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Tout ce qui a été posté par FATac
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Géorgie
FATac a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Je ne crois pas, non ... Des mines AC et des IED à foison conduiraient à un déminage au lance-roquette, à la munition thermobarique ou à l'artillerie lourde. Une petite centaine de victimes, côté russe, bien médiatisées en insistant sur la lâcheté des infames terroristes géorgiens qui piègent leurs routes, et hop, tout le monde sera d'accord de St Petersbourg à Vladivostok pour ne laisser qu'un champ de ruine là bas. La seule possibilité de résistance efficace des géorgiens est de se battre comme l'ont toujours fait les caucasiens, et pas à l'occidentale. On oublie les grandes manoeuvres en plaine, et on vérrouille les vallées. On bombarde d'une vallée à l'autre, on se tire dessus d'un versant à l'autre, on exploite au maximum le couvert et on reste mobile car on connait les lieux et on interdit l'avancée de l'adversaire par des actions de harcélement chaque fois que le terrain le rend vulnérable. De la guérilla de montagne ... C'est pas glamour, mais c'est la seule solution de retardement - même pas de victoire. Et je vois mal la petite Géorgie aller porter le feu chez l'ennemi russe ... à moins de se trouver tout d'un coup quelques têtes nucléaires perdues avec leur porteur ... Géorgie/Russie, c'est un peu comme du Audiard : Quand les gars de 130 kg disent certaines choses, les gars de 80 kg les écoutent. -
Il y a quelqu'un derrière le drone, mais son situation awareness est probablement bien loin de celui du pilote qui est sur place. Avec les caméras du drone, il ne peut pas faire "un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche", il est obligé de passer par un panoramique (ou il faut des drones équipés de 8/16 caméras actives simultanéement pour switcher de l'une à l'autre). Le pilote embarqué peut, lui, garder son FLIR sur un point d'intérêt, et zaper son regard sur tous les secteurs. L'évaluation du niveau de risque pris au sol est différente selon qu'on est sur place ou que l'on téléopère. Le fait de faire la guerre "comme un jeu vidéo" a déjà conduit à des sur-estimation du risque ou a des incompréhension de la situation qui ont conduit à des "dommages collatéraux". Le fait de ne pas y être, de ne pas ressentir la séparation de la GBU ou le recul canon, l'accélération lors de la ressource après la passe de tir, ... tout cela fait qu'il est beaucoup plus facile d'engager avec un drone qu'avec un avion piloté ... avec un risque accru de bavure.
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A partir de quel moment pouvons nous nous permettre de ne pas se comporter de façon loyale nous aussi, sans que cela ne porte atteinte à notre objectif de marché ? Que pourrions nous faire de déloyal face au SH ? Perso, je serai prêt à tout pour que cette bouze ne passe pas ... même à favoriser le Gripen (enfin, moins que le Rafale, quand même). La bête blessée, j'aimerai bien qu'elle soit mise à terre ... quitte à ce qu'elle prenne quelques coups bas Petit HS ... il me semble qu'en portugais, Suédois et Rutabaga, c'est le même mot (sueca/sueco) ... faudrait pas se tromper en achetant des avions aux grosses légumes, quand même !!
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[AF-447] Disparition d'un avion Air France au large du Brésil
FATac a répondu à un(e) sujet de canadianboy dans Aviation de ligne, d'affaire...
