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Le sénateur Rep du Kentucky, Rand Paul critique du projet "Big Beautiful Bill" car cela augmenterait la dette US, indique ne pas avoir été invité lui et sa famille au pique-nique annuelle de la Maison Blanche pour les membres du Congrés (à priori il serait le 1er sénateur us de l'histoire dans ce cas à sa connaissance) il accuse aussi des membres de la Maison Blanche mener une sorte de campagne d'influence rémunéré contre lui pendant deux semaines sur Twitter ... 

Voila voila, le groupe vit bien ....

https://www.politico.com/live-updates/2025/06/11/congress/rand-paul-says-hes-off-wh-picnic-list-00401562

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Il y a 4 heures, vincenzo a dit :

Le sénateur Rep du Kentucky, Rand Paul critique du projet "Big Beautiful Bill" car cela augmenterait la dette US, indique ne pas avoir été invité lui et sa famille au pique-nique annuelle de la Maison Blanche pour les membres du Congrés (à priori il serait le 1er sénateur us de l'histoire dans ce cas à sa connaissance) il accuse aussi des membres de la Maison Blanche mener une sorte de campagne d'influence rémunéré contre lui pendant deux semaines sur Twitter ... 

Le dirigeant américain tient à sa planche à billets... Le "quoi qu'il en coûte" est fort chez lui :dry:

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15 hours ago, rendbo said:

I think you're missing a group of people in your definition: those who no longer believe that things can be changed peacefully, because the state likes to define itself as the sole possessor of "legitimate violence," when it only possesses it through the power of the people and in the service of the people. It seems to me that this is also written in your Declaration of Independence : 

(in our country it was in article 35 of the constitution of 1793  : " When the government violates the rights of the people, insurrection is, for the people and for each portion of the people, the most sacred of rights and the most indispensable of duties.")

Cela a été mis à l'épreuve dans les années 1860. Vous souvenez-vous de la tentative du Sud d'établir son propre gouvernement ? 

 Si les gens veulent croire que les choses ne peuvent plus être changées pacifiquement et se tournent donc vers la violence, cela signifie essentiellement une guerre, et l'État ne se laissera pas faire tranquillement. Même dans les soulèvements parfaits, justifiés et légitimes, il y a souvent des combats. Ne vous étonnez donc pas de l'arrivée des troupes.

si vous voulez une guerre, vous en aurez une. Tout cela est très clair dans la réalité pratique. Comme vous le soulignez, cela n'est pas respecté. Toutefois, les personnes qui soulignent que Lincoln serait effectivement considéré comme un tyran selon les dispositions de la Constitution se retrouvent en accord non seulement avec le Sud esclavagiste, mais aussi avec John Wilkes Boothe lui-même, qui a tué Lincoln et a déclaré « mort à tous les tyrans »

C'est une position délicate, c'est certain. Elle crée un mauvais précédent, mais pour une bonne cause, mais le précédent est toujours là. Je comprends parfaitement et je suis d'accord avec ce que vous dites à propos de la déclaration d'indépendance, mais cela a été essayé et cela n'a pas fonctionné. 

Il n'y a pas de zone grise à ce sujet. Qu'il s'agisse de la Californie ou du Texas, si vous essayez de quitter l'Union, le gouvernement vous tuera. Il marchera jusqu'à la mer, brûlera Atlanta, déclenchera une guerre totale et créera tant de morts et de destructions que Tom Petty et les Heartbreakers chanteront encore à ce sujet plus de 100 ans plus tard.  

Imaginez que Newsome ait retiré le contrôle de la Garde nationale au président ? il s'agirait d'une rébellion ouverte et Newsome serait un ennemi des États-Unis. Newsome ne s'approchera évidemment pas de ce choix. Il se plaindra donc et tentera d'intenter un procès, mais il ne commencera pas à citer la déclaration d'indépendance. 

