.org/index6854.html -
Les archives déclassifiées et révélations historiques
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Histoire militaire
Et dire qu'on paye des gens pour écrire ce genre d'article ... des propos sans doute sortie de leur contexte et du whisky acheté en dutyfree. :P Un article qui nous apprend rien et qui juge les méthodes de la Dame de fer avec une argumentation digne d'un adolescent. la citation exacte est : "We are simply asking to have our own money back" Thatcher avait jugé injuste (à raison) la part que devait payer son pays. (D'autant qu'elle était eurosceptique) -
Le plus beau chant militaire français ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Marechal_UE dans Histoire militaire
Pour ma part, J'aime bien "On ne passe pas" un chant sur Verdun Un autre qui me fait souvent sourire, c'est "le chant de l'ognion" (elle prouve au moins notre obsession envers la bouffe) -
Grand emprunt : Sarkozy valide les orientations de la commission Le chef de l'Etat se donne quinze jours pour annoncer ses décisions sur les investissements d'avenir. Selon Alain Juppé et Michel Rocard, le grand emprunt pourrait assez vite s'autofinancer. Un surcroît de 0,5 point de PIB est espéré. Nicolas Sarkozy veut aller vite. Recevant hier le rapport de la commission Juppé-Rocard sur le grand emprunt, le chef de l'Etat a indiqué qu'il annoncerait ses décisions sur l'utilisation et les modalités de cet emprunt « dans les premiers jours de décembre ». Il consultera les partenaires sociaux « dès la semaine prochai-ne », tandis que le Premier ministre, François Fillon, fera de même avec les partis politiques. Une fois fixé, le grand emprunt donnera lieu à une loi de Finances rectificative début 2010.« Nicolas Sarkozy a été approbateur sur les grandes orientations du rapport », a déclaré Alain Juppé dans la foulée de la remise du document de 128 pages. Sept grandes priorités Ce rapport a identifié 17 domaines d'action répartis dans sept grandes priorités stratégiques ciblées sur l'enseignement supérieur, la recherche, l'innovation et la croissance verte, et correspondant à un investissement public de 35 milliards d'euros. Par effet de levier vis-à-vis des financements privés, l'effort public « devrait finalement correspondre à un investissement total de plus de 60 milliards d'euros », espère la commission (« Les Echos » d'hier). Pour atteindre ce but, « le versement des fonds publics sera conditionné au versement de fonds privés »,dans plusieurs domaines, a précisé Alain Juppé. Exemples : le démonstrateur pour l'avion du futur, les campus d'innovation ou les fonds d'amorçage pour les PME innovantes. Alors qu'il devrait alourdir le programme d'émission de dette d'un peu plus de 20 milliards d'euros en 2010, Nicolas Sarkozy a souligné que l'emprunt« devra s'inscrire dans une stratégie de consolidation des finances publiques »,qui sera mise en oeuvre « dès que la reprise sera installée ». En contrepartie des investissements d'avenir, sera ainsi engagée « une forte maîtrise des dépenses courantes ». La commission propose de réduire ces dernières à hauteur de la charge d'intérêt généré par l'emprunt, ce que souhaite aussi le ministre du Budget, Eric Woerth.« Dans leur majorité, les investissements devront donner lieu à la constitution d'un actif à mettre en regard de l'emprunt »,ajoute l'Elysée, qui ne veut pas donner l'impression de laisser filer la dette. La commission Juppé-Rocard évalue cette part d'actifs récupérables à 20 milliards d'euros. Premiers calculs « Dans tous les cas, les dépenses choisies sont porteuses d'une rentabilité directe ou indirecte pour l'Etat », poursuit le rapport. La commission attend des estimations détaillées de Bercy, mais estime d'ores et déjà que les investissements d'avenir s'autofinanceront rapidement. Les premiers calculs font état d'un surcroît durable de l'ordre de 0,5 point de PIB à un horizon de cinq ans (élasticité du PIB par rapport aux dépenses de recherche et développement). En y appliquant 40 % de prélèvements obligatoires, cela signifierait 0,2 point de PIB de recettes fiscales et sociales de plus, soit quelque 4 milliards d'euros par an. « Dans un horizon relativement proche, l'opération est autofinancée », souligne-t-on dans l'entourage