Skw Posté(e) le 7 janvier 2021 Share Posté(e) le 7 janvier 2021 il y a 59 minutes, Boule75 a dit : Je pense que l'idée est de neutraliser Trump pour la fin de son mandat. Ou peut-être aussi l'empêcher de se représenter en 2024... Néanmoins, certains supporters de Trump n'attendent sans doute que cela pour crier au complot. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. seal33 Posté(e) le 7 janvier 2021 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 7 janvier 2021 (modifié) Il y a 8 heures, Connorfra a dit : Après je sais que le district de Columbia n'est pas un état du coup sa garde est elle rattachée a l'état fédéral ? selon un article du jour, "la garde nationale qui a été déployée très tardivement. Avec une particularité : celle-ci est habituellement placée sous l’autorité du gouverneur de l’Etat. Or dans le district de Washington, elle a un statut particulier et dépend directement du pouvoir exécutif et donc de Donald Trump." Source, Le Monde.fr et d'apres Wiki, "l'autorité est déléguée au Secrétaire à la Défense des États-Unis." Révélation Irruption de partisans de Donald Trump au sein du Capitole : « C’est un énorme échec des forces de police américaines » Le chercheur Mathieu Zagrodzki, spécialiste des forces de l’ordre aux Etats-Unis et en France, analyse les failles du dispositif autour du Capitole, qui a permis aux manifestants pro-Trump de pénétrer dans le bâtiment. La police du Capitol lors de la confrontation avec les manifestants pro-Trump essayant de forcer l’entrée du bâtiment, à Washington, le 6 janvier. Jose Luis Magana / AP Après l’irruption de manifestants pro-Trump au sein du Capitole à Washington, mercredi 6 janvier, la gestion de la sécurité par les forces de l’ordre américaine est sous le feu des critiques. Mathieu Zagrodzki, chercheur associé au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (Cesdip) et auteur d’une thèse sur les polices américaines et françaises, décrypte pour Le Monde les dessous de cet « énorme échec ». Peut-on parler de défaillance des forces de police américaines dans les événements survenus au Capitole ? C’est un énorme échec de leur part. Ce n’était pas imaginable qu’une foule pénètre ainsi dans ce bâtiment symbole du pouvoir législatif. Imaginez la même chose à l’Assemblée nationale : ça paraît impossible. Il y a les grilles qui protègent l’accès aux marches, il y aurait eu des unités de force mobile positionnées tout autour, toutes les rues fermées aux alentours, on aurait déployé des blindés… Ce qui s’est passé est une atteinte démentielle à la séparation des pouvoirs, le leader de l’exécutif qui incite à demi-mot à prendre d’assaut le haut lieu du pouvoir législatif. Lire aussi En images : les Etats-Unis au bord de l’« insurrection » Comment le Capitole est-il protégé ? La police du Capitole est une force assez particulière, qui est placée directement sous l’égide du Congrès américain. Elle ne dépend pas du pouvoir exécutif et donc de la Maison Blanche. Sa mission est de protéger le bâtiment et d’assurer la sécurité des membres du Congrès. Elle ne compte « que » 1 800 personnes, qui ne peuvent pas être mobilisées toutes en même temps, pour protéger un bâtiment qui n’est pas conçu comme un bunker : c’est un édifice du XIXe siècle, qui comporte des failles de sécurité, avec beaucoup de fenêtres notamment. Il y a eu un projet, il y a quelques années, pour construire une sorte de clôture autour, qui aurait constitué une première ligne de défense. Cela avait été abandonné parce que dans la symbolique américaine, il s’agit du palais du peuple, le symbole du pouvoir par le peuple, pour le peuple. Est-ce la responsabilité de la police du Capitole ? Non, ils n’ont pas les moyens humains de retenir une foule de plusieurs milliers d’individus déchaînés. Quand les manifestants sont sur les marches, vous ne pouvez plus rien faire. Soit vous vous opposez avec votre corps, mais il faut avoir le nombre, soit vous dégainez votre arme, et ça devient un bain de sang. Ce sont les lignes de défense précédentes qui ont fauté, ou plutôt qui n’ont pas existé… Lire aussi Etats-Unis : Joe Biden confirmé après une journée de chaos au Capitole Quelles ont été les forces mobilisées ? Il faut comprendre que l’organisation n’a rien à voir avec ce que nous connaissons. En France, nous sommes mieux préparés à ce type d’événements, avec une culture de la contestation. En cas d’alerte, le préfet de police va demander la mobilisation de troupes de gendarmerie et de police, qui vont converger de toute la France et être placées sous son commandement unifié. Hier aux Etats Unis, on a vu intervenir les différentes polices en désordre. Il y a eu la police du Capitole qui dépend du Congrès. On a aussi vu les agents de l’« Hostage rescue team », l’équivalent du Raid ou du GIGN au sein du FBI, sous la tutelle du département de la justice, le secret service qui protège le président et le vice-président et qui répond au département de la sécurité intérieure, la police de Washington positionnée aux abords, qui dépend de la mairie du district de Colombia… Et la garde nationale qui a été déployée très tardivement. Avec une particularité : celle-ci est habituellement placée sous l’autorité du gouverneur de l’Etat. Or dans le district de Washington, elle a un statut particulier et dépend directement du pouvoir exécutif et donc de Donald Trump. Est-ce qu’il y a eu une responsabilité politique dans ces débordements ? On a vu avec les manifestations récentes dans le cadre du mouvement Black Lives Matter que les autorités américaines savent se donner les moyens de protéger les institutions. A Portland, où des bâtiments fédéraux étaient visés, ils ont par exemple envoyé les troupes des « Customs and borders protection », l’équivalent de la police aux frontières, pour procéder à des interpellations. La mobilisation des forces est une question de volonté politique. Dans ce qu’on a vu au Capitole, il y a un aspect presque artisanal. Pour prendre une métaphore américaine, c’était Fort Alamo, avec quelques centaines de policiers chargés de défendre les lieux face à des milliers de personnes, et la cavalerie qui rapplique très très en retard. Il y a 8 heures, Connorfra a dit : hors de ma question : Par contre je trouve remarquable la possibilité de déployer la garde aussi vite, étant moi même réserviste de la garde nationale chez nous même en cas d'état d'urgence on nous demande un délai légal de 15 jours pour que nos employeurs civils nous lâchent sachant que les gardsmen on une moyenne d'âge supérieur à nos réservistes donc beaucoup de travailleurs et moins d'étudiants je pense que les employeurs us sont moins retissant à faire partir leurs employer pour la défense du pays. Bref tout ça pour dire que si il fallait nos déployer en reforts des forces de l'ordre il nous faudra plus que le temps d'un coup de fil. La garde nationale US est vraiment différente, c'est une force militaire à disposition des Etats, il doit donc y avoir un échelon d'urgence d'astreinte. c'est notamment la Garde qui intervient lors de catastrophes naturelles. Modifié le 7 janvier 2021 par seal33 3 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rogue0 Posté(e) le 7 janvier 2021 Share Posté(e) le 7 janvier 2021 il y a 47 minutes, Ciders a dit : Je suis d'accord mais l'impeachment de la 24è heure... me paraît impossible à mettre en oeuvre. A mon avis, il s'agit surtout de satisfaire les plus anti-trumpistes côté démocrate (dont AOC, qui a demandé cette procédure et a été soutenue par pas mal de monde sur Twitter) en sachant que ce ne sera pas faisable. Je suis peut être trop cynique, mais je n'y crois pas non plus. 1) Quelle que soit les motivations de Pelosi (de principe ou purement politiciennes), si le GOP accepte ce deal (25ème amendement) , ça sera interprété par la base GOP comme une sombre manoeuvre politique démocrate... et par les trumpistes, au minimum comme la confirmation de la trahison / collusion des élites. Et ce, sans même avoir de chiffres fiable sur la popularité restante de Trump auprès de la base (cf le sondage cité hier). La colère des élites républicaines envers Trump semble réelle (pas unanime) , mais dans tous les cas, ça ferait exploser le parti.https://www.politico.com/news/2021/01/06/trump-loyalty-capitol-attack-455667https://thehill.com/homenews/administration/533246-shellshocked-gop-ponders-future-with-trump 2) Pour invoquer le 25ème amendement (déclarer Trump incapable de gouverner), encore faudrait-il qu'il reste une majorité suffisante de ministres pour le vote (au moins la moitié). Et les rats quittent rapidement le navire. Elaine Chao (transportation secretary et épouse de McDonnell ), Mick Mulvaney (Trump’s former acting chief of staff, now special envoy to Northern Ireland), Matthew Pottinger (deputy national security adviser), John Costello (senior cybersecurity official), Tyler Goodspeed (acting chairman of the White House Council of Economic Advisers), Stephanie Grisham (chief of staff to Melania Trump), Rickie Niceta (event planner), and Sarah Matthews (deputy White House press secretary).https://thehill.com/policy/transportation/533167-transportation-secretary-chao-resigns-in-protesthttps://www.vanityfair.com/news/2021/01/after-a-day-of-violence-and-25th-amendment-chatter-trumps-allies-jumping-ship Au point où le parti GOP supplie les ministres restants de rester à bord jusqu'au bout (pour modérer