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Opérations au Mali
legionnaire a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Urgent:Aqmi prépare une guérilla dans les montagnes: www.cridem.org/C_Info.php?article=639388 06-02-2013 06:00 - Nord-Mali - Aqmi se prépare à la guérilla dans les montagnes. Les forces aériennes françaises ont déjà lancé les bombardements, le 5 janvier, autour de l'oasis de Tessalit, dans la région montagneuse des Ifoghas au nord-est du Mali, selon la BBC. Les islamistes rebelles sont soupçonnés de s'être retranchés dans cette zone, où ils détiendraient des munitions et plusieurs otages français. Outre un site naturel grandiose, sacré pour de nombreux Touaregs, les montagnes des Ifhogas, constituent un repaire idéal à tout groupe d'insurgés planifiant une action de guérilla, estime la BBC. Avec ses points d'eau et ses nombreuses cavernes permettant d'échapper à la surveillance des avions de l'armée, les montagnes de Tegharghar pourraient offrir aux djihadistes un atout capital dans les affrontements qui s'annoncent. Selon la BBC, la proximité et la porosité de la frontière algérienne assurent aux islamistes un approvisionnement quasi continu en nourriture, munitions et carburant. Tegharghar, d'abord «épicentre» des rébellions touarègues depuis 1962, est désormais le terrain des djihadistes d'Al Qaida au Maghreb Islamique (AQMI), qui connaissent bien la région. Selon la BBC, les montagnes auraient déjà fait office de repaire pour Aqmi, en 2003. Les djihadistes y auraient alors caché des otages et formé leurs nouvelles recrues. L'armée malienne, de son côté, paie aujourd'hui le prix fort pour sa politique laxiste, estime la BBC. Pour nombre de Touaregs, avec les montagnes, c'est tout un symbole qui s'effondre. Baptisée comme la tribu des Ifoghas, ces imposants rochers ont toujours été synonyme de liberté. -
Opérations au Mali
legionnaire a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
UrgentSahel:Qatar exfiltre pr voia aérienne des dizaines de jihadistes www.cridem.org/C_Info.php?article=639354 05-02-2013 07:53 - Le Qatar mène une opération aérienne pour exfiltrer des dizaines de terroristes du Sahel Le Qatar mène une opération aérienne pour exfiltrer des dizaines de terroristes du Sahel Eric Denécé, directeur du Centre français de recherche sur le renseignement, au Temps d'Algérie : "Le Qatar mène une opération aérienne pour exfiltrer des dizaines de terroristes du Sahel" Le Temps d'Algérie : Le président de la République française, François Hollande, vient d'effectuer une visite au Mali et s'est rendu à Tombouctou entre autres. Quel est l'impact de cette visite présidentielle sur le moral des troupes sévissant au nord du Mali ? Eric Denécé : Aucune, c'est une tradition que le chef de l'exécutif rende visite aux troupes engagées dans une opération, surtout après un succès ou un événement marquant (par exemple, un attentat). C'est aussi une visite politique de soutien au gouvernement provisoire du Mali afin de l'encourager dans la recherche d'une solution négociée avec les Touaregs. Ne craignez-vous pas que les terroristes détenant des otages tentent, comme ils l'ont fait à Tiguentourine, d'exécuter leurs otages ou sont-ils contraints de maintenir les otages en vie pour tenter de les utiliser comme moyen de pression ? C'est effectivement un risque. Mais ceux qui détiennent nos otages savent aussi que c'est là leur assurance vie. S'ils les assassinent, les services spéciaux ou l'armée les retrouveront et les élimineront sans hésiter. Le leader du Mouvement islamique de l'Azawad (MIA), né d'une scission d'Ançar Eddine, s'en est récemment pris à l'Algérie, l’accusant de «craindre que les Touaregs en Algérie soient inspirés par les Touaregs au Mali si ces derniers arrivaient à obtenir une position de force». Qu'en pensez-vous? Je pense que ce sont des menaces verbales et gratuites. L'Algérie n'est pas le Mali, en particulier les efforts faits depuis plusieurs années en direction des Touaregs ont été réels, surtout pour la préservation de leur identité et de leurs droits. Mais il existe quelques groupes touaregs, islamistes ou non, qui refusent toujours l'idée de frontières et considèrent qu'ils ont été spoliés de leurs territoires de nomadisation. L'intervention militaire au Mali n'a, jusqu'à présent, pas permis la mise hors d'état de nuire ou l'arrestation d'un chef terroriste comme Belmokhtar ou Droukdel. Où pourraient s'être cachés les terroristes d'Aqmi et du Mujao, selon vous ? Il n'est guère difficile à un chef terroriste d'envoyer ses troupes au combat et de rester caché dans les montagnes. C'est ce que beaucoup de chefs islamistes du Sahel ont fait face à l'offensive française. C'est aussi le cas de Mokhtar Belmokhtar qui n'était pas à In Amenas. Ces hommes se terrent, changent de lieu en permanence : parfois au cœur du désert, parfois dans des villes du Sahel… Certaines sources ont récemment fait état d'une opération aérienne qatarie pour exfiltrer des dizaines de terroristes du Sahel face à l'intervention française. Les possibilités de fuite ou de dissimulation sont donc nombreuses, mais ce n'est guère glorieux. Le Premier ministre britannique, David Cameron, a évoqué à Alger la coopération sécuritaire et antiterroriste entre les deux pays. Comment voyez-vous le renforcement de cette coopération ? Les Anglais, après avoir critiqué de manière excessive l'intervention des forces spéciales algériennes à In Amenas, sont rapidement revenus à la raison. Ils ne peuvent pas se passer de l'alliance algérienne dans la lutte antiterroriste au Sahel et surtout pas pour la protection de leurs activités d'exploitation des hydrocarbures (British Petroleum est très présente en Algérie). Peut-être David Cameron a-t-il aussi des choses à se faire pardonner pour avoir piloté, avec Nicolas Sarkozy, l'intervention de l'Otan en Libye, laquelle est largement responsable du chaos actuel au Sahel. Y a-t-il une grande menace sur les installations gazières et pétrolières des pays du Maghreb arabe et du Sahel après l'attaque terroriste contre la base de vie Sonatrach-British Petroleum-Statoil? Oui, c'est une réalité. Mais cela n'a rien de nouveau. Pendant la décennie noire, l'Algérie était tout autant soumise à des actions terroristes contre ces installations. D'ailleurs, c'est de cette époque que date le renforcement des mesures de sécurité de ces sites. Ce qui est différent, c'est que les terroristes vont peut-être aujourd'hui plutôt chercher à frapper des sites où il y a beaucoup d'Occidentaux, notamment des Français. Toutefois, cela ne les empêchera pas d'agir contre les intérêts algériens. Croyez-vous que des pays tenteront d'imposer à l'Algérie le déploiement de leurs forces militaires dans des sites gaziers et pétroliers se trouvant en Algérie? Cela m'étonnerait beaucoup. Parce que cela ne se fait nulle part. Il est même extrêmement rare que les sociétés de sécurité privées qui interviennent au profit des pétroliers soient armées. J'ai moi-même assuré la sécurité sur un chantier de construction de pipe-line très exposé en Birmanie, au milieu des années 1990, et nous avions l'interdiction d'être armés. Seuls quelques rares pays l'autorisent. D'autre part, il me paraît totalement inconcevable que le gouvernement algérien autorise la présence d'une force armée étrangère sur son territoire. Quel enseignement tirer du fait que les terroristes auteurs de l'attaque d'In Amenas soient de différentes nationalités ? Cela illustre un phénomène que nous connaissons bien : l'internationalisation du terrorisme djihadiste, lequel a été accéléré par l'intervention en Libye. Les frontières de la région n'étant pas, pour l'essentiel, contrôlées, des individus fanatiques de toutes nationalités se déplacent librement pour s'adonner aux trafics, aux meurtres, aux enlèvements et accessoirement au combat… J'ajoute que certaines monarchies pétrolières du Golfe persique n'hésitent pas à continuer de recruter et de transporter ces combattants salafistes pour imposer leur vision étroite et extrémiste de l'Islam. Un émissaire de l'ONU a, il y a quelques jours, annoncé qu'il y a 200 000 miliciens armés en Libye et que des centaines de personnes armées, dans ce pays, ne sont pas contrôlées par le gouvernement libyen. Des djihadistes libyens se trouvaient parmi les terroristes auteurs de l'attaque du site de Tiguentourine. L'émissaire de l'ONU a alerté sur une éventuelle relation avec la situation au Mali, évoquant d'éventuels liens ethniques entre nombre de ces miliciens et djihadistes au Mali. Cela signifierait-il que la situation en Libye continue à menacer la sécurité et la stabilité des pays de la région ? Evidemment, cela continue et cela devrait malheureusement durer quelque temps, car la situation est loin d'être stabilisée en Libye, comme en Tunisie et en Egypte. Toutefois, si les 200 000 miliciens sont une réalité, tous ne sont pas des djihadistes ou des criminels. En Libye, un certain nombre de tribus, auparavant fidèles à Kadhafi, se sont armées pour faire face à l'hégémonie des clans de la Cyrénaïque qui tentent de prendre le contrôle total du pays. Par ailleurs, le pays étant en situation chaotique (Ali Zeidan, le Premier ministre, a lui-même été victime de deux tentatives d'attentat en quelques mois), beaucoup d'habitants se sont armés afin d'assurer la sécurité de leur famille et de leur village. Et comme il y a des armes partout, ce n'est pas difficile. www.cridem.org/C_Info.php?article=639354 -
