Benji10 Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 Pti message subliminale... ou pas 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Kelkin Posté(e) le 1 décembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 décembre 2022 Le 28/11/2022 à 13:10, laurent simon a dit : Alors bien sûr il faut distinguer la bonne dette (qui rapporte à terme) de la mauvaise dette (coûts de fonctionnement, qui ne rapportent rien plus tard),mais comme le disait quelqu'un ici, il faudrait arrêter avec ces pratiques, alors qu'on n'en prend pas le chemin, et il n'y aurait pas consensus sur ce point. Exemple de bonne dette : financer un avion combat conçu et produit entièrement en France pour que 100% de l'argent dépensé par l'état reste au pays et que les retombées économiques de la vente à l'export profite au pays. Exemple de mauvaise dette : financer un avion conçu et produit à 33% seulement en France pour que 67% de l'argent dépensé par l'état parte en Allemagne et en Espagne où il servira à acheter des F-35 à l'Amérique, et qui n'aura pas de vente à l'export. 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Benji10 Posté(e) le 1 décembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 décembre 2022 8 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 il y a 5 minutes, Benji10 a dit : Quelqu'un a l'accès à l'article complet? ENTRETIEN - Le Système de combat aérien du futur (Scaf) franchit une étape clef. Après deux fausses alertes en quinze jours, Éric Trappier, PDG de Dassault Aviation, confirme, dans une interview exclusive au Figaro, et après avoir informé Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu, ministre des Armées, avoir trouvé un accord industriel avec Airbus, sur l'avion de combat de nouvelle génération (NGF), composante essentielle du Scaf. Depuis un an, un différend opposait les deux industriels, ce qui avait gelé ce projet, le plus ambitieux lancé en Europe en matière de coopération dans l'armement. Et dont l'enjeu est d'assurer la sécurité et la défense du vieux continent, en donnant un successeur au Rafale construit par Dassault Aviation et à l'Eurofighter, développé par un consortium associant Airbus, le britannique BAE et l'italien Alenia.À l’issue de négociations serrées, un accord a donc été trouvé. Il réaffirme le rôle de chef de file de la France, celui de maître d'œuvre et d'architecte du NGF de Dassault Aviation. Il protège aussi la propriété intellectuelle des technologies et savoir-faire français. La France, de son côté, a réaffirmé sa liberté d'exporter le NGF, une « donnée connue » de l'Allemagne et de l'Espagne, les deux pays partenaires du Scaf, sur laquelle « la France ne reviendra pas », selon les mots de Sébastien Lecornu. L'accord industriel ouvre la voie à la signature du contrat d'études, dite Phase 1B, qui doit préparer la construction d'un démonstrateur, dont les essais en vol sont prévus à horizon 2027. Je me demande bien comment les choses pourraient-elles être différentes désormais par rapport à ce qui était proposé avant. En tout cas ça veut sans doute (?) dire pas de co-co-co et pas de partage du foreground. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Picdelamirand-oil Posté(e) le 1 décembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 décembre 2022 Merde. 1 5 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benji10 Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 2 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Bocket Posté(e) le 1 décembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 décembre 2022 Trappier est finalement trés content , bon on est quand même qu'au niveau de la phase d'étude.. Spoiler Accord conclu entre Dassault Aviation et Airbus sur l'avion de combat du futur, Par Véronique Guillermard et Ivan Letessier Depuis un an, un différend opposait les deux industriels, ce qui avait gelé ce projet, le plus ambitieux lancé en Europe en matière de coopération dans l'armement. Et dont l'enjeu est d'assurer la sécurité et la défense du vieux continent, en donnant un successeur au Rafale construit par Dassault Aviation* et à l'Eurofighter, développé par un consortium associant Airbus, le britannique BAE et l'italien Alenia. À