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Serge

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Tout ce qui a été posté par Serge

  1. Serge

    Ici on cause MBT ....

    Je ne vois pas l'intérêt de la procédure hors panne du solénoïde. Si le tireur ne déclenche pas le tir lui-même, il y a un risque de décalage entre le besoin de tir et sa réalisation. De plus, ça crée un sur-charge pour le chargeur. Il a à faire.
  2. Donc, j'ai raison. Donner 100 pour reprendre 20, c'est donner 80. La part des revenus non issue de l'état est en effet imposée. Ce qui me fait affirmer que les fonctionnaires ne paient pas d'impôts. Et les revenus complémentaires ne sont pas issues de leur position statutaire mais de leur choix d'épargne. Pour la part des ressources privées finançant certains postes de fonctionnaire, il faudrait voir les abattement fiscaux liés. Tout ça n'est qu'épiphénomène. Ils ont simplement un revenu secondaire plus faible. Il fut un temps, les hommes pensaient la Terre plate. Et puis, est venue l'évidence qu'elle est ronde puis qu'elle est écraser sur les pôles quelques siècles plus tard. Alors, certains ont argumenté que le plancher de leur maison était plat. Le ridicule ne te tuera pas au moins.
  3. Il ne suffit pas d'invoquer l'esprit scientifique pour l'avoir. Pour l'heure, tu soutiens une idée sans l'avoir démontrée. Et ce n'est pas parce que tu paies une taxe que tu la paies en terme économique. Tu es juste sur ce point dans une pensée magique. Donc, démontres ton propos et, après, on en reparle. Et à cet instant, je n'ai moi même pas fait la démonstration de ce que j'avance. C'est un tel truisme que quelqu'un peut le trouver dans la journée. Cela me permet deux choses : 1- démontrer qu'en raisonnant, on peut analyser l'environnement économique (c'est à ça que sert ce sujet, d'ailleurs. Réfléchir, comprendre.) 2- démontrer que ce n'est pas l'invocation de l'esprit scientifique qui protège de la pensée magique. Ce que tu fais admirablement en affirmant que je creuse. A vos analyses : pourquoi un fonctionnaire ne paie jamais d'impôt ? Kyriama n'est pas très loin. Il a posé une équivalence.
  4. Bah non. Par principe les fonctionnaires ne paient pas d'impôt. C'est une illusion. Mais chuuut, la vérité qui complexifie le machin chose. Tout ça, tout ça.
  5. C'est possible. Ce serait plus solide et moins cher.
  6. Et une petite vidéo qui montre, là aussi, des choses très intéressantes. https://m.youtube.com/watch?v=WsB_uCPGb-s#
  7. Un peu plus de détails et c'est intéressant :
  8. Serge

    Missiles sol-air européens

    En effet, tous les systèmes de veille sont pensés pour fonctionner par intermittence et non de façon continue sur de longues durees.