Opérations au Mali
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http://www.cridem.org/C_Info.php?article=639281 03-02-2013 12:19 - Mali: «importantes frappes aériennes» au nord de Kidal - [Videos] Paris - D'importantes frappes aériennes françaises ont été menées dans la nuit de samedi à dimanche dans le nord du Mali, dans des zones proches de la frontière avec l'Algérie, a annoncé à l'AFP l'état-major quelques heures après la visite du président français François Hollande à Tombouctou et Bamako. Ces bombardements au nord de Kidal et dans la région de Tessalit, ville à 70 km de l'Algérie, visaient des dépôts logistiques et des centres d'entraînement des groupes islamistes armés, a précisé le porte-parole de l'état-major des armées françaises, le colonel Thierry Burkhard. Trente appareils ont été engagés: chasseurs bombardiers, avions ravitailleurs, de reconnaissance, a-t-on souligné de même source. Après les prises successives de Gao puis Tombouctou, les soldats français avaient pris le contrôle il y a cinq jours de l'aéroport de Kidal, ville tenue par des rebelles touareg et des islamistes dissidents s'affirmant modérés. Samedi lors d'une visite d'une journée au Mali, le président François Hollande avait promis qu'après ces succès récents dans l'opération anti-islamistes, la France resterait au côté du Mali le temps qu'il faudra. Il s'agit d'aller plus au nord, finir cette opération avec les armées africaines engagées, a dit le président français. Le ministre malien des Affaires étrangères, Tieman Hubert Coulibaly, a souhaité que l'opération militaire française Serval se poursuive au Mali d'autant que la dimension aérienne est très importante, face à des combattants aguerris dont il faut détruire l'arsenal, dans un entretien au Journal du dimanche. Kidal et sa région comprenant le massif des Ifoghas, près de la frontière algérienne, sont le berceau des indépendantistes touareg et, selon Paris, le lieu de détention probable de sept otages français. http://www.cridem.org/C_Info.php?article=639281 -
Opérations au Mali
legionnaire a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
pour lui,c'est sûr,c'est fini!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! -
Opérations au Mali
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http://www.cridem.org/C_Info.php?article=639274 02-02-2013 23:28 - Nord-Mali : « C’est maintenant que la guerre va commencer » Alors que les troupes françaises sont aux portes de Kidal et que l’aviation bombarde les montagnes du nord, refuge des groupes jihadistes, nous avons rencontré à Bamako un proche de Iyad ag-Ghaly, le chef d’Ansar Dine, qui décrypte la personnalité du leader islamiste touareg. Selon lui, la guerre n’est pas finie avec la reprise des villes du nord. (De Bamako) La personnalité d’Iyad ag-Ghaly, chef d’Ansar Dine et principal meneur de l’insurrection islamiste qui ébranle le Mali depuis janvier 2012, constitue probablement l’énigme la plus complexe de ce conflit, qui ne saurait être résumé à une guerre contre le terrorisme islamiste. La soudaine offensive venue du Nord contre le gouvernement de Bamako (dominé par les Maliens du sud, les Bambaras) trouve son origine dans la marginalisation dont les tribus touarègues ont fait l’objet depuis l’indépendance du pays en 1960 : ces dernières, qui peuplent les deux-tiers sahariens du Mali (l’Azawad : Tombouctou, Gao, Kidal et le désert), au Nord de la boucle du fleuve Niger, s’étaient insurgées à plusieurs reprises déjà et dès 1963. La grande révolte de 1990 avait certes abouti à la signature du Pacte national, qui assurait aux Touaregs leur intégration, mais le traité ne fut suivi que de peu d’effets. Les tensions restaient donc vives entre Bamako et le Mouvement national de libération de l’Azawad (MNLA), organisation touarègue indépendantiste. Une des grandes figures de la révolte de 1990, Iyad ag-Ghaly, à l’époque chef du Mouvement populaire de l’Azawad (MPA), est aujourd’hui à la tête d’Ansar ad-Dine (la défense de la religion), mouvement à l’origine de la campagne par laquelle les islamistes s’étaient rendus maîtres du nord du Mali, avant l’intervention de l’armée française, qui, avec la récente prise de la ville de Gao, progresse en direction de Tombouctou, repoussant les rebelles vers le désert et la région de Kidal, fief touareg dont est originaire Iyad ag-Ghaly. Mety ag-Mohamed Rissa, ami intime d’Iyad C’est en effet Iyad ag-Ghaly qui a emmené derrière lui une partie des forces du MNLA et a été rejoint par des mouvements islamistes étrangers opérant dans le Sahara, à savoir Al Qaeda au Maghreb islamique (Aqmi) et le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao). Pour appréhender à la fois le personnage central de l’insurrection du nord du Mali et les ressorts de ce soulèvement majoritairement touareg, qui associe aujourd’hui les anciennes revendications indépendantistes et une dimension religieuse fondamentaliste inédite, nous avons pu rencontrer Mety ag-Mohamed Rissa, ancien porte-parole du MPA à Bamako, membre de la Commission du suivi du Pacte national et compagnon d’armes, ami intime, d’Iyad ag-Ghaly. Interview. Pierre Piccinin : Vous êtes un ami de toujours du chef d’Ansar ad-Dine. Vous avez combattu à ses côtés. Il est votre ami aujourd’hui encore. Iyad ag-Ghaly a été la figure révolutionnaire de l’insurrection touarègue de 1990. Aujourd’hui, on le retrouve islamiste… Que lui est-il arrivé ? Bref, qui est-il ? Mety ag-Mohamed Rissa : Je connais Iyad depuis très longtemps. Tout le monde le sait ; inutile de le cacher… Iyad est originaire du village d’Abeybara, dans la region de Kidal. Il a une cinquantaine d’années. C’est quelqu’un, quand nous étions jeunes, qui faisait rarement la prière. Mais, dans les années qui ont suivi la signature du Pacte national, vers 1994 ou 1995, je l’ai vu s’intéresser de plus en plus à la religion, d’abord, puis plus spécifiquement à la Dogha (le salafisme). Il passait des jours, puis des mois, dans sa chambre, à lire le Coran. Ensuite, il est allé à la mosquée. Il y passait tout son temps… Iyad a-t-il fait seul ce cheminement ? Non. Il rencontrait des gens, mais je ne sais pas qui exactement… Il s’est rendu au Pakistan, pour y étudier la religion. Il y est allé seul ? Au début, oui, je crois. Mais, plus tard, il y a envoyé des jeunes de chez nous. Pour le moment, nous avons cinq jeunes qui étudient au Pakistan. Iyad est très respecté à Kidal. Il a entraîné beaucoup de gens, qu’il a envoyés au Pakistan et en Afghanistan, pour qu’ils reçoivent une formation religieuse. Il a contribué, ainsi, à étendre le mouvement islamiste, la Dogha, dans tout le nord du Mali. Je suppose qu’il a dû donner sa parole à des extrémistes, sans en mesurer les conséquences. Mais il est de ceux qui meurent pour la parole donnée. Il avait des contacts avec Al Qaeda ? Oui, mais sans en faire partie. Il a toujours désapprouvé les méthodes d’Aqmi. Un Touareg n’enlève pas quelqu’un pour le vendre. C’est un déshonneur. En 2003, Iyad a d’ailleurs participé à la libération des otages allemands que détenait le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC). Mais il ne s’est pas opposé