d'Alain Juppé. Alors pourquoi ne pas avoir proposé 100 milliards d'investissements ? « Pour deux raisons : d'abord, les agences se seraient transformées en guichets et nous aurions financé des investissements qui, de toute façon, se seraient faits ; ensuite, il y aurait eu une remontée des taux d'intérêt avec un effet récessif sur l'activité. » Anticipant un déficit public de 8,5 % de PIB en France l'an prochain, l'OCDE a néanmoins fustigé hier le grand emprunt, estimant qu'il « interviendra trop tard pour contribuer à la reprise et rendra encore plus difficile l'indispensable assainissement des finances publiques ». La nécessité « d'agir vite » Tout en reconnaissant que la montée de la dette est « porteuse de risques sérieux », la commission justifie l'emprunt par la nécessité « d'agir vite » pour préparer la croissance de l'après-crise : « Il y a deux façons de mal préparer l'avenir : accumuler les dettes pour financer les dépenses courantes, mais aussi, et peut-être surtout, oublier d'investir dans les domaines moteurs. » Si « tous les Etats sont fauchés et gèrent leur budget à l'économie », Michel Rocard a estimé que l'emprunt doit profiter du fait que « c'est encore la France et l'Allemagne qui ont le moins dérapé et qui ont gardé sur les marchés financiers la signature qui est la plus crédible actuellement ». Source : http://www.lesechos.fr/journal20091120/lec1_france/020228231122-grand-emprunt-sarkozy-valide-les-orientations-de-la-commission.htm
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Les jeux video ne respectent pas le droit internationnal.
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de TK_AK dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
Juste une question : Qui n'est pas susceptible d'être violent ? Combien de fois on a lu dans les livre d'histoire le récit de personne dites normale commettre un crime ... Il y a tellement de facteur qui peut pousser une personne à l'extrême comme le caractère de l'individu, le "phénomène de bande", l'environnement dans lequel vie la personne, etc ... Donc comment juger avec tous ces facteurs le réelle impact du jeux vidéo. Ensuite, dans tous cela il ne faut minimiser l'influence des livres, films et surtout des média ; beaucoup de gens ont vu leurs vie changer via ses support. Pour les nolife, ils se sont plus multiplié grâce à internet qu'aux jeux eux même; les joueurs fanatiques ne sont qu'une minorité dans le monde du nolife, par rapport aux fana d'internet. -
Les jeux video ne respectent pas le droit internationnal.
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de TK_AK dans Livres, magazines, multimédia, liens et documentation
Les jeux de guerre peuvent être utilisé comme le cinéma, les livres, entraînement etc... Si un militaire dit qu'il peut banaliser l'acte de tuer, il y arrivera quelque soit la méthode employé. Et puis, il faut pas grand chose pour obliger à un être humain de tuer un autre avec sang froid, l'usage du jeux vidéo n'est qu'un effet de mode. -
Etant donné qu'un BTS ne dure que deux ans, je vois pas où c'est exceptionnel ...Tout comme, boucler tout le programme STG ou STL de la première à la terminal en deux ans, là encore rien de bien transcendantale. (Car deux année d'étude avec en plus le BTS, c'est justement la durée normale de des sections technologiques ...) Là, ou je rejoins G4lly C'est que justement l'Education Nationale est le ministère qui a le plus subi au niveau des réformes. A croire que c'est devenu une tradition pour chaque gouvernement de mettre sa reforme ... du coup, ni les prof et l'administration ne si retrouvent dans ce schmilblick. J'ajouterai même, que nos politiques sont complètement perdus ! Prenons par exemple le débat sur la méthode globale, cela faisait des années qu'une bonne partie des instituteurs n'enseignaient plus la méthode globale, mais la mixer avec la méthode syllabique. Mais cela nos politiques le savaient même pas ... En revanche, copier bêtement les finlandais ou autre pays du nord n'est pas le combo qui résoudra à nos problèmes, cela ne pas fonctionne comme le Kameha de SanGoku. il faut prendre en compte de nombreuse différence entre nos pays, comme : la mentalité, la densité dans les villes, l'espaces, le type d'immigration etc ...