Trump? )https://www.lefigaro.fr/flash-actu/etats-unis-des-elus-exhortent-les-responsables-de-la-maison-blanche-a-rester-en-poste-20210107https://thehill.com/homenews/senate/533187-gop-senators-urging-trump-officials-to-not-resign-after-capitol-chaos Que ce soit par principe (ahem, après 4 ans à servir Trump), ou par tactique, l'avantage de démissionner, c'est qu'ils n'auront pas à se prononcer pour/contre la santé mentale de Trump (et s'attirer ainsi les foudres (voire les balles...) des trumpistes radicaux). Au fait, précision: Après l'occupation du Capitole par les émeutiers, je pensais que tous les élus GOP avaient laissé tomber leurs objections dilatoires contre Biden... Et en fait non. Certains avaient eu la décence (ou civisme?) de retirer leurs objections après les émeutes qu'ils avaient encouragé (au moins tacitement), mais d'autres non. Au moins la moitié des objecteurs (sénateurs GOP et 60% des représentants) ont insisté pour contester l'élection de Biden pendant des heures. A priori, ce seront eux les héritiers probables du trumpisme, que ce soit au GOP, ou au pire, dans un nouveau parti. 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Phacochère Posté(e) le 7 janvier 2021 Share Posté(e) le 7 janvier 2021 (modifié) Mike Pence a déployé la garde national L'obs / Trump a refusé de déployer la garde nationale lors de l’envahissement du Capitole par ses partisans https://www.nouvelobs.com/l-amerique-selon-trump/20210107.OBS38515/trump-a-refuse-de-deployer-la-garde-nationale-lors-de-l-envahissement-du-capitole-par-ses-partisans.html "Dans un communiqué diffusé mercredi après-midi, le conseil municipal indique que le « département de la Défense a rejeté une requête de la maire [démocrate] Muriel Bowser, qui lui demandait d’étendre les responsabilités de la garde nationale du District of Columbia, afin de l’autoriser à protéger le bâtiment du Capitole et à y restaurer l’ordre »." "La garde nationale a finalement été déployée en fin de journée, après le début du couvre-feu dans la capitale. Selon le « New York Times », qui cite des responsables de l’administration, c’est le vice-président Mike Pence qui aurait donné l’ordre d’intervention, face au refus de Donald Trump de le faire lui-même." Évidement quand on doit déployer la garde national à Columbia DC -sous sa responsabilité ou celle de son administration, département de la défense- c'est un message politique fort. Surtout quand c'est pour réparer sa propre bêtise... Modifié le 8 janvier 2021 par Phacochère département de la défense 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Phacochère Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 (modifié) Il y a 1 heure, Skw a dit : Ou peut-être aussi l'empêcher de se représenter en 2024... Néanmoins, certains supporters de Trump n'attendent sans doute que cela pour crier au complot. C'est le choix cornélien des républicains. Défaire Trump, tuer politiquement Trump et ses héritiers pour faire émerger à terme une "nouvelle figure": Exemple Pence, qui fou de rage contre Trump en voyant ses chances annihilées d'accéder à la présidence dans un futur hypothétique. On rapporte qu'il aurait lâché: "Comment a-t-il pu me faire cela, après tout ce que j'ai pu faire pour lui". Hier, c'est lui qui envoie la garde nationale. Mais aussi tuer le Gop en perdant le soutien de sa base pro-Trump... Modifié le 8 janvier 2021 par Phacochère Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Phacochère Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 Déclaration de Trump 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gallium Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 Un policier est mort : https://edition.cnn.com/2021/01/07/politics/capitol-police-officer-dead-after-riot/index.html Trump a deux fois du sang sur les mains. Et ptn je n'en revient toujours pas à quel point le maintien de l'ordre a été foiré.. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Borisdedante Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 (modifié) doublon Modifié le 8 janvier 2021 par Borisdedante doublon Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kerloas Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 (modifié) Il y a 2 heures, Gallium a dit : Un policier est mort : https://edition.cnn.com/2021/01/07/politics/capitol-police-officer-dead-after-riot/index.html Trump a deux fois du sang sur les mains. Et ptn je n'en revient toujours pas à quel point le maintien de l'ordre a été foiré.. Démenti par la DirCom de l'USCP. Mais il y a des blessés graves. Par contre oui, la sécurité n'a pas été à la hauteur et le patron de l'USCP en paie le prix fort, tout en louant le courage de ses agents : Citation "Maintaining public safety in an open environment – specifically for First Amendment activities – has long been a challenge. The USCP had a robust plan established to address anticipated First Amendment activities. But make no mistake – these mass riots were not First Amendment activities; they were criminal riotous behavior. The actions of the USCP officers were heroic given the situation they faced, and I continue to have tremendous respect in the professionalism and dedication of the women and men of the United States Capitol Police," Sund said. Le Sergeant at Arms de la Chambre des représentants a aussi présenté sa démission et celui du Sénat risque de se faire virer par la nouvelle majorité démocrate. Modifié le 8 janvier 2021 par Kerloas 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