l'issue de négociations serrées, un accord a donc été trouvé. Il réaffirme le rôle de chef de file de la France, celui de maître d'œuvre et d'architecte du NGF de Dassault Aviation. Il protège aussi la propriété intellectuelle des technologies et savoir-faire français. La France, de son côté, a réaffirmé sa liberté d'exporter le NGF, une « donnée connue » de l'Allemagne et de l'Espagne, les deux pays partenaires du Scaf, sur laquelle « la France ne reviendra pas », selon les mots de Sébastien Lecornu. L'accord industriel ouvre la voie à la signature du contrat d'études, dite Phase 1B, qui doit préparer la construction d'un démonstrateur, dont les essais en vol sont prévus à horizon 2027. Le Figaro. - Depuis un an, le projet de Système de combat aérien du futur (Scaf) est suspendu à un accord industriel entre Airbus et Dassault Aviation sur l'avion de combat de nouvelle génération (NGF). Aujourd'hui, êtes-vous en mesure d'annoncer que cet accord a été conclu ? Éric Trappier. – Le Scaf est un projet politique lancé par le Président Emmanuel Macron et la Chancelière Angela Merkel en 2017, et à l'arrêt depuis l'été 2021. Alors, oui, aujourd'hui c'est fait. Nous avons un accord avec Airbus. Tous les blocages ont été levés. Nous allons pouvoir entrer dans l'exécution de la nouvelle phase d'études, dite 1B, qui doit préparer le développement d'un démonstrateur, qui devrait voler vers 2029. Il ne reste plus que la signature formelle des contrats d'ici à quelques jours. Ils seront notifiés par la Direction générale de l'armement, qui est l'agence exécutive des contrats, au nom des trois pays partenaires – France, Allemagne et Espagne. Ces deux dernières semaines, des politiques en Allemagne et en France ont annoncé que cet accord avait été trouvé. Avez-vous subi des pressions ? Il y a eu des pressions de toutes parts. Nous en avons mis. Nous en avons subi. Mais tant que l'accord industriel n'était pas conclu, il était prématuré de l'annoncer. Aujourd'hui, c'est fait, donc nous pouvons le rendre public. Avez-vous obtenu toutes les garanties que vous exigiez ou avez-vous dû faire des concessions ? Toute négociation implique des concessions. Mais oui, nous avons obtenu toutes les garanties pour ouvrir une nouvelle phase de ce qui est, je le rappelle, une phase d'études amont et pas encore un programme. Nous sommes confirmés dans notre rôle de maître d'œuvre et d'architecte de l'avion et nous avons obtenu la protection de notre savoir-faire industriel et de nos technologies. Ce qui signifie la mise en place d'une organisation industrielle qui a un leader et des partenaires. La propriété des travaux à réaliser en commun sera partagée, mais les technologies et le savoir-faire qui nous appartiennent ne le seront pas. C'est un accord gagnant-gagnant pour toutes les parties. Dans quel état d'esprit abordez-vous cette nouvelle phase ?: Nous sommes animés par l'enthousiasme, la détermination et la satisfaction. Enthousiasme et détermination car nous avons l'ambition de faire voler un nouveau démonstrateur d'avion de combat dans quatre à cinq ans, ce qui n'était pas arrivé depuis le premier vol du démonstrateur européen nEUROn voici tout juste dix ans ! Être l'architecte d'un nouvel avion de combat est très motivant pour notre société, nos équipes, celles d'Airbus notre partenaire principal, d'Indra et de nos partenaires historiques que sont Safran, Thales et MBDA. Sans oublier notre écosystème de sous-traitants dans les trois pays, qui participera à l'aventure. Je sais pouvoir compter sur leurs compétences et leur motivation pour relever ce défi. Sans compter tous les jeunes que nous allons recruter pour travailler avec les plus anciens, qui ont participé à l'aventure du Rafale. C'est un projet qui permet le renouvellement des générations et la transmission des compétences. C'est un projet ambitieux puisqu'il s'agit de préparer le successeur du Rafale, qui sera opérationnel après 2040. Dans l'intervalle, le Rafale continuera à évoluer et à être commercialisé. J'ai confiance dans le fait que de nouveaux pays l'adopteront. Il volera encore pendant des décennies au sein des forces françaises et de celles de nos clients à l'international.Satisfaction