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La fourchette du grand emprunt se resserre PARIS - A l'approche de la conclusion des travaux de la commission sur le futur grand emprunt annoncé le 22 juin par Nicolas Sarkozy, la fourchette se resserre et s'éloigne des ambitions affichées initialement. Le chef de l'Etat a déclaré mercredi à des journalistes envisager 25 à 50 milliards d'euros de "dépenses d'avenir", qui seraient financées par l'emprunt mais aussi, pour partie, par des aides publiques remboursées par les banques. Le recyclage de ces aides évaluées par l'Elysée à 13 milliards d'euros, intérêts inclus, selon Le Figaro, ramènerait le montant levé par l'emprunt dans les montants envisagés par la commission ou par le Premier ministre, François Fillon. Tout indique que la commission en reste à la fourchette de 20 à 40 milliards d'euros, avancée ces dernières semaines par ses deux coprésidents, les anciens Premiers ministres socialiste et UMP Michel Rocard et Alain Juppé - plus précisément "entre 20 et 38 milliards", nuance le premier. Dans une interview au Monde, François Fillon se retranche pour sa part derrière l'avis du Trésor pour évoquer "un ordre de grandeur de 20 à 30 milliards" d'euros. Michel Rocard assure que la commission n'a pas arrêté sa proposition finale et que ses membres s'interdisent désormais de faire le moindre commentaire sur leurs travaux avant la remise de leur rapport au chef de l'Etat. Selon lui, la commission a pris dix jours de retard et tiendra une dernière réunion plénière le 11 novembre, afin de rendre son rapport vers le 15, le 16 ou le 17 au chef de l'Etat qui pourrait se prononcer début décembre. Le silence que s'impose d'ici là la commission vise à éviter de "polluer" le débat, a-t-il expliqué à Reuters. Celui-ci bat en fait d'ores et déjà son plein dans la majorité et jusque dans l'entourage de Nicolas Sarkozy entre les partisans d'un emprunt massif - de 50 à 100 milliards d'euros - et ceux d'un emprunt plus "raisonnable". Le chef de l'Etat et le Premier ministre semblent l'avoir tranché en faveur des seconds. "LA LIBERTÉ DE FAIRE DES BÊTISES" Concernant les investissements à financer, la commission insistera sur la recherche scientifique, les biotechnologies, les nanotechnologies, numérisation et un encouragement général à la recherche dans toutes les disciplines porteuses. "Dans pas mal des disciplines inventoriées, il y a quelques sous-secteurs où la France a potentiellement une possibilité d'être leader mondial", souligne Michel Rocard. La commission laissera en revanche le soin au gouvernement et à l'agence France Trésor, chargée de gérer la dette française, de définir les modalités du futur emprunt. "Notre décision à nous, c'est de recommander qu'il n'y ait pas de second emprunt", donc qu'il y ait une seule tranche, a cependant précisé Michel Rocard à Reuters. Le choix d'un lancement auprès des marchés financiers, des épargnants ou des deux, le taux d'intérêt, la durée de l'emprunt seront aussi laissés au gouvernement et à France Trésor. Michel Rocard estime néanmoins que recourir aux épargnants serait trop coûteux, dans l'état actuel des finances françaises. "Si on doit intervenir auprès des particuliers, il faut un point et demi de taux d'intérêt en plus. C'est une gracieuseté qu'il ne faut pas demander à la France de s'offrir", dit-il. "La liberté de faire des bêtises est totale en politique, c'est bien connu", ajoute cependant l'ancien Premier ministre. Selon Michel Rocard, la France jouit aujourd'hui de deux avantages qui lui permettent d'envisager un emprunt dans la fourchette envisagée par la commission et l'Elysée. "Les taux du marché sont assez bas et un taux à 2,0%, c'est vrai qu'il y a intérêt à en profiter", explique-t-il, non sans ajouter que "tout le monde s'attend à ce qu'il augmente un peu". Second atout : la signature de la France bénéficie toujours d'une note "triple A" sur les marchés, comme l'Allemagne. "Tout accroc à cette situation entraîne des conséquences absolument catastrophiques qui apparemment ont échappé aux 63 parlementaires qui ont signé (cette semaine) la tribune du Monde" en faveur d'un emprunt de 50 à 100 milliards d'euros, estime Michel Rocard. "Rester dans l'épaisseur du trait pour préserver cette situation est donc une exigence impérieuse" ajoute-t-il. Un avis partagé par Alain Juppé, les ministres du Budget et de l'Economie Eric Woerth et Christine Lagarde et les gardiens de l'orthodoxie financière dans la majorité. Ces arguments ne semblent cependant pas désarmer les partisans d'un emprunt massif, comme le conseiller spécial du chef de l'Etat, Henri Guaino, rejoint jeudi par le président de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Jean-Paul Fitoussi, économiste plutôt classé à gauche, déclare dans une interview aux Echos qu'un emprunt de 50 milliards d'euros serait un minimum "précautionneux" et qu'il plaiderait plutôt pour 100 milliards, et "même plus". Source : http://www.lexpress.fr/actualites/2/la-fourchette-du-grand-emprunt-se-resserre_826636.html
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Oui, Mussolini est non seulement un ancien socialiste mais il fut aussi secrétaire d'une fédération en Italie.
