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Guerre Russie-Ukraine 2022+ : Opérations militaires


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Il y a 1 heure, Ciders a dit :

Techniquement, il a été envahi (les îles Anglo-Normandes).

Pour les chances de l'invasion, c'est un sujet de fort brillantes uchronies. Et le résultat n'est pas toujours celui auquel on pourrait penser.

Révélation

Ouais enfin techniquement les USA ont été envahi par le Japon. Et techniquement les Allemands sont allés sur la Lune... Jersey et Guernesey de là à dire que l'Angleterre allait se faire envahir.. Je veux bien que pour certains faire traverser une mer à une armée ça se fait en 1 clic de souris, mais il y'a des limites. Et la maintenir, tout autant. 

 

Il y a 1 heure, Elemorej a dit :

Bof à l'été 40. Penchez vous sur l'état des stocks, les pertes et autres pour les UK, ils sont franchement pas loin d'y passer.

Je ne compare pas vraiment d'ailleurs, j'illustre mon propos, je donne des exemples, qui sont qu'au final, dans ces situations, tu as globalement que 2 choix:

- Tu te couches en espérant que tu survivras en tant qu'humain et que ta culture y survivra aussi. Le tout à la merci du vainqueur.

- Tu ne te couches pas, pour exactement les même désirs mais en comptant principalement sur ta force, ta volonté... et en ne croyant pas qu'en face il va juste te gronder. Ce n'est pas l'intervention extérieur qui te motive, ça soutien peut être ton moral mais de base ça reste un choix si oui ou non tu es prêt a te battre pour exister (culturellement s'entend, mais aussi humainement oui).

 

Révélation

Tu ne compares pas... mais ton exemple ici n'est pas bon pour illustrer ton propos. Pour tout autre pays continental, tu aurais eu raison. Juste pas l'UK. Je suis d'accord sur le reste. Mais la position de Churchill est un faux exemple.

On en a fait tout un parrallèle entre Zelensky et Churchill, comme une resistance à l'agresseur, mais ça s'arrête là le parrallèle. La situation du pays, ses moyens, et la stratégie initiale n'ont aucun point commun. Enfin si que l'Ukraine doive suffisamment attendre pour qu'elle soit rejoint par d'autres pays dans cette guerre, tout en recevant le matériel dont elle à besoin.

En général tu ne te couches pas car tu as la capacité de ne pas te coucher. Nuance. A moins d'être jusque boutiste et d'être la nouvelle Allemagne de l'an zéro.

PS je reste volontairement en masqué car c'est du pur HS et pas très pertinent.

Modifié par Pasha
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Ça défouraille le Mamba....

https://www.slate.fr/monde/guerre-ukraine-missiles-franco-italiens-abattent-avion-combat-russie-defense-antiaerienne-systeme-samp-t-mamba-alternative-patriot-aide-militaire-europe-etats-unis

..."Une bonne nouvelle pour Volodymyr Zelensky et pour l'armée ukrainienne, qui peut compter sur un système de défense antiaérienne efficace, sans dépendre du bon vouloir de l'administration Trump..."

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Il y a 3 heures, pascal a dit :

est-ce que tu qualifies de "jusqu'au-boutiste" tout gouvernement ukrainien qui réclamerait la restitution des territoires occupés par l'armée russe suite à une invasion* ?

Non parce qu'à ce moment là j'ignorais que le gouvernement provisoire de la République française qui militait pour le retour à l'intégrité du territoire national durant la seconde guerre mondiale fut "jusqu'au boutiste"

*en clair "Je te la mets bien profond sans vaseline mais tu serais quand même bien avisé de ne pas regimber espèce de jusqu'au-boutiste ..."

 

Du coup avec cette logique implacable les gouvernements Allemands qui n'exigent pas les territoires perdus en 45 sont des gouvernements fantoches ? Idem pour les gouvernements Français qui n'exigent pas le retour des départements Algérien j'imagine. Ne parlons pas des revendications Polonaise sur la Russie blanche, la coupe est déjà pleine.