au développement d’Aqmi dans le Sahara : Aqmi s’est progressivement implantée et a infiltré la population touarègue. Des jihadistes se sont mariés avec nos femmes ; ils ont intégré nos familles, avec l’accord d’Iyad qui les a couverts de sa notoriété. Iyad : « Votre islam est incomplet » Et le gouvernement malien n’a pas réagi ? Si, bien sûr. Le gouvernement l’a envoyé comme diplomate en Arabie saoudite, dès qu’il a compris qu’il devenait dangereux, comme activiste. Mais, l’Arabie saoudite, c’est le cœur d’Al Qaeda. C’est de là que venait Ben Laden. Iyad y a fait des contacts et a commencé à militer. Il est donc devenu persona non grata ; et ils l’ont renvoyé au Mali. Et, de retour au Mali… Ils n’ont pas osé lui faire des problèmes. On l’a laissé tranquille, ici, à Bamako ; il a été mis sur une voie de garage, mais avec son traitement d’agent consulaire. Or, pendant ce temps, il préparait la révolte. Je l’ai revu récemment ; j’étais allé à Kidal pour voir ma vieille maman. Elle vit encore sous la tente, comme une vraie Touareg. Et que vous a-t-il dit ? Nous nous sommes rencontrés seuls. Il était dépité. Il m’a dit qu’il voulait installer au Mali l’islam total. L’indépendance des Touaregs, pour lui, ça n’a plus d’importance. Je lui ai répondu : « Mais, on a déjà l’islam au Mali. » Il a dit : « Non. L’islam est un tout. Tu ne peux pas faire un islam partiel. Par exemple : si tu surprends un voleur, tu dois lui couper la main. C’est écrit dans le Coran. Votre islam est incomplet. » Nous étions face à face. Il n’y avait personne d’autre. J’ai su qu’il était sincère et j’ai compris qu’il pensait ce qu’il me disait. Oui, il pense ça ! Il est donc devenu islamiste ? Oui, c’est certain. Comment ? Je ne sais pas. Chez nous, quand on atteint un certain âge, on se tourne vers Dieu. C’est normal. Mais le Touareg ne devient pas salafiste. C’est à ce moment-là qu’il a décidé de faire le jihad ? Il va se battre pour ça, jusqu’au bout. « Et les Chrétiens ? » lui ai-je demandé. « Et les animistes ? Tu en feras quoi ? » Il m’a répondu : « Non ! Il faut que le Mali soit un pays musulman. » Si on en croit les communiqués de l’armée française, il est en train de perdre la guerre… Ne croyez pas cela ! L’armée française peut récupérer les villes. Ce n’est rien. C’est facile. D’ailleurs, Iyad n’y combat pas ; il s’en retire ; il ne s’enfuit pas ! Mais les Français ne pourront pas éradiquer le salafisme dans les zones désertiques, ouvertes, dans nos montagnes. Les grottes de l’Adagh (massif) des Iforas sont imprenables. Et il est aidé par Aqmi, qui s’est greffée à Ansar ad-Dine. Les combattants d’Aqmi, depuis vingt ans, ils connaissent bien le Sahara. Pas les Français. De quel armement Iyad dispose-t-il ? Il est appuyé par les mercenaires touaregs de retour de Libye… En effet ! Les Touaregs qui ont servi Kadhafi en Libye, après sa chute, sont revenus au Mali, avec un armement très sophistiqué, des missiles, des batteries anti-aériennes… Un armement qu’ils n’ont pas encore utilisé… Les Touaregs, victimes de ségrégation Mais qui sont ces gens ? C’étaient des fils de bergers, peu éduqués, comme moi à l’époque. Ils ont été chassés du Mali par la sècheresse de 1973. Ils sont partis en Libye pour y chercher du travail. On n’était pas aidés par le gouvernement de Bamako. Parce que les Noirs sont terriblement racistes. Ils méprisent les « peaux claires », les Arabes et les Touaregs. Et la loi, au Mali, ne punit pas ce racisme. Si les Touaregs se sont si souvent révoltés, ce n’est pas pour l’indépendance ; ça ne les intéresse pas vraiment. C’est parce qu’ils sont victimes d’une ségrégation. On oublie que, le Mali, au deux tiers, c’est mon désert… C’est le désert où mon peuple meurt de soif chaque année. Chaque année, des gens meurent de soif… C’est le Sahara. S’il y a de vrais Sahariens, c’est nous ! Et que sont-ils devenus, en Libye ? Ils ont été recrutés par l’armée libyenne. L’armée les a fascinés, en leur donnant un uniforme. C’était le sommet de la réussite, pour eux. Ils voyaient les militaires maliens, qui entraient dans nos maisons et faisaient ce qu’ils voulaient, comme ce qu’il y avait de mieux socialement. Iyad était avec eux. Kadhafi leur a construit de magnifiques casernes, avec l’eau courante et l’électricité. Ils ont eu des enfants. Et Kadhafi les a utilisés. Au Liban, en 1982. Au Tchad, pour la Bande d’Aouzou, en 1987. Et Kadhafi leur a promis de les aider pour l’indépendance de l’Azawad. En 1990, ils ont été envoyés au Mali, soutenus par Kadhafi. Et que s’est-il passé après la mort de Mouammar Kadhafi ? C’est une armée qui est revenue au Mali ! Pas des individus… Les Touaregs qui sont revenus de Libye ont renforcé le MNLA. Et Bamako a envoyé Iyad pour connaître leurs intentions et négocier avec eux. Mais ils ont accusé Iyad de traîtrise, eux, qu’Iyad avait formés ! Ils ont dit qu’il avait trahi la cause indépendantiste, en acceptant le Pacte national. Il s’est senti humilié… C’est alors qu’il crée Ansar ad-Dine ? Oui, parce qu’il comprend que, s’il ne réagit pas tout de suite, il sera mort politiquement. Il va emmener avec lui beaucoup de gens du MNLA. Etait-ce dans ses intentions de lancer une insurrection ? Oui, mais l’arrivée des « Libyens » a précipité son projet. Il voulait faire la guerre. Mais plus tard. Mais, s’il voulait rester le chef, il devait lancer le mouvement avant que les « Libyens » le fassent avec le MNLA. La plupart l’ont suivi. Mais d’autres, non. Mais le MNLA a quand même accepté de se battre à ses côtés. Iyad a complété son armée avec des combattants d’Aqmi, du Mijao et de Boko Haram (mouvement islamiste du Nigeria). En janvier 2012, il a attaqué l’armée malienne… « Il n’y aura pas de fin » Comment voyez-vous la fin du conflit ? Il n’y aura pas de fin. Il y a quelques jours, une partie d’Ansar ad-Dine a fait sécession. Ils ont créé le Mouvement islamique de l’Azawad. Ils ont demandé aux Français de négocier, parce qu’ils ont peur de la Communauté internationale : ils sont conscients qu’ils sont trop faibles pour faire face. Mais Iyad se bat pour son Dieu ; il ne cèdera pas. Mais ceux qui le suivent se battent pour autre chose. Les Français ont repris Gao : l’armée française a laissé la population lyncher des Touaregs. C’est toute l’histoire de mon peuple : les démocraties africaines nous oppriment. Le peuple touareg est un peuple particulier, dont la vie ne ressemble à celle d’aucun autre peuple. Nous avons choisi de vivre dans le désert, dans les grands espaces, pour être libres. Nous avons renoncé à tout pour être libres. Mais les démocraties africaines ont été mal coupées par leur tailleur. On a importé des modèles qui ne nous conviennent pas. Notre robe démocratique est mal coupée. Elle nous empêche d’être libres. Notre indépendance, nous ne l’aurons jamais. Le monde entier est contre cela. Mais que nous ayons au moins notre intégration ! Je suis malien ! Et, pourtant, pour les Maliens, je suis un étranger ! Voyez ce qui se passe aujourd’hui : les Touaregs qui fuient les bombardements français, ils ne se réfugient pas au sud du pays, non ! Ils vont dans des camps de réfugiés au Burkina Faso, au Niger, en Mauritanie… Mais laissera-t-on ces gens revenir au Mali ? Et l’armée malienne suit la conquête française et nettoie les villes… Les Touaregs ont peur et s’en vont. C’est comme ça que la France veut régler la question touarègue ? On est à la limite de l’épuration ethnique ! Cela veut-il dire que la rébellion va perdurer ? Bien sûr qu’elle va perdurer ! C’est maintenant que la guerre va commencer ! Dans nos montagnes ! A Kidal ! Ce sera comme en Afghanistan… Si les Touaregs cèdent maintenant, c’est fini pour nous. http://www.cridem.org/C_Info.php?article=639274 -
Opérations au Mali
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urgent:la traque de belmokhtar a commencé www.cridem.org/C_Info.php?article=639198 31-01-2013 18:30 - Guerre au Mali : La France se lance dans la traque de Mokhtar Ben Mokhtar. Guerre au Mali : La France se lance dans la traque de Mokhtar Ben Mokhtar. Au delà de sa quête pour retrouver ses otages Koaci.com apprend en exclusivité ce jeudi matin de sources sécuritaires que la France met, depuis Kidal, en place son plan pour la traque de Mokhtar Ben Mokhtar dans le massif d'Adrar des Iforhas (extrême nord du Mali, proximité frontière Algerie). Nos sources ne nous le confirment pas encore à cette heure mais tout indique que l'armée américaine serait également de la partie aux côtés de l'opération Serval, au niveau notamment du renseignement et de la géolocalisation. Si la France reste maitre pour l'heure de l'opération, l'implication des USA dans la traque au chef d'Aqmi au Sahel, aurait été accentuée depuis la prise d'otage en Algérie sur le site pétrolier de BP-Statoil à In Amenas. A Kidal, depuis deux jours, une base logistique est mise sur pied pour cette opération aussi fondamentale que politique pour la France, bien déterminée à retrouver en vie ses otages emprisonnés au Sahel et de les ramener à Paris. La traque du terroriste algérien des plus recherchés intervient au moment où la France et son opération militaire Serval sous couvert de l'ONU a, trois semaines après être officiellement rentrée en guerre, libéré territorialement le Mali même si des doutes sont émis sur des stratégies d'islamistes subitement reconvertis en défenseurs de l'anti -terrorisme (voir articles koaci.com). Ce jeudi depuis la France, Jean-Yves Le Drian, le ministre de le défense du pays engagé, a estimé "probable" que les sept otages français au Sahel soient retenus dans la région du massif des Iforhas. Reste désormais à savoir si Mokhtar Ben Mokhtar est encore sur le sol malien et si les otages seront retrouvés et ce en vie. -
Opérations au Mali
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oui,peut-être plus théorique que pratique!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! -
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Urgent:Mathieu Guidère:les islamistes entrent dans une logique afghane: www.cridem.org/C_Info.php?article=639174 31-01-2013 07:15 - Mathieu Guidère : 'les islamistes sont entrés dans une logique afghane'. Mathieu Guidère : 'les islamistes sont entrés dans une logique afghane'. Où sont partis les jihadistes après avoir déserté les grandes villes du Nord du pays avant l'arrivée de l'armée française ? Comment les déloger de leurs cachettes ? Les réponses de TF1 News avec Mathieu Guidère, spécialiste des mouvements islamistes. TF1 News : Comme à Gao samedi et Tombouctou lundi,les Français ont pris ce mercredi l'aéroport de Kidal, pourtant le fief des islamistes, sans combattre. Cela confirme un repli volontaire. Pourquoi ? Mathieu Guidère : Il s'agit tout d'abord d'une question tactique. Les islamistes voulaient éviter un combat frontal. Leur analyse était simple : il est inutile de se battre contre une armée qui maîtrise les airs grâce à son aviation. Ils ont en fait simplement tiré les leçons de la bataille d'Afghanistan en 2001 : les talibans et les membres d'Al-Qaïda avaient alors subi une telle campagne de bombardements qu'ils avaient perdu beaucoup d'hommes en voulant résister. "Plus jamais ça" est depuis le mot d'ordre des jihadistes internationaux quand ils font face à une armée qui bombarde et avance au sol. Un second aspect, toujours venu d'Afghanistan, concerne les populations locales. Quand les talibans ont répliqué face aux Américains, les Afghans ont considéré à l'époque que leur résistance était responsable des pertes humaines et des destructions. Les jihadistes ont compris qu'il ne fallait jamais être perçu comme le responsable des "dommages collatéraux". Mais, au contraire, les faire endosser aux Occidentaux. Même dans leur fief de Kidal, ils ont donc agi de manière conforme aux leçons d'Afghanistan. TF1 News : Où sont partis ces islamistes ? M.G. : Ils sont tout simplement retournés dans les secteurs du Nord-Mali qu'ils occupaient avant de s'installer dans les villes au printemps dernier. Cette région s'étire sur 250.000 km, soit la moitié de la France. Elle est composée de régions montagneuses comme l'Adrar des Ifoghas et de déserts immenses où des ergs monumentaux, notamment celui de Tessalit, permettent de se cacher facilement. TF1 News : Que vont-ils faire désormais ? M.G. : A l'instar des talibans en 2001 en Afghanistan, ils vont attendre la suite des événements et voir comment évolue la situation. Quand ils auront constaté que tout est stabilisé, notamment qui tient les villes, ils mèneront probablement des opérations d'infiltration et de renseignement. Ils seront alors une logique de guérilla, voire de terrorisme. Tout dépendra alors de la réaction des populations locales. En Afghanistan, les Américains avaient agi de telle manière qu'elles avaient fini par sympathiser avec les talibans. Il est donc primordial d'éviter de commettre la même erreur au Mali,notamment en assimilant les gens du Nord à des terroristes ou en laissant faire d'éventuelles exactions perpétrées par l'armée malienne. TF1 News : Peut-on aller déloger ces islamistes dans le désert ou la montagne ? M.G. : L'expérience afghane, ainsi que l'Irak, ont montré que ce n'est pas si évident que cela en a l'air. Mais, j'insiste, déloger les terroristes de leurs repaires dépend essentiellement des populations locales. D'où la nécessité d'une stratégie globale pour solutionner politiquement le conflit malien entre l'Etat et les touaregs. Rappelons que le problème islamiste n'a fait que se greffer au problème touareg. TF1 News : A-t-on une estimation des pertes, humaines et matérielles, subies par les islamistes depuis le 11 janvier ? M.G. : On peut les estimer à partir du nombre de bâtiments qu'ils occupaient dans les villes et de véhicules (notamment les pick-ups) que l'armée française affirme avoir détruit. Au total, 1.000 jihadistes ont probablement été tués, soit la moitié des effectifs, et 2/3 de leur matériel neutralisé. C'est donc un coup très dur. TF1 News : Ce coup est-il fatal ? M.G. : Non. Le problème n'est pas réglé définitivement puisque les causes n'ont pas disparu. Il y aura toujours des "candidats" au jihad qui tenteront de rejoindre Aqmi et les autres groupes islamistes. Et comme nous venons de le voir, il faut avant tout une solution politique au problème touareg avant de régler la question islamiste. Sur le plan du matériel, certes, la source des armes venues de Libye après la chute de Mouammar Kadhafi est tarie. Mais les terroristes pourront reconstituer leur arsenal petit à petit grâce au marché noir des armes, toujours très florissant en Afrique, et à leur alliance de circonstances avec les trafiquants de drogue, dont ils assureront la protection en échange d'argent. TF1 News : Quid des otages français ? M.G. : Aujourd'hui, ce n'est ni la priorité des islamistes qui les détiennent, ni de la France. La priorité, c'est la guerre. La question reviendra quand la pression militaire sera retombée et que la situation sera stabilisée. -
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Urgent:l'assaut contre les islamistes imminent www.cridem.org/C_Info.php?article=639065 28-01-2013 11:10 - 'La bataille de Tombouctou est sur le point de commencer' - [Videos] 'La bataille de Tombouctou est sur le point de commencer' - [Videos] Embarqué auprès de l'armée française depuis quinze jours, l'envoyé spécial de France 24, Matthieu Mabin, suit la progression des forces régulières dans le nord du Mali et nous fait le récit des derniers évènements: "Après avoir reconquis la ville de Gao, bastion islamiste situé à 1 200 km au nord-est de Bamako, la bataille de Tombouctou est sur le point de commencer. Tôt ce matin, les soldats français accompagnés de l’armée malienne se sont massés aux abords de la ville avec une somme considérable d’équipements et de blindés. Il faut rappeler que l’armée n’agit ici officiellement qu’en soutien de l’armée malienne. Le terrain a été préparé par l’aviation française. Les mirages 2000 et les Rafale ont détruit les positions des islamistes dans ce vaste désert qui sépare les positions françaises des abords de la ville. Les soldats n'ont jusqu'à présent rencontré aucune résistance au sol de la part des rebelles islamistes. La bataille est totalement inégale.Attaquer Tombouctou est un symbole fort pour le Mali : cette ville martyrisée depuis presqu’un an par ces groupes islamistes, dont Ansar Dine, cette ville où les mausolées ont été ravagés, cette ville dénaturée par la charia. Les rares témoignages font état d’une situation sociale absolument désastreuse. Après la libération, l'hystérie Quand nous traversons ces villes libérées, les habitants frôlent l’hystérie en voyant circuler les blindés de l’armée française et malienne. Ils sortent de leur maison pour brandir des drapeaux et crier "Mali". Une libération au sens littéral. Cette population retrouve le goût de la liberté après avoir vécu dans la terreur et sous la contrainte de la charia. Les témoignages sont terribles : ils parlent de sanctions des islamistes qui coupaient les mains des voleurs, des femmes contraintes de se voiler et des hommes à qui on coupait le bas de pantalon. Ils rapportent que les combattants islamistes ont pris la fuite très rapidement en abandonnant derrière eux leurs armes et leurs véhicules. Ils se donnent pour la plupart l’apparence de civils pour se fondre dans la population, et foncer vers la frontière mauritanienne, où ils seront alors traqués par les autorités du pays." www.cridem.org/C_Info.php?article=639065 -
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Urgent:l'armée française a pris l'aéroport de Tombouctou et a réussi à prendre le contrôle des accès www.cridem.org/C_Info.php?article=639061 28-01-2013 06:51 - Les soldats français et maliens contrôlent les accès de Tombouctou - [Vidéos] Les soldats français et maliens contrôlent les accès de Tombouctou - [Vidéos] A l'issue d'une opération terrestre et aérienne menée dans la nuit, des soldats français et maliens contrôlaient lundi matin les accès et l'aéroport de Tombouctou, un des grands bastions islamistes. Des soldats français et maliens ont atteint un des leur principal objectif au Mali. Ils contrôlaient lundi matin les accès et l'aéroport de Tombouctou, à l'issue d'une opération terrestre et aérienne menée dans la nuit, a annoncé le porte-parole de l'état-major des armées (EMA) à Paris. Le colonel Thierry Burkhard a précisé que les forces françaises et africaines contrôlaient désormais la "Boucle du Niger" entre les deux bastions islamistes de Tombouctou, à 900 km au nord-est de Bamako, et Gao, à 1.200 km au nord-est de la capitale malienne. Les soldats français et maliens n'ont rencontré "aucune résistance" des islamistes, a confirmé un officier supérieur de l'armée malienne. "Il n'y a aucun problème de sécurité en ville", a ajouté cette source. Selon le porte-parole, la manoeuvre conjointe des forces françaises de l'opération Serval et des forces maliennes s'est déroulée avec un appui de patrouilles d'avions de chasse français. Le groupement tactique interarmes (GTIA) 21, venant de l'axe Diabali, Néré, Goundam a saisi l'aéroport de Tombouctou. Dans le même temps, un largage de parachutistes avait pour objet de bloquer les "exfiltrations ennemies" tandis qu'un groupement aéromobile (hélicoptères) était engagé en appui de ces deux forces. Dimanche, soldats français et maliens progressaient parallèlement par voie terrestre en direction de Tombouctou. "Près d'une vingtaine" de frappes ont été menées dans les régions de Gao et Tombouctou "ces dernières 36 heures", a indiqué le ministère français de la Défense dans un communiqué dimanche. "Une opération très compliquée qui a été très bien menée" Au lendemain de la reconquête de Gao, la plus grande ville du nord du Mali, des "éléments précurseurs" de l'armée malienne ont pu s'infiltrer dans la périphérie de Tombouctou, avait indiqué un haut gradé de l'armée malienne, qui a requis l'anonymat. "Les troupes maliennes et françaises avancent en direction de Tombouctou, sans rencontrer de résistance, aucune résistance", avait insisté cette source. "Nous regagnons une série de villes avec les maliens", a confirmé lundi sur France 2 le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, indiquant que "si les Français n'étaient pas intervenus, il n'y aurait plus de Mali". "C'est une opération très compliquée qui a été très bien menée", a-t-il ajouté. www.cridem.org/C_Info.php?article=639061 -
Opérations au Mali
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olivier c'est pas moi!c'est l'imbécile qui a pondu l'article!vois le lien!et je suis d'accord avec toi sur ce con! -
Opérations au Mali
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Urgent:après Gao,serval se dirige vers tombouctou www.cridem.org/C_Info.php?article=639033 27-01-2013 16:04 - Mali: après l'offensive éclair sur Gao, objectif Tombouctou - Une colonne de soldats français et maliens se dirigeait dimanche vers la cité mythique de Tombouctou, au lendemain de la reconquête lors d'une offensive éclair de Gao, la plus grande ville du nord du Mali, où des soldats de la force africaine se sont déployés. L'aviation française a aussi bombardé des positions islamistes dans leur fief de Kidal, à 1.500 km de Bamako, alors que des sources font état depuis plusieurs jours d'un repli des combattants islamistes dans les montagnes de cette région, dans l'extrême nord-est malien. Soldats français et maliens progressaient parallèlement par voie terrestre sur un autre front, en direction de Tombouctou, ville-phare de l'islam en Afrique, à 900 km au nord-est de Bamako. Les "troupes françaises et maliennes" seront "bientôt près de Tombouctou", a assuré samedi le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault. Une perspective qui enchante des réfugiés de la ville rencontrés samedi à Mopti (centre), dont certains évoquent déjà une volonté de vengeance à l'égard des islamistes, qui ont notamment détruits des mausolées de saints musulmans et imposé une conception rigoriste de la charia (loi islamique). "Ils nous chicotaient quand on fumait, quand on écoutait de la musique. On va leur faire payer ce qu'ils nous ont fait. Les chicoter aussi", promet ainsi Amadou, un jeune étudiant de Tombouctou, réfugié à Mopti (centre). Le bastion islamiste de Gao, à 1.200 km au nord-est de Bamako, est tombée samedi au cours d'une opération spectaculaire de l'armée française: des membres des forces spéciales bénéficiant d'un appui aérien se sont d'abord emparés de l'aéroport et d'un pont stratégique. Puis, des soldats tchadiens et nigériens sont venus par avion du Niger voisin jusqu'à Gao, marquant de manière frappante l'entrée des troupes de la force africaine sur le théâtre des opérations malien. "La prise de contrôle de Gao, qui compte 50.000 à 60.000 habitants, par les soldats maliens, tchadiens et nigériens est en cours", a indiqué dimanche le porte-parole de l'armée française, le colonel Thierry Burkhard. Plus de 6.000 soldats ouest-africains et tchadiens doivent à terme être déployés au Mali pour prendre le relais de l'armée française, mais ils n'arrivent qu'au compte-goutte et leur déploiement est ralenti par de sérieux problèmes de financement et de logistique. Seuls 2.000 d'entre eux sont aujoud'hui stationnés au Mali et au Niger. L'UA salue l'action de la France Les premiers témoignages faisaient état d'une liesse populaire mais aussi de premiers actes de pillage à Gao. Les communications téléphoniques fixes et portables sont coupées, et la zone n'est pas accessible à des observateurs indépendants. L'armée française affirmait samedi qu'il n'y avait pas de combat à Gao, mais "des opérations de harcèlement", avec des francs-tireurs. Gao était un bastion des islamistes du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao), qui y ont commis de nombreuses exactions, dont des amputations de personnes accusées de vol. Ce groupe avait affirmé samedi à l'AFP vouloir "négocier la libération" d'un otage français, Gilberto Rodriguez Leal, enlevé en novembre 2012 dans l'ouest du Mali. Le Premier ministre français Jean-Marc Ayrault a répondu en refusant "les logiques de chantage". D'après une source de sécurité malienne, les principaux responsables des groupes islamistes armés, Iyad Ag Ghaly le chef d'Ansar Dine (Défenseurs de l'islam) et l'Algérien Abou Zeid, l'un des émirs d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) se sont réfugiés dans les montagnes de Kidal. Des positions des islamistes à Kidal et sa région ont été bombardées samedi par des avions français, selon des sources maliennes. "Ces frappes ont notamment touché la maison de Iyad Ag Ghaly à Kidal et un camp militaire", a déclaré à l'AFP une source de sécurité. La maison du chef d'Ansar Dine, ex-militaire et ex-figure des rébellions touareg des années 1990 au Mali, a été détruite, ont ajouté des habitants. Kidal avait été la première ville conquise par les rebelles touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA), alors alliés aux groupes islamistes en mars 2012. Ils avaient ensuite été évincés de la région par leurs anciens alliés. A Addis-Abeba, le chef d'Etat béninois Thomas Boni Yayi, président sortant de l'Union Africaine (UA), a déploré devant ses pairs réunis en sommet la lenteur de l'organisation à agir pour "défendre" le Mali et "salué" l'intervention française. Pour un habitant de Mopti, la France, engagée depuis le 11 janvier au côté de ce qui reste de l'armée malienne, contre les islamistes armés, afin d'empêcher leur progression vers le sud et Bamako puis en reconquérant le nord du pays, paie ainsi une "dette" contractée par l'ancienne puissance coloniale envers le Mali. -
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Urgent:l'aviation française réduit en cendres la piole d'Ag Ghaly www.cridem.org/C_Info.php?article=639024 27-01-2013 11:15 - Mali: l'aviation française détruit la maison du chef d'Ansar Dine à Kidal - L'aviation française a bombardé des positions islamistes à Kidal et sa région, dans l'extrême nord-est du Mali, détruisant notamment la maison du chef du groupe armé Ansar Dine (Défenseurs de l'islam), a-t-on appris dimanche de sources concordantes. "Il y a eu des frappes aériennes dans la région de Kidal (à 1.500 km de Bamako). Ces frappes ont notamment touché la maison de Iyad Ag Ghaly à Kidal et un camp militaire dans la même ville", a déclaré à l'AFP une source malienne de sécurité. "L'armée française a tiré sur un camp militaire à Kidal, et détruit la maison de Iyad Ghaly. Il y a aussi eu des tirs de l'aviation française à l'ouest de Kidal, non loin du village natal de Iyad Ghaly", a déclaré de son côté un élu de la région. Kidal et sa région sont le fief d'Ansar Dine. Dirigé par Iyad Ag Ghaly, ex-militaire et ex-figure des rébellions touareg des années 1990 au Mali, ce groupe est apparu au grand jour en 2012. Il a été renforcé par des combattants qui étaient des membres actifs de la branche maghrébine d'Al-Qaïda. Les communications téléphoniques avec la localité de Kidal sont interrompues. Kidal avait été la première ville conquise par les rebelles touareg et les groupes islamistes en mars 2012. Les rebelles touareg du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA) avaient ensuite été évincés de la région par leurs anciens alliés. Samedi, soldats français et maliens se sont emparés de Gao, autre bastion islamiste, à 1.200 km de Bamako. -
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Urgent:le Maroc soutient officiellement l'intervention au Mali www.cridem.org/C_Info.php?article=638999 26-01-2013 21:04 - Mali : le Maroc 'appuie sans réserve' l’intervention française. Mali : le Maroc 'appuie sans réserve' l’intervention française. Le ministre marocain de l’Intérieur, Mohand Laenser, a exprimé vendredi pour la première fois l’appui « sans réserve » du Maroc à l’intervention française au Mali, lors d’une rencontre sur la sécurité avec plusieurs pays d’Europe dont la France. « Nous considérons que l’intervention française est opportune, pertinente, car elle vise à défendre l’intégrité territoriale du Mali », a déclaré M. Laenser lors d’une conférence de presse conjointe avec son homologue français Manuel Valls. « Grâce à l’intervention française, le Mali a été sauvé. Le Maroc appuie bien sûr la France sans aucune réserve », a-t-il ajouté. Ce responsable a toutefois écarté à ce stade toute participation de troupes marocaines: « ça n’est pas à l’ordre du jour pour le moment », a-t-il dit. Après l’intervention française du 11 janvier, le président français François Hollande avait fait savoir que le royaume, comme l’Algérie, avait autorisé le survol de son territoire par les avions de l’armée française. Le ministre français de l'Intérieur Manuel Valls s'est pour sa part attaché à défendre l'action "légitime" de Paris, que plusieurs dignitaires salafistes marocains ont récemment qualifiée de "croisade". Cette intervention "n'a évidemment rien à voir avec ce que certains ont appelé il y a quelques années la 'Françafrique' : quels sont nos intérêts économiques au Mali, sinon peut-être que nous avons 6.000 compatriotes qui vivent là-bas? (...) Il n'y a que les intérêts que nous partageons, lutter contre le terrorisme", a clamé Manuel Valls. -
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Urgent:Sénégal:50 terroristes localisés près de Tambacounda www.cridem.org/C_Info.php?article=639002 26-01-2013 19:11 - Séquelles de la guerre au Mali : 50 « terroristes islamistes » localisés à 50 km de Tambacounda Séquelles de la guerre au Mali : 50 terroristes islamistes localisés à 50 km de Tambacounda La sous-région ouest-africaine s’y attendait. Surtout les pays frontaliers au Mali, comme le Sénégal, la République de Guinée, la Mauritanie, etc. La menace terroriste s’approche-t-elle davantage du Sénégal ? Pour l’heure, la première alerte vient d’être déclenchée à la frontière sénégalo-malienne. Un groupe de 50 « terroristes islamistes » a été repéré ces derniers jours dans le village malien de Djimbé, situé à 50 km de Tambacounda (Est du Sénégal), selon nos confrères de « L’Observateur ». L’information est confirmée par le Commandant de la zone militaire N°04 du Camp militaire Mamadou Lamine Dramé de Tambacounda. Aussitôt selon le même organe, les autorités militaires sénégalaises ont alerté leurs collègues maliens, qui ont illico lancé la chasse aux terroristes. Du côté du Sénégal, des mesures ont été prises. On peut citer « l’intensification des patrouilles motorisées à la frontière, des patrouilles conjointes et simultanées Sénégal-Mali-Mauritanie, les nomadisations dans les zones aurifères (Sabodala, Saraya et Kéniéba) », informe le Colonel Sagna de la zone militaire N°04. Par ailleurs, il ajoute que ses mesures viennent s’additionner au « renforcement des points sensibles à l’intérieur de Tambacounda, la mise sur pied d’une compagnie d’intervention et d’une compagnie circonstancielle sur court préavis dans le but de contenir la nouvelle menace ». -
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Urgent:les forces françaises et maliennes sont dans Gao et ont pris l'aéroport www.cridem.org/C_Info.php?article=638989 26-01-2013 13:20 - Mali: l'aéroport de Gao sous contrôle. Mali: l'aéroport de Gao sous contrôle. Des soldats français et maliens ont pris aujourd'hui le contrôle de l'aéroport de Gao, un ville contrôlée par les islamistes située à 1200 km au nord-est de Bamako, indique une source de sécurité malienne. "Les forces maliennes et françaises sécurisent l'aéroport de Gao et le pont Wabary de Gao. Ces deux endroits stratégiques sont sous contrôle des forces malienne et française", a déclaré cette source à l'Agence France Presse. L'information a été confirmée par le ministère français de la Défense. L'aéroport se situe à environ 6 km à l'est de Gao. Le pont est lui placé à l'entrée sud de la ville. Gao, l'une des principales villes du Nord du Mali, est un territoire des islamistes du Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao). La source de sécurité n'a pas fait état de combats. D'autres sources ont indiqué que la plus grande partie des combattants islamistes avaient évacué la ville ces derniers jours, remontant vers l'extrême-nord-est du Mali pour échapper aux frappes aériennes françaises. -
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je confirme!!!!!!!!!!!!!!!!!et ils vont tous suivre!!!!!!!!!!!!!!!!!!!ici l'armée et les forces de sécurité sont hyper mobilisées et renforcent et étendent la traque!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! -