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Russie et dépendances.
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
C'est bien un fusil qui tire dans les coins (le fameux cornershot). On peut voir exactement le même model dans l'anime "Full Metal Panic - The Second Raid". -
Retour au Japon d'avant ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de cvs dans Politique etrangère / Relations internationales
La position du Minshuto sur l'armée est pratiquement le même que celui du PLD, on retrouve les mêmes positions notamment sur le "traité de sécurité Japon/Etats-Unis", la reconnaissance des forces d'autodéfense etc ... avec quelque nuance. Selon un rapport d'Amnesty International, le Japon exporte déjà des armes de petit calibre dans certain Etat. -
Pourquoi être désolé ... pour tout vous dire dans ma région j'habite le sud ; les gens du nord disent souvent souvent des habitants du sud, qu'il sont des sauvages. Pour la balle Minié vous ne faites pas un confusion avec le système inventé par Henri-Gustave Delvigne et Louis-Etienne de Thouvenin. (La balle Minié étant la résultant de ce système)
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Fond souverain et nationnalisation libérale :)
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de g4lly dans Economie et défense
Le fonds souverain français grandit dans l’ombre Le FSI dévoilera jeudi son treizième investissement direct dans une entreprise sur fond de débat autour de sa gouvernance. Le Fonds stratégique d’investissement n’a pas encore un an. Mais il a déjà un solide bilan à son actif. Depuis sa création, le «fonds souverain à la française» a investi 450 millions en direct dans quatorze entreprises, et 650 millions dans différents partenariats régionaux et sectoriels. Petit retour en arrière : en novembre 2008, au cœur de la tourmente économique, Nicolas Sarkozy annonce son intention de créer un fonds public pour venir renforcer les fonds propres des entreprises françaises menacées. Dès janvier, le FSI voir le jour. Il est doté de 20 milliards d’euros - 14 milliards de participations en provenance du portefeuille de l’État et de celui de la CDC, et 6 milliards de liquidités. Quelques semaines plus tard, sa doctrine est définie : le fonds a pour vocation d’entrer au capital d’entreprises «dont les projets de croissance sont porteurs de compétitivité pour le pays». Salué pour ses choix économiques, le fonds n’a pourtant pas réussi à faire taire toutes les critiques. Dans un premier temps, on lui a reproché ses écarts avec sa doctrine, son rôle de pompier dans certains dossiers, ses prises de participations dans des entreprises affaiblies structurellement, ou encore son entrée dans des entreprises cotées, sans motif clair… Dans un rapport interne rédigé cet été et remis à l’Élysée, le comité d’orientation stratégique, présidé par Jean-François Dehecq, soulignait en outre que «l’action du FSI ne saurait se résumer à une suite de choix d’opportunité». Et le document d’ajouter que le champ d’action du FSI est «extrêmement vaste et sa mission complexe (…), mais doit servir l’intérêt général de l’industrie française sans confondre celui-ci avec un soutien tous azimuts qui serait une source assurée de gaspillage». Une responsabilité sociale Le FSI, qui se définit lui-même comme «un investisseur avisé et responsable», s’est aussi vu reprocher de ne pas être suffisamment «socialement responsable». En d’autres termes, d’investir dans des entreprises qui procèdent ensuite à des restructurations, comme ce fut le cas pour Nexans. «À partir du moment où l’État intervient dans une entreprise, il faut qu’en contrepartie l’entreprise s’engage à maintenir l’emploi, cela me paraît la moindre des choses», estimait encore dimanche le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, lors du Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI. Lequel ajoutait que, même en étant membre du comité d’orientation, comme c’est le cas de son