Ce groupe de personnes n'est pas seulement une minorité, mais même les démocrates commencent à s'en lasser sérieusement. Pour mettre les choses en perspective, en 2017, Donald Trump avait un taux d'approbation négatif de 21 % sur sa gestion de l'immigration. Aujourd'hui, Trump est positif à 1 %. Cela représente un changement de 22 points en faveur de Trump. Et ceci avant d'aborder le fait que Trump a non seulement été réélu en 2024, mais qu'il a remporté le vote populaire en tant que républicain pour la première fois en 20 ans.

Le problème pour le parti démocrate est qu'il avait une ligne claire sur l'immigration depuis les Clinton (oui les deux) jusqu'à Obama. Aucun démocrate ne parlait d'abolir l'ICE, d'abolir la frontière ou de décider que l'ensemble du système judiciaire était raciste et que toute violence de leur part était justifiée.

Lorsque Trump a gagné en 2016, le parti démocrate a surcompensé dans l'autre sens. Si Trump détestait les immigrés clandestins, nous les aimerions. Mais il y a toute cette histoire de loi. Nous avons un problème supplémentaire : les démocrates sont le parti du « grand gouvernement ». Nous voulons des lois. Nous aimons les agences gouvernementales de l'alphabet. Nous aimons la confiance et la foi du public dans les institutions, qu'il s'agisse de la science, de l'éducation ou de la gouvernance. 

Si vous ne vous définissez pas en politique, ce sont vos ennemis qui vous définiront. Les démocrates n'ont pas de position standard sur l'immigration comme ils l'ont fait pendant des décennies jusqu'en 2016. Les démocrates ne savent pas où ils se situent sur le sujet et, pire encore, ils ne peuvent pas dire les choses qu'Obama a faites dans les années 2000 et 2010 parce que cela ressemble maintenant « trop à Trump » 

Où est le démocrate qui se lèvera et dira ce qu'Obama et Bill Clinton ont fait ? « Nous sommes une nation d'immigrants. Mais nous sommes aussi une nation de lois » 

Les démocrates ne veulent pas non plus fâcher l'aile progressiste du parti. Imaginez que Newsome ait fait appel à la Garde nationale pour aider l'ICE à faire respecter la loi fédérale. 

Les démocrates sont désormais pris au piège de deux côtés. Ils ont du mal à se séparer des manifestants violents, massivement impopulaires. 

L'Américain moyen est loin de penser que le gouvernement ne sert plus la volonté du peuple et qu'il doit être aboli. 

C'est un problème que les démocrates doivent résoudre. Ils vont devoir se retourner contre les progressistes de leur propre parti et s'assurer que la violence est inacceptable, quelle que soit la justesse de la cause. Il faudra bien finir par fixer une limite et dire « c'est trop loin. Nous n'irons pas jusqu'à renverser le gouvernement ou défier ouvertement la loi » 

Il faudra bien fixer une limite quelque part. où sera-t-elle fixée et qui la fixera ?

Le problème de certains progressistes est qu'ils se sentent tellement justifiés et tellement concernés par une cause ou un sujet qu'ils se sentent autorisés à faire n'importe quoi, car c'est toujours plus important que tout le reste et donc justifié, et cela inclut les règles et les lois.

Il s'agit d'une petite minorité méchante, qui ne suffit pas à créer un grand mouvement politique et qui énerve de plus en plus ceux qui lui sont le plus favorables et qui, de toute façon, ne sont jamais contents. La plupart des gens les considèrent simplement comme de méchants petits anarchistes ou terroristes, et même le maire de Los Angeles et le maire de Santa Ana disent qu'ils sont des criminels et qu'ils devraient être poursuivis en justice.

Le problème pour les partis démocratiques est que certains sont ouvertement d'accord avec eux et disent qu'ils font ce qu'il faut. Il n'y a pas de voix démocratique universelle qui condamne cela. 

J'attends maintenant les interminables réfutations « Mais le 6 janvier » :) 

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un fait divers qui risque de faire parler de lui pendant... une, voire deux ou trois générations... à l'échelle internationale.

L'ambassadeur américain Huckabee intervient directement dans la politique intérieure israélienne auprès de dirigeants Haredims pour empêcher la chute du gouvernement toxique israélien.