TarpTent Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 (modifié) Retournement de veste* : « Au lendemain de cette journée de chaos qui a ébranlé l'Amérique, Donald Trump, accusé par Joe Biden d'avoir miné la démocratie, a lancé un rare appel à la «réconciliation», condamnant «une attaque odieuse» sur le Capitole. Dans une vidéo qui marque un changement net de ton, le président républicain s'est dit «scandalisé par la violence» à laquelle se sont livrés quelques centaines de ses sympathisants. «Je vais désormais me concentrer sur une transition de pouvoir ordonnée et sans accrocs», a-t-il encore assuré.» Il affirme également que c’est lui qui a fait intervenir la Garde Nationale... Bon, on a bien des trumpistes qui expliquent qu’il s’agit d’un Complot et qu’en réalité se sont des antifa qui sont entrés dans le Capitole. Autre action lancée : « la justice fédérale a ouvert une enquête sur les événements survenus au Capitole et a lancé des appels à témoin. Elle dit enquêter sur les responsabilités de « tous les acteurs, pas seulement ceux qui étaient dans le bâtiment ». Y compris, donc, sur celles de Donald Trump.» Il lui reste peu de jours pour se gracier... * Révélation Tout ça est pathétique et minable, de mon point de vue. Mais ça doit être mon humeur du matin, et puis ça n’est pas la 1ère fois avec Trump, alors... Edit : je n’avais pas vu que @Phacochère avait posté la vidéo du discours Modifié le 8 janvier 2021 par TarpTent Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Boule75 Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 (modifié) Il y a 9 heures, Skw a dit : Ou peut-être aussi l'empêcher de se représenter en 2024... Néanmoins, certains supporters de Trump n'attendent sans doute que cela pour crier au complot. A un certain moment, on ne peut pas se laisser paralyser par des gens qui crient au complot dans tous les cas. -- Il y a 9 heures, Ciders a dit : Je suis d'accord mais l'impeachment de la 24è heure... me paraît impossible à mettre en oeuvre. A mon avis, il s'agit surtout de satisfaire les plus anti-trumpistes côté démocrate (dont AOC, qui a demandé cette procédure et a été soutenue par pas mal de monde sur Twitter) en sachant que ce ne sera pas faisable. Ce n'est pas que AOC. Le duo Pelosi / Schummer qui avait freiné autant que raisonnable la première procédure d'impeachment est celui qui sonne la charge cette fois-ci. On n'a pas encore toutes les infos sur cette affaire, les rapports sont confus, on ne sait pas pourquoi la garde du capitole (plusieurs milliers d'hommes, 430 milions de $ de budget annuel...) était si faible, pourquoi la garde nationale a été appelée et par qui finalement, qu'est-ce que c'était que ces 2 dispositifs explosifs trouvés à proximité, etc, etc... Pelosi a peut être plus de détails, elle. Edit : il a eu saisie de 5 armes à feu, courtes et longues. -- Et sinon, en dépit des démentis d'hier, un garde du Capitole a bien été tué... Citation A U.S. Capitol Police officer has died after engaging with rioters in Wednesday’s violent insurrection. "Brian D. Sicknick passed away due to injuries sustained while on-duty," the U.S. Capitol Police said in a statement late Thursday. "He returned to his division office and collapsed. He was taken to a local hospital where he succumbed to his injuries." -- Betsy deVos a trouvé le courage de démissioner maintenant... Ca ferait presque apprécier Munchin. Modifié le 8 janvier 2021 par Boule75 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 Il y a 14 heures, Fanch a dit : Est-ce vraiment important vu que tous ne semblent pas concerné ? Moi je propose un autocollant "in Glock we trust" j'ai trouvé un image de mon patch sur le net : 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 (modifié) Qui est entré dans le Capitole ? https://www.independent.co.uk/news/world/americas/us-election-2020/republican-lawmakers-rioters-capitol-photos-b1784170.html Et dans le même temps... Modifié le 8 janvier 2021 par Ciders 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 Il y a 10 heures, Phacochère a dit : Selon le « New York Times », qui cite des responsables de l’administration, c’est