syndicat, il était «difficile d’avoir des éléments concrets». Le manque de transparence : c’est la raison pour laquelle certains parlementaires voudraient bien voir leur contrôle sur le FSI accru. Aujourd’hui, la sénatrice de l’Orne, Nathalie Goulet (Union centriste), interpellera la ministre de l’Économie, Christine Lagarde, sur cette question. «Nous n’avons aucune information sur le fonctionnement, ses critères de choix, sa stratégie», estime-t-elle. La sénatrice demandera notamment qu’un règlement intérieur, rédigé en association avec des parlementaires, définisse des règles de fonctionnement claires pour le fonds, qui doit placer la défense de l’emploi au cœur de ses interventions, adopter des procédures plus transparentes et surtout avoir un contrôle extérieur renforcé. «Il ne s’agit pas de porter un jugement sur la qualité des dirigeants du FSI ou sur leur travail, insiste la sénatrice. Mais dans la foulée du G20 de Pittsburgh il faut renforcer la surveillance de cet instrument financier.» La sénatrice invoque l’exemple du fonds souverain norvégien, qui associe le Parlement à ses décisions. Au sein du FSI, on se défend de tout manque de transparence ou défaut de gouvernance. Dans son fonctionnement, le comité d’investissement, présidé par Patricia Barbizet, se réunit deux fois par mois pour statuer sur les investissements supérieurs à 25 millions d’euros. Au-delà de 100 millions, c’est le conseil d’administration qui tranche. Filiale à 51 % de la Caisse des dépôts, le FSI est de fait sous le contrôle du Parlement. Et le directeur général du FSI, Gilles Michel, de rappeler que «cinq parlementaires siègent à la commission de surveillance de la CDC». 3 questions à Gilles Michel Quelle bilan tirez-vous de l’activité du FSI, un an après l’annonce de sa création ? Depuis janvier, nous avons investi 800 millions d’euros. En direct dans 13 entreprises, au travers de partenariats, comme avec le fonds de modernisation des équipementiers automobiles, et au côté de fonds privés. Et d’ici à la fin de l’année, ce chiffre pourrait être proche du milliard et demi d’euros. Nous aurons lancé opérationnellement le plan FSI PME, qui s’inscrit dans le plan PME annoncé par le président de la République. Il réalisera ses premiers investissements en novembre. Y a-t-il un problème de gouvernance au FSI ? Cinq parlementaires siègent à la commission de surveillance de la CDC, dont le FSI est une filiale. D’ailleurs, nous sommes à ce titre sous le contrôle du Parlement. J’ai été auditionné par cette même commission de surveillance tous les quinze jours pendant sept mois, et le député qui la préside est invité permanent du comité d’investissement. Plus généralement, le FSI a été doté d’un mode de contrôle actif et chaque investissement réalisé l’a été dans le cadre d’une mission bien précise... Il n’y a pas plus transparent ! Et que répondez-vous quand on vous reproche de ne pas être assez responsable socialement ? Le FSI n’est pas un objet terminé, gravé dans le marbre. Nous allons l’enrichir dans sa mission, son montage et ses principes. Il doit être rigoureux et exigeant en matière de gouvernance sociale et d’éthique. N’oublions pas que nous ne sommes jamais l’actionnaire de contrôle. Et quand une restructuration est nécessaire dans une société, il serait irréaliste de refuser la discussion. Marie Visot Source : http://marches.lefigaro.fr/news/societes.html?&ID_NEWS=122785444 -
La politique étrangère et de défense selon Sarkozy
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Politique etrangère / Relations internationales
