MrSpirou Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 44 minutes, vincenzo a dit : Oui d'accord mais voir une victoire aussi nette de Trump, je ne pensais pas, je voyais quelque chose de plus serré qui aurait pu pencher d'un cote ou de l'autre. La campagne immigration/inflation de Trump a plus séduit/mobilisé ... Je pense que ses résultats sont bons, étant donné qu'elle part de très bas et que personne ne la voulait vraiment comme présidente à la base, contrairement à Trump Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 5 minutes, loki a dit : Le premier verdict va tomber en décembre normalement ( il a déjà été jugé coupable ). Je ne sais pas si l'immunité présidentielle couvre les jugements déjà prononcés et les poursuites non fédérales ??? Le 1er verdict c'est falsification des comptes de campagnes et que la peine peut aller jusqu’à quatre ans de prison ferme, possiblement assortis d’une amende. Mais le magistrat peut aussi prononcer une peine de prison avec sursis probatoire, voire des travaux d’intérêt général. Derriere son avocat fera appel. Donc il sera protégé par son statut de président. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre (modifié) Il y a 1 heure, Teenytoon a dit : Que veux-tu qu'il dise d'autres, c'est un pays souverain qui élit le président qu'il veut. Il serait absolument contre-productif de commencer à l'insulter avant même qu'il ait débuté son mandat. Le fait est qu'il n'y a rien d'officiel encore. Kamala n'a pas concédé la victoire. Il reste des bulletins à dépouiller. Les projections ne sont pas finales. Les médias penchant côté démocrate refusent encore de faire passer la barre des 270 grands électeurs à trump alors que bon... the writing is on the (trump) wall. à l’instant, vincenzo a dit : Le 1er verdict c'est falsification des comptes de campagnes et que la peine peut aller jusqu’à quatre ans de prison ferme, possiblement assortis d’une amende. Mais le magistrat peut aussi prononcer une peine de prison avec sursis probatoire, voire des travaux d’intérêt général. Derriere son avocat fera appel. Donc il sera protégé par son statut de président. Imagine si trump se retrouve avec un TIG et fait sa com' dessus... Il a déjà joué les éboueurs, et ça lui a valu un élan de sympathie. Imaginez trump qui récure les égouts et balance des punchlines genre "I'm draining the swamp!" ou est envoyé nettoyer les routes et sort des "we're gonna make roads great again!" tandis que les camionneurs klaxonnent pour le saluer... Modifié le 6 novembre par Patrick 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 11 minutes, loki a dit : Le premier verdict va tomber en décembre normalement ( il a déjà été jugé coupable ). Je ne sais pas si l'immunité présidentielle couvre les jugements déjà prononcés et les poursuites non fédérales ??? Poursuites non fédérale il n'est pas protégé par son statut de Président : https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2024/09/17/donald-trump-ou-en-sont-les-proces-qui-menacent-l-ancien-president_6168122_4355771.html La tentative de renverser les résultats de l’élection présidentielle de 2020 en Géorgie Inculpation étatique, procès reporté Après deux ans et demi d’enquête et avec l’accord d’un grand jury, la procureure de district du comté de Fulton (Géorgie), Fani Willis, a inculpé, en août 2023, Donald Trump et dix-huit autres personnes pour avoir tenté de renverser le résultat de l’élection présidentielle de 2020 dans l’Etat-clé de Géorgie. Parmi les autres inculpés figurent le conseiller de M. Trump et ancien maire de New York Rudolph Giuliani, son ancien chef de cabinet, Mark Meadows, et un responsable du ministère de la justice sous son administration, Jeffrey Clark. Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Donald Trump : en Géorgie, une quatrième inculpation menaçante pour l’ancien président américain Une enquête criminelle avait été ouverte le 10 février 2021 pour déterminer si Donald Trump avait tenté de faire pression sur le secrétaire d’Etat de Géorgie, le républicain Brad Raffensperger. Le 2 janvier 2021, lors d’une conférence téléphonique, révélée par la presse, M. Trump semblait vouloir convaincre son interlocuteur de changer les résultats de l’élection en Géorgie, Etat qu’il a perdu face à Joe Biden. M. Trump a déclaré à M. Raffensperger : « Je veux juste trouver 11 780 voix », ce qui correspondait au nombre de bulletins qui lui manquait pour gagner l’ensemble des grands électeurs attachés à cet Etat. Cet appel intervenait après l’échec de tous les recours juridiques de l’équipe Trump devant les tribunaux, les multiples audits et recomptages des voix n’ayant montré aucune trace de fraude électorale massive. Elle faisait aussi suite à de multiples appels au gouverneur de Géorgie, Brian Kemp, ainsi qu’à des demandes publiques faites à M. Raffensperger, à des menaces de vengeance politique, à des critiques publiques et à des appels à la démission du gouverneur Kemp. L’acte d’accusation de 98 pages, rendu public le 14 août 2023, « affirme qu’au lieu de se conformer au processus juridique de la Géorgie pour les contentieux électoraux, les prévenus se sont livrés à une entreprise criminelle en bande organisée pour inverser le résultat de l’élection en Géorgie », a résumé Mme Willis. L’acte contient quarante et un chefs d’accusation, dont « fausses déclarations et faux documents, usurpation de fonction publique, faux et usage de faux », pressions sur des témoins, des délits informatiques ou du parjure. Donald Trump devra personnellement faire face à treize chefs d’accusation. Les dix-neuf prévenus ont été inculpés en vertu d’une loi en vigueur en Géorgie sur l’extorsion et l’association de malfaiteurs, prévoyant des peines de cinq à vingt ans de prison. La procureure voulait juger tous les prévenus lors d’un même procès « dans les six mois », mais a rappelé que la date en serait fixée par le juge. Mais depuis octobre 2023, les avocats de Donald Trump ont affirmé que leur client était protégé par l’immunité présidentielle ; une stratégie de défense destinée à repousser les procès après l’élection présidentielle. Cela a fonctionné, puisque la Cour suprême leur a donné raison, le 1er juillet 2024, contredisant les deux jugements rendus auparavant en première instance puis en appel. Cette victoire considérable a eu deux effets : décaler les procès restants à l’après-présidentielle et affaiblir les dossiers d’accusation en contraignant les magistrats à écarter tous les éléments de preuve où Donald Trump agissait au titre de président des Etats-Unis, et non en tant que citoyen concourant pour sa réélection. Dans le dossier géorgien particulièrement sensible, la défense de Trump a également tenté plusieurs fois de faire dessaisir la procureure Fani Willis, qui avait admis entretenir une relation romantique avec un des membres de son cabinet. Sans succès, le juge Scott McAfee ayant rejeté ces demandes (tout en obtenant le départ du collaborateur de la procureure). M. Trump a néanmoins fait appel de sa décision et la Cour suprême de Géorgie a prévu d’entendre chaque partie le 5 décembre 2024. Le juge McAfee a en revanche dû revoir le dossier, et a annulé six chefs d’accusation en mars 2024, puis trois supplémentaires le 12 septembre contre une partie des quinze personnes toujours inculpées. M. Trump ne pourrait ainsi être poursuivi que pour huit des treize chefs originellement portés contre lui. La date d’un éventuel procès est encore très incertaine et dépendra des nombreux contentieux lancés par les avocats de Donald Trump, qu’il faut régler un par un avant que le dossier ne progresse. En revanche, même s’il parvenait à remporter l’élection présidentielle, M. Trump ne pourrait ni se gracier lui-même ni obtenir l’abandon des poursuites par le bureau du procureur, car il s’agit d’une affaire au niveau de l’Etat de Géorgie sur laquelle l’Etat fédéral n’a pas autorité. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre (modifié) Ma réaction (suite) 3) Le héros de la soirée, c'est Dean Phillips, car il avait vu avant tout le monde que le parti démocrate devait organiser une primaire compétitive pour sélectionner un candidat jeune et compétent, de façon à tourner la page Biden : Le 17/08/2023 à 12:08, Wallaby a dit : https://www.thefp.com/p/six-alternatives-to-joe-biden (17 août 2023) Dean Phillips Il y a quelques années, le député du Minnesota, âgé de 54 ans, était à Beverly Hills lors d'un déjeuner avec des partisans, et quelqu'un lui a demandé : Quelle est la chose la plus difficile à faire pour se présenter en tant que démocrate à l'ère de Trump ? Phillips a répondu : "Bill Clinton et Barack Obama". Lorsque les deux présidents sont entrés à la Maison-Blanche, a-t-il expliqué, ils appartenaient à la classe moyenne ; lorsqu'ils sont partis, ils étaient millionnaires. Ce n'est pas ainsi que la politique est censée fonctionner. Leur réussite est la preuve de l'échec du système. On ne sait pas si Phillips - qui est sorti de l'ombre en 2018 en battant un titulaire républicain par 11 points de pourcentage - envisage sérieusement de défier Biden pour l'investiture, mais nous savons qu'il a rencontré des donateurs potentiels il y a deux semaines à New York pour évaluer l'intérêt. Et la semaine dernière, dans une interview avec CNN, il a exhorté Biden à "inviter les gens" à le défier pour l'investiture. Phillips connaît le monde des affaires - il a dirigé avec succès l'entreprise familiale, Phillips Distilling Company - et il comprend que les problèmes sous-jacents des Américains sont d'ordre économique et non culturel. Les électeurs veulent des soins de santé abordables ; ils veulent que le marais soit asséché (Phillips ne reçoit pas d'argent des comités d'action politique) ; ils ne veulent pas que les flics soient définancés. - Le 24/07/2024 à 20:31, Wallaby a dit : https://www.wsj.com/politics/elections/joe-biden-age-condition-before-election-drop-out-c9fc46ef (21 juillet 2024) Comment le pari sur un Joe Biden de 81 ans s'est transformé en erreur de calcul monumentale Les électeurs ont jugé le président chancelant trop vieux, mais les alliés ont détourné le regard, les conseillers ont défendu ses capacités et le parti démocrate a écarté d'autres candidats. Le président Biden venait tout juste de tenter de persuader un groupe de démocrates du Congrès d'adopter un projet de loi sur les infrastructures d'un montant de 1 000 milliards de dollars lorsque Nancy Pelosi, alors présidente de la Chambre des représentants, a pris le micro. En 30 minutes de discours au Capitole, M. Biden avait parlé de manière décousue et n'avait pas réussi à faire une demande concrète aux législateurs, selon les démocrates présents dans la salle. Après son départ, Mme Pelosi, visiblement frustrée, a déclaré au groupe qu'elle formulerait ce que M. Biden avait essayé de dire, selon un législateur. « C'était la première fois que je me souviens que les gens étaient choqués par ce qu'ils avaient vu », se souvient le député Dean Phillips (D., Minn.), qui allait ensuite se lancer sans succès dans une course aux primaires contre le président. C'était en octobre 2021. Ce mois-là, M. Biden a rencontré pour la dernière fois le groupe démocrate de la Chambre des représentants au sujet d'un projet de loi. . Modifié le 6 novembre par Wallaby Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 6 minutes, Patrick a dit : Imagine si trump se retrouve avec un TIG et fait sa com' dessus... Il a déjà joué les éboueurs, et ça lui a valu un élan de sympathie. Imaginez trump qui récure les égouts et balance des punchlines genre "I'm draining the swamp!" ou est envoyé nettoyer les routes et sort des "we're gonna make roads great again!" tandis que les camionneurs klaxonnent pour le saluer... oui bien le genre du personnage, mais c'est bien un truc qu'on ne peut pas lui enlever un opportunisme inégalé avec une surutilisation/surprésence sur les medias sociaux (et les medias classiques du coup qui sont obligés de suivre), sur ça c'est vraiment un monstre 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a une heure, loki a dit : Il faut aussi rappeler que Trump reste poursuivi dans de nombreuses procédures ( y compris dans des procédures non fédérales ) et attend une condamnation dans un procès où il a été condamné..... Ce matin, certes ce n’était pas du grand journalisme, évoquait le fait que l’accession à la présidence suspendrait ou éteindrait toutes les procès en cours. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre Nous ne sommes pas dans la merde. Le GOP a un boulevard pour les dix prochaines années. C'est un désastre. Peut-être pas équivalent à la débâcle romaine d'Andrinople mais pas loin. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mehari Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre 34 minutes ago, Patrick said: Le fait est qu'il n'y a rien d'officiel encore. Kamala n'a pas concédé la victoire. Il reste des bulletins à dépouiller. Les projections ne sont pas finales. Il lui faut encore 4 grands électeurs et il reste 6 états à attribuer. Parmi ces états, on trouve Alaska (3) Arizona (11) Maine (4) Nevada (6) Michigan (15) Wisconsin (10) Trump est pour l'instant en avance dans 5 de ces 6 états sauf que Le Michigan et le Wisconsin ont quasiment fini de compter et il est toujours en tête. Ça reste en suspens mais je serais surpris si Harris prend les deux Le Nevada en est à 84% et il a 5% d'avance sur Harris L'Alaska est à 74% mais n'a voté démocrate qu'une seule fois dans son histoire (Johnson en 1964). Ça n'apporte que 3 électeurs mais Le Maine n'attribue pas tous ses électeurs au gagnant et il est hautement probable que Trump en prenne 1 dans cet état. Considérant le dernier point, Trump a gagné. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 3 minutes, mehari a dit : Il lui faut encore 4 grands électeurs et il reste 6 états à attribuer. Parmi ces états, on trouve Alaska (3) Arizona (11) Maine (4) Nevada (6) Michigan (15) Wisconsin (10) Trump est pour l'instant en avance dans 5 de ces 6 états sauf que Le Michigan et le Wisconsin ont quasiment fini de compter et il est toujours en tête. Ça reste en suspens mais je serais surpris si Harris prend les deux Le Nevada en est à 84% et il a 5% d'avance sur Harris L'Alaska est à 74% mais n'a voté démocrate qu'une seule fois dans son histoire (Johnson en 1964). Ça n'apporte que 3 électeurs mais Le Maine n'attribue pas tous ses électeurs au gagnant et il est hautement probable que Trump en prenne 1 dans cet état. Considérant le dernier point, Trump a gagné. Il a gagné 1 au Maine, le New York Times lui 277 grans electeurs, c'est plié sur et certains 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
loki Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 25 minutes, Ciders a dit : Nous ne sommes pas dans la merde. Le GOP a un boulevard pour les dix prochaines années. C'est un désastre. Peut-être pas équivalent à la débâcle romaine d'Andrinople mais pas loin. Ça pue pour les ukrainiens qu'il va falloir aider plus par nous mêmes. Et j'ai lu que pour les Iraniens l'élection de Trump faisait partie des motifs qui amèneraient à un changement de doctrine nucléaire ( en gros franchir le cap du nucléaire militaire ). Pour l'économie européenne, je ne pense pas que ça va changer grand chose. Espérons juste qu'il ne sorte pas de l'OTAN. A titre personnel je suis aussi inquiet par son âge et les signes de délabrement intellectuel ( comme Biden ) qu'il a laissé entrevoir : à cet âge on ne devrait plus exercer ce type de fonction. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 5 minutes, loki a dit : titre personnel je suis aussi inquiet par son âge et les signes de délabrement intellectuel ( comme Biden ) qu'il a laissé entrevoir : à cet âge on ne devrait plus exercer ce type de fonction. Ca ne m'inquiete que dans les phases de changement de president. Le reste du temps l'administration tient la barque, cf Blinken qui a plus que mouillé sa chemise. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