  9. Le PIB est un agrégat monétaire qui cherche à représenter la création totale de richesse. L'inflation est indépendante du PIB mais doit être précisée. C'est à dire que tu peux comparer des PIB sur plusieurs années ou en monaie constante (en neutralisant l'inflation) ou en monaie courante (sans neutraliser l'inflation). Il faut le préciser. De toute façon, ne pas neutraliser l'inflation lors de comparaisons sur de longues périodes n'a pas de sens. Généralement on dit que : Il faut que le taux de croissance du PIB soit supérieur au taux d'intérêt moyen de la dette ramené à la part de la dette vis à vis du PIB. C'est à dire que si tu as +0,4% de croissance et que dette = 100% du PIB alors le taux moyen ne doit pas dépasser 0,4% sinon tu ne peux pas rembourser. La dette ne peux que s'aggraver. Si dette = 50% du PIB alors le taux moyen peut être au plus de 0,8%. Imagines alors le Japon et ses 250%. Pour la dette, il y a plusieurs particularités à prendre en compte pour les états. La dette est un stock (l'eau dans une baignoire). Le PIB est un flux (le robinet et la bonde de la même baignoire). Il faut toujours comparer des stocks ou des flux entre eux seulement. Ce qu'il faut donc comparer, c'est le service de la dette. C'est à dire combien on rébourse par an. Le seul gouvernement français a un budget d'environ 400 milliards dont un service de la dette de 66. Sur ces 400, il est en déficits tous les ans de 20% (moyenne de ces dernières années). Les états sont des grands comptes. Ils sont emprunteurs in fine. C'est à dire qu'à la différence d'un ménage, il ne rembourse le capital qu'à l'échéance de l'emprunt. En une fois. Le service de la dette ne couvre que les intérêts. Or, tant que tu as un déficits, tu ne peux rembourser le capital par définition. Donc tout les ans, le gouvernement emprunte pour rembourser la dette qui arrive à terme (325 milliards environ / an), plus le déficits de l'exercice budgétaire. Dans ce cadre là, la progression du stock de dette suit un suite géométrique. Et en ce moment, le pente de la courbe historique de la dette devient de plus en plus raide. Dernier point à surveiller vis à vis du PIB et de la dette : qui paie ? C'est le secteur marchand par ses impôts. Quand la charge de la dette augmente et que la part du secteur marchand diminue, l'économie est étranglée. Ou on augmente les impôts ou on emprunte. Or, l'emprunt d'aujourd'hui est l'impôt de demain car il faut toujours rembourser.
  10. Cette solution serait trop complexe à mettre en œuvre. Le harnais en 4 ou 5 points (ou la double ceinture de sécurité en croisé des Namer) fait partie intégrante de la protection anti-mine avec le reste du siège, des amortisseurs sur les fixations des sièges.... Cela se comporte comme dans les voiture. Les sangles ont une élasticité normée et, combinée à leur longueur, absorbe une partie de l'accélération en se déformant. Après une détonation, ou passé 5 ans, il faut les changer. Si tu n'as plus de longueur de sangle avec ton système, tu dois trouver une solution qui redonne cette capacité d'absorption. Si tu lies le gilet de combat au siège, alors ledit gilet fait partie de système de gestion de l'explosion. Tu vas faire entrer ton équipement dans un standard proche du matériel d'escalade. La facture va exploser car les contraintes de confection sont supérieures (matériaux et coutures). De plus, il y aura de contraintes de certification où tu devras faire passer tout nouveau gilet à des tests de décélération sur polygone explosif (comme des crash tests). Enfin, le gilet aura une durée de vie très courte. Devra être contrôler régulièrement et sera soumis à l'abrasion propre au combat en général. Tout ceci est incompatible. Il vaut mieux rester à une solution simple de harnais 4 ou 5 points. C'est pas cher. Ça se change très facilement. En restant dans le blindé, la durée de vie est convenable. Il peut être complété pas des guides préformés pour faciliter l'utilisation. Et n'importe qui peut les employer. Avec où sans gilet.
  11. Le problème est qu'ici tu vas augmenter le nombre de composants mécaniques. Ton train de roulement risque d'être lourd. Pour la partie mobilité, si le sol est porteur (dur) mieux vaut de grandes roues partout car les petites vont imposer de nombreux efforts. Leur angle d'attaque sur les obstacles pourrait être supérieur à 90deg quand de toute façon il serait élevé. Et c'est pas bon du tout. Même pour un chenille, les roues doivent être de grand diamètre.
  12. CAMEL a été construit à partir du soldat. C'est à dire que le BE a considéré un soldat assis. Il lui a construit un siège. Ce siège a été fixé à la coque interne. Une fois dessiné, les sièges ont été placés les uns par rapport aux autres de telle sorte qu'un soldat ne puisse blesser un voisin. Et enfin, ils ont enveloppé le résulta d'une coque dont la géométrie et la nature lutte contre les effets de toutes les propagations d'ondes lors d'une explosion. Le résultat est un véhicule optimisé sur un unique critères : survivre à une explosion.