Les contrats d'affaires commencent au Kazakhstan NOUVELOBS.COM | 06.10.2009 | 15:49 La vente d'un oléoduc et de deux satellites d'observation a été conclue pour plusieurs millions d'euros. Total, GDF Suez, Alstom, Thalès ou encore Areva doivent également finaliser des contrats avec le pays. A l'occasion de la visite mardi 6 octobre du président français Nicolas Sarkozy à Astana, le groupe européen EADS Astrium a signé un contrat avec le Kazakhstan pour la fourniture de deux satellites d'observation de la terre d'un montant évalué à 220 millions d'euros. Les deux partenaires ont également paraphé un accord prévoyant la construction, dans la banlieue de la capitale kazakhe, d'un centre d'assemblage, d'intégration et de test de satellites, a précisé la présidence française. Le premier satellite livré par EADS Astrium, d'une résolution de 7 m, sera lancé depuis le cosmodrome russe de Baïkonour, situé au Kazakhstan, le second, de résolution métrique sera lancé du centre spatial européen de Kourou, en Guyane française, a également indiqué l'Elysée. Importantes retombées en France Un consortium d'entreprises françaises dirigé par Spie-Capag (groupe Vinci) a lui aussi signé mardi un protocole d'accord pour la construction d'un oléoduc reliant le champ pétrolier géant offshore de Kashagan à Bakou. Le texte, signé en présence des présidents kazakh Noursoultan Nazarbaïev et français Nicolas Sarkozy, prévoit des "négociations exclusives" pendant un an avec le consortium français (Spie, Manesmann-France, Europipe, GTS, Arcelor-Mittal), a-t-on appris auprès de la présidence française. Le montant total de ce contrat est estimé à environ 2 milliards d'euros, dont 1,2 milliard reviendrait aux entreprises françaises si les négociations aboutissent, a-t-on précisé de même source. D'importantes retombées sont attendues pour les entreprises françaises dans la région de Dunkerque (nord), estimées par l'Elysée à "1.000 emplois durables avec des pics de 3.000 à 4.000 sur une courte période". Selon ces estimations, ce contrat devrait assurer quelque 3.000 emplois "pendant quelques mois" à Arcelor-Mittal, qui produit l'acier destiné à l'oléoduc, et plus de 600 à GTS Industrie (plaques, tôles) pendant six mois. "Cet oléoduc va créer beaucoup d'emplois ici et en France", s'est lui-même réjoui Nicolas Sarkozy lors de la conférence de presse, et "assurera la sécurisation de notre approvisionnement énergétique". Une fois à Bakou, capitale de l'Azerbaïdjan, le pétrole acheminé par le futur oléoduc rejoindra l'actuel oléoduc BTC, qui relie Bakou au port turc de Ceyhan, via la capitale géorgienne Tbilissi, sans passer par le territoire russe. Coopération spatiale La France et le Kazakhstan ont par ailleurs signé mardi, à l'occasion de la visite d'Etat de Nicolas Sarkozy, un accord intergouvernemental dans le domaine de la coopération spatiale en vue du développement des applications spatiales telles que la télémédecine, l'enseignement à distance, la protection de l'environnement et la météorologie. D'autres contrats devraient se nouer, le chef d'Etat français s'étant déplacé accompagné d'une délégation d'une trentaine de chefs d'entreprises pour ce premier déplacement dans le pays depuis la visite e François Mitterrand en 1993. "Le Kazakhstan est pour nous un partenaire majeur dans une région, l'Asie centrale, absolument stratégique pour le monde, un géant avec qui nous voulons développer nos relations dans tous les domaines", avait déclaré le chef de l'Etat français dans un entretien paru mardi dans le quotidien Kazakhstanskaïa Pravda. Télécommunication, tramway, nucléaire Dans le domaine stratégique des ressources énergétiques, dont le sous-sol du Kazakhstan regorge, Total et GDF Suez devraient formaliser leur participation à l'exploitation du champ gazier offshore de Khvalinskoye, opérée par le groupe pétrolier russe Loukoïl, à hauteur d'environ un milliard d'euros. D'autres contrats seront signés pour la fourniture d'un système de télécommunication militaire par Thalès ou d'un tramway par Alstom. Areva doit pour sa part annoncer la création d'une société conjointe avec son partenaire kazakh pour l'exportation de combustible nucléaire. Source : http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/international/asiepacifique/20091006.OBS3736/les_contrats_daffaires_commencent_au_kazakhstan.html -
Retour au Japon d'avant ?