vincenzo Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 3 minutes, herciv a dit : Ca ne m'inquiete que dans les phases de changement de president. Le reste du temps l'administration tient la barque, cf Blinken qui a plus que mouillé sa chemise. Pas sur cette fois qu'il y un Blinken cote Rep (Matthis ou autre membre de la "vieille garde Rep" à l'époque), cette fois Trump serait entouré de gens qui pensent comme lui, donc à voir vraiment ce qu'il va faire, mais pour l'OTAN, je pense qu'il va vraiment demander aux Europeens de se bouger... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 5 minutes, herciv a dit : Ca ne m'inquiete que dans les phases de changement de president. Le reste du temps l'administration tient la barque, cf Blinken qui a plus que mouillé sa chemise. Et puis voyons le bon côté des choses: Blinken est Francophone et Francophile. Vance est un fan du Général de Gaulle. Je veux dire, c'est quand même fortiche... 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. SinopeMT Posté(e) le 6 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 6 novembre Petit instant rétro, nostalgie. En 2016, Radio-France avait fait une "Nuit américaine" au siège à la maison ronde. J'y étais allé avec une amie pour faire la nuit blanche. Honnêtement, RF avait fait les choses en grand, avec plusieurs panels jusqu'à minuit animés par les journalistes de la maison, stands de bouffe américaine (Brooklyn Bier, hot-dogs chicago style, pancakes, clam soup etc..), concerts etc... Le public était nombreux (plusieurs centaines aisément) avec énormément d'expatriés américains. Mathieu Gallet, patron de la radio à l'époque défilait de groupes en groupes entouré de son aéropage de mignons. Ce qui nous avait bien interpellé mon amie et moi avait été tout de même un certain "group think" sur la future certaine victoire d'Hillary Clinton. Tant dans les panels où seuls Girard du Figaro défendait l'hypothèse Trump, tout le monde était en train de s'autocongratuler du moment historique de la première présidence d'une femme à la tête de l'Etat le plus puissant au monde. Cela était également perceptible parmi le public. Suivre le changement d'ambiance et la décomposition des traits sur les visages de tout cet environnement se prenant la réalité en pleine face fait partie de mes plus forts souvenirs de la décennie 2010 à titre personnels. Ils étaient tous dans le déni, et la moitié avait dû trop boire pour ne pas pleurer. Je ne sais pas s'ils ont fait le même type d'événement cette année mais je donnerais ma main à couper qu'ils auraient capable de répéter les mêmes erreurs d'expectatives ! 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Eau tarie Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 42 minutes, loki a dit : A titre personnel je suis aussi inquiet par son âge et les signes de délabrement intellectuel ( comme Biden ) qu'il a laissé entrevoir : à cet âge on ne devrait plus exercer ce type de fonction. Idem. Lui aussi montre des signes de l'âge qui avance. Espérons qu'il ne debloque pas trp... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 45 minutes, loki a dit : Ça pue pour les ukrainiens qu'il va falloir aider plus par nous mêmes. Et j'ai lu que pour les Iraniens l'élection de Trump faisait partie des motifs qui amèneraient à un changement de doctrine nucléaire ( en gros franchir le cap du nucléaire militaire ). Pour l'économie européenne, je ne pense pas que ça va changer grand chose. Espérons juste qu'il ne sorte pas de l'OTAN. A titre personnel je suis aussi inquiet par son âge et les signes de délabrement intellectuel ( comme Biden ) qu'il a laissé entrevoir : à cet âge on ne devrait plus exercer ce type de fonction. Tu as oublié Taïwan. Pour l'économie européenne ? Le GNL. Les tarifs douaniers. Les foucades bimensuelles qui pèsent sur la Bourse. à l’instant, Eau tarie a dit : Idem. Lui aussi montre des signes de l'âge qui avance. Espérons qu'il ne debloque pas trp... Le risque n'est pas là. Le risque c'est l'avenir. Parce que Trump n'est plus qu'une idole branlante. Derrière, il y a Vance, Trump Jr., Greene. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre Bon alors maintenant, on attend la mise en musique de son programme. - Relation avec L'Ukraine - Relation avec Israël - Relation commerciale avec L'EUrope - Relation militaires avec l'Europe Faites vos jeux. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre à l’instant, herciv a dit : Bon alors maintenant, on attend la mise en musique de son programme. - Relation avec L'Ukraine - Relation avec Israël - Relation commerciale avec L'EUrope - Relation militaires avec l'Europe Faites vos jeux. La paix entre l'Ukraine et la Russie en 24 heures. Vous avez hâte hein ? 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre (modifié) Articles dans LesEchos sur la soupe à la grimace chez les Allemands. https://www.lesechos.fr/elections/presidentielle-americaine/presidentielle-americaine-lallemagne-redoute-le-pire-avec-donald-trump-2129977 Présidentielle américaine : l'Allemagne redoute le pire avec Donald Trump Une guerre commerciale entre l'UE et les Etats-Unis pourrait coûter jusqu'à 180 milliards d'euros à l'Allemagne d'ici 2028. « Les relations transatlantiques sont sur le point de changer d'ère », estime la Fédération allemande de l'industrie. Par Emmanuel Grasland Publié le 6 nov. 2024 à 12:07Mis à jour le 6 nov. 2024 à 12:20 Pour l'Allemagne, c'est le scénario du pire. Le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche va accentuer les difficultés du pays au moment où il voit son modèle économique remis en cause par la fragmentation du commerce mondial et la guerre en Ukraine… et alors que la coalition au pouvoir est à deux doigts d'éclater. « La victoire de Donald Trump marque le début du moment le plus difficile de l'histoire de la République fédérale d'Allemagne sur le plan économique, car à la crise structurelle interne s'ajoutent désormais des défis massifs en matière d'économie extérieure et de politique de sécurité, auxquels nous ne sommes pas préparés », a estimé ce mercredi Moritz Schularick, le président de l'institut économique IfW de Kiel. La politique économique de Donald Trump prévoit la mise en place de droits de douane protectionnistes et des restrictions aux importations qui vont peser sur la croissance en Allemagne et en Europe. Donald Trump a évoqué une hausse généralisée des droits de douane de 10 %, voire de 20 %. Le premier partenaire commercial de l'Allemagne La première économie de l'Europe, qui exporte des voitures, des machines-outils et des médicaments aux Etats-Unis, serait directement touchée. Or elle réalise environ la moitié de son PIB grâce au commerce mondial. Fin octobre, 44 % des entreprises manufacturières allemandes estimaient que la réélection de Donald Trump aurait un impact négatif sur leurs activités, d'après l'institut Ifo. Ce mercredi matin, BMW et Mercedes étaient en net recul à la Bourse de Francfort. « Les relations transatlantiques sont sur le point de changer d'ère », estime le patron de la Fédération allemande de l'industrie, Siegfried Russwurm. Le tout alors que les Etats-Unis devraient devenir cette année le premier partenaire commercial de l'Allemagne, devant la Chine. Avec Trump, le tournant protectionniste américain est appelé à se durcir Ces droits de douane vont tirer le dollar à la hausse , ce qui va renchérir les importations allemandes en provenance des Etats-Unis. « En outre, on peut s'attendre à des tarifs douaniers de rétorsion de la part de l'UE avec un décalage dans le temps à partir de 2026, ce qui entraînera également une augmentation des prix à la consommation en Allemagne », juge Jörg Krämer, économiste en chef chez Commerzbank. Bilan des courses ? L'inflation dans la zone euro et en Allemagne pourrait être supérieure d'un demi-point de pourcentage