le vice-président Mike Pence qui aurait donné l’ordre d’intervention, face au refus de Donald Trump de le faire lui-même." C'est un coup d'état, non ? Constitutionnellement, un vice-président qui n'a pas prêté serment n'a pas le droit de donner de tels ordres, n'est-ce pas ? Donc ne vaut-il mieux pas espérer que le New York Times se trompe ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 (modifié) Business Insider a interviewé un responsable de la sécurité publique de Paris centre qui pense que pour que ça ait dysfonctionné à ce point il faut que ça ait été volontaire: https://www.businessinsider.fr/us/trump-attempted-coup-federal-law-enforcement-capitol-police-2021-1 Citation Systematic failures The French police official detailed multiple lapses they believe were systematic. Large crowds of protestors needed to be managed far earlier in the process by police, who instead controlled a scene at the first demonstration Trump addressed then ignored the crowd as it streamed towards the Capitol. "It should have been surrounded, managed and directed immediately and that pressure never released." Because the crowd was not managed and directed, the official said the protestors were able to congregate unimpeded around the Capitol itself, where the next major failure took place. "It is unthinkable there was not a strong police cordon on the outskirts of the complex. Fences and barricades are useless without strong police enforcement. This is when you start making arrests, targeting key people that appear violent, anyone who attacks an officer, anyone who breaches the barricade. You have to show that crossing the line will fail and end in arrest." "I cannot believe the failure to establish a proper cordon was a mistake. These are very skilled police officials but they are Federal and that means they ultimately report to the president. This needs to be investigated." "When the crowd reached the steps of the building the situation was over. The police are there to protect the building from terrorist attacks, and crime, not a battalion of infantry. That had to be managed from hundreds of meters away unless the police were willing to completely open fire and I can respect why they were not." Modifié le 8 janvier 2021 par hadriel 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 on rigolait à moitié en parlant du FSB... mais en fait les menaces possibles sont possible ! Citation nouvel obs : Capitole est (aussi) un cauchemar pour la cybersécurité [...] Mais elle provoque aussi de sérieuses inquiétudes quant à la cybersécurité, soulignent plusieurs médias américains: partis en hâte, les parlementaires et leurs collaborateurs ont abandonné des ordinateurs et autres appareils électroniques dans les bureaux, parfois mis à sac par les intrus. Le cauchemar par excellence pour les professionnels de la sécurité informatique, souligne le « Washington Post ». Des émeutiers ont ainsi eu accès à au moins un ordinateur non verrouillé dans le bureau de Nancy Pelosi, la présidente de la Chambre des représentants, laissant apparaître les e-mails d’un de ses collaborateurs, rapporte le quotidien. Un sénateur, le démocrate Jeff Merkley (élu de l’Oregon), signale quant à lui qu’un ordinateur a été volé dans son bureau. Katie Moussouris, PDG de Luta Security, une entreprise de cybersécurité, cite au « Washington Post » un dicton: « Si un attaquant a un accès physique à votre ordinateur, ce n’est plus votre ordinateur. » Selon cette spécialiste, la volonté affichée de destruction de plusieurs manifestants dans le Congrès lui laisse à penser qu’il ne serait pas surprenant « qu’ils aient tenté d’accéder à certains des ordinateurs laissés non verrouillés ». Pour Moussouris, les manifestants n’étaient pas vraiment des cyberdélinquants, mais un ordinateur portable volé peut permettre ensuite à un tiers plus chevronné de le pirater. Ian Campbell, qui a auparavant travaillé à la maintenance informatique au Congrès, décrit la vérification de tous les équipements pouvant être compromis comme « un travail d’Hercule ». Mieke Eoyang, un ancien collaborateur de la commission du Renseignement à la Chambre des représentants, se veut plus rassurant : « Les bureaux du Congrès traitent des informations non classifiées. La plupart des informations qu’ils traitent sont de sources ouvertes [ou publiques]. Les informations classifiées sont traitées dans les SCIF [Sensitive Compartmented Information Facility, des locaux sécurisés pour les informations confidentielles]. Il n’y a pas d’indication qu’il y ait eu irruption là. » [...] donc un pc volé, au moins un pc pas verrouillé avec accès au réseau.. si des agents trainaient par là, on peut aussi imaginer des clefs usb infectées branchées. Pour les suite judiciaires : Citation numerama Des questions plus spécifiques ensuite, qui ont trait cette fois à l’informatique. Elles sont surtout de deux ordres : que risquent les contestataires qui ont pénétré dans l’enceinte du bâtiment, si jamais il est démontré qu’ils ont eu accès au contenu des ordinateurs encore allumés des parlementaires et de leurs équipes ? Et va-t-il falloir aussi falloir renouveler toute l’informatique du Congrès ? [...] À l’origine de cette première interrogation figure une photographie prise par un reporter, Elijah Schaffer, qui a déclaré se trouver dans le bureau de Nancy Pelosi au moment où le bâtiment était envahi par des protestataires. Cette photographie avait été diffusée dans un tweet, supprimé depuis par l’intéressé. On y voyait notamment un écran de PC allumé avec un message d’alerte en bas à droite. « Pour mettre en perspective la rapidité avec laquelle le personnel a été évacué, des courriels sont toujours à l’écran ainsi qu’une alerte fédérale alertant les membres de la révolution actuelle », écrivait Elijah Schaffer dans son message. Il n’était toutefois pas précisé par ce reporter, qualifié de pro-Trump par Ars Technica, si le PC à l’écran était bien celui de Nancy Pelosi ou bien celui d’un assistant. Aux États-Unis, Nancy Pelosi est un personnage central dans l’organisation de l’État. Membre du Parti démocrate, elle est surtout présidente de la Chambre des représentants des États-Unis — l’équivalent du président de l’Assemblée nationale en France. De ce fait, elle à la deuxième place de l’ordre de succession présidentielle des États-Unis, juste derrière Mike Pence, l’actuel vice-président. [...] Cependant, s’il s’avère qu’il a effectivement fouillé dans ce PC et qu’il s’agit en outre du PC de Nancy Pelosi, des poursuites pénales pourraient vraisemblablement être engagées — à son encontre, mais aussi contre toutes les autres personnes qui ont envahi le Capitole et ont pu prendre leurs aides dans les bureaux des parlementaires, parfois en les saccageant. Il s’est ainsi très vite posé la question de l’utilisation d’une loi américaine de 1986, nommée Computer Fraud and Abuse Act. Ce texte législatif, qui concerne la sécurité des systèmes d’information, contient en effet des dispositions réprimant les accès frauduleux à un poste informatique, c’est-à-dire sans autorisation préalable. Ce qui pourrait bien s’appliquer aux évènements du 6 janvier. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Kelkin Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 il y a 5 minutes, Wallaby a dit : C'est un coup d'état, non ? Constitutionnellement, un vice-président qui n'a pas prêté serment n'a pas le droit de donner de tels ordres, n'est-ce pas ? Le VP est là pour pouvoir prendre la relève quand le président ne le peut pas. On a une situation d'urgence où le président, pour une raison ou une autre, n'intervient pas pour faire rétablir l'ordre ; donc que le vice président le fasse à sa place est normal. La tentative de coup d'état, je la verrais plutôt parmi ceux qui ont contraint par leurs actions à donner ces ordres... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
hadriel Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 à l’instant, Wallaby a dit : C'est un coup d'état, non ? Constitutionnellement, un vice-président qui n'a pas prêté serment n'a pas le droit de donner de tels ordres, n'est-ce pas ? Donc ne vaut-il mieux pas espérer que le New York Times se trompe ? C'est effectivement très curieux, la chaine de commandement remonte au président, pas au vice-président. Après c'est pas étonnant que dans une situation de coup d'état ou le congrès est envahi, le commandant de la garde nationale locale ne soit pas trop regardant sur les distinguo. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 (modifié) https://www.telegraph.co.uk/news/2021/01/08/can-donald-trump-removed-from-office-what-25th-amendment-us/ Pour quels motifs un président peut-il être révoqué ? [Le 25e] amendement est vague sur les détails. Cependant, John D Feerick, ancien doyen de la faculté de droit de Fordham qui en a été l'un des architectes, a déclaré que les sénateurs qui ont signé l'amendement étaient clairs : il doit être fondé sur "des faits fiables concernant les facultés physiques ou mentales du président", et non sur un préjugé personnel. "Si vous lisez les débats, il est également clair que la politique et les différences politiques ne sont pas incluses, l'impopularité n'est pas incluse, le mauvais jugement, l'incompétence, la paresse ou la conduite irréprochable - rien de tout cela, vous le trouverez dans les débats dans le compte-rendu du Congrès, n'est destiné à être couvert par la section IV", a-t-il déclaré à Business Insider. Le 25e amendement sera-t-il invoqué et