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de cvs dans Politique etrangère / Relations internationales
Japon: le secrétaire américain à la Défense exige l'application de l'accord sur les bases US (AFP) – Il y a 18 heures TOKYO — Le secrétaire américain à la Défense, Robert Gates, a exigé mercredi que le Japon applique "au plus vite" l'accord sur le réaménagement des bases américaines dans l'archipel. Un différend oppose Washington et le nouveau gouvernement japonais de centre-gauche à propos du déplacement d'ici 2014 de la base d'hélicoptères des Marines de Futenma, située sur l'île d'Okinawa (sud). L'accord conclu en 2006 avec les conservateurs du Parti Libéral-Démocrate, alliés indéfectibles des Etats-Unis, prévoit sa réinstallation dans une baie protégée de l'île, mais la population locale souhaite son départ définitif d'Okinawa, voire du Japon. "Le moment est venu d'avancer", a affirmé M. Gates lors d'une conférence de presse à l'issue d'une visite de 24 heures au Japon, en soulignant "l'importance de progresser au plus vite sur la feuille de route comme convenu". L'armée américaine stationne 47.000 soldats au Japon, dont la moitié à Okinawa. L'accord prévoit également le transfert de quelque 8.000 Marines de cette île vers l'île américaine de Guam, une opération largement financée par le Japon. "Sans le déménagement de Futenma, il n'y aura pas de transfert à Guam. Et sans le redéploiement à Guam, il n'y aura pas de réduction des forces et pas de restitution de terrains à Okinawa", a averti M. Gates. Arrivé au pouvoir il y a un mois après plus d'un demi-siècle de domination des conservateurs sur la vie politique japonaise, le nouveau Premier ministre Yukio Hatoyama a promis de rééquilibrer les relations nippo-américaines sur une base "d'égal à égal" et de réviser l'accord de 2006. En recevant le ministre américain, M. Hatoyama a toutefois souligné que son gouvernement appréciait l'alliance avec les Etats-Unis. "Face à l'instabilité qui règne actuellement en Asie, il est d'autant plus important de renforcer encore plus notre alliance", a-t-il dit. Le ministre japonais de la Défense Toshimi Kitazawa, qui s'est entretenu dans la matinée avec M. Gates, a estimé pour sa part qu'il n'était "pas constructif de passer du temps sur la question" de Futenma. "Il y a beaucoup d'obstacles très importants à écarter (...) j'espère que la partie américaine comprendra les efforts du Japon", a-t-il dit lors de la conférence de presse. La question des bases, ainsi que la décision du Japon de ne pas renouveler en janvier la mission de sa marine dans l'Océan Indien qui soutenait l'effort de la coalition internationale engagée en Afghanistan, risquent d'assombrir le climat de la visite officielle du président Obama prévue à la mi-novembre à Tokyo. Les autorités nippones réfléchissent au type d'aide qu'elles pourraient apporter en échange à ce pays ravagé par la guerre. M. Kitazawa a indiqué qu'une aide civile pourrait ne pas être suffisante pour la population afghane et qu'une possible contribution des militaires japonais à des tâches de reconstruction serait étudiée. M. Gates est ensuite parti pour Séoul, où il devait avoir des entretiens sur la Corée du Nord. Vendredi, il participera à une réunion des ministres de la Défense de l'OTAN en Slovaquie. Source : http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gIOnb0Pr_RI77_emI1h2FbB4RTCg -
C'est pour l'instant une histoire ancienne ... le pseudo projet de scission est plus proche du fantasme de groupuscule sécessionniste ou encore de pro-européen à tendance anti-américain. Bien sur, le nord et le sud n'arrêtent de se chercher les poux ; Prenons par exemple dans le nord, il est courant de dire que les gens du sud sont des arriérés et, vice versa. Mais bon, on trouve facilement le même genre de propos en France. Maintenant dans l'avenir, l'Homme étant se qu'il est ... :P
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La franc-maçonnerie et l'armée
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de c seven dans Histoire militaire