  13. Pour compléter ce qu'a déjà écrit Shorr Kan. Un pourcentage est comme une concentration, c'est un taux et c'est indépendant du volume. Mais il faut être prudent, (ce qui n'est pas le cas des journalistes et surtout pas dans l'intérêt des hommes politiques) car pour que deux données soient comparées, elles doivent être comparable. Voici quelques éléments à prendre en compte : Considérons que tu as un portefeuille d'actions qui réplique le CAC-40. Alors, chaque mouvement du CAC sera identique à ceux de ton portefeuille. Si celui-ci ne compte que certaines actions du CAC alors, les deux éléments peuvent évoluer différemment. Des règles de calcul différentes. Les PIB du Japon, des États-Unis, de la Chine et des pays de la CE sont calculés selon des règles comptables différentes. Soit trois observations : -1/ la Chine est un pays totalitaire. Ses comptes publics sont donc truqués pour tromper la population et éviter de faire apparaître toute défaillance du PC Chinois. Ainsi, quand est annoncé +7% de PIB par Pékin, on peut trouver que la consommation d'électricité n'a pas bougée. Comment est-ce possible ? ; -2/ dernièrement, Obama voulait intégrer la R&D comme richesse produite alors qu'en économie la recherche est un coût. Elle ne devient créatrice de richesse que quand se décline un processus de production. Mais ce n'est plus alors de la R&D, c'est de la richesse. Son but était d'augmenter artificiellement le PIB pour avoir un taux d'endettement et de service de la dette artificiellement plus bas. -3/ on en a entendu parlé et je ne sais pas où ça en est. Il a été étudié d'inclure les commerces illicites (drogues, prostitution) au PIB. Ces activités sont bien créatrices de richesses mais, puisqu'illégales, ne peuvent être intégrées aux statistiques nationales. - considérons l'UE où les règles sont communes (ou au moins très proches) et prenons la France et l'Allemagne, pays aux économies assez proches. Une même hausse du PIB ne décrit pas la même réalité car la décomposition de leur PIB respectif est différente. Décomposition du PIB : Le PIB d'un pays se décompose en deux grandes parts : PIB-marchand et PIB-non marchand (la dépense publique). Le PIB-marchand est la somme des valeurs ajoutées du pays sur l'année venant de la production de biens et services. Le non marchand est la somme des coûts de l'activité des administrations publiques. La part de l'un et de l'autre n'est pas identique. L'Allemagne est à 44% pour les administrations publiques et la France 57,2% en 2014. Il faut toujours avoir cette décomposition à l'esprit car la variation du PIB seul cache des informations importantes en terme de santé économique. Plus le PIB-marchand a une part importante, plus la hausse du PIB correspond à une croissance économique. Imaginons deux pays A et B dont les PIB-marchand sont respectivement de 40 et 60%. Prenons l'année a, un PIB de 100 et prenons une croissance de 10% en a+1. Alors, A a créé 4 de plus dans le secteur marchand et B, 6 de plus. Sachant que le financement du PIB-non marchand vient de trois sources (endettement, taxe/cotisation/impôt, dividendes), ces deux pays se sont-ils enrichis de la même façon ? Assurément, non. Autre point sur cette décomposition, la part respective des deux PIB varie. Considérons un pays au PIB de 100 et divisé en deux parts identiques. À l'année a+1, le PIB reste à 100 (croissance 0%) mais le PIB-non marchand passe de 50 à 40%. La croissance réelle du pays était-elle nulle ? Réponse : non. En effet, la création de valeur ajoutée est passée de 50 à 60 (soit +20%). Au plus long terme, on peut réfléchir sur les causes de la baisse de 20% du PIB-non marchand. Et au long terme, c'est un très bon signe car il est fort probable qu'il soit provoquer par une baisse des impôts et du besoin d'endettement. La baisse des recettes liées aux dividendes n'a pas forcément d'effet car représente toujours une part très faible des recettes totales. Maintenant, les deux phénomènes se combinent. Le PIB varie de même que sa décomposition. Simple, non ? En conclusion: Faire une comparaison entre deux pays ou entre deux années pour le même pays impose de présenter systématiquement le PIB avec chacune des parts (marchande et non-marchande), ce que personne ne fait et pour cause. Pour donner un exemple, prenons le cas français. En 2014, la croissance du PIB fut de 0,2%. La part de dépenses publiques est passée de 56,4 à 57,2%. Le secteur marchand est donc passé de 43,6 à 42,8%. Donc, certains présenteront une stabilisation du PIB (+0,2%) alors qu'il y a eu une baisse réelle du secteur marchand (-1,6%, environ 13,6 milliards). Et pour donner des ordres d'idée à quelques points prêts : - l'URSS, le PIB-marchand 20% ; - la France sous Pompidou, 70% ; - la France aujourd'hui 42,8 %.
  14. En fait, il n'y a pas lien de causalité rigide mais "élastique". La démonstration la plus rapide est la suivante : "pour mettre fin au chômage, il suffit de passer des camions bennes aux brouettes." Meilleur réponse, plus tard.
  15. Certains modules pourraient être montés sur charnière. Pour les DAL, comme il y aura sur les Jaguar...
  16. La situation est assez grave pour qu'il joue profil bas. Et avec les échéances électorales, il va continuer pour éviter que le PS ne soit disloqué. Quand le souffle du boulet se rapproche, n'importe qui devient plus discret. Les 0,2%, c'est le révisé du PIB 2014 et le 0,6%, c'est le T1 2015.
  17. En France, le chômage n'explose pas en cela que sa progression est régulière. C'est le résultat d'un environnement qui étouffe lentement l'activité. Pour ce qui est de la croissance, il faut être prudent car, économiquement parlant, le chômage est un "résidu". C'est ce qui reste après telle ou telle action. En d'autre terme, son état est toujours lié non à la tendance du moment mais à ce qui s'est passe avant. Il y a donc un décalage entre le réamorçage de l'économie et la baisse du chômage. Ce décalage est long dès lors que la sortie de crise est une transformation de l'économie du pays car dans ce cas (le notre actuellement) les chômeurs correspondent à des compétences en disparition et les emplois à des compétences nouvelles. Pourtant, il n'a pas tort même si c'est exprimé de façon abrupte.
  18. Info complémentaire sur la croissance du trimestre-1 : Pour les +0,6%, il y a +0,5 pour la seul partie stock. Rajoutons que l'INSEE vient d'affiner à la baisse la croissance du PIB 2014. On passe de 0,4 à 0,2%. Il faut être prudent sur ces variations car elles sont dans l'erreur statistique. Je ne sais pas à cet instant si la part du PIB Marchand est toujours considéré à 42,8% du PIB. Il est donc possible que sa contraction soit plus forte que celle déjà annoncée. L'économie est donc en terme réel en récession pour 2014.
  19. Ils l'ont laissé car ils ont dotation gratuite en M4 sur budget US-Army alors que le SCAR est payé sur leur budget.
  20. De toute façon, le client décide. Les fabricants peuvent produire toutes les couleurs possibles.
  21. Il n'est pas possible de redécouper un pack souple car il faudrait relancer un processus de déconditionnement, reconditionnement. Ce serait trop onéreux. A savoir que le matériau balistique est dans une housse étanche qu'il faudrait ouvrir puis changer. Les manipulations sont complexes et donc chers. Il est tout à fait possible de récupérer les plaques en revanche. Et il pas interdit de commander des gilets prévus avec celles-ci. C'est faisable. L'inconvénient de cette solution et que tu vas te retrouver avec la partie souple du Série-3. Et, il ne reste pas beaucoup d'usages pour un gilet si peu pratique avec une protection réduite au niveau III. Peut-être vaut-il mieux les garder et attendre qu'ils se périment. De la sorte, tu concentres tes ressources pour d'autres projets. À titre personnel, comme je l'écrivais plus haut j'ai une vrai préoccupation pour l'adaptation aux femmes des équipements. Dans cette esprit, je ne serais pas avis de rater l'introduction de matériels adaptés en cherchant à réemployer des matériels qui vont de toute façon disparaître.
  22. Le général Mark A. Milley devient le nouveau CEMAT américain succédant à Odierno.
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