M. Trump peut-il être démis de ses fonctions dès maintenant ? Très peu probable. Il faut que M. Pence et une majorité du cabinet acceptent d'évincer le président. S'il n'est pas physiquement ou mentalement handicapé - par une mauvaise santé, une attaque ou autre - cela équivaudrait en fait à un coup d'état de palais. Modifié le 8 janvier 2021 par Wallaby Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Connorfra Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 (modifié) Il y a 12 heures, seal33 a dit : selon un article du jour, "la garde nationale qui a été déployée très tardivement. Avec une particularité : celle-ci est habituellement placée sous l’autorité du gouverneur de l’Etat. Or dans le district de Washington, elle a un statut particulier et dépend directement du pouvoir exécutif et donc de Donald Trump." Source, Le Monde.fr et d'apres Wiki, "l'autorité est déléguée au Secrétaire à la Défense des États-Unis." Révéler le texte masqué Irruption de partisans de Donald Trump au sein du Capitole : « C’est un énorme échec des forces de police américaines » Le chercheur Mathieu Zagrodzki, spécialiste des forces de l’ordre aux Etats-Unis et en France, analyse les failles du dispositif autour du Capitole, qui a permis aux manifestants pro-Trump de pénétrer dans le bâtiment. La police du Capitol lors de la confrontation avec les manifestants pro-Trump essayant de forcer l’entrée du bâtiment, à Washington, le 6 janvier. Jose Luis Magana / AP Après l’irruption de manifestants pro-Trump au sein du Capitole à Washington, mercredi 6 janvier, la gestion de la sécurité par les forces de l’ordre américaine est sous le feu des critiques. Mathieu Zagrodzki, chercheur associé au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (Cesdip) et auteur d’une thèse sur les polices américaines et françaises, décrypte pour Le Monde les dessous de cet « énorme échec ». Peut-on parler de défaillance des forces de police américaines dans les événements survenus au Capitole ? C’est un énorme échec de leur part. Ce n’était pas imaginable qu’une foule pénètre ainsi dans ce bâtiment symbole du pouvoir législatif. Imaginez la même chose à l’Assemblée nationale : ça paraît impossible. Il y a les grilles qui protègent l’accès aux marches, il y aurait eu des unités de force mobile positionnées tout autour, toutes les rues fermées aux alentours, on aurait déployé des blindés… Ce qui s’est passé est une atteinte démentielle à la séparation des pouvoirs, le leader de l’exécutif qui incite à demi-mot à prendre d’assaut le haut lieu du pouvoir législatif. Lire aussi En images : les Etats-Unis au bord de l’« insurrection » Comment le Capitole est-il protégé ? La police du Capitole est une force assez particulière, qui est placée directement sous l’égide du Congrès américain. Elle ne dépend pas du pouvoir exécutif et donc de la Maison Blanche. Sa mission est de protéger le bâtiment et d’assurer la sécurité des membres du Congrès. Elle ne compte « que » 1 800 personnes, qui ne peuvent pas être mobilisées toutes en même temps, pour protéger un bâtiment qui n’est pas conçu comme un bunker : c’est un édifice du XIXe siècle, qui comporte des failles de sécurité, avec beaucoup de fenêtres notamment. Il y a eu un projet, il y a quelques années, pour construire une sorte de clôture autour, qui aurait constitué une première ligne de défense. Cela avait été abandonné parce que dans la symbolique américaine, il s’agit du palais du peuple, le symbole du pouvoir par le peuple, pour le peuple. Est-ce la responsabilité de la police du Capitole ? Non, ils n’ont pas les moyens humains de retenir une foule de plusieurs milliers d’individus déchaînés. Quand les manifestants sont sur les marches, vous ne pouvez plus rien faire. Soit vous vous opposez avec votre corps, mais il faut avoir le nombre, soit vous dégainez votre arme, et ça devient un bain de sang. Ce sont les lignes de défense précédentes qui ont fauté, ou plutôt qui n’ont pas existé… Lire aussi Etats-Unis : Joe Biden confirmé après une journée de chaos au Capitole Quelles ont été les forces mobilisées ? Il faut comprendre que l’organisation n’a rien à voir avec ce que nous connaissons. En France, nous sommes mieux préparés à ce type d’événements, avec une culture de la contestation. En cas d’alerte, le préfet de police va demander la mobilisation de troupes de gendarmerie et de police, qui vont converger de toute la France et être placées sous son commandement unifié. Hier aux Etats Unis, on a vu intervenir les différentes polices en désordre. Il y a eu la police du Capitole qui dépend du Congrès. On a aussi vu les agents de l’« Hostage rescue team », l’équivalent du Raid ou du GIGN au sein du FBI, sous la tutelle du département de la justice, le secret service qui