Nul ne sait trop s'il a mandat officiel pour le faire, mais le gouvernement a tenu.

https://www.timesofisrael.com/liveblog_entry/huckabee-denies-hes-been-involved-in-efforts-to-prevent-haredim-from-collapsing-israeli-government/

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https://www.nbcnews.com/news/us-news/far-left-groups-encouraged-peaceful-protests-turn-violent-experts-say-rcna211899

3 hours ago, Ciders said:

 

The pretext of a handful of rioters worked perfectly, and American "centrists" will be able to have a field day. 

 

Un prétexte pour quoi au juste ?

Lorsque je suis entré dans ce fil de discussion, on m'a dit que Trump avait outrepassé son autorité en volant la garde nationale de Newsome et qu'il l'utilisait maintenant pour écraser des manifestants qui n'avaient pas fait grand-chose de mal.

Je pensais que vous seriez heureux d'apprendre que ce n'était pas le cas, je sais que je l'étais.

 

 

 

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il y a 26 minutes, Shorr kan a dit :

Ce qui a été surtout dit est que Trump a instrumentalisé des troubles à l'ordre publique et l'envoi de la garde nationale pour fabriquer une crise politique de toute pièce, à son profit. 

Laisse tomber, je pense que même les plus mal réveillés ont compris que notre camarade Stark était aussi démocrate (dans le sens démocratie, le truc avec des élections où le perdant n'essaie pas d'envoyer la foule d'extrémistes de son camp envahir la représentation nationale) qu'un pape Borgia.

Ça va miner le peu de tourisme qu'il reste par contre cette affaire. Après les touristes arrêtés parce que la couleur de peau ne correspond pas, après les scientifiques expulsés parce que leur téléphone a un contenu qui ferait frémir MTG, voici les politiciens malmenés en public parce qu'ils n'ont pas le même avis que le MAGA le plus proche. 

Kim Jong Un ferait mieux d'ouvrir cette saison sa station balnéaire de Wonsan. Il va y avoir du public.

Modifié par Ciders
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Trump essuie un revers judiciaire dans sa réponse aux manifestations de Los Angeles:

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/trump-essuie-un-revers-judiciaire-dans-sa-réponse-aux-manifestations-de-los-angeles/

 

Il l’a fait, mais il n’en avait pas le droit. Le déploiement de la Garde nationale ordonné par Donald Trump pour faire face aux manifestations à Los Angeles était illégal, a considéré jeudi 12 juin un juge fédéral, dans un nouveau revers sur le front judiciaire pour le président américain.

Le ministère américain de la Justice a immédiatement interjeté appel, arguant que cette décision constituait « une ingérence extraordinaire dans les pouvoirs constitutionnels du président en tant que commandant en chef ».

Los Angeles : Stephen Miller, fidèle de Donald Trump anti-immigration, a tout à voir avec les manifestations
Le juge fédéral Charles Breyer a affirmé que le président n’avait pas « suivi la procédure requise par le Congrès pour ses actes ». Il a par ailleurs ordonné que le contrôle de ce corps de réserve à double tutelle soit rendu au gouverneur de Californie, le démocrate Gavin Newsom, qui avait attaqué ce déploiement en justice en dénonçant un virage autoritaire.

« Ce n’est pas un monarque, ce n’est pas un roi, et il devrait cesser d’agir comme tel », a réagi lors d’une conférence de presse Gavin Newsom, à l’inimitié bien connue avec Donald Trump, après la décision du magistrat.

Le juge Breyer a suspendu l’application de celle-ci jusqu’à vendredi, mais la Cour suprême a ensuite reporté cette échéance à mardi, le temps qu’elle puisse examiner l’appel du ministère de la Justice. Avec ce sursis, Trump aura encore le contrôle de la Garde nationale ce week-end en Californie, où sont attendues des manifestations.

Le président de 78 ans avait décidé le week-end dernier de prendre le contrôle fédéral de la Garde nationale de Californie et avait déployé 4 000 de ses membres dans les rues de Los Angeles, théâtre depuis près d’une semaine de manifestations contre l’interpellation musclée d’étrangers en situation irrégulière. Il avait également décidé d’envoyer 700 militaires d’active du corps des Marines, une mesure extrêmement rare dans l’histoire des États-Unis.