C'est ça la vision ? Si tu reconnais la défaite territoriale contre la Russie tu es un fantoche, vrai Ukrainien patriote doit vouloir récupérer Sébastopol ?

Pour le coup à mon sens, nonobstant des territoires simili séparatiste l'Ukraine n'a pas perdu grand chose par contre elle a politiquement gagné son adhésion a l'UE, a l'OTAN et un blanc seing de la commission européenne sur le jacobinisme qu'elle va imposer à toutes ses minorités (Russe en première mais aussi Polonaise Roumaine et Hongroise). L'Ukraine ressort donc de la guerre avec un territoire plus petit, mais très largement unifié autour d'un mythe fondateur ET une homogénéité nationale qui est la base des états qui perdurent.

De mon point de vue sur le moyen terme elle gagne beaucoup plus de cette guerre que la Russie qui certes glane quelques millions d'habitants, mais perds globalement un accès au marché Européen qui était bien plus avantageux pour elle que le marché Chinois.

Encore une fois la plupart des analystes pensaient que l'Ukraine capitulerait en trois jours et deviendrait un (vrai) état fantoche en 2022.

 

Edit : par contre je suis assez partagé sur l'avenir de la relation Russo Ukrainienne et je mettrai Uelques billes sur la normalisation a moyen terme modulo quelques retour de territoires 

Modifié par Coriace
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Sur le front, l'Ukraine se bat et résiste grâce aux drones

https://www.lepoint.fr/monde/sur-le-front-l-ukraine-se-bat-et-resiste-grace-aux-drones-12-03-2025-2584594_24.php

Révélation

Sur le front, l'Ukraine se bat et résiste grâce aux drones

Boris Mabillard

Un tapis de verre brisé recouvre les décombres au pied des façades noircies. Des tôles arrachées, des bouts de métal tordus : c'est tout ce qu'il reste des échoppes de ce pâté de maisons. Deux missiles Iskander, un Tornado à sous-munitions et un drone Shahed se sont abattus sur ce quartier de Dobropillia, au nord de Pokrovsk. L'attaque a été planifiée pour faire le plus de victimes possible, le drone kamikaze portant le coup de grâce alors que les secouristes s'affairaient pour dégager les blessés. En tout, 11 corps sans vie et 50 blessés, plusieurs dans un état grave, ont été extirpés des décombres. En quatre jours, plus d'une dizaine de bombes ont visé Dobropillia, Kramatorsk, Kostiantynivka et Druzhkivka, dans le Donbass, faisant des dizaines de morts et de blessés sur des marchés, dans des barres d'immeubles ou dans des maisonnettes. Les habitants déplorent une funeste recrudescence des attaques aériennes, notamment avec des bombes guidées (KAB).

Les négociations de paix et l'arrêt de l'aide américaine – levé depuis l'accord ukrainien sur un cessez-le-feu – se traduisent par des résultats paradoxaux : d'un côté, loin de jouer l'apaisement, la Russie multiplie ses assauts, cible les populations civiles et recourt à des armes sales comme les gaz de combat ; de l'autre, loin de courber l'échine, faisant fi de l'arrêt de l'aide américaine, l'armée ukrainienne réussit à endiguer, grâce à son armée de drones, la progression des forces ennemies, sauf en territoire russe, dans la région de Koursk, où elle recule.