aussi car la Direction Générale de l'Armement, au nom des trois pays, nous accorde sa confiance, ce qui nous place devant nos responsabilités pour répondre aux attentes des armées de ces pays partenaires. Qu'en est-il de la liberté d'exporter le NGF ? Nous la revendiquons car notre modèle industriel ne peut pas fonctionner sans exportation. Toutefois, ce sujet n'est pas de notre ressort mais de celui de l'État. Je salue les propos sans ambiguïté adressés à la représentation nationale, à la fois par la Première ministre et par le Ministre des armées, sur le caractère fondamental de la liberté d'exporter. Nos partenaires de longue date ou plus récent, qui ont acheté le Rafale, comptent sur nous pour poursuivre leur relation stratégique avec la France. Certains estiment que Dassault Aviation a fait traîner les discussions et qu'il ne veut pas vraiment coopérer avec Airbus…: C'est plus un sentiment qu'une réalité. Lorsque l'Espagne a rejoint le projet Scaf en juin 2019, Dassault Aviation et Airbus Allemagne ont accueilli dans le NGF un nouvel industriel qui n'est autre qu'Airbus Espagne. Nous avons accepté que le volume de travail et le leadership des tâches revenant à notre société soient réduits à un tiers, les deux autres tiers revenant à Airbus, via ses deux filiales. Nous avons donc bien fait des concessions. Nous savons aussi coopérer, comme le montre le succès du projet nEUROn. C'était aussi complexe : six pays européens se sont fédérés avec leurs industriels. Nous avons trouvé une organisation efficace, qui donne à chaque industriel un rôle qui correspond à ses compétences. Et, cela a marché : nous avons fait voler le premier drone de combat furtif en Europe et nous avons tenu le budget et le calendrier. Notre société coopère également avec Airbus dans le cadre du programme de drone de surveillance Eurodrone. L'organisation est claire : Airbus est maître d'œuvre et leader, Dassault Aviation et l'italien Leonardo sont ses partenaires. Pour le NGF, il faut aussi une organisation claire. À défaut, le risque était de retomber dans les travers de certaines coopérations du passé. Dassault Aviation sera-t-il impliqué dans d'autres piliers du Scaf ?: Le Scaf est un système de systèmes au sein duquel évolue un avion, le NGF, qui en est le cœur. Il devra être motorisé et capable avec son propre système de tirer les armes du futur mais aussi de communiquer et de s'interfacer avec des drones, des réseaux de communications, etc. C'est pourquoi, nous contribuerons aussi au pilier 2, qui porte sur le développement d'un nouveau moteur, confié à Safran, et aux piliers 3 et 4 qui portent sur la conception de drones, confiée à Airbus, et sur le cloud de combat, placé sous la responsabilité d'Airbus. Nous allons aussi mettre en place un plateau numérique, avec les outils de Dassault Systèmes, et installer un cloud souverain 100% européen, afin d'assurer des niveaux d'accès aux données et un échange d'informations entre partenaires fluide et sécurisé. Une équipe mixte franco-germano-espagnole sera installée chez Dassault Aviation, sur un plateau à Saint-Cloud. Quand sera signé le contrat de développement du démonstrateur ?:Les spécifications du démonstrateur sont en cours d'élaboration. La phase 2, qui sera la commande du démonstrateur proprement dit et de ses vols, dépend du résultat de la phase d'études dans laquelle nous entrons. Un nouveau contrat devra être signé d'ici deux à trois ans. Le Scaf peut-il être un déclencheur pour faire avancer l'Europe de la défense et instaurer une préférence européenne ? De nombreux pays européens ont préféré acheter américain. Cela m'attriste. Le concept de préférence n'est pas retenu en Europe contrairement aux États-Unis et à la Chine. Or l'industrie de défense est une composante centrale de la souveraineté. Le Scaf peut aider à promouvoir une préférence européenne. La France est un des rares pays de l'UE à l'appliquer. Comme le Ministre des armées l'a rappelé, l'avion de combat du Scaf est stratégique, car il devra être, tant pour l'armée de l'Air et de l'Espace que pour la Marine Nationale, la composante aéroportée de la dissuasion, comme c'est aujourd'hui le cas pour le Rafale. 3 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Claudio Lopez Posté(e) le 1 décembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 décembre 2022 (modifié) il y a 18 minutes, Picdelamirand-oil a dit : Merde. Dassault et Airbus DS (surtout ces derniers) ne pouvaient pas cracher sur les 3,6 milliards de la phase d'étude . Dès que l'on définira le partage industriel, là, ca va de nouveau coincer et chacun ira faire son démonstrateur de son côté et Dassault repassera à un plan B plus ambitieux que celui d'aujourd'hui... Mais bon , si le Bundestag estime que c'est toujours pas bon pour l'industrie allemande alors le Scaf sera définitivement enterré. Modifié le 1 décembre 2022 par Claudio Lopez 1 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 il y a 8 minutes, Claudio Lopez a dit : Dassault et Airbus DS (surtout ces derniers) ne pouvaient pas cracher sur les 3,6 milliards de la phase d'étude . Dès que l'on définira le partage industriel, là, ca va de nouveau coincer et chacun ira faire son démonstrateur de son côté et Dassault repassera à un plan B plus ambitieux que celui d'aujourd'hui... J'en ai bien peur. Phase 1b = d'accord pour faire un truc. Phase 2: faire le truc. C'est là que ça va partir en quenouille. N'allons pas imaginer qu'Airbus Allemagne a vu la lumière et va renoncer à une quelconque prérogative. D'autant plus que les tentatives de mettre des coups de canif dans ce qui a été signé seront nombreuses. Enfin, le Bundestag doit encore passer par-dessus pour vérifier que les intérêts allemands sont bien sauvegardés, etc, donc s'ils n'y trouvent pas leur compte ça va encore bloquer. Seule consolation: Airbus a cédé. Mais une fois encore, ça n'aurait jamais dû être négocié, mais inné. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. BP2 Posté(e) le 1 décembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 décembre 2022 Il y a 3 heures, Benji10 a dit : Pti message subliminale... ou pas On se plaint assez que Dassault ne communique pas ou pas assez. Là c'est juste très bon, et en finesse. 2 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 il y a une heure, Picdelamirand-oil a dit : Merde. Fais lui confiance. Il semble avoir obtenu ce qu'il voulait. 2 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Niafron Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 Hé bah voilà, ça va ptet se faire au final... Voeu perso: qu'ils changent le dessin, l'arrière avec les deux dérives obliques, j'aime pas du tout. N'y voyez aucun commentaire d'ordre technique, c'est juste la gueule du bidule, j'aime pas. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 En tout cas avec le premier vol prévu en 2029 au mieux pour le démonstrateur, on est bien loin de l'aboutissement et le possible NGF qui doit en découler de façon ops vers 2045 sera plutôt un appareil de soit disant 7eme génération même si ça ne veut pas dire grand chose... A ce rythme il faudrait partir sur un avion spatial plutôt !... En plus les Allemands ont reçu de la France les compétences sur les moteurs fusées il me semble, ils seraient contents...!!! ;). Pauvre de nous Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benji10 Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 Accord entre Dassault Aviation et Airbus sur l’avion de combat du futur - Actualités Corporate (dassault-aviation.com) http://www.dassault-aviation.com/fr/groupe/actualites/accord-entre-dassault-aviation-et-airbus-sur-lavion-de-combat-du-futur/ 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 Trappier est content donc moi aussi. Et surtout j’ai l’impression que ca va s’etendre dans le temps donc tres vulnerable au moindre changement politique sur les 3 pays. La phrase que je retiens, c’est demonstrateur et pas un programme. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. ARPA Posté(e) le 1 décembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 décembre 2022 il y a 28 minutes, Ronfly a dit : En tout cas avec le premier vol prévu en 2029 au mieux pour le démonstrateur, D'ailleurs si on reprend l'interview, il a pris 2 ans de retard en 2 paragraphes... Je cite : L'accord industriel ouvre la voie à la signature du contrat d'études, dite Phase 1B, qui doit préparer la construction d'un démonstrateur, dont les essais en vol sont prévus à l'horizon 2027. Le Figaro. - Depuis un an, le projet de Système de combat aérien du futur (Scaf) est suspendu à un accord industriel entre Airbus et Dassault Aviation sur l'avion de combat de nouvelle génération (NGF). Aujourd'hui, êtes-vous en mesure d'annoncer que cet accord a été conclu ? Éric Trappier. – Le Scaf est un projet politique lancé par le Président Emmanuel Macron et la Chancelière Angela Merkel en 2017, et à l'arrêt depuis l'été 2021. Alors, oui, aujourd'hui c'est fait. Nous avons un accord avec Airbus. Tous les blocages ont été levés. Nous allons pouvoir entrer dans l'exécution de la nouvelle phase d'études, dite 1B, qui doit préparer le développement d'un démonstrateur, qui devrait voler vers 2029. 4 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ronfly Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 il y a 1 minute, ARPA a dit : D'ailleurs si on reprend l'interview, il a pris 2 ans de retard en 2 paragraphes... Je cite : L'accord industriel ouvre la voie à la signature du contrat d'études, dite Phase 1B, qui doit préparer la construction d'un démonstrateur, dont les essais en vol sont prévus à l'horizon 2027. Le Figaro. - Depuis un an, le projet de Système de combat aérien du futur (Scaf) est suspendu à un accord industriel entre Airbus et Dassault Aviation sur l'avion de combat de nouvelle génération (NGF). Aujourd'hui, êtes-vous en mesure d'annoncer que cet accord a été conclu ? Éric Trappier. – Le Scaf est un projet politique lancé par le Président Emmanuel Macron et la Chancelière Angela Merkel en 2017, et à l'arrêt depuis l'été 2021. Alors, oui, aujourd'hui c'est fait. Nous avons un accord avec Airbus. Tous les blocages ont été levés. Nous allons pouvoir entrer dans l'exécution de la nouvelle phase d'études, dite 1B, qui doit préparer le développement d'un démonstrateur, qui devrait voler vers 2029. Effectivement ça fait super crédible du coup. Quelle com aux petits oignons depuis quelques temps... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BP2 Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 il y a 25 minutes, Ronfly a dit : En tout cas avec le premier vol prévu en 2029 au mieux pour le démonstrateur, on est bien loin de l'aboutissement et le possible NGF qui doit en découler de façon ops vers 2045 sera plutôt un appareil de soit disant 7eme génération même si ça ne veut pas dire grand chose... A ce rythme il faudrait partir sur un avion spatial plutôt !... En plus les Allemands ont reçu de la France les compétences sur les moteurs fusées il me semble, ils seraient contents...!!! ;). Pauvre de nous Je ne comprend pas tout à ce planning. Le Rafale A a été fait en 4 ans, certes en ne partant pas d'une page blanche. On est demain en 2023. 2029 -2023 c'est bien (trop) long ! Et entre le 1er vol du Rafale A (1986) et celui du C, il s'est passé 5 ans, et sans chute du mur de Berlin le premier escadron opérationnel était attendu en 1996 soit 10 ans au total. Là on parle de 15 ans ! Je suis sur que si on y met le paquet on doit encore pouvoir avoir un NGF en 2040, quitte à ce qu'il soit avec un seul standard air air. il y a 20 minutes, Benji10 a dit : Accord entre Dassault Aviation et Airbus sur l’avion de combat du futur - Actualités Corporate (dassault-aviation.com) http://www.dassault-aviation.com/fr/groupe/actualites/accord-entre-dassault-aviation-et-airbus-sur-lavion-de-combat-du-futur/ avec une boulette ! "interview ce Jeudi 1er NOVEMBRE" 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 il y a 22 minutes, BP2 a dit : Je ne comprend pas tout à ce planning. Le Rafale A a été fait en 4 ans, certes en ne partant pas d'une page blanche. On est demain en 2023. 2029 -2023 c'est bien (trop) long ! Et entre le 1er vol du Rafale A (1986) et celui du C, il s'est passé 5 ans, et sans chute du mur de Berlin le premier escadron opérationnel était attendu en 1996 soit 10 ans au total. Là on parle de 15 ans ! Je suis sur que si on y met le paquet on doit encore pouvoir avoir un NGF en 2040, quitte à ce qu'il soit avec un seul standard air air. avec une boulette ! "interview ce Jeudi 1er NOVEMBRE" Il y a clairement soit une tentative de jouer la montre ou un buffer pour parer aux retards dont on est deja certains (programme par tranches). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
laurent simon Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 (modifié) il y a une heure, BP2 a dit : Je ne comprend pas tout à ce planning. Le Rafale A a été fait en 4 ans, certes en ne partant pas d'une page blanche. On est demain en 2023. 2029 -2023 c'est bien (trop) long ! A mon avis il faut intégrer plusieurs choses, et en particulier : c'est un démonstrateur, comme pour le Rafale A c'est-à-dire un avion permettant de valider ou affiner certaines hypothèses, voire modifier de façon significative des éléments essentiels. Il n'y a pas selon moi de raison a priori pour que cela prenne autant de temps, surtout s'il y a un saut qualitatif encore plus important (ce que je crois) qu'entre le Rafale et les avions DA d'avant et ce qui est vrai pour l'avion (NGF)est encore plus vrai si l'on tient compte de l'ensemble Scaf (avion+drônes, système de systèmes, aspects informatiques encore plus différents,etc.) ce qui d'ailleurs n'empêchera qu'il puisse y avoir d'autres essais sur le Rafale 4 et 5 (avant le démonstrateur et après) Donc pour moi c'est très différent. et en plus, il est prévu d'entrée de jeu que le NGF vole seulement à partir de 2040 (et non pas du fait de décalage temporel ultérieur de la mise en service du Rafale, faute d'argent et/ou parce que les priorités françaises avaient changé avec la Chute du Mur) il y a une heure, BP2 a dit : Et entre le 1er vol du Rafale A (1986) et celui du C, il s'est passé 5 ans, et sans chute du mur de Berlin le premier escadron opérationnel était attendu en 1996 soit 10 ans au total. Là on parle de 15 ans ! Oui, et cela me semble complètement logique (surtout, je le répète, qu'il peut y avoir d'autres essais avec le Rafale 4 (connectivité, notamment),5 (radar multistatique ? par exemple) et avec les drones (démonstrateurs ?, prototypes ?) éventuels il y a une heure, BP2 a dit : Je suis sur que si on y met le paquet on doit encore pouvoir avoir un NGF en 2040, quitte à ce qu'il soit avec un seul standard air air. Oui, pour moi aussi. Car cela ne me semble pas complètement incompatible avec ce que je dis ci-dessus, cela dépendra du résultat des phases d'études et des essais entre temps. Et de toute façon il nous manque énormément d'infos sur ce qu'ils veulent faire vraiment,donc on ne peut pas dire grand chose. Modifié le 1 décembre 2022 par laurent simon 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Deltafan Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 (modifié) Il y a 3 heures, Niafron a dit : Voeu perso: qu'ils changent le dessin, l'arrière avec les deux dérives obliques, j'aime pas du tout. N'y voyez aucun commentaire d'ordre technique, c'est juste la gueule du bidule, j'aime pas. Bienvenue au club (en plus, il ressemblerait trop à la dernière maquette du Tempest II présentée par les Perfidalbioniens) Il y a 2 heures, ARPA a dit : D'ailleurs si on reprend l'interview, il a pris 2 ans de retard en 2 paragraphes... Je cite : L'accord industriel ouvre la voie à la signature du contrat d'études, dite Phase 1B, qui doit préparer la construction d'un démonstrateur, dont les essais en vol sont prévus à l'horizon 2027. Le Figaro. - Depuis un an, le projet de Système de combat aérien du futur (Scaf) est suspendu à un accord industriel entre Airbus et Dassault Aviation sur l'avion de combat de nouvelle génération (NGF). Aujourd'hui, êtes-vous en mesure d'annoncer que cet accord a été conclu ? Éric Trappier. – Le Scaf est un projet politique lancé par le Président Emmanuel Macron et la Chancelière Angela Merkel en 2017, et à l'arrêt depuis l'été 2021. Alors, oui, aujourd'hui c'est fait. Nous avons un accord avec Airbus. Tous les blocages ont été levés. Nous allons pouvoir entrer dans l'exécution de la nouvelle phase d'études, dite 1B, qui doit préparer le développement d'un démonstrateur, qui devrait voler vers 2029. Le Figaro écrit 2027, Trappier dit 2029, comme sur le site Dassault. Modifié le 1 décembre 2022 par Deltafan 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
