Ciders

Dans le contexte de l'alliance avec la France contre l'Allemagne, c'est très certainement une marque d'amitié.

Il ressort enfin ! Mais hélas en anglais. =(

Quelques semaines, quelques mois. Le problème viendrait après. Les Cubains sont assez nationalistes, et si les Etats-Unis agissent comme d'habitude, en mettant en avant les immigrés à leurs bottes et en cassant ce qui existe dans la société pour ne rien mettre de bien en place ensuite... Ca sent la guérilla à plein nez. Après, je ne sais pas. Cuba occupée, la logistique dépendrait largement des ports, de l'axe central La Havane-Santiago de Cuba et de quelques aéroports. Ca fait autant de cibles valables pour des insurgés.

Il n'y a pas de forêt importante. Par contre, il y a les champs de canne à sucre. Et les villes. D'autant que niveau profondeur, ça reste léger, notamment autour de La Havane. Les deux mon général ! Ils peuvent tenter les débarquements, sachant qu'ils seraient très près de leurs bases de soutien. Et ils peuvent s'appuyer sur Guantanamo, mais si la base n'est pas reliée au réseau de transport cubain. Ils pourraient aussi décider d'attaquer à partir d'un des côtés de l'île. Mais personnellement, je pencherais pour plusieurs assauts amphibies. Si les Américains veulent un point de débarquement bien équipé, ça laisse plusieurs choix : La Havane bien sur, Matanzas (à l'est de La Havane), Cienfuegos au sud (avec une très bonne rade, prévue autrefois pour les tankers soviétiques), ou encore Santiago de Cuba.

Je vais aider, notamment en fournissant une parution trouvée sur le Net. Ca vient du Congrès US, mais ça date de 2001 : http://lcweb2.loc.gov/frd/cs/pdf/CS_Cuba.pdf 2020, ça fait un peu loin. Mais actuellement, au niveau militaire, il est assez difficile de dire ce que vaut l'armée cubaine. Ceci dit, on peut sans trop forcer indiquer que : - la marine cubaine est au fond du trou : la plus grosse unité encore valide est un Pauk lance-missiles. De toute manière, tout ce qui flotte serait laminé en quelques minutes à coups de missiles Harpoon. Les ports cubains de la façade nord (Mariel, La Havane, éventuellement Nuevitas) sont très exposés, et ceux de la façade sud ne sont guère éloignés non plus des bases aériennes américaines. Attention cependant aux batteries cubaines : quelques Styx montés vaille que vaille sur des sites mobiles pourraient éventuellement faire du dégât - l'aviation : une vingtaine d'appareils aptes à prendre l'air à l'heure actuelle (une demie-douzaine au mieux de MiG-29A, à peu près autant de MiG-21, une douzaine de MiG-23, quelques L-39 et quelques hélicoptères). Les bases aériennes sont connues et archi-connues, et la défense antiaérienne est vieillissante. Elle peut causer des pertes cela dit. L'armée de terre est sans doute le plus gros problème pour un envahisseur. Actuellement, et avec des pincettes, elle compterait environ 50 000 hommes, mais on peut penser que ce chiffre doublerait en cas d'urgence (et sans parler des formations paramilitaires). Même en admettant que tout ce beau monde se divise, on trouvera bien 85 000 hommes armés. L'armement de cette armée est quasi exclusivement d'origine soviétique (années 1960-1980). On peut éventuellement penser qu'avec l'aide du Venezuela, on trouverait aussi quelques matériels chinois. Il est à noter cependant qu'une partie des matériels a été modifiée sur place : on trouve pas mal d'exemples sur les fora hispanophones (on a ainsi vu des BTR-60 avec des tourelles portant un canon d'artillerie lourd, ou des variantes de DCA). Très largement parlant, les Cubains disposeraient d'un bon gros millier de chars (surtout du T-55 et du T-62), environ 400 VCI (BMP-1), entre 700 et un millier de VTT divers (essentiellement des séries BTR) et pas mal de tubes d'artillerie (chiffres variables selon les sources : sans doute une centaine de pièces automotrices, peut-être 800 tubes tractés, des centaines de mortiers et 200-300 LRM). Maintenant, au niveau du terrain... l'île est plus longue que large. Le relief n'est pas très élevé, mais il y a quelques chaînes de montagnes potentiellement embêtantes pour les blindés (notamment au sud-est). Mais ça reste assez plat. Cuba est très proche de la Floride, ce qui sera pratique pour l'approvisionnement. Attention cependant aux nombreuses îles sur le littoral nord-est (pratique pour monter des embuscades ou des champs de mines). Pas de grosses coupures fluviales sur l'île et un réseau de voies de communication assez dense. Une fois quelques aérodromes tombés, ça ne posera pas de trop gros problèmes. Mais il ne faut pas négliger les distances quand même : il y a bien 1 300 km à vol d'oiseau entre les deux extrémités de l'île.

