Depuis qu'on a baissé le nombre de snle constament en patrouille de 2 à 1, il "suffirait" à l'ennemi potentiel de mettre en place un dispositif de renseignement (humain autour de l'Ile Longue notamment) pour pouvoir déduire assez facilement quand il n'y a qu'un snle à la mer (les 3 autres étant à quai et/ou en entretien). A ce moment là, deux options : - la plus facile et la plus sûre : tir d'une dizaine de missile balistique avec charges nuke sur brest, toulon, et les 3/4 BA où il y a des asmp. La France se trouve désarmée à l'execption du dernier snle à l'eau. Mais ce dernier ne fera pas feu car on serait alors totalement "à poil" et ne pourrions dissuader d'une attaque sur nos cibles urbaines. De plus, au bout de qqes mois ce dernier serait obligé de revenir au port, faute de vivres. - la plus difficile mais aussi la plus acceptable par les autres pays serait le même scénar mais avec une attaque menée par un (trés) grand nombre de missiles à charge conventionnelle. Pour les 2 options, la question duCDG reste posée. Soit il est à Toulon, dans ce cas il disparait avec le port, soit, il est à la mer, dans ce cas, la France pourrait tenter des ripostes sur cibles militaires avec ses asmp tout en dissuadant l'ennemi de répliquer en frappant nos ville grâce au dernier snle (putain ! enfin une vraie raison d'être au GAN :lol:). Quelquesoit le scénar, le fait de baisser la posture de permanence à la mer de 2 snle à 1 constitue, pour moi, une brêche (trés) importante dans la crédibilité de notre dissuasion.