Les manifestations dans la deuxième plus grande ville des États-Unis ont été émaillées par moments de certaines violences et dégradations. Mais dans sa décision de 36 pages, le juge Breyer a affirmé que la violence constatée était « bien loin » de la « rébellion » décrite par Donald Trump pour justifier le déploiement de militaires.

Donald Trump a attribué jeudi le relatif retour au calme à Los Angeles depuis deux jours à sa réponse musclée, mais le couvre-feu décrété par la maire démocrate de la ville a aussi pu y contribuer.

Jeudi à Los Angeles, la situation semblait revenue à un certain calme. Les manifestations se sont étendues ces derniers jours à d’autres villes américaines, toujours dans des proportions limitées, comme à Las Vegas, Dallas, Austin, Chicago, Atlanta ou Boston. Au Mexique, d’où sont originaires nombre de sans-papiers présents aux États-Unis, la présidente Claudia Sheinbaum a expliqué avoir dit à un haut responsable américain qu’elle n’était « pas d’accord sur le fait de recourir à des descentes de police pour arrêter des personnes qui travaillent honnêtement ».

Donald Trump avait promis pendant sa campagne de s’en prendre aux « criminels venus de l’étranger ». Mais ses efforts pour lutter contre l’immigration clandestine ont largement dépassé ce cadre et visé en particulier les immigrés latino-américains, indispensables à certains secteurs d’activité. Sur le plan économique, il a admis devoir « faire quelque chose » rapidement pour préserver les nombreux travailleurs immigrés de l’agriculture et de l’hôtellerie.

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Le 12/06/2025 à 18:19, Akilius G. a dit :

un fait divers qui risque de faire parler de lui pendant... une, voire deux ou trois générations... à l'échelle internationale.

L'ambassadeur américain Huckabee intervient directement dans la politique intérieure israélienne auprès de dirigeants Haredims pour empêcher la chute du gouvernement toxique israélien.

Nul ne sait trop s'il a mandat officiel pour le faire, mais le gouvernement a tenu.

https://www.timesofisrael.com/liveblog_entry/huckabee-denies-hes-been-involved-in-efforts-to-prevent-haredim-from-collapsing-israeli-government/

Je n'aime pas me citer, c'est prétentieux, mais ce que je craignais est en train de se concrétiser  :

1- intervention directe de l'ambassadeur américain en Israel pour éviter la chute du gouvernement et permettre la guerre contre l'Iran 

je cite et traduit un passage de l'article 

"Citant des sources diplomatiques et politiques, Channel 13 news a rapporté lundi que Huckabee avait déclaré aux hauts responsables politiques haredi : « la stabilité du gouvernement est importante pour résoudre la question iranienne », et que des élections anticipées seraient une erreur."

ll est impossible de faire la différence chez Huckabee entre l'ambassadeur et l'évangéliste.

2- cette guerre s'inscrit dans un schéma général ou Israël s'auto-intoxique  en permanence sur la capacité à détruire des ennemis réels ou imaginaires, sans jamais être capable d'en terminer une ou de faire la paix avec ses voisins.

les Etats-Unis favorisent cette guerre, avec la conscience claire des fragilités de la société israélienne et de la possibilité qu'il s'agisse de la "guerre de trop" pour Israel, laquelle répondrait d'ailleurs très bien à certains schémas eschatologiques ou messianiques évangélistes.

3- Sur un plan religieux la césure entre les différentes formes de christianisme européens (catholique, protestant ou orthodoxe)  et l'évangélisme américain parait difficile à éviter.

Le devenir du judaïsme ou de la politique américaine ne sont pas des enjeux, le sujet est théologique.

Favoriser la manifestation de schémas eschatologiques ou messianiques - même fantaisistes ce qui me semble grandement le cas ici - relève d'un interdit majeur. Il n'a normalement pas besoin d'être exprimé.