L'avance russe stoppée

Edouard traverse le champ de gravats à l'arrière de son magasin de matériel informatique, alors que tombent encore des pans de façade. Les ruines calcinées qu'ont laissées les deux missiles balistiques Iskander s'abattant sur Dobropillia l'ont interloqué. « Les millions que coûte chaque Iskander valent plus que le budget total de la ville. À quoi ça rime ? Est-ce juste pour terrifier les habitants ? » Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a condamné une attaque vile et cruelle : « La Russie ne cherche pas à mettre fin à la guerre, mais à détruire, et le monde la laisse faire. »

En s'alignant sur les positions russes, Donald Trump a changé les dynamiques à l'œuvre en Ukraine, mais pas forcément dans le sens qu'on attendait. Pour l'instant au moins, l'Ukraine parvient à compenser l'arrêt du soutien militaire américain même dans les domaines où ce dernier est le plus précieux : elle possède assez d'obus de 155 millimètres et de Patriot pour quelques mois encore, le système satellitaire Starlink d'Elon Musk n'a pas été coupé à ce jour, et les Ukrainiens développent des systèmes de remplacement. Quant à l'arrêt par Washington du partage du renseignement, on n'en mesure pas encore les répercussions pour l'armée ukrainienne, mais le front reste inchangé. L'Ukraine a une carte maîtresse : ses drones. L'armée russe s'y casse les dents. Dans le Donbass, où elle progressait lentement depuis l'été, son avance est stoppée.

Entre des bosquets, sur la route qui mène de Sloviansk à Bakhmout, en zone occupée, le commandant Sergey (un nom de guerre) abandonne son véhicule pour monter dans le gros pick-up de Youri qui est, lui, surmonté de nombreuses antennes de brouillage. « Grouillez-vous, lance Sergey aux autres passagers, mettez gilets et casques. Les brouilleurs n'offrent aucune garantie contre la mort. » Des explosions retentissent au loin. Un impact secoue le versant d'une colline d'où s'élève un nuage de fumée : « Ce sont nos positions que les Russes visent avec leurs drones et leur artillerie », explique Sergey. Youri prend le volant dans sa main énorme et avertit : « On ne va pas traîner. Il y a des drones. »

L'infanterie a dû s'adapter à la nouvelle donne dictée par le recours massif aux engins volants. « Ce n'est plus la même guerre, déclare Sergey, nous sortons moins souvent de nos trous. Le plus dangereux c'est d'y aller et d'en revenir. Dans nos tranchées, on regarde juste si personne ne passe. » Le matin même, l'artillerie a tonné, mais, depuis une dizaine de jours, les offensives russes ont baissé. « Nous sommes devenus inutiles. » L'infanterie doit se réinventer. L'artillerie aussi.

Début mars, les Russes ont réuni à l'arrière chars et blindés pour mener une tentative audacieuse d'enfoncement des lignes ukrainiennes au nord de Myrnohrad. Mais les drones ukrainiens, en alerte, ont pilonné les tanks de la colonne avant même qu'elle ait eu le temps de s'ébranler. « J'ai reçu l'ordre de préparer les chars d'assaut pour contrer cette offensive, raconte le commandant Mykyta, mi-figue, mi-raisin. Alors que nos moteurs chauffaient, le contre-ordre est tombé : “N'y allez pas ! La colonne est neutralisée.” »

Équipements dernier cri

Derrière une lourde porte en acier et en béton, dans une cave blindée, aménagée à 2 mètres sous terre et bardée d'équipements dernier cri, une dizaine de gradés surveillent sur des écrans à plasma les images des positions ennemies qu'envoient les drones de reconnaissance. Artem, adjoint du commandant d'un bataillon de la 157 e brigade, communique grâce au réseau Starlink avec son état-major. Il fait partie de ceux qui ont supervisé la dernière contre-offensive face à la colonne de blindés russes. « Le nombre d'offensives a baissé, constate-t-il, mais les Russes continuent à envoyer des hommes à la mort sans logistique ni soutien de l'artillerie. Ils montent parfois au combat sans casque ni gilet pare-balles ! Ils courent par-dessus les cadavres des fantassins qu'on laisse pourrir. Ils subissent des pertes considérables et n'évacuent plus ni morts ni blessés. »

Deux facteurs expliquent le renversement en faveur des Ukrainiens : « Premièrement, nous gagnons la bataille des drones, constate Artem. Nous en avons en plus grand nombre ; nos pilotes et nos différents types de drones sont plus efficaces que les leurs. Deuxièmement, les forces de l'armée russe déclinent à cause du manque d'hommes et de matériel et de la fatigue. »

Faute d’avoir réussi à percer nos lignes, les Russes se sont rabattus sur les drones et sur les gaz de combat.