Même bridés, ça ne marchera pas. Les Chinois ont assez d'argent pour corrompre un ingénieur de la Knaapo, et rien ne dit qu'ils n'aient pas non plus les connaissances pour passer outre les limitations russes. Moscou doit cesser de brader sa technologie aux Chinois, c'est l'unique condition pour qu'ils ne perdent pas leur avance trop vite.

Je laisse la main. J'en ai déjà trop dit. ;)

La définition russe de l'Enfer sur Terre... le Fléau de Groznyi ?

Le Typhoon est là, me semble t-il.

Reagan avait annoncé cela, mais en 1982 le GPS était loin d'être opérationnel, même pour les militaires. C'est Clinton qui a autorisé cela, en 2000.

De ce que j'avais compris, Poutine avait seulement indiqué que les Russes avaient tenté de la libérer en envoyant un hélicoptère.

C'en est une, du même acabit que les Rafael (sic) abattus en Libye.

MiG-23UB, de nationalité polonaise. ;)

Vu comme ça, ça ressemble davantage à des BM-27.

Elles me paraissent bien longues ces roquettes, pour du calibre 120 mm. :|

En ma qualité de citoyen français, je me fais un honneur de maltraiter la langue de la perfide Albion en toute occasion. :oops:

Dès qu'on sort des mitrailleuses russes, je suis perdu. :oops:

C'est une tourelle montée sur un Hummer ça, non ? Pour l'arme, aucune idée. :-X

On emploie toujours "she" au lieu de "he" pour un navire dans les pays anglo-saxons, me semble t-il.

Possible ? Va demander ça aux dirigeants kosovars. Ils ont bien grossi financièrement en revendant des reins et des foies de prisonniers de guerre serbes.

Ils ont peut-être échoué. Mais ici, il s'agit simplement d'une énième réédition de la politique nord-coréenne depuis 15 ans : on agite le bâton pour imposer le respect, et on demande une carotte pour baisser le bâton. Le timing est ici parfaitement compréhensible : le nouveau dirigeant nord-coréen doit s'imposer. A tout prix. On va donc user des méthodes utilisées d'ordinaire : - proclamation de son vibrant désir de paix (traduction officielle : "n'oublions pas du reste que ce sont les capitalistes les méchants") - offre de discussions ("vous voyez bien que nous sommes gentils") - récupération d'une aide extérieure Le dernier point va être le plus important de tous, au niveau pratique. En récupérant de l'aide alimentaire, la Corée du Nord va pouvoir nourrir temporairement une partie de la population. D'où une réduction de la grogne latente et un cadeau bienvenue à l'occasion des futures grandes fêtes du communisme local. On pourra aussi, éventuellement, raviver certaines alliances, en fournissant des victuailles et des cadeaux à certains pontes du Parti ou de l'Armée (encore que, ça a déjà été fait avant la mort de Kim Jong-Il, grâce aux Chinois).

Ca a été démenti par le PR lui-même, quelques heures après avoir annoncé qu'elle se trouvait au Liban.

C'est à Saïgon que les évacuations se sont faites n'importe comment. Les Soviétiques ont réussi leurs évacuations, et n'ont pas laissé grand chose. Petit HS sinon : où est le topic consacré au problème "hk" ?

Ca a été démenti.

Certes, mais il ne faut pas oublier, léger détail, que ce sont les Géorgiens qui ont attaqué. Ils savaient pertinemment qu'ils allaient au-devant de gros soucis. ;) Il est facile de bombarder au LRM une ville de nuit, sans sommation. Mais ensuite, quand on doit combattre des unités constituées en rase campagne, effectivement c'est moins facile. Beaucoup de matériels géorgiens ont été abandonnés sous le coup de la panique, et ce alors même que les Russes ne disposaient d'aucune supériorité aérienne réelle.