On parle de couper des têtes !? :P Le plus "rassurant" dans toute cette histoire c'est que malgré les époques et mentalités qui changent, l'être humain restera toujours le même ... -
La franc-maçonnerie et l'armée
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de c seven dans Histoire militaire
Merci pour ces précisions sur la Franc-maçonnerie starbensky ... @ c seven, Comme le dit Tancrède c'est banalement humain ... Pour votre exemple on peut remplacer "frère ou soeur" par copain de chambrer, relation d'affaire ou autre. Par exemple si on regarde bien la liste de ceux qui ont reçu la médaille légion d'honneur, beaucoup l'ont eu que grâce à leur relation avec une personne bien placée. Ensuite pour le cas de Gamelin, il faut peut-être arrêter de lui tomber dessus .... car franchement on peut pas dire que la France était prête a faire la guerre, d'autant que ce n'était pas un incompétent mais il n'avait pas la carrure d'un chef et, cela malheureusement on ne peut pas le voir avant la guerre. -
C'est une goutte d'eau par rapport aux milliards d'autre gens qui ont vu le spectacle à la télé, vous ne croyez pas ... Tiens on pourrait pas profiter de cette discussion pour parler des grands défilés ou autre manifestation de propagande ? Ou en ouvrir une autre ? Edit 14 juillet 1919 : le défilé de la victoire en couleurs réelles http-~~-//www.youtube.com/watch?v=d7dnSHLkZ58
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Les états Totalitaires (mais aussi les dictatures et autoritaire ) ont toujours le don de la mise en scène ... La Chine nous en à fait la preuve lors des jeux olympique. Sur youtube on peut encore retrouver les réunions des Waffen SS à Nuremberg : http://www.youtube.com/watch?v=__7iMM2O6Ys
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La franc-maçonnerie et l'armée
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de c seven dans Histoire militaire
Il y avait pas déjà une discussion sur la pseudo-influence des sociétés secrètes ? Comme le signale très bien Tancrède, la Franc-maçonnerie est divisée en plusieurs obédiences qui sont elles-mêmes divisées en plusieurs loges. On ne peut donc pas parler de la Franc-maçonnerie comme une seule organisation, prenons l'exemple de "la Grande Loge de France" qui possède un statut particulier dans le paysage de la Franc-maçonnerie française. Ou encore de ces obédiences qui ne se reconnaissent pas mutuellement ... Je ne crois que se soit spécifique à la Franc-maçonnerie. On trouvera toujours ce genre de cas, surtout dans les élections municipale ... :P -
Revue historique des armées
Rochambeau a répondu à un(e) sujet de Rochambeau dans Histoire militaire
Voilà, nouvelle sortie ! Cette fois, la revue est dédié aux relations France-Allemagne : De Gaulle, les FFL et la Résistance vus par les responsables de la Wehrmacht Les écrits des états-majors de la Wehrmacht, les comptes rendus diplomatiques du Reich, les directions de Hitler situent la place qu’occupent le général de Gaulle, les Forces françaises libres et la Resistance dans les soucis politiques et militaires allemands. L’existence de la France libre influence nettement les rapports du Reich avec Vichy, l’Italie et l’Espagne. Dès 1940, les opérations des FFL, l’évolution institutionnelle de la France libre et le développement de son influence dans le monde sont suivis avec attention. Le Reich compte sur Vichy pour garder l’Empire contre les entreprises de la France libre et de ses alliés. À la suite de la bataille de Bir Hakeim, les FFL sont considérées comme des troupes régulières de grande valeur militaire. Après novembre 1942, les forces françaises ne sont que rarement identifiées dans les écrits militaires allemands. À partir du printemps 1944, les comptes rendus de la Wehrmacht font presque quotidiennement état des actions de la Résistance, qui mobilisent des moyens allemands significatifs pour y faire face. Les écrits examinés témoignent de la considération accordée au général de Gaulle et aux FFL. Ils confirment aussi que Charles de Gaulle tenait à la fois l’épée et le bouclier de la France. Source : http://rha.revues.org/index6809.html