L'armée ukrainienne manque aussi indéniablement d'hommes, notamment dans l'infanterie. « Par rapport à il y a un an, au début de l'offensive russe sur Avdiivka, nos unités n'ont plus que 60 % à 65 % de leurs effectifs. Il en va de même pour les Russes, ce n'est pas pour rien qu'ils ont recours à des supplétifs d'Afrique, du Népal ou de Corée du Nord. La différence ? En Ukraine, qui est une démocratie, on débat de ce problème. En face, chez les Russes, il est interdit d'en parler. »

Calé sur une chaise inclinable, Artem distribue calmement les ordres. Il n'a pas constaté de conséquences négatives pour son bataillon à la suite de la décision américaine d'arrêter de partager ses informations avec l'état-major ukrainien. « Il y a un mois, au moment où les négociations ont commencé en Arabie saoudite, les Russes ont mené des assauts avec tout ce qu'ils avaient sous la main, comme s'ils avaient reçu un feu vert de Washington. Mais, faute d'avoir réussi à percer nos lignes, ils se sont rabattus sur les drones et sur les gaz de combat. »

Des cadavres sans sépulture

Dans ce qui devait être une remise agricole, non loin du bunker ukrainien, deux soldats russes aux uniformes dépareillés et souillés attendent, presque au garde-à-vous. Le plus grand, Amour de son nom de guerre, parce qu'il vient de la région du fleuve du même nom, 37 ans, a rejoint les rangs de l'armée russe pour la solde. À côté de lui, un blond ébouriffé au regard bleu clair, hagard et fixe, qui répond au surnom de Kazace, semble sonné. Les deux disent être bien traités et ne portent pas de traces visibles de coups, sauf des ecchymoses sur les mains qu'ils disent s'être faites durant l'assaut.

Ils acceptent sans contrainte de raconter ce qui les a conduits là et qui tient autant de la désertion que de la capture. Recrutés en janvier, sans expérience militaire, ils ont suivi une formation sommaire et se sont retrouvés fantassins dans les troupes d'assaut. Ils disent n'avoir jamais rencontré leur commandant, seulement des instructeurs. « Il y a cinq jours, nous avons reçu l'ordre de partir à l'assaut. » Guidés à distance par talkie-walkie, douze soldats progressent ainsi à pied, sans gradé ni chef avec eux ; certains tombent sous le feu des drones ukrainiens. En plus des corps de ses camarades tués lors de l'assaut, Amour dit avoir vu d'autres cadavres russes abandonnés sans sépulture.

L'escouade parvient néanmoins à s'emparer d'une tranchée ukrainienne après un bref combat. Les pertes sont importantes : Amour et Kazace se retrouvent au fond de la tranchée avec un blessé ukrainien et, contre toute attente, les drones de leur propre camp les prennent pour cible, larguant bombes et gaz toxiques. Une contre-offensive ukrainienne est lancée, dirigée par Artem. « Ma hiérarchie, explique ce dernier, m'a donné l'ordre de libérer la position, de sauver notre blessé et d'éliminer les éléments ennemis. Mais j'ai choisi de leur laisser la vie sauve et de les capturer. Nous constatons une intensification des attaques au gaz sur notre partie du front, un pic quasi sans précédent. »

Oleh, un ancien de la Légion étrangère devenu officier des troupes d'assaut du renseignement militaire ukrainien (le GUR), est plus nuancé sur le recours au gaz, généralement du sarin, de la lewisite ou de la chloropