christophe 38 Posté(e) le 17 mai Share Posté(e) le 17 mai Il y a 13 heures, MIC_A a dit : Je reste du même avis Gianks ! Dans un monde respectueux, l'alternative pourrait se tenter mais en l'état actuel et à venir ou on vole, on pille on détruit déjà beaucoup d'installations publique et privés, je n'ose même pas penser à ces mini réacteurs nucléaire qu'il faudrait surveiller jour et nuit pour ne pas risquer une catastrophe et avoir un personnel et du matériel qualifiés pour faire face à tous problèmes qui pourraient arriver. sans compter sur le terrorisme.... au lieu de foncer sur une foule avec un véhicule, au lieu de tirer au hasard, là on peut nuire tres longtemps au pays .... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 17 mai Share Posté(e) le 17 mai il y a 1 minute, christophe 38 a dit : sans compter sur le terrorisme.... au lieu de foncer sur une foule avec un véhicule, au lieu de tirer au hasard, là on peut nuire tres longtemps au pays .... Bien sûr, je ne l'ai pas dit explicitement mais en démontrant leurs vulnérabilités, pour du terrorisme ce serait des cibles parfaites 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 17 mai Share Posté(e) le 17 mai On est encore dans un monde de Bisounours! Lors de discutions avec des amis, je me rends compte qu'ils ne sont pas au faite de l'actualité (ou font mine de l'occulter) et de me répondre que je vois le mal partout alors que ce qui peut remonter dans l'actualité c'est quelque % de la réalité du quotidien et de la volonté de minimiser par ceux en charge de cette problématique. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 17 mai Share Posté(e) le 17 mai Lancement d’un deuxième fonds pour renforcer la chaîne d’approvisionnement nucléaire française https://www.world-nuclear-news.org/articles/second-fund-launched-to-boost-french-nuclear-supply-chain À la suite d’un premier tour de financement, EDF et le spécialiste du capital-investissement Siparex ont annoncé un deuxième tour de financement destiné à renforcer les entreprises stratégiques de la chaîne d’approvisionnement nucléaire en France. Ce premier tour de financement, baptisé Fonds France Nucléaire (FFN), avait été lancé en octobre 2021. À sa clôture fin 2024, 100 millions d’euros (112 millions de dollars) avaient été investis dans 11 entreprises du secteur nucléaire, avec la participation d’EDF, Framatome, Orano, TechnicAtome, de grands donneurs d’ordre du secteur nucléaire, ainsi que de Siparex Associés, promoteur des fonds du groupe Siparex. Un deuxième tour de financement – appelé Fonds France Nucléaire 2 (FFN2) – a désormais été lancé dans la continuité du FFN, avec un objectif de levée de 300 millions d’euros. « L’objectif du FFN2 est de soutenir les PME et ETI disposant d’un savoir-faire important dans le secteur nucléaire, afin de répondre aux besoins croissants de la filière, qui participe aux enjeux de souveraineté énergétique et de défense », a indiqué EDF. « Le FFN2 prévoit d’investir des tickets pouvant aller jusqu’à 50 millions d’euros, seul ou en co-investissement, en position majoritaire ou minoritaire. » EDF a précisé que le FFN2 réunira également de nouveaux investisseurs institutionnels, industriels et privés de premier plan, « désireux d’investir dans les enjeux de souveraineté industrielle et énergétique, de réindustrialisation et de décarbonation de l’économie, et de bénéficier de la dynamique associée. En effet, avec plus de 2 000 entreprises et 220 000 salariés contribuant à la vitalité économique des territoires, la filière nucléaire française est le troisième secteur industriel du pays. » EDF a indiqué que le fonds FFN2 avait déjà réalisé son premier investissement dans Ekoscan Integrity Group, fournisseur mondial de solutions avancées de contrôle non destructif pour des applications industrielles et d’infrastructure critiques, aux côtés du fondateur et de l’équipe dirigeante de l’entreprise, d’Eurazeo et d’ALIAD (Air Liquide Venture Capital). « La mise en place du Fonds France Nucléaire 2 s’inscrit dans la continuité de ce qui a été accompli avec succès par le premier fonds, démontrant tout l’intérêt de viser à la fois des objectifs stratégiques pour les acteurs industriels et des objectifs de performance financière », a déclaré Benoît Desforges, Managing Partner du Fonds France Nucléaire. « Je me réjouis de voir les grands donneurs d’ordre de la filière s’engager dans le FFN2 aux côtés d’EDF, et de constater l’arrivée d’investisseurs institutionnels, renforçant ainsi à la fois le dispositif de soutien et la capacité d’investissement. » Xavier Ursat, Directeur Exécutif du Groupe EDF, en charge de la Stratégie, des Technologies, de l’Innovation et du Développement, a ajouté : « Avec le Fonds France Nucléaire 2, l’objectif est de préparer l’avenir en accompagnant les entreprises de la filière nucléaire et en leur donnant dès aujourd’hui les moyens de se développer, d’innover et de gagner en souveraineté. » En février 2022, le président de la République Emmanuel Macron avait déclaré que le moment était venu pour une renaissance du nucléaire en France, appelant à prolonger l’exploitation de tous les réacteurs existants sans compromis sur la sûreté, et dévoilant un programme prévoyant la construction de six nouveaux réacteurs EPR2, avec une option pour huit supplémentaires. Les trois premières paires de réacteurs EPR2 sont prévues, dans l’ordre, sur les sites de Penly, Gravelines et Bugey. Le début des travaux est attendu en 2027. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. vincenzo Posté(e) le 19 mai C’est un message populaire. Share Posté(e) le 19 mai https://www.ft.com/content/e99efa2b-338a-4065-89c6-0683d5759ed7 3 1 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
olivier lsb Posté(e) le 19 mai Share Posté(e) le 19 mai Il y a 9 heures, vincenzo a dit : https://www.ft.com/content/e99efa2b-338a-4065-89c6-0683d5759ed7 J'attends l'arrivée de l'ouragan @Patrick qui expliquera, par une verve de force 10, que les allemands ont abandonné une opposition stérile, idéologique et dénuée de fondement sérieux au nucléaire civile à la française, pour une quote-part de sécurité nucléaire militaire, dans le cadre d'un marché de dupes. Alors même qu'on n'a pas encore complètement apuré le passif issu du design complexe de l'EPR, qui répondait aux exigences de Siemens (pour partie). Et j'avoue ne pas trop savoir quoi penser de l'ouragan Patrick ! Comment tu trouves cette simulation, cher camarade ? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 19 mai Share Posté(e) le 19 mai il y a 16 minutes, olivier lsb a dit : J'attends l'arrivée de l'ouragan @Patrick qui expliquera Exercice de prévisionniste bien périlleux ! 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) le 20 mai Share Posté(e) le 20 mai Il y a 14 heures, olivier lsb a dit : J'attends l'arrivée de l'ouragan @Patrick qui expliquera, par une verve de force 10, que les allemands ont abandonné une opposition stérile, idéologique et dénuée de fondement sérieux au nucléaire civile à la française, pour une quote-part de sécurité nucléaire militaire, dans le cadre d'un marché de dupes. Alors même qu'on n'a pas encore complètement apuré le passif issu du design complexe de l'EPR, qui répondait aux exigences de Siemens (pour partie). Et j'avoue ne pas trop savoir quoi penser de l'ouragan Patrick ! Comment tu trouves cette simulation, cher camarade ? Il doit bien y avoir quelque chose en échange ! Ou les nouveaux dirigeants Allemands prennent enfin au sérieux cette problématique énergétique dans leur pays ou la dépendance créé en misant tout sur une diversité "discutable avec des investissements énormes dans la production "non pilotable" et des centrales d'appoints au gaz Russe pour compenser tout en s'évertuant à saboter au niveau commission Européen toutes autres initiatives chez nous au point de déstabiliser la filière avec les déboires que l'on a connus et catastrophique lors du partenariat EPR qui apparait aujourd’hui comme l'ultime tentative de sabotage de notre industrie au nom de la sécurité. Donc, acte, à voir dans le temps ce qui va en sortir. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 26 mai Share Posté(e) le 26 mai (modifié) THALES INAUGURE GENF, UNE PREMIÈRE ÉTAPE VERS LA CRÉATION D’ÉNERGIE PAR FUSION NUCLÉAIRE https://www.thalesgroup.com/fr/monde/groupe/press_release/thales-inaugure-genf-une-premiere-etape-vers-creation-denergie-fusion Thales, leader mondial des lasers de haute puissance, inaugure GenF le jeudi 15 mai 2025 au Barp (Bordeaux). GenF a pour ambition de franchir une première étape vers la création d’une nouvelle énergie sûre, abondante, compétitive et bas carbone, grâce au procédé de fusion nucléaire par confinement inertiel. GenF collabore avec le CEA, le CNRS, l’École polytechnique et la Région Nouvelle-Aquitaine pour concevoir un premier réacteur à fusion nucléaire par confinement inertiel. Thales met à la disposition de GenF son savoir-faire dans les lasers de haute puissance, conçus sur le site d’Elancourt. Cette expertise lui a permis de développer le système laser le plus puissant au monde, exploité en Roumanie. La production d’énergie par fusion nucléaire est aujourd’hui identifiée comme l’une des solutions pour répondre à deux enjeux cruciaux : la nécessité de réduire les émissions de carbone dans le monde et la demande sans cesse croissante en énergie de différents secteurs de l’économie tels que le transport, le bâtiment, l’agriculture et l’industrie numérique. D’après l’AIE (Agence Internationale de l’Energie), la consommation d'électricité des centres de données devrait plus que doubler d'ici 2030, notamment en raison de la montée en puissance de l’IA. La fusion nucléaire apparaît donc comme une formidable opportunité de créer une nouvelle énergie sûre (elle ne présente aucun risque d’emballement), abondante (ses ressources sont présentes en grandes quantités dans la nature), compétitive et bas carbone (elle n’émet pas de gaz à effet de serre). Par ailleurs, la fusion nucléaire génère un million de fois moins de déchets radioactifs que la fission, et ces déchets peuvent être éliminés plus vite. Pour atteindre la fusion nucléaire, deux méthodes font l’objet de recherches approfondies : par confinement magnétique et par confinement inertiel. La méthode du confinement inertiel requiert l’utilisation de lasers de haute énergie pour comprimer la matière et atteindre les conditions thermonucléaires nécessaires à la fusion. Pour que ce mode de production d'énergie puisse être déployé, de nombreuses avancées scientifiques seront encore nécessaires. Afin que la France continue à être l’un des pays pionniers dans ce domaine, le gouvernement a lancé en juin 2023, dans le cadre de France 2030, un appel à projet « réacteurs nucléaires innovants » auprès de BPI France. Fort de son savoir-faire dans les lasers de haute puissance, Thales a présenté le projet TARANIS, en partenariat avec le CEA, le CNRS et l’École polytechnique, pour démontrer la faisabilité de la conception d’un premier réacteur à fusion nucléaire par confinement inertiel. Ce projet a été sélectionné en février 2024, ce qui lui permet de bénéficier d’un budget de 18,5 millions d’euros pour sa première phase de développement. Afin de réunir les compétences complémentaires indispensables, Thales a créé la société GenF, officiellement lancée en janvier 2025, et signé un premier contrat de plusieurs millions d’euros pour le développement de son laser à fusion. GenF va poursuivre un développement en trois phases : D’ici 2027, GenF prévoit une première phase de modélisation et de simulation, calibrées par des expérimentations sur des installations existantes comme le LMJ ; De 2027 à 2035, une deuxième phase de montée en maturité des technologies de fusion telles que la synchronisation multiple de lasers, la production de cibles cryogéniques ou encore le développement de nouveaux matériaux pour la paroi du réacteur ; À partir de 2035, une troisième phase pourrait aboutir au passage à l’échelle du réacteur, avec la construction du premier prototype. GenF regroupe à ce stade une dizaine de scientifiques, ingénieurs et industriels et implique une quarantaine de collaborateurs, tous instituts confondus. La société inaugure le jeudi 15 mai 2025 ses locaux au Barp (Bordeaux), avec le soutien du Conseil régional de Nouvelle-Aquitaine, une région qui regroupe déjà de nombreuses compétences en matière de fusion nucléaire : le Centre Lasers intenses et Applications (CELIA-CNRS/Université de Bordeaux/CEA) et le Centre d’études scientifiques et techniques d’Aquitaine (CESTA-CEA). Thales a 40 ans d’expérience dans les lasers haute puissance. De la conception au développement, en passant par l'installation, la formation des équipes et l'assistance à l'exploitation, Thales maîtrise l'ensemble de la chaîne d'expertise des lasers haute puissance qui comprend à la fois des sources laser de 10 TW à 10 pétawatts, des lignes de transport de faisceau, des optiques de focalisation sur cible et le système de contrôle qualité. Thales est également l’un des acteurs de la fusion nucléaire depuis plus de 25 ans, notamment comme maître d’œuvre de sous-ensembles dans le cadre du Laser Mégajoule, programme de recherche sur la fusion par confinement inertiel développé par le CEA. De plus, Thales développe, sur les sites de Vélizy et Thonon, des tubes électroniques de forte puissance pour les réacteurs de fusion par confinement magnétique, notamment pour le démonstrateur international ITER. -->https://genf-systems.com/ Modifié le 26 mai par Titus K 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Picdelamirand-oil Posté(e) jeudi à 09:26 Share Posté(e) jeudi à 09:26 Le 20/05/2025 à 12:50, MIC_A a dit : Il doit bien y avoir quelque chose en échange ! Ou les nouveaux dirigeants Allemands prennent enfin au sérieux cette problématique énergétique dans leur pays ou la dépendance créé en misant tout sur une diversité "discutable avec des investissements énormes dans la production "non pilotable" et des centrales d'appoints au gaz Russe pour compenser tout en s'évertuant à saboter au niveau commission Européen toutes autres initiatives chez nous au point de déstabiliser la filière avec les déboires que l'on a connus et catastrophique lors du partenariat EPR qui apparait aujourd’hui comme l'ultime tentative de sabotage de notre industrie au nom de la sécurité. Donc, acte, à voir dans le temps ce qui va en sortir. L’Allemagne ouvre la porte à la coopération avec la France sur le nucléaire Publié le 27 mai 2025 - Mis à jour le 28 mai 2025 https://www.sfen.org/rgn/lallemagne-ouvre-la-porte-a-la-cooperation-avec-la-france-sur-le-nucleaire/?utm_source=Newsletter&utm_medium=email&utm_campaign=RGN Hebdo - 28/05/2025 Allemagne Bas carbone France Taxonomie Berlin veut faire évoluer sa position traditionnellement anti-atome pour soutenir les efforts au niveau européen en faveur de la transition énergétique. Cette ouverture est saluée à Paris, mais contestée par les partenaires de coalition du nouveau chancelier. Le glissement annoncé de l’Allemagne vers une posture plus pragmatique pourrait changer le traitement réservé à l’atome dans les politiques de soutien aux énergies bas-carbone à Bruxelles, mais aussi à la BEI ou la Banque Mondiale. Sous réserve que la question ne se transforme pas en sujet majeur de discorde entre les partenaires au pouvoir. La visite du chancelier allemand Friedrich Merz à Paris le 7 mai a donné le ton, le couple franco-allemand appelant notamment à « mettre fin à toutes les discriminations au niveau européen à l’égard des énergies bas carbone, nucléaires comme renouvelables« . Qualifié de « changement radical », l’abandon de l’opposition de principe a été confirmé par des officiels allemands au Financial Times le 19 mai. C’est ensuite la ministre de l’économie et de l’énergie Katherina Reiche ne l’endosse lors d’un sommet à Bruxelles le 22 mai, déclarant, selon des propos rapportés Euractiv : « Nous suivons une autre voie que la France. Mais chaque tonne de CO2 économisée est une bonne chose. Nous devons être ouverts sur le plan technologique« . La coopération de l’Allemagne permettrait de négocier une série d’évolutions souhaitées de longue date par la France, comme l’alignement du traitement entre le nucléaire et les énergies renouvelables dans les politiques de soutien aux technologies bas carbone, par exemple, pour la production d’hydrogène ou dans la Taxonomie européenne. L’absence d’objection de Berlin pourrait aussi encourager la revue des politiques de la BEI et de la Banque Mondiale en faveur du financement de nouveaux projets nucléaires. La « guerre de religion » n’est pas finie Le ministre de l’industrie et de l’énergie Marc Ferracci a résumé le soulagement à Paris en se félicitant, dans des déclarations à l’AFP le 23 mai, de voir l’Allemagne prête « à sortir de la guerre de religion sur le nucléaire« . Il a également rappelé que la France voulait obtenir un traitement comparable aux renouvelables dans le cadre du régime sur les aides d’Etat. Cette liste de voeux contraste avec le démenti cinglant affiché le même jour par le ministre allemand de l’environnement et du climat Carsten Schneider. Dans des déclarations à la presse locale il a qualifié la prise de position de ses collègues « d’opinions privées« , et rappelé que le contrat de coalition n’autorisait pas le gouvernement à prendre une position sur le nucléaire. Tenant de la ligne dure de son parti, le SPD, il est allé jusqu’à affirmer qu’il ne pouvait « pas sérieusement qualifier une telle technologie de durable« . La bataille de mots rappelle que le nouveau chancelier aura bien du mal à faire consensus pour afficher des ambitions domestiques claires sur le nucléaire. En matière de politique extérieure, l’abstention a aussi ses vertus. Mais elle ne suffirait pas pour dépasser les déclarations de principes et engager des mesures plus concrètes financièrement. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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