Pour le cas du 2000, le rapport public d'accident est passionnant : http://www.dicod.defense.gouv.fr/defense/content/download/67654/630213/file/Rapport%20public%20BEAD-air-A-2004-001-A.pdf D'après ce que j'ai pu lire, et ce qu'on m'en a expliqué aussi, c'est le raisonnement de base, mais ce n'est pas suffisant pour tout expliquer ... Il faut aussi voir qu'avec une vitesse sous-estimée par rapport à la vitesse réelle, les CDVE et les gouvernes se retrouvent en sur-efficacité, et la moindre action au manche ou au PA peut avoir des conséquences plus importantes que prévues, avec en plus le risque de soumettre les apparaux de voilure à des efforts hors de leur domaine de tenue mécanique ... cela donne un risque de dislocation présent et augmenté par une météo turbulente (effet de contamination : rupture d'un élément sous la contrainte, puis lachage d'un autre, puis d'un autre ...). Maintenant que les pingers sont probablement muets, les chances de retrouver les enregistreurs de vol sont minimes (aiguille, meule de foin, toussa, toussa). C'est bien dommage pour la connaissance des circonstance de ce drame. -
T'inquiète pas, t'es pas tout seul ... Le seul truc que j'aimais pas, c'est le moniteur de tir qui exigeait que l'on torde les tiges de crosse en épaulant et en appuyant sur l'épaule. Coup de chance, zéro incident de tir pour moi, et toutes mes balles sont parties par trois ou par quatre avec une ou deux dans la silhouette à chaque fois (un gars de ma chambrée à même réussi quelques coups par coups). D'un autre côté, nous étions briefés de ce qui risquait de se passer ... la légende de la MAT 49 circulait dans les chambres du CI avant même la première information préalable à la séance de tir. J'ai dû tomber sur une bonne arme, entretenue amoureusement par l'armurier de la B.A.
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Russie et dépendances.
FATac a répondu à un(e) sujet de Tactac dans Politique etrangère / Relations internationales
Tiens, c'est le genre de discussion que je préfère avoir en fin de soirée, après plusieurs bières ... Il y a quelques points qui méritent quelques précisions ... Mon expérience est limitée car je n'ai jamais vécu dans les pays du bloc de l'est, mais j'ai connu et traversé quelques uns de ces pays avant 1989. Tout d'abord, la citation de Poutine : que l'effondrement du système de l'URSS soit la plus grosse catastrophe géopolitique du 20eme siècle, c'est évidemment un appel aux nostalgiques de ce régime. Il est évident que c'est du clientélisme interne, le reste du monde ne me parait pas visé par cette affirmation, et pour plusieurs raisons : - A l'extérieur, dans le bloc occidental, je ne crois pas que grand monde regrette l'URSS et la menace qui en émanait. Personne ne me parait souhaiter son retour à nos portes. Dans le reste du monde, un certain nombre de pays, dits "non-alignés" peuvent regretter la disparition d'un des pôles qui permettait un mouvement de balancier politique dans les alliances, mais je ne crois pas, non plus, que ce soit l'URSS qui soit regrettée - cela aurait été le même cas si le pôle capitaliste avait succombé le premier. - Le système économique et politique de l'URSS n'était pas si différent du système qu'il participe à remettre en place depuis qu'il a succédé à Boris Elstine. Ce système n'a pas grand chose à voire avec du communisme, mais bien davantage avec du capitalisme d'état. Cette forme de capitalisme d'état, doublée d'un libéralisme outrancier, est poussée à son paroxysme dans la Chine dite "communiste". Ainsi, les outils et moyens de production ne sont pas collectifs, mais étatique, ou au moins délégués à un investisseur proche du pouvoir. C'est une forme de décollectivisation qui signe la mort du kolkhoze et des coopératives ... Et c'est Staline et l'effort de guerre lors de la seconde GM qui ont mis ce modèle en place, en remplacement du communisme relativement "pur" du tout début du bolchévisme (bien que déjà corrompu à la tête par une soif de sang et de revanche). - Les deux systèmes ont échoué : le "communiste" à la fin des années 80 et le "capitaliste libéral" actuellement, avec la crise qui secoue le monde depuis bientôt deux ans. Par contre, personne n'a encore produit de système alternatif viable pour se suppléer à ces voies sans issues. Du coup, la tentation est grande, irrésistible même, de reproduire ce qui a déjà échoué. On le voit avec le système capitaliste qui est le plus facile à remettre en place, mais aussi avec le communiste que certains tentent de ressusciter - mais c'est plus dur car il faut un gros contrôle sur la société ou une large adhésion populaire pour y arriver. Quant à la vie dans les pays de l'Est, il faut quand même sortir un peu des clichés et de la propagande. Cela a été largement souligné, mais la qualité de vie variait d'un pays à l'autre. On peut aussi ajouter que la qualité de vie (alimentation, accès aux soins, éducation, produits de consommation) variait énormément selon la proximité du pouvoir ou l'appartenance au parti. Quant à la criminalité (hors actions policières ou politiques), elle était réelle dans tous les pays de l'Est, mais soigneusement passée sous silence pour éviter de ternir le modèle vu de l'extérieur. Les prisons étaient aussi pleines que maintenant, et pas que de prisonniers politiques, et la justice était pourtant parfois sommaire (voire violente et expéditive : j'ai assisté à une aggression pour dépouiller un homme de ses bottes fourrées, en Pologne. Le voleur a été rattrapé par la police ou des miliciens, je ne sais pas trop, et a été bastonné à coups de crosse avant d'être abandonné inconscient dans la neige ... et on a fait circuler mon groupe rapidement "rien passé, rien passé"). Globalement, il faut se tenir à l'écart de toute forme d'angélisme, tant envers un camp que l'autre. Ils ont tous les deux leur face sombre que leur propagande éclipse, et que l'autre tente d'éclairer par tous les moyens. Au final, cependant, aucun n'est viable sur le long terme. Pour conclure et reprendre une partie du propos de Poutine, pour moi, ce n'est pas l'effondrement du bloc soviétique qui constitue la catastrophe. C'est son effondrement sans autre alternative que le capitalisme sauvage. Deux extrêmes s'opposaient, l'un disparait et tout se repositionne sur l'autre au lieu de chercher un nouvel équilibre. Poutine vise certainement un retour à "la Russie d'avant", mais tous les libéraux anglo-saxon appellent aussi de leur voeux un retour à l'Amérique d'avant, celle de 55 à 70, si possible en en gommant les défauts comme Spoutnik, Gagarine, Castro à Cuba ou le Viet-Nam. Celle ou l'Amérique apparaissait en sauveur du monde libre, inondant ses amis et alliés de matériel, de ressources, et sapant les velléités de changement d'alliance avec des coups tordus. -
Bah ... au moins jusqu'au polygone de tir. Il n'a pas besoin d'aller plus loin s'il s'agit simplement de qualifier et d'ouvrir les points d'emport (les six d'un coup, ce serait gonflé).
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Je confirme partiellement ... en 1973, lors de l'essai Tamara, le porteur était un III-E. Les lignes de retard des explosifs de mise en criticité avaient été mal calculées. La masse critique a bien été atteinte, mais tout le matériau fissile n'était pas dans le volume critique, réduisant nettement la "qualité" de l'explosion par rapport aux prévisions. Accessoirement, hors du premier tir, tous les essais français "Gerboise" étaient inférieurs à 5 kt. Nous devions avoir une sacré maitrise. ;) (ou plus probablement les acquis des expériences de nos alliés)
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Pour avoir les réponses aux questions, il faut raisonner en terme de moyens, plus que de doctrine ou d'envie. La mission nucléaire est prévue au départ des bases disposant de "Dépôts Ateliers de Munitions Spéciales (DAMS)". En 2008, il y avait 5 dépôts activité sur autant de BA : Saint-Dizier, Istres, Avord, Luxeuil et Mont-de-Marsan. Il est envisagé que les DAMS de Luxeuil et MdM ferment à moyen terme. Les escadrons de Rafales prévus pour la mission Nuc' seront donc des escadrons basés à St Dizier, Istres, ou Avord - sans pour autant que tous les escadrons de ces bases soient aptes Nuc. Je ne crois pas que la composition sera gravée dans le marbre. Surtout, si le Rafale reste en service entre 30 et 50 ans, la dotation des escadrons changera, dans le temps, en même temps que leurs spécialisations pourront évoluer. Ben ... en F3, le Système de Navigation et d'Attaque du Rafale sait gérer le pod Reco NG. Pour les F1 et F2, c'est tout simplement pas reconnu et géré. Donc un F1 ou un F2 peut convoyer un pod, mais pas l'utiliser.
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Ce n'est qu'un roman, mais avez vous lu "Il neigeait", de Patrick Rambaud ? Il n'est pas historien et son but est davantage la distraction et l'exercice littéraire plutôt que le témoignage. Cependant, son évocation de la prise, puis de la fuite de Moscou donnent une idée qui ne doit pas être si éloignée que ça de ce que fut la situation de l'époque. Qu'en pensent ceux qui l'ont lu ?
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Lors de l'arrivée de matériels qui peuvent amener des changements significatifs, adopter une "Doctrine" et s'y tenir, c'est le meilleur moyen de nourrir le fil avoir une guerre de retard. La doctrine, c'est le truc qui vole en éclat lorsqu'il est confronté au retour d'expérience du terrain, surtout avec des matériels et équipements qui introduisent un saut capacitaire important. Il vaut mieux être pragmatique, et noter au fur et à mesure ce qui va et ce qui ne va pas, et adapter successivement, par petite touche.
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J'admets ... Mais jusqu'à la publication de la 3e photo par BPCs, sur la base de l'extrait de M&M, ce n'était pas évident. ;) Merci.
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Mais ... en quoi le concept MPV se rapproche-t'il du L-CAT ? A part que c'est un catamaran et qu'il est proposé par les CNIM ... Le L-CAT dispose d'une plate-forme mobile qui augmente le volume immergé lorsqu'elle est descendue, alors que le MPV me parait être un catamaran tout ce qu'il y a de plus ordinaire (dans le concept). Je trouve que M&M s'est un peu emballé dans la description d'une filiation entre les deux projets.
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@xav Mais les anglais te traiteront de tricheur puisque tu utilises une catapulte (et sur ce coup, ça me coute, mais il faudrait leur donner raison). Et le but n'est pas de dire que le Rafale décolle plus court, c'était déjà un fait établi, c'est dans toutes les tablettes sur les deux appareils. Apparemment, ce sur quoi les Ra-Fan étaient dans l'ignorance, c'est que leur appareil décolle plus vite - et franchement, moi ça me troue un peu que nous ayons pensés que notre bimoteur décollait plus lentement alors que nous savions qu'il décollait plus court ...
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Bah non, c'est faux. Il y a aussi le Rafale. Simplement, avant on ne le savait pas. Ouais, faut voir. C'est plus lourd mais la trainée n'est, parait-il, pas extrêmement impactée par l'emport de 6 mica. Maintenant, il y a un truc qu'il va falloir m'expliquer. Le Typhoon est sensé décoller court, en ordre de combat, sur 500 m. Le tout en 8 (admettons, 7) secondes. Le Rafale est sensé décoller court, en ordre de combat A/A, sur 400 m sans catapulte. On a 20% en moins sur la distance de décollage. Sachant que la vitesse minimale des deux appareils est similaire (entre 210 et 220 km/h), et même si la vitesse de décollage est généralement supérieure à cette vitesse minimale, il faut m'expliquer comment le Rafale arrive à décoller plus court en roulant plus longtemps ??? Ou alors, le Typhoon roule pour le plaisir de rouler ? Je crois surtout que le temps de décollage n'était pas parmi les chiffres que l'on donnait pour jouer à la plus grosse avec les britons (car je crois que c'est eux, davantage que les allemands, les espagnol ou les italiens qui mettent ce point en avant). Enfin, publier ce chiffre (6 secondes, même lisse, avec suffisamment d'énergie excédentaire pour se mettre en virage sur la tranche dès la rentrée des roues), preuve à l'appui, ça va rester en travers de la gorge de certains. C'est déjà une satisfaction. ;-)
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C'est à dire qu'on s'en fout un peu de défoncer les routes ou d'écorner une maison lors d'un virage serré en milieu urbain dense. C'est pas grave et c'est accepté au nom de l'effort de guerre. En plus, c'est bon pour l'emploi. Après, qui paie ... état, assurance ou victime ... ça dépend.
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[Afghanistan] Archive
FATac a répondu à un(e) sujet de jeanmi dans Politique etrangère / Relations internationales
Non, t'inquiète. C'était juste le ravitaillement : des tomates, des fraises, des poires, des oeufs, et quelques bouteilles de champ pour l'anniversaire du commandant de base. :lol: -
Pour ceux qui ne suivent pas, vous pouvez développer, s'il vous plait. ;) Parce que sinon, ceux qui savent de quoi je parle comprendront ce que je veux dire, c'est évident. :lol:
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Séquence nostalgie ... Mais au moins, il décolle ! C'est vrai qu'il ne fallait pas trop en demander à un 2 x 2.3 t sec (2 x 3.3 t pleine PC). Lors de mon passage à Mérignac, juste avant la dissolution du 4/11, les mécanos disaient du Jaguar que c'était un ensemble de pièces détachées qui volaient en formation très serrée. Pour avoir ouvert la case à équipement de l'IFF, je ne pouvais pas leur donner tort. Çà ne les empêchait pas d'être fiers des matous sur lesquels ils bossaient, et de les avoir vu revenir malgré des incidents ou des coups au but sérieux. Mais tout ça nous éloigne un peu du sujet. ;-)
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Si je me souviens vaguement de mes cours de physique, et pour un décollage vers les 230 kts, ça fait une accélération à près de 2G et un décollage en à peine plus de 400 m. J'ai bon ? (j'arrive pas à voir la vidéo, elle bloque au bout de 23 secondes de point fixe et rien de plus n'est téléchargé ... quelqu'un a un autre lien ? Ou bien je ne suis pas assez patient et je dois laisser charger toute la nuit ...)
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En même temps, au Viet-Nam, l'option du tout-missile était engagée et présentée comme la seule voie possible ... avec les rattrapage que l'on sait, ensuite, pour retransformer les F4 en gunners par exemple. Je ne crois pas que le canon puisse être de nouveau remis en cause, même sur un chasseur furtif (ne parlons pas du F-117, il n'a de chasseur que le F ...)
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Et puis, en plus de la p 24, René Francillon se répète, p 28 (ce que je pointais ici : http://www.air-defense.net/Forum_AD/index.php/topic,1848.msg381403.html#msg381403) Du F-22, à Red Flag en Février 2007, Ok. A Red Flag Alaska, en Avril/Mai, Ok aussi. Mais des Rafale, alors qu'on était encore fachés avec l'équipe de Georges W. Bush et qu'en public on puait encore du bec ... c'était une mission top-secret, c'est pas possible ! Je confirme, Aout 2008 pour le premier Red Flag du Rafale. A moins qu'il n'existe un Black Flag dont on ne sait rien et qu'il faudrait nous tuer si on nous en parlait. :lol: Si je n'avais pas le nom de la source, je n'y croirais pas. Je ne voudrais pas remettre en cause la confiance que j'accorde assez aveuglément à M. Francillon, mais j'aimerais vraiment une confirmation (ou un démenti, l'erreur est humaine - et puis si on y avait été, c'est vrai qu'on aurait bouffé du Raptor à chaque merge, d'abord).
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Non, quand même pas. Juste une turbine d'hélicoptère PW200 de Pratt & Whitney Canada ... et tout plein de transmission qui va bien. Bah ... pourquoi pas, si les pales sont anéchoiques. Ca va pas être facile, mais si je me souviens bien, le Comanche était sensé être un hélicoptère furtif. Il doit donc y avoir eu des études sur la furtivation du rotor. Voici la doc, tout ce qu'il y a de plus officielle, concernant ce projet (ou ce avant-projet, je ne sais pas le situer) : http://adflightsystems.com/public/documents/AD-150.pdf
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Tiens, au fait ... BAe ne dit pas qui est le Best after F-22, seulement que le Typhoon est Second best after. Il y a de la place pour un autre. ;) Finalement, c'est peut être un jugement objectif, qui sait. :lol:
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Mmmm ! AD 150, un drone Tilt-rotor ... allez savoir pourquoi, j'ai du mal à y croire. Le syndrome Osprey peut être ?