en 2026, ce qui ne manquerait pas de freiner la politique de baisse des taux de la Banque centrale européenne… Un impact de 180 milliards d'euros Surtout, en cas de guerre commerciale, l'impact sur la croissance sera conséquent, a calculé l'Institut de l'économie allemande de Cologne. Si Donald Trump augmente les droits de douane à l'importation de 10 % et que l'UE contre-attaque avec des mesures équivalentes, l'Allemagne pourrait enregistrer une perte de PIB de plus de 127 milliards d'euros (en prix constants de l'année 2020) au cours du nouveau mandat de Donald Trump. Si les hausses sont de 20 %, cela coûterait 180 milliards d'euros à l'économie allemande ! Et à l'issue des quatre ans de Donald Trump à la Maison-Blanche, le PIB allemand serait inférieur de 1,5 % à celui d'aujourd'hui. Le leader républicain entend aussi baisser le taux d'imposition moyen des sociétés de 21 % à 15 % aux Etats-Unis. Avec un taux de près de 30 %, l'Allemagne serait du coup sur la défensive, d'autant que le pays peine déjà à attirer des investissements. Sur les 20 premiers pays industrialisés, l'Allemagne se classe en 18e position en matière d'imposition des entreprises, d'après l'Association des entreprises familiales allemandes. « Le pire des scénarios s'est produit » « Le pire des scénarios s'est produit. Avec l'élection de Donald Trump, l'économie allemande est confrontée à une nouvelle crise dans une période déjà riche en revers », constate Michael Hüther, directeur de l'Institut économique de Cologne. Last but not least, cette réélection intervient au moment où la coalition au pouvoir est au bord de l'implosion. Le parti libéral demande une profonde réorientation de la politique économique allemande afin de sortir le pays du marasme. Ses propositions, résumées dans un document qui a fuité la semaine dernière, touchent à la transition énergétique, aux allocations chômage ou à la retraite. Elles s'attaquent directement à l'ADN des programmes de ses partenaires socio-démocrates et écologistes. Alors que l'Europe a besoin d'unité face à Trump, un chaos allemand tomberait au plus mal. Reste maintenant à voir si ce basculement géopolitique en cours outre-Atlantique conduira les trois partis au pouvoir à resserrer les rangs et à trouver un consensus lors des rencontres qui se tiennent ce mercredi. Ou si une nouvelle crise va s'ajouter à la crise. Modifié le 6 novembre par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre Barnier prend sa casquette de grand européen et marche sur les plates bandes de Macron : https://www.letelegramme.fr/france/craignant-le-chacun-pour-soi-apres-la-victoire-de-trump-michel-barnier-attend-un-reveil-strategique-europeen-6697089.php Craignant « le chacun pour soi » après la victoire de Trump, Michel Barnier attend « un réveil stratégique européen » Le 06 novembre 2024 à 12h58 Après le retour de Donald Trump à la présidence des États-Unis, ce mercredi matin, Michel Barnier a mis en garde les Européens contre le « chacun pour soi ». Le Premier ministre a appelé à une « stratégie européenne coordonnée ». « La tentation ne doit pas être au chacun pour soi ni aux relations bilatérales, mais bien à une stratégie européenne coordonnée », a affirmé Michel Barnier. (Photo Christophe Petit Tesson/EPA) Michel Barnier a réagi après l''élection de Donald Trump, ce mercredi matin en Conseil des ministres, mettant en garde les Européens contre le « chacun pour soi, » a rapporté la porte-parole du gouvernement. « La tentation ne doit pas être au chacun pour soi ni aux relations bilatérales, mais bien à une stratégie européenne coordonnée », a affirmé le Premier ministre, selon la représentante du gouvernement, Maud Bregeon. Présidentielle américaine : notre direct À voir aussi : "Nous avons marqué l'histoire" Donald Trump revendique la victoire aux élections présidentielles américaines Veuillez fermer la vidéo flottante pour reprendre la lecture ici. Auparavant, Emmanuel Macron avait adressé sur le réseau