 

 

 

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Il y a 4 heures, Akilius G. a dit :
  1. les Etats-Unis favorisent cette guerre, avec la conscience claire des fragilités de la société israélienne et de la possibilité qu'il s'agisse de la "guerre de trop" pour Israel, laquelle répondrait d'ailleurs très bien à certains schémas eschatologiques ou messianiques évangélistes.
  2. Sur un plan religieux la césure entre les différentes formes de christianisme européens (catholique, protestant ou orthodoxe)  et l'évangélisme américain parait difficile à éviter.
  3. Le devenir du judaïsme ou de la politique américaine ne sont pas des enjeux, le sujet est théologique.

Le sionisme chrétien est d'une puissance insoupçonnable pour les européens. C'est une forme d'impensé ici.

Le christianisme européen surtout de l'ouest est en chute libre ... seul un tiers des francais se présente comme chrétien par exemple. C'est encore moins au Pays-Bas. On est à à peine 50% en Allemagne, Suisse, Autriche et Espagne - oui oui Espagne 55% seulement -. Il faut aller en Pologne pour trouver plus de 70% de résidents se définissant comme chrétiens.

Accessoirement les chrétien d'Europe ne sont pas très prosélyte, ni très radicaux ... c'est des chrétiens mous.

Tout ca pour dire que l'influence des chrétiens d'Europe est plus que modeste dans le monde de la chrétienté ... et c'est la meme chose pour leur agenda.

Le devenir du judaïsme c'est la conversion ... ou la mort. C'est ouvertement annoncé par les sionistes chrétien. La seule bonne nouvelle c'est que le Messie ne devrait pas revenir tout de suite tout de suite ... en attendant les brebis égarés on le droit de garder le zoo, sauf si les choses devaient tourner au sur. Donc pour la survie d’Israël en tant que nation juive il faut grosso modo donner des gages au américains - du moins à ceux qui sont prêts a soutenir inconditionnellement Israel biblique -.

Le petit souci c'est que le plan initial, intégrer Israel - le grand - dans un PO sunnite complice ... s’avère de plus en plus merdique. Certes les état sunnites complices sont toujours complices, mais les printemps arabes sont passé par là et ils craignent de plus en plus pour leur survie eux aussi. Dans ce cadre il n'est plus aussi évident qu'auparavant de pousser Israel contre la Palestine. D'autant que dans le meme temps la menace iranienne envers les dictature sunnite s'est largement estompée, ainsi ces dictatures craignent bien plus leur rue que l'Iran.

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Minnesota : un sénateur et une représentante de la Chambre des Représentants, plus leurs époux respectifs, attaqués à leurs domiciles en quelques heures, a priori par le même homme.

https://bnonews.com/index.php/2025/06/minnesota-hoffman-hortman-shooting/

Encore un signe de la bonne santé de la démocratie américaine depuis quelques mois ?

EDIT : la représentante Melissa Hortman est décédée. Son mari également. 

Modifié par Ciders
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Il y a 1 heure, pascal a dit :

Excellente analyse selon moi

Au passage, s'il explique très bien la dynamique trumpiste sur le dossier du MO, de l'UE ou des migrants aux Etats-Unis, il est bien en peine d'expliquer pourquoi, même en "logique Trump", un soutien de la Russie a du sens. 

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Le profil préliminaire du tueur:

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/employé-des-pompes-funèbres-prêcheur-évangéliste-ce-que-l-on-sait-sur-le-suspect-du-meurtre-d-une-élue-locale-démocrate-aux-états-unis/ar-AA1GKshb?ocid=msedgdhp&pc=LCTS&cvid=bb39b5f2023a43b8aab41ce08a569236&ei=39

Un profil nébuleux. Un Américain est suspecté d'avoir tué samedi 14 juin Melissa Hortman, une élue démocrate du Minnesota, ainsi que son mari, et d'avoir blessé le sénateur local John Hauffman et son épouse Yvette Hauffman. Identifié comme étant un homme de 57 ans travaillant pour une entreprise de pompes-funèbres et une société de sécurité, il est toujours recherché par les forces de l'ordre.