wagdoox Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 il y a une heure, laurent simon a dit : Oui, et cela me semble complètement logique (surtout, je le répète, qu'il peut y avoir d'autres essais avec le Rafale 4 (connectivité, notamment),5 (radar multistatique ? par exemple) et avec les drones (démonstrateurs ?, prototypes ?) éventuels En aucun cas. Tu confonds tout là. Le ngf devait sortir en 2035 et etre mature en 2040. La cible a ete repoussé 2040 pour la mise en service et 2050 pour la maturite « nucleaire ». Le radar multistatique est prevu sur rafale bien avant. La connectivite par laser aussi. Les drones alors là pas du tout l’interet du ngf est justement de pouvoir se debrouillé seul en mode dégradé et donc sans reseaux et donc sans drones. Le rafale aura ses drones bien avant le ngf. il y a 12 minutes, Deltafan a dit : Figaro écrit 2027, Trappier dit 2029, comme sur le site Dassault. C’est pourtant la meme maison ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Bechar06 Posté(e) le 1 décembre 2022 C’est un message populaire. Share Posté(e) le 1 décembre 2022 (modifié) Finalement à qui faire confiance ? Aux allemands .. Non ! sauf si ils se plient et tiennent compte de l'expérience, de la durabilité, de la vision et des compétences de DA... Mais on les tient sous surveillance étroite ! En nos politiques ? Peut-être .. Si ils tiennent compte de l'expérience, de la durabilité, de la vision et des compétences de DA... Depuis 1950s à 2050s ! Bien supérieures à n'importe quel homme politique français En Eric Trappier et ses acolytes, passés ( Marcel, Serge .. ) et à venir ( Dauphin de Eric Trappier qui mûrit sans doute lentement mais sûrement dans "la maison" ) : Oui, parce qu'ils incarnent la longévité et la constance, avec une vision et une souveraineté hors-pair ! avec un esprit français assez constant et consensuel depuis 6 décennies Bref : Votons DA et Eric ! Modifié le 1 décembre 2022 par Bechar06 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean-Yves Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 Je ne vois pas bien l'intérêt stratégique pour la France de se lancer là dedans. Je n'y vois que des inconvénients. 1 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bechar06 Posté(e) le 1 décembre 2022 Share Posté(e) le 1 décembre 2022 il y a 8 minutes, Jean-Yves a dit : Je ne vois pas bien l'intérêt stratégique pour la France de se lancer là dedans. Je n'y vois que des inconvénients. Perso. Je pense que si DA est parti dans cette aventure - certes risquée - c'est que c'est d'abord BON pour DA, et donc bon pour la France ! ********************* Résumé de la situation selon https://air-cosmos.com/article/scaf-eric-trappier-annonce-un-accord-et-un-demonstrateur-en-vol-pour-2029-63687 "Désormais, Éric Trappier, le PDG de Dassault Aviation, a confirmé auprès du Figaro qu'un accord industriel avait été trouvé. Il a notamment annoncé que Dassault Aviation restait le maitre d’œuvre du SCAF et qu'une équipe incluant des ingénieurs allemands, espagnols et français allait prochainement s'installer à Saint-Cloud (siège de Dassault Aviation). Il annonce aussi une première échéance : le démonstrateur du SCAF devrait prendre son envol pour la première fois en 2029. A plus court termes, il s'agit surtout d'un accord sur la phase 1B du programme ; définition de l'architecture du démonstrateur en question. La phase 2 concerne la commande, la construction et les essais du démonstrateur. Un accord concernant cette seconde phase devra être signé dans deux à trois ans. Pour rappel, le SCAF consiste en un système de systèmes et cet accord semble centré sur l'avion de combat piloté. Ce dernier sera furtif et interconnecté avec les autres systèmes (drones aux capacités spécifiques comme la guerre électronique, la reconnaissance, etc). Trois pays sont intégrés dans ce programme, avec un industriel de 1er ordre : L'Allemagne et Airbus L'Espagne et Indra La France et Dassault Aviation Hasard du calendrier ou non, cette annonce a été effectuée 10 ans jour pour jour après le premier vol du drone Neuron de Dassault Aviation" 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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