X ses « félicitations » au « président Donald Trump », se disant « prêt à travailler ensemble comme nous avons su le faire durant quatre années » lors du premier mandat du républicain. Il a aussi convenu avec le chancelier allemand, Olaf Scholz, « d’œuvrer pour une Europe plus unie, plus forte, plus souveraine ». Les deux hommes ont eu un entretien téléphonique pour « se coordonner étroitement », selon un porte-parole du gouvernement allemand. « La France doit porter une voix forte en Europe pour plus de souveraineté » Lors du Conseil des ministres, Emmanuel Macron a précisé « que notre rôle n’était pas de commenter le choix des peuples souverains, mais qu’il fallait bien, en revanche, un réveil stratégique européen ». « Il a insisté sur le fait que le salut ne serait ni dans un transatlantisme béat, ni dans un nationalisme étriqué. La France doit porter (…) une voix forte en Europe pour plus de souveraineté, pour garder l’unité au sein de l’Union européenne, pour veiller à nos intérêts, pour protéger nos frontières communes », selon Maud Bregeon. « Les États-Unis sont nos alliés et le resteront » « On doit consolider notre stratégie européenne, notre coordination européenne sur les grands enjeux auxquels on fait face en matière de changement climatique, en matière de défense, en matière d’écologie » ainsi que « de commerce, d’agriculture », a complété la porte-parole. « Les États-Unis sont nos alliés et le resteront. Le président de la République a une relation exigeante, évidemment avec le président Trump », a-t-elle ajouté. Sur l’avenir de l’Ukraine, en guerre contre la Russie, « indépendamment des choix que font les Américains, la situation en Ukraine, la sécurité des Ukrainiens, la victoire de l’Ukraine et donc in fine, notre sécurité ne peut pas dépendre d’une puissance étrangère, quelle qu’elle soit », a assuré Maud Bregeon. Plus tôt dans la matinée, Volodymyr Zelensky a félicité Donald Trump pour « son impressionnante victoire », espérant que son élection aidera l’Ukraine à obtenir une « paix juste ». Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Shorr kan Posté(e) le 6 novembre C’est un message populaire. Share Posté(e) le 6 novembre Il y a 1 heure, Ciders a dit : Nous ne sommes pas dans la merde. Le GOP a un boulevard pour les dix prochaines années. C'est un désastre. Peut-être pas équivalent à la débâcle romaine d'Andrinople mais pas loin. Voyons, il faut savoir positiver ! Des jours fastes attendent le forum pour les 4 prochaines années 1 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre il y a 8 minutes, herciv a dit : Bon alors maintenant, on attend la mise en musique de son programme. - Relation avec L'Ukraine - Relation avec Israël - Relation commerciale avec L'EUrope - Relation militaires avec l'Europe Tu oublies bien vite le Groenland 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Shorr kan Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre Par contre, j'ai une pensée émue à l'endroit de l'équipe en charge de la modération, au vu de ce qui vient de leur tomber sur la tête 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Claudio Lopez Posté(e) le 6 novembre Share Posté(e) le 6 novembre J'ai fait un rêve cette nuit .. J'avais revé que Trump gagnait les éléctions haut la main cette nuit , qu'il avait la majorité au sénat , qu'il avait la majorité au vote populaire et que sa victoire ne souffrirait d'aucune contestation avec toute les félicitations des dirigeants du mon entier. Je me suis dit : "Non non, c'est pas possible ... pas avec toute les sorties outrancières sur ses opposants, sur les migrants, tout les mensonges qui'il a débité basé sur des fake news et aussi ses proposostions radicales ..." Jamais les américains ne pouvaient reélire un homme aussi trash ... Bref, je fais vraiment des rêves bizarres en ce moment... Heureusement, ce n'était qu'un rêve ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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