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Urgent:prise d'otages d'In Amenas:un des terroristes était chauffeur dans le site: www.cridem.org/C_Info.php?article=638891 23-01-2013 13:23 - Algérie : un des terroristes était un ancien chauffeur du site - [Vidéo]. Algérie : un des terroristes était un ancien chauffeur du site - [Vidéo]. Un des membres du commando de l'attaque suivie d'une prise d'otages meurtrière le 16 janvier dans le Sahara algérien était un ancien chauffeur dans le complexe gazier d'In Amenas, a indiqué mercredi une source sécuritaire. "L'un des assaillants tués avait travaillé comme chauffeur pour l'une des entreprises opérant à l'intérieur du complexe", a déclaré cette source, en précisant qu'il avait "démissionné il y a un an". Cette source n'a pas été en mesure de préciser qui avait été l'employeur de l'assaillant, mais a indiqué que son corps avait été reconnu par des employés sur le site. Les forces spéciales algériennes avaient lancé au moins deux assauts, l'un jeudi pour libérer les otages retenus dans la zone d'hébergement du complexe, l'autre, final, samedi en milieu de matinée, contre l'usine où étaient retranchés des assaillants avec sept otages étrangers abattus par leurs ravisseurs. Un bilan encore provisoire annoncé lundi par le Premier ministre Abdelmalek Sellal fait état de 37 otages étrangers et un otage algérien tués, 29 assaillants abattus et trois découverts vivants par les forces spéciales. Cinq étrangers sont encore portés disparus et sept corps restaient encore non identifiés lundi. La plupart des otages ont été abattus d'une balle dans la tête. -
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et ils seraient facilement pistés et attaqués par l'ennemi!!!!!!!!!!!!!!attention à qatar!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! -
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urgent:alerte terroriste au sénégal,officiel www.cridem.org/C_Info.php?article=638872 22-01-2013 18:34 - Guerre au Mali: Les forces de sécurité du Sénégal en alerte maximale contre les menaces terroristes Guerre au Mali: Les forces de sécurité du Sénégal en alerte maximale contre les menaces terroristes Les forces de sécurité du Sénégal sont en alerte maximale contre les menaces terroristes dues à la guerre au Mali contre les Islamistes, apprend koaci.com de sources sécuritaires. «De ce fait, les forces de sécurité du Sénégal ont déployé des moyens matériels et humains jamais égalés. L’objectif, c’est de détecter et de mater à la seconde près tout acte soupçonné de terrorisme», précise notre source, patron dans les services de renseignements généraux (RG). Depuis l’avancée des Islamistes maliens vers le sud du pays, beaucoup d’organisations humanitaires sénégalais, notamment la Rencontre Africaine de Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), ne cessent de «sonner l’alerte contre la vulnérabilité et la fragilité du Sénégal», frontalier au Mali. «Après Bamako, les Islamistes marcheront sur Dakar. Et personne ne peut les empêcher, si on ne se lève pas très top», avait prévenu Alioune Tine, président de la RADDHO, indiquant que les Djihadistes maliens ont hérité de Khadafi 37 tonnes d’armes. «Ils ont raison de sonner l’alerte, mais nous avons pris les devant très tôt. Les forces de sécurité sont en alerte maximale, que ce soit à Dakar ou à l’intérieur du pays, surtout à la zone est, frontalière avec le Mali. Tout le dispositif nécessaire est bien fonctionnel», ajoute notre source. En visite hier (lundi) à Tivaoune (92 km de Dakar), la capitale de la Tidianiya, en prélude au Gamou (célébration de la naissance du Prophète) ce mercredi, le Chef de l’Etat Macky Sall a encore réitéré ses critiques contre l’idéologie islamiste dont les prêches sont incendiaires, et estimé que les confréries suffisent au Sénégal. Dans l’actualité sénégalaise, la Cour de Justice de la CEDEAO se prononce aujourd’hui sur la plainte du parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir de 2000 à 2012) pour l’annulation de l’interdiction de sortie du territoire contre certains de ses dignitaires. Pendant ce temps, des organisations humanitaires ont écrit au Roi Mohamed VI du Maroc pour obtenir la libération du Sénégalais Alkaly Cissé, emprisonné dans ce pays pour escroquerie d’un homme d’affaire saoudien. M. Cissé, ex-député libéral, risque l’extradition vers l’Arabie Saoudite où il va écoper de la peine de mort. -
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Urgent:alerte terroriste dans l'est mauritanien:arrestations de suspects: www.cridem.org/C_Info.php?article=638848 22-01-2013 10:42 Mauritanie: Psychose terroriste : Arrestations intensives de suspects. Psychose terroriste : Arrestations intensives de suspects. Les revers successifs des groupes armés dans le nord malien devant les forces françaises et ouest africaines présente de gros risques d’infiltrations pour les Etats voisins, notamment pour la Mauritanie qui est le pays le plus proche aux côtés de l’Algérie pour échapper à ce rouleau compresseur militaire international qui écrase tout devant lui et dont l’objectif selon les officiels français est d’assainir tout le mali d’agents djihadistes. Dans la foulée de cette quête de refuge, les éléments islamistes se muent en commerçants et réfugiés pour s’infiltrer, malgré les importants dispositifs mis par Nouakchott pour créer des zones militaires sur ces frontières avec le Mali. Mais comme les intrus sont des faux réfugiés et qu’ils disposent de moyens matériels et probablement de connivence, ils ont tendance à progressive plus vers la capitale. C’est à ce niveau qu’ils commencent à susciter des inquiétudes de la part des autorités d’où leur suivi minutieux notamment de leurs appels téléphoniques pour déceler toute communication suspecte. Selon des sources généralement bien informées, les forces sécuritaires mauritaniennes ont arrêté ces derniers jours, dans le cadre de cette guerre préventive contre le terroriste, plusieurs personnes présentant des signes compromettant pour leur libre circulation. C’est ainsi qu’un jeune, 30 ans environ, répondant au nom de Saleck Ould Mahfoudh a été arrêté lundi dans sa route vers les zones de l’Est du pays à bord d’un bus de transport public, au niveau de la localité de Chquiq dans la localité d’Adel Baghrou. Aucune information supplémentaire n’a été encore donnée sur cette arrestation, sauf que les témoins ont entendu le commissaire affirmait à travers son GSM à une tierce personne que la drôle marchandise est bien arrivée à destination, allusion faite au jeune. Non loin de cette psychose, un groupe composé de 7 étudiants de l’université des sciences islamiques d’Aioun, habitant dans une maison commune dans le centre ville a été également interpellé hier. L’enquête menée par des policiers se poursuit toujours avec les universitaires arrêtés à Aioun. Selon des sources, certains des étudiants qui sont issus de différentes wilayas du pays auraient eu des appels téléphoniques suspects qui ont permis aux flics de les localiser et de les suspecter. A Nouakchott cette même psychose terroriste gagne les occidentaux notamment les européens et les sites miniers où des consignes ont été recommandées aux expatriés pour éviter de tomber entre les mains de potentiels preneurs d’otages prêts à tous les coups même pour périr comme en Algérie. Par ailleurs certains établissements dit français ont été fermés jusqu’à nouvel ordre. -
Opérations au Mali
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Urgent:Serval progresse,y compris en soutiens www.cridem.org/C_Info.php?article=638779 20-01-2013 14:52 - Mali : la France lance ses soldats au Nord et recueille de nouvelles aides - Mali : la France lance ses soldats au Nord et recueille de nouvelles aides - Deux colonnes de soldats français ont entamé dimanche leur progression vers le nord du Mali, occupé par des islamistes, alors que plusieurs pays ont répondu à l'appel lancé la veille par Paris et les dirigeants ouest-africains à une aide internationale accrue. Scène de guerre au Mali, dimanche 20 janvier. Sur le terrain, les militaires français intensifient leur intervention aux côtés d'une armée malienne sous-équipée et se déploient à Niono et Sévaré. Niono - 350 km au nord-est de Bamako - se situe à 60 km au sud de Diabali, localité qui avait été prise lundi par les islamistes, qui l'ont abandonnée jeudi, selon l'armée malienne, après d'intenses bombardements de l'aviation française. Sévaré - 630 km au nord-est de Bamako -, qui dispose d'un aéroport, est une ville-clé d'où peuvent être menées des opérations vers l'extrême-Nord du Mali, et n'est qu'à 50 km de Konna, reprise jeudi par l'armée malienne aux jihadistes. > Lire : Les chefs d'Etat africains demandent un engagement "plus large" au Mali Coup de renfort Russe La France n'a pas vocation à rester éternellement au Mali, mais restera en première ligne jusqu'à l'intervention de la force africaine dans quelques semaines, a réaffirmé dimanche le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius. > Lire : Hollande : la