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pascal

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Tout ce qui a été posté par pascal

  1. @Zamo Certes mais je pense qu'il leur serait plus difficile (et couteux en terme de modifs) de s'intègrer dans une manip OTAN avec des avions russes plutôt que des avions occidentaux... (avis perso attention) BMP et DA relèvent peut être d'une autre logique
  2. pascal

    [Rafale] *archive*

    En tout cas une chose est certaine quand on voit les photos et le sfilms de largage du JDAM et que l'on compare à ce que l'on sait pas l'A2SM il n'y a pas photo. Ce n'est pas du cocorico low cost :lol: c'est normal vu les différences de surfaces mobibiles leur positionnement leur réactivité le propulseur L'EPW 2 n'est pas pour moi une volte face c'est de la bonne gestion. On achète sur étagère un produit qui existe et qui a certaines qualités que l'on recherche. La différence avec l'A2SM est la suivante: Pour l'EPW 2 le client (la DGA) et l'utilisateur final (AA) n'ont pas défini le cahier des charges de l'engin. En clair on prend ce qu'il y a de disponible et on s'y adapte. Pour l'A2SM le client (la DGA donc les services étatiques) et l'utilisateur final ont établi le cahier des charges. Avec des éxigences beaucoup plus complètes en terme de performances que ce qui existait chez les concurrents (JDAM à l'époque). Des ces exigences et du choix du constructeur de l'engin sont nées des difficultés de mise au point et d'intégration agravées aussi peut être par des questions financières mais ça j'en suis moins sûr. L'intégration d'armes complémentaires, universellement répandues est une excellente chose à l'export mais aussi pour des questions ops. Certes celà ne flatte pas nos égaux sur dimensionnés :lol: mais ça a le mérite du pragmatisme l'essentiel étant de mettre au but. Les pbs de l'A2SM finiront par être réglés (dans la douleur surement mais c'est souvent comme ça) et à ce moment là la gamme sera encore plus complète de l'OSPEI de 30 mm à l'ASMP A le Rafale tirera sûrement plus de choses que le Typhie et le F 35.... Je suis d'un optimisme cet aprème.... tient je vais aller me faire un café @Homer la conduite en air sol du canon a été validée à Cazaux à l'automne 2007 avec un nouvel obus OSPEI voir un post précédent commentant le dernier Air FAN de Janvier
  3. pascal

    [Rafale] *archive*

    J'avais toujpurs cru comprendre et lire que le guidage laser offrait une précision bien supérieure à dix mètres de l'ordre du mètre plutôt... L'intéressanr avec l'A2SM c'est que on pourra adapter SUR LE LONG TERME le propulseur le guidage terminal le corps de bbe en fonction des missions On ne le dira jamais assez ce qui fait l'avantage de cet engin c'est sa manoeuvrabilité (canards très rapides et empenages de grande dimension) et son "agilité" c'est aussi la difficulté... et là je diverge un peu avec Homer Si on réduit de 60 Rafales dans l'absolu certes mais le pb c'est le rythme de prod en dessous de 1,5 par mois on assure plus les obsolescences et ça va couter cher.... Ca ferait un format de ligne à 160/180 Rafale... Largement supérieur en qualité et même en nombre à ce que l'on peut envoyer à l'extérieur aujourd'hui Sortez les calculettes il n'y a malheureusement pas photo... Tout dépend si l'on veut MAINTENIR une capacité ou AUGMENTER cette capacité
  4. pascal

    L'Inde

    c'est parti pour Thalès en Inde pour la modernisation des 2000... France Inter 19h14
  5. pascal

    [Rafale] *archive*

    Le SCALP et l'A2SM ont constitué deux "fantasmes" pour l'Adla. Le tir stand off à grande distance et à grande précision Le tir de précision tout temps par armement à bas coût. Après l'Irak et la Bosnie où l'aviation brisa les reins d'armées constituées, en uniforme, organisées... Les RETEX n epouvaient que militer pour ces armes. Souvenons nous qu'en 1991 après l'Irak on ne jurait que par les MDC et le guidage laser. Le "CAS du pauvre" qui est aujourd'hui à la mode contre les groupes armés afghans et irakiens est un phénomène récent comparé à la durée des programmes. Tirer de l'A2SM voir de l'EPW2 en A-stan peut paraître parfois surdimensionné et c'est vrai. Mais il faut un temps d'adaptation. Le rafale vient de qualifier le canon en air sol il aura d'ici qq temps des roquettes, plus stables plus précises que leurs ancêtres. C'est dans leur capacité à évoluer dans le temps que l'on doit juger les matériels. Et effectivement les crash programs sont là pour règler certains problèmes et s'adapter. A mon avis l'intégration de l'A2SM s'est faite de manière prioritaire car on pensait l'avoir plus tôt et surtout disposer d'une bécane plus performante que le produit américain concurrent direct le JDAM. Et dans le fond c'est vrai que l'A2SM n'a rien à voir avec un JDAM en termes ops: Surfaces canards rendant la bécane bcp plus manoeuvrante Empenages déployables de grandes dimensions Propulseur... Les soucis sont connus clairement identifiés après il faut de la mise au point et des solutions techniques. Dassault en tant qu'avioneur intègre ce que le client et ses fournisseur lui demandent de mettre sous l'avion. Après le gros challenge c'est de gèrer les problèmes liés à l'intégration... Quand on regarde le tri bombe et qu'on voit à quelle distance du bidon se trouve la charge en poit intérieur du dit tri bombe on commence à comprendre l'étendue du problème avec certaines munitions ayant certaines caractéristiques bien à elles... Je suis d'accord avec Homer sur la nécessité d'intègrer l'EPW 2
  6. pascal

    Les Hawkeye français

    Il n'a jamais été prévu de déployer les deux en même temps Au delà du nombre d'avion c'est le nombre de gars pour les servir qui est insuffisant. Le personnel pont d'envol hangar, les équipages de flotille.... tout ça tournera sur les deux mais pas en simmultané...
  7. pascal