protège le président et le vice-président et qui répond au département de la sécurité intérieure, la police de Washington positionnée aux abords, qui dépend de la mairie du district de Colombia… Et la garde nationale qui a été déployée très tardivement. Avec une particularité : celle-ci est habituellement placée sous l’autorité du gouverneur de l’Etat. Or dans le district de Washington, elle a un statut particulier et dépend directement du pouvoir exécutif et donc de Donald Trump. Est-ce qu’il y a eu une responsabilité politique dans ces débordements ? On a vu avec les manifestations récentes dans le cadre du mouvement Black Lives Matter que les autorités américaines savent se donner les moyens de protéger les institutions. A Portland, où des bâtiments fédéraux étaient visés, ils ont par exemple envoyé les troupes des « Customs and borders protection », l’équivalent de la police aux frontières, pour procéder à des interpellations. La mobilisation des forces est une question de volonté politique. Dans ce qu’on a vu au Capitole, il y a un aspect presque artisanal. Pour prendre une métaphore américaine, c’était Fort Alamo, avec quelques centaines de policiers chargés de défendre les lieux face à des milliers de personnes, et la cavalerie qui rapplique très très en retard. La garde nationale US est vraiment différente, c'est une force militaire à disposition des Etats, il doit donc y avoir un échelon d'urgence d'astreinte. c'est notamment la Garde qui intervient lors de catastrophes naturelles. Merci pour la réponse Gestion de Dc c'est exactement la réponse à ma question je vois qu'on devrait s'inspirer d'avantage nous sommes nuls sur l'emploie des réservistes notamment sur des systèmes d'astreintes Modifié le 8 janvier 2021 par Connorfra Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
jean-françois Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 Il me semblait que le gouverneur de l'état devait plus ou moins donner son accord pour le déploiement de la garde national sur son état. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Fanch Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 Le gouverneur est le chef de la garde national de son état sauf pour Washington DC Mais un réserviste peut servir à titre fédéral lorsque, par exemple, la national guard part en OPEX (Iraq, Afgha...) 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 Visiblement, il y a deux soucis : le statut particulier de Washington DC et dans ce périmètre précis, l'enchevêtrement des compétences entre la police du Capitole, la police des Parcs, la Garde Nationale, le Secret Service et ce n'est sans doute pas fini le manque de mesures de sécurité remarqué par de nombreux commentateurs : pas de barrières, pas de forces anti-émeutes, des issues non verrouillées, des agents qui se retrouvent seuls face à des émeutiers Difficile de dire si cela a été orchestré volontairement ou non mais clairement, la protection du Capitole n'était pas assurée hier. De là se rajoutent des problèmes de sécurité puisque des bureaux normalement sécurisés ne l'étaient pas et que des données ont certainement été volées. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kmltt Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 Il y a 1 heure, hadriel a dit : Business Insider a interviewé un responsable de la sécurité publique de Paris centre qui pense que pour que ça ait dysfonctionné à ce point il faut que ça ait été volontaire: 2 vidéo où l'on voit effectivement un comportement assez troublant d la police... 3 hypothèses à la volée -les gardes fraternisent de leur propre chef avec les manifestants -ils ont reçu des ordres pour laisser faire : -de la part de l'exécutif pour tenter un coups de force à la Maïdan qui à échoué par manque de manifestants résolus -de la part des élus du capitole pour mettre une honte intersidérale au sénateurs qui ont fini par suivre trump, en se faisant tirer par l'oreille, et certifier le vote sans devoir se taper une bataille légale sur les contestations de fraudes électorales. J'arrive pas à me décider de laquelle des 3, déloyauté des FO, tentative de coups ou fraudes électorale, est la plus merdique... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) le 8 janvier 2021 Share Posté(e) le 8 janvier 2021 Il y a 15 heures, Hirondelle a dit : Shorr Kan et Tancrede filent le plus pur amour dans une cave tendue de velours pourpre et de chaînes étincelantes. Tiens, t'étais au courant pour @Shorr kan et @Tancrède ? Mais t'aurais du rester discret, enfin… T'as pas de photos, quand même ? Tu vas pas les poster, dis ? Nan, le fais pas ! Révélation ou alors en texte masqué, peut-être ? 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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