France restera au Mali "le temps nécessaire" Invité du Grand rendez-vous Europe 1, i>Télé et Le Parisien, Fabius a également annoncé que la Russie a proposé à la France d'acheminer des troupes et matériels français au Mali, tout en évoquant dans le même temsp une proposition du Canada de transporter des troupes africaines. Pour acheminer les troupes de la force africaine au Mali, "il y a des transports qui seraient pour une part par les Africains eux-mêmes, pour une part par les Européens, pour une part par les Canadiens", a-t-il dit. Et de souligner que la Mission internationale de soutien au Mali (Misma) devrait compter 5.500 soldats africains, et plus seulement 3.000."C'est plus qu'avant, car les Tchadiens se sont engagés", a-t-il expliqué, précisant que l'Europe avait décidé de former en urgence les soldats maliens. L'Allemagne veut prendre "ses responsabilités" L'Allemagne proposera, de son côté, une aide financière supplémentaire aux pays africains engagés dans l'opération militaire au Mali, lors de la réunion des donateurs prévue le 29 janvier à Addis Abeba, a affirmé dimanche son ministre des Affaires étrangères, Guido Westerwelle. "Les troupes africaines ont besoin de soutien financier. Lors de la conférence des donateurs à Addis Abeba à la fin du mois, l'Allemagne prendra ses responsabilités", écrit le ministre dans une tribune sur Bild am Sonntag. L'Allemagne, qui a exprimé à plusieurs reprises un soutien appuyé à la France sur son intervention au Mali, a envoyé jeudi soir deux avions de transport de type Transall en soutien logistique à la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao). En outre, une aide humanitaire d'un million d'euros à destination des réfugiés dans les pays voisins du Mali a été annoncée, ainsi que l'envoi de personnes pour former les troupes africaines. Kouchner : "ne pas mésestimer Hollande" Bernard Kouchner, ancien ministre français des Affaires étrangères, estime que la situation au Mali est "l'affaire de tous" et regrette, pour sa part, le manque de soutien européen aux opérations engagées par la France, dans une interview au Parisien Dimanche. "C'est à désespérer tous ceux qui, comme moi, croient encore à l'Europe", déclare-t-il, en espérant notamment à propos de l'Allemagne "que Berlin n'assimile pas cette nécessaire réaction française à une expédition coloniale". "Le Mali, c'est l'affaire de tous ! Ce combat commun, c'est le combat de l'Europe", dit-il. Kouchner a, par ailleurs, été "agréablement surpris" par la rapidité avec laquelle le président Hollande a décidé de réagir pour bloquer l'avancée des islamistes. "Il ne faut pas le mésestimer. Lui qui n'était pas réputé pour connaître le monde international, là il l'apprend. Très vite", poursuit-il. Selon l'ancien chef de la diplomatie (2007-2010), la "La France n'est pas en guerre contre l'islam, mais contre l'extrémisme", souligne-t-il. "Les Touareg, dans leur majorité, ne sont pas des extrémistes musulmans. S'assurer de l'accord d'un certain nombre des mouvements touareg, c'est une clé de cette guerre", note-t-il. -
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www.cridem.org/C_Info.php?article=638655 17-01-2013 11:15 - ALERTE - Prise d'otages en Algérie: 15 étrangers dont des français s'évadent Alger - Quinze étrangers, dont un couple de Français, qui étaient retenus en otages par des islamistes sur un site gazier en Algérie, ont réussi à s'échapper, a rapporté jeudi la chaîne privée algérienne Ennahar citant une source officielle. Quinze étrangers dont un couple de français ont échappé à leurs ravisseurs, a rapporté la télévision. Le patron de la chaîne, Anis Rahmani, a indiqué à l'AFP qu'elle citait une source officielle. L'ambassade de France s'est refusée à confirmer. ALERTE - Trente otages algériens échappent jeudi à leurs ravisseurs Alger - Trente otages algériens ont réussi à s'échapper jeudi du site gazier en Algérie où ils étaient retenus en otage depuis mercredi à l'aube, a annoncé la Wilaya (préfecture) d'Illizi. Trente travailleurs algériens sont parvenus à séchapper jeudi du site gazier de Tinguentourine (40 km dIn Amenas), où ils étaient retenus en otage depuis mercredi par un groupe terroriste armé a indiqué cette source, citée par l'agence de presse APS. Les ravisseurs, membres d'un groupe lié à Al-Qaïda, ont dit détenir parmi leurs otages une quarantaine d'étrangers. -
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URGENT:34 OTAGES ET 15 ISLAMISTES TUES DANS UN BOMBARDEMENT DE L'ARMEE ALGERIENNE: www.cridem.org/C_Info.php?article=638668 17-01-2013 13:17 - Plusieurs otages et islamistes tués par l'armée algérienne Au moins 34 otages et 15 ravisseurs islamistes ont été tués par le bombardement de l'armée algérienne du site gazier, où étaient retenus de nombreux otages, dont une quarantaine d'étrangers, a annoncé l'agence de presse mauritanienne ANI. «Quinze étrangers dont un couple de Français ont échappé à leurs ravisseurs» au site gazier de la région d'In Amenas, dans le centre-est de l'Algérie, a rapporté la télévision. Le patron de la chaîne, Anis Rahmani, a indiqué à l'AFP que celle-ci citait une «source officielle». De source gouvernementale algérienne, on a cependant indiqué à l'AFP qu'il était impossible dans l'état actuel des choses de pouvoir confirmer une telle information. L'armée algérienne «bombardait» jeudi ce site gazier exploité par le Britannique BP, le Norvégien Statoil et l'Algérien Sonatrach, où un groupe islamiste retient de nombreux otages, parmi lesquels des dizaines d'étrangers, a annoncé une source de ce groupe à l'agence mauritanienne en ligne Nouakchott information (ANI). Des hélicoptères de l'armée algérienne ont ouvert le feu sur le complexe où sont détenus les otages, dont au moins deux ont été blessés, selon cette source citée par l'ANI, agence généralement très bien informée sur les groupes islamistes armés. Plus tôt jeudi, la chaîne privée algérienne Ennahar rapportait qu'au moins 15 étrangers, dont un couple de Français, qui étaient retenus en otages par les islamistes avaient réussi à s'échapper. Interrogée, l'ambassade de France s'est refusée à confirmer ces informations. À Paris, la porte-parole du gouvernement a déclaré jeudi matin que la France n'était «pas en mesure» de confirmer la présence de Français parmi les otages. Une quarantaine d'otages étrangers seraient notamment détenus depuis mercredi sur le site par un groupe islamiste lié au réseau Al-Qaïda qui réclame notamment l'arrêt de l'intervention militaire française au Mali voisin et la libération d'une centaine de détenus islamistes en Algérie. Les ravisseurs ont aussi réclamé le retrait de l'armée algérienne qui encercle le site gazier. La préfecture d'Illizi a pour sa part annoncé que 30 otages algériens avaient réussi à s'échapper jeudi matin, tandis que d'autres Algériens avaient été libérés mercredi par petits groupes, sans que leur nombre ne soit précisé. -
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Urgent:prise d'otages dans le sud algérien:15 étrangers dont des français réussissent à s'échapper: www.cridem.org/C_Info.php?article=638655 17-01-2013 11:15 - ALERTE - Prise d'otages en Algérie: 15 étrangers dont des français s'évadent Alger - Quinze étrangers, dont un couple de Français, qui étaient retenus en otages par des islamistes sur un site gazier en Algérie, ont réussi à s'échapper, a rapporté jeudi la chaîne privée algérienne Ennahar citant une source officielle. Quinze étrangers dont un couple de français ont échappé à leurs ravisseurs, a rapporté la télévision. Le patron de la chaîne, Anis Rahmani, a indiqué à l'AFP qu'elle citait une source officielle. L'ambassade de France s'est refusée à confirmer. ALERTE - Trente otages algériens échappent jeudi à leurs ravisseurs Alger - Trente otages algériens ont réussi à s'échapper jeudi du site gazier en Algérie où ils étaient retenus en otage depuis mercredi à l'aube, a annoncé la Wilaya (préfecture) d'Illizi. Trente travailleurs algériens sont parvenus à séchapper jeudi du site gazier de Tinguentourine (40 km dIn Amenas), où ils étaient retenus en otage depuis mercredi par un groupe terroriste armé a indiqué cette source, citée par l'agence de presse APS. Les ravisseurs, membres d'un groupe lié à Al-Qaïda, ont dit détenir parmi leurs otages une quarantaine d'étrangers.