    Rafale - Afghanistan 2008

    L'Adla envisage même de l'intégrer sous Rafale
  8. Pour ce qui est de la technologie de Taïwan et de sa connaissance par les chinois ... :lol: vu l'interpénétration des deux économies et les partenariats croisés sans parler des financements çà fait déjà qq temps que s'est réalisé... Quand on voit le nombre de fausses déclarations d'origine Taïwan pour des produits chinois ... On se dit que ces économies sont bien plus intégrées qu'il n'y paraît.
  9. "Tricky Dick" Richard le Tricheur tel qu'il était appelé... je n'ai aucun a priori sur ce gars que je ne connais pas vraiment sauf au travers du Watergate et de l'enlisement vietnamien ce qui est sûrement réducteur...
  10. Ceci dit il n' y a pas d'alternative au deuxième PA... Je vous rappelle que nous raisonnons pour notre PA2 en terme de couts et pas de doctrine...
  11. Dans le cadre de ce fil je vous soumets le résumé de l'article A Revolution at Sea publié par l'ex CNO "surface" de l'USN l'Amiral Joseph Metcalf. Dans cet article il jette les bases doctrinales de ce qui aurait pu devenir l'Arsenal Ship reprenant le concept du Frappeur de René Loire. Une Révolution en mer. Le moteur technique de cette révolution est triple (Metcalf rédige son article en 1988). Le système AEGIS capable de synthétiser un nombre croissant d'information tout en modelant l'architecture des navires Les lanceurs verticaux VLS 41 qui permettent de multiplier le nombre d'armes emportées en offrant une cadence de tir supérieure et des silouhettes de navires dégagées Les missiles de croisière navals qui fournissent l'allonge dans la profondeur. Cette triple rupture agit fortement sur une donnée essentielle l'acton du projectile sur la cible. L'enjeu pour les marines est d'exploiter au mieux et dans tous les domaines les apports de cette révolution. Le rythme de ces changements est très rapide (notamment dans des domaines comme la miniaturisation, les vitesses de calcul...). Ces évolutions doivent être anticipées afin de créer des «occasions» en clair des avantages marquants. Ces évolutions rapides dans certains domaines ont aboutit à un élargissement énorme de l'espace de la bataile navale (que celle-ci soit en «eaux bleues» ou dirigée vers la terre). On est passé en quelques dizaines d'années d'un espace déterminé par la portée des pièces de marine exprimée en dizaines de kilomètres, au rayon d'action des aéronautiques embarquées chiffrées en centaines de kilomètres jusqu'aux missiles de croisière de 1500 ou 1900 kilomètres de portée. Sans parler des améliorations qui sont survenues en matière AA et anti-navires. Le volume a explosé, comment exploiter ce phénomène à différents niveaux ? -formation des personnels -fonctionnement des systèmes -doctrines d'emploi -conception des bâtiments Il devient primordial d'identifier les facteurs opérationnels et politiques qui dictent les choix en matière de construction et de conception des navires. -Ces facteurs sont souvent institutionnels et culturels en 1988 Metcalf n'en parlait pas mais aujourd'hui on doit rajouter le facteur financier -Identifier les fonctions essentielles d'un navire et les solutions de remplacement face à un échec technologique et les répercussions que cela peut avoir sur les effectifs (on est en plein dedans avec par exemple l'annonce d'augmenter légèrement les effectifs des BPC pour certaines missions) -Recommander les fonctions du bâtiment pouvant être réduites éliminées ou améliorées grâce à l'automatisation ou à une meilleure conception des systèmes -Recommander de nouvelles méthodes pour concevoir, construire, entretenir, entraîner et moderniser les bâtiments. Un des points primordiaux dégagés par l'auteur de l'article ce sont les effectifs embarqués. Selon lui (il y a 20 ans déjà) cette question est essentielle pour l'USN mais aussi les autres marines de l'OTAN. D'un point de vue purement opérationnel l'équipage d'un bâtiment occupe un espace qui pourrait être dévolu à l'armement. La tendance est de diminuer la taille de celui-ci, au profit des capacités opérationnelles et de l'emport de systèmes d'armes plus complets. La technologie permettrait en théorie d'amener le niveau de l'équipage à zéro. Mais comme le souligne l'auteur «un tel bâtiment serait suspect en tant que navire de guerre». Un navire de guerre doit pouvoir continuer à combattre en étant endommagé, et doit pouvoir être sauvé le cas échéant. Le nombre minimal de personnel embarqué doit être considéré en fonction de cet impératif. Le phénomène de résistance culturelle au sein de l'institution et du corps des officiers de Marine est clairement décrit et mis en avant. Ainsi en va-t-il de la conduite du navire. A quoi servent aujourd'hui certains éléments des navires de guerre qui rendent ceux-ci indiscerts et vulnérables: les châteaux et passerelles. Alors que dans beaucoup de cas de figure un vavire de guerre se dirige depuis son CO. (Je vous rappelle que celui qui parle ne travaille pas à Bercy mais fut Chef des Opérations Navales adjoint Surface de l'USN). A l'heure des tourelles télé opérées, de la fibre optique et des écrans plats les révoltiond technologiques en matière de transmision militent pour de tels changements. D'où diriger le navire (notamment lors des phases d'ccostage), que faire de l'officier de quart passerelle. Autre exemple de réflexion menée, pourquoi ne pas débarquer du navire tout ce qui est locaux administratifs et se tourner vers une orgaisation centralisée à terre ? Les professionnels de la guerre navale doivent examiner les fonctions et les doctrines qui s'écartent de l'essentiel: délivrer de l'armement (et je rajouterait survivre aux dommages) et si elles ne s'y conforment pas, s'en débarrasser. Ce qui est très intéressant c'est qu'ici Metcalf cite un exemple d'une conception devant tenir compte de ces prémisses: le programme OTAN NFR 90 qui donna naissance à pas moins de cinq types de navires principaux: Horizon, T 45, F 100, De Zeven Provincen, 124 et un dérivé comme les Nansen... «S'il ne tue pas l'ennemi, tuez le programme» disait l'amiral Arleigh Burke "monsieur 30 noeuds". Faire des navires un véritable système d'arme ces qui jusqu'à l'avènement de l'aegis n'était pas intervenu depui sla série des Fletcher. L'armement vient en premier tout ce qui est susceptible de modifier l'emplacement et le nombre d'armes embarquées doit accepter cette priorité. Tout le programme de recherche doit porter sur la réponse aux besoins de combat sans qu'il reste un espace vacant susceptible de recevoir de l'armement. Quand on voit ce qui se passe avec les FLF et dans une moindre mesure le Forbin... on constate que précepte fort sage a été mis de côté, pour raisons budgétaires.Car tout le problème est bien là, arriver à équilibrer les besoins concurrents à l'aune des restrictions de budgets. Les changements induits sont énormes, la gestion des bâtiments et des équipages devra se faire à terre. Le principal soucis c'est la résistance au changement de lapart de l'institution elle même. Ce sont les jeunes officiers de Marine qui doivent prendre l'affaire en main. Disait Metcalf il y a 20 ans. La chose ne s'est pas faite et la Navy a encore de beaux navires à passerelle. Les quatre SNLE OHIO transformés constituent néanmoins un nouveau premier pas. La réflexion théorique fut menée très loin, les techniques existent: le principal frein l'institution elle même... Sans oublier un nouveau projet de missile de portée intermédiaire de 1700 kms de portée et de 82 cms de diamètre entre le Tomahawk et le Trident porteur d'une charge conventionnelle ou nuc tirable des OHIO.
  12. pascal

    Les Hawkeye français

    Et pourtant si on devait être logiques c'est sur la marine qu'il nous faut mettre l'effort. Les ennemis potentiels s'éloignent pour frapper il va falloir de l'allonge... 3 B2 (3 milliards de $) c'est le prix du PA2 et de 2 FREMM...
  13. pascal