• Salarié d'une entreprise de pompes-funèbres
Selon les premiers éléments de l'enquête, l'homme s'appelle Vance Boelter, est âgé de 57 ans et vit près de Minneapolis. D'après ses publications sur les réseaux sociaux, il est marié et a des enfants. Il était jusqu'à présent inconnu des services de police à part pour quelques infractions routières.

Selon l'avis de recherche publié par le FBI, le suspect mesure 1m85 et pèse près de 100kg. De type caucasien, rasé de près, il apparaît sur certaines images coiffé d'un chapeau de cow-boy ou d'un masque en latex.

Sur le plan professionnel, il a indiqué dans une vidéo mise en ligne qu'il travaillait depuis peu pour une entreprise de pompes-funèbres pour payer ses factures, selon le New York Times.

Il possède également une société de sécurité appelée Praetorian Guard Security Services. Cette dernière propose des patrouilles armées avec des "véhicules de type police", de quoi laisser penser qu'il aurait facilement eu accès à des tenues et des équipements proches de ceux des forces de l'ordre, alors qu'il s'est présenté aux domiciles des élus visés habillé en policier.

D'après CNN, l'entreprise était domiciliée à l'adresse du domicile du quinquagénaire et une femme semblant être son épouse est donnée comme sa directrice.

• Voyages en Afrique et au Moyen-Orient
Le site Internet de l'entreprise de sécurité affirme que Vance Boelter a déjà été "impliqué dans des situations sécuritaires en Europe de l'Est, en Afrique, en Amérique du Nord et au Moyen-Orient, notamment en Cisjordanie, au Sud-Liban et dans la bande de Gaza".

Selon un autre site, désormais archivé, mais auquel CNN a pu avoir accès, une courte biographie présente l'Américain comme révérend, mais aussi comme l'auteur d'un livre portant sur "la nature de l'Homme" et sa "relation avec Dieu".

Sur son profil LinkedIn, il dit être détenteur d'un Master en sciences de gestion et d'un doctorat en leadership pédagogique, d'une université du Milwaukee.

D'après un CV disponible en ligne, il aurait par ailleurs travaillé pour de grandes entreprises agroalimentaires, comme Nestlé, mais il aurait aussi géré une station-service et une épicerie.

• Ex-membre d'un conseil administration local
Vance Boelter a eu des responsabilités à l'échelle locale, à travers lesquelles il a côtoyé Melissa Hoffman, selon des photos d'archives exhumées par la presse américaine. D'après le New York Times, tous deux avaient participé à une conversation en visio en 2022 pour parler de l'emploi après la pandémie de Covid-19.

Le degré avec lequel le tireur présumé et sa future victime se connaissaient reste encore incertain. "Nous explorons encore cette question", a indiqué samedi Drew Evans, directeur du Bureau d'arrestation criminelle du Minnesota, en conférence de presse.

De fait, l'Américain est nommé au Conseil du gouverneur en 2016, en charge du développement de la main-d'oeuvre, une décision censée saluer son "intégrité" et ses "compétences". Ce groupe est constitué de chefs d'entreprise qui donnent des recommandations au gouverneur en termes d'emploi. Selon le New York Times, Vance Boelter a été nommé à plusieurs reprises par des gouverneurs différents au sein de cette organisation.

Concernant son affiliation politique, elle reste incertaine. Selon un document administratif qu'a pu se procurer CNN, concernant sa nomination au Conseil du gouverneur, Vance Boelter est donné comme "sans préférence partisane". Un ami d'enfance indique pour sa part que le quinquagénaire avait voté pour Donald Trump à la dernière présidentielle.

• Prêcheur évangéliste
D'après CNN, le quinquagénaire est chrétien évangélique revendiqué. Il se serait déjà rendu plusieurs fois en Afrique pour prêcher la foi. Plusieurs vidéos tournées entre 2021 et 2023 le montrent en RDC, pays pour lequel il dit avoir un lien particulier. "J'entends son histoire et elle me touche profondément", soutient-il.

Dans des vidéos de ses prises de parole, il dit avoir "rencontré Jésus à 17 ans" et lui avoir "donné (sa) vie". "Je voulais simplement parler de Jésus à tout le monde", assure le quinquagénaire.