    Des Rafale pour la Hollande

    Les Mirage III aux OZZIE'S est une belle histoire Après la pub de la guerre des six jours ils voulaient un intercepteur capable de délivré un missile AA à 50 000 pieds en un temps mini très précis (c'était l'époque des bombardiers sviétiques...) La démo fut faite par un pilote français (VARIN de mémoire...) il raconte qu'il ne fallait pas trop traîner entre parking et décollage car pour monter à l'altitude requise dans le temps requis l'avion emportait le 530 point barre Et je crois que le 530 était à guidage IR et que la cible était un flare sous parachute à vérifier car c'est de mémoire encore... Bref ça c'est fait mais quand même les ozzies ont peut être eu le sentiment de se faire un peu mettre... le jour ou Dassault (on est jamais trop prudent) leur recommanda en sus de la commande de chasseurs de se doter de 24 jeux de voilure en spare... Le chef mécano de la commission australienne fit alors la tournée des popotes de l'ADLA pour voir ce qu'il en était et de se rendre compte que l'ADLA avait en tout et pour tout DEUX jeux de voilure d'avance et qu'elle s'en portait très bien... C'était l'époque où (mais ça valait aussi pour les américains je vous rassure) l'échelle en alu pour grimper dans l'avion était facturée le prix d'une 4L... On va pas chipoter non ! :lol: Quant au F35 sur le BPE je suis d'acord avec toi c'est logique ça va coûter cher. La contrainte du porte aéronef est forte car ce que VEULENT les ozzies plus que tout y compris le rayon d'action aujourd'hui c'est du bi-réacteur. Le choix d'un porte aéronef au lieu d'un PA les prive automatiquement d'un bi-réacteur et impose mécaniquement le F35
  14. Ce qui me désole moi qui suis un pro israélien convaincu mais pas aveugle, c'est de voir comment le manque de clairvoyance et l'aveuglement de certains dirigeants (dont bibi Netanhyaou est un bon représentant) et d'une frange relativement minoritaire de la population peut placer aujourd'hui Israel dans une situation instable et dangereuse. La victoire du Hamas à Gaza est née du désespoir et d'un calcul machiavélique visant à affaiblir le Fahta honni (référence à la vieille rancoeur envers Arafat), on voit aujourd'hui le résultat. La violence (celle des deux camps) n'apportera jamais de solution à long terme à Israel surtout face à des "organisations". Ce pays est petit et ne pourra pas indéfiniement s'imposer par la force. Pour lui le temps des pionniers des rescapés des camps et des durs à cuire est terminé, les générations suivantes ne sont pas faites du même métal... J'espère que le prochain président US va mouiller la chemise (ou le chemisier à fleur) pour remettre dans le bon chemin tous ces garnements. Car qu'on le veuille ou non même l'Iran devra tenir sérieusement compte du volontarisme américain...
  15. pascal

    Les Hawkeye français

    Ce sera niet... Cà m 'énerve de bon matin ! j'avais pris un bon p'tit dej... Mer et Marine ce jour: Il s'agissait, pourtant, d'une occasion rêvée. Afin de compléter la flottille 4F, composée de trois avions de guet aérien E-2 C Hawkeye, la marine avait l'opportunité d'acquérir auprès des Etats-Unis un appareil supplémentaire. Le prijet d'achat visait à disposer d'une quatrième unité pour pouvoir conjuguer, dans de meilleures conditions, les déploiements sur porte-avions, les périodes de maintenance, l'entrainement et d'éventuelles immobilisations pour avaries. Acheté d'occasion mais remis en état, l'avion proposé par les Américains n'aurait coûté que 30% du prix neuf, ce dernier étant estimé à une cinquantaine de millions de dollars. Malgré cette aubaine, le ministère de la Défense n'aurait pas donné son feu vert à l'opération, a-t-on appris cette semaine. L'aéronautique navale devrait donc se contenter de ses trois Hawkeye pour assurer à la fois les déploiements sur le porte-avions Charles de Gaulle et l'entrainement des pilotes. L'effectif de la 4F étant des plus justes, les appareils restent donc soumis à un rythme de fonctionnement très soutenu, ce qui ne devrait pas manquer, à terme, d'alourdir le budget d'entretien de la flottille. Outre le problème des coûts de maintenance, qui pourraient faire d'une économie initiale un facteur de dépenses supplémentaires à terme, les pilotes « croisent également les doigts » pour que les trois uniques Hawkeye de la marine ne connaissent pas de gros problèmes techniques. Un minimum de deux avions est, en effet, nécessaire pour assurer la veille lointaine du groupe aéronaval. « Il ne reste plus qu'à espérer que nous aurons une autre occasion de compléter la flottille », espère un marin. Construits par le groupe américain Grumman, les E-2 C Hawkeye sont les seuls avions de guet aérien embarqués. D'une envergure de 24.6 mètres pour une masse de 23.8 tonnes, ils présentent une autonomie de 6H15. Leur impressionnant radar, l'APS-145, permet de contrôler l'espace aérien dans un rayon de 250 nautiques. Les deux premiers avions français ont été commandés en 1995 et livrés en 1998 et 1999. Le troisième a été commandé en 2001 et livré en 2004. Lorsqu'ils ne sont pas embarqués sur le Charles de Gaulle, ils sont basés à Lann Bihoué, dans le Morbihan.
  16. pascal

    remise en question

    @Perry Une des éléments clefs pour le moyen terme (8/10 ans) c'est l'équipement aérien des quatre porte avions et aéronefs anglais espagnol et italien avec un F35 qui éprouve des difficultés. @Tiger Les PA américains vont régulièrement naviguer DANS le Golfe Persique faire des démonstrations de force. Mais en cas de conflit contre l'Iran ce ne serait même pas nécessaire. Je crois qu'il faut raisonner en terme de complémentarité entre bases au sol et bases flottantes et mobiles. De toute façon ton exemple démontre parfaitement qu'une marine ne peut se permettre d'être déséquilibrée. Sans bâtiments de guerre des mines, sans PATMAR, sans ravitailleurs (les éléments les moins "nobles"...) pas d'action possible, pas de liberté de manoeuvre que ce soit pour un PA et son Task Group ou pour une escadre de navires de surface.
  17. Certes... J'ai vu en photo (clichéés des années 60) des maquettes de mirages III aux couleurs de l'USAF =)
  18. pascal

    [Rafale] *archive*

    @fusilier vraiment excellent la commande vocale :lol: j'imagine avec un pilote marseillais en échange eh meunnnn viéééééééééé ! crainnnn dégun nainculéééééééé !
  19. Pour peu que les gars lâchent le guidon la salle d'escadron aux Cigognes sera décorée de belles photos
  20. en fait c'est pas ça le DD surveille le SNA s'il passe à l'ouest il le grenade... ;)
  21. pascal

    Les brigades, comment ça marche ?

    @Trancrède Il semblerait que la tendance soit à l'agrégation de formations spécialisées dans un domaine et ce à un niveau de plus en plus "bas". J'avais lu qu'en Irak les américains improvisaient des unités mixtes infanterie/blindés/génie autour de pelotons de chars et de sections d'infanterie... On peut aussi imaginer ces formations resserrées travailler avec un appui aérien dédié...
  22. pascal

    [Rafale] *archive*

    pourriez vous m'éclairer sur ce forum AFM et sur cet individu Jacko...
  23. pascal

    [Rafale] *archive*

    @Tmor Voici ce que j'écrivais dans mon post du 16 janvier en p 279 "Le tir MICA sous liaison 16 s'est fait sur une cible située DERRIERE l'avion tireur. La cible illuminée par un Rafale situé 15 milles nautiques derrière et au dessus du tireur a été détruite par un MICA EM qui après letir a fait un 180° et est allé toucher la cible. Le tire du MICA IR en mode non accroché est d'ores et déjà prévu selon la même méthode." En clair un rafale totalement passif pourra tirer un missile IR totalement passif sur une cible illuminée ou détectée en IR par un tiers (un rafale doté d'une OSF IR digne de ce nom situé à distance du tireur), cible qui ne pourra absolument pas voir d'où vient la menace. En DA c'est assez fabuleux à envisager surtout si le radar de détection est le radar Graves et que la cible potentielle est un stealth... Les pilotes du CEAM vont pouvoir développer de nouvelles tactiques de combat ils doivent se régaler...
  24. pascal

    Légendes militaires

    @Rochambeau Deux sous marins Daphnée: la Minerve et l'Eurydice dans les années 60/70. En Méditerranée, les épaves sont localisées mais on ignore encore vraiment ce qui s'est passé. @KOTAI C'est quoi l'expérience Philadelphia?
  25. Le complexe militaro industriel allemand était a priori un panier de crabes où il fallait être bien en cour pour vendre qq chose Messerschmidt savait peut être y faire. Effectivement je parlais de simplicité et pas de coût. En tout cas une chose est sûre quand on a marié les deux: moteur Jumo sur cellule de 109 celà fut une catastrophe ;) (AVIA S-199) que les israeliens ont quand même menée au combat
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