Selon des documents administratifs, Vance Boelter a fondé une association chrétienne à but non lucratif appelée Revoformation Ministries.

• Très critique à l'égard des droits LGBT+
Dans les vidéos auxquelles des médias américains ont eu accès, Vance Boelter se montre pour le moins très virulent contre les droits des LGBT+ lors d'une conférence donnée dans une église pentecôtiste en RDC en 2023.

"Il y a des gens, surtout aux États-Unis, qui ne savent pas quel est leur sexe, qui ignorent leur orientation sexuelle, qui sont confus. L'ennemi a profondément pénétré leur esprit et leur âme", affirmait-il, selon CNN.

Selon un ami d'enfance du suspect, Vance Boelter est fermement opposé au droit à l'avortement et il évitait globalement de parler de sujets politiques. Il précise qu'il avait des problèmes de santé mentale, ainsi que des difficultés financières.

• Une liste de personnes à tuer retrouvée
Selon la sénatrice du Minnesota Tina Smith, une liste de personnes à abattre, écrite par le tireur présumé, a été retrouvée dans son véhicule. La liste comptait environ 70 noms, selon un responsable des forces de l'ordre.

Parmi eux, surtout des élus démocrates, dont la sénatrice Tina Smith ou l'élue au Congrès Ilhan Omar, des personnalités liées à Parenthood ou à la défense du droit à l'avortement et des centres de santé.

Par ailleurs, des tracts pour des manifs anti-Trump ont été retrouvés dans sa voiture. De quoi se demander s'il visait les rassemblements contre le défilé militaire voulu par le président américain et qui se sont tenus samedi.

• Il dit à un ami qu'il va bientôt mourir
Un homme, nommé David Carlson, se disant l'ami d'enfance du suspect, assure au New York Times que Vance Boelter lui avait envoyé un SMS samedi matin dans lequel il disait qu'il allait peut-être mourir bientôt, mais sans mentionner son intention d'aller s'en prendre à des élus. Il précise que son ami possède des armes à feu.

Le pasteur McNay Nkashama, qui dit l'avoir côtoyé lors de missions de bénévolat, évoque pour sa part un homme apparemment inoffensif.

"Il ne ferait pas de mal à une mouche. Je n'arrive pas à y croire", dit-il à CNN.

Si le suspect n'a pas publié de message à portée politique sur ses réseaux, le gouverneur du Minnesota a dénoncé un "acte de violence politique". Ce dimanche, il restait en fuite.

2 remarques :

- je pense que tout ce qui est écrit ne se vérifiera pas.

- l'article est un peu ancien car le gars a été arrêté (vivant je crois)

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Remarque intéressante de Michael Shurkin, l'analyste de défense américain spécialisé sur la France

J'ai assisté à suffisamment de défilés à West Point pour savoir que l'armée américaine peut défiler avec les meilleurs. Ce que nous voyons ici n'est pas une incapacité à le faire avec précision, mais une décision de ne pas le faire. Ce qui est plus intéressant.

 

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En ce 10ème anniversaire de la déclaration de candidature à l'investiture républicaine de Donald Trump, Le Figaro décrit les réactions initiales à cette candidature

Qui aurait pu prédire ? Il y a dix ans jour pour jour, le 16 juin 2015, un certain Donald Trump annonçait avec fracas sa candidature à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle américaine. Il venait de fêter son 69e anniversaire et avait déboulé dans le hall de sa Trump Tower, à New York, debout sur l’escalator, au son de «Rockin’ in the Free World» de Neil Young. Le verbe haut, Donald Trump promettait d’être «le meilleur président que Dieu ait jamais créé». Et personne, alors, n’avait imaginé qu’il deviendrait le futur président des États-Unis, encore moins l’homme de deux mandats (2016-2020 et 2024-2028)

Et pourtant...

Pourtant, dès juin 2015, une personne avait vu juste. Trois jours après sa déclaration de candidature, l'essayiste républicaine de droite dure Ann Coulter déclarait sur un plateau de TV, sous les éclats de rire des autres invités et du public, que parmi les candidats déclarés c'était Trump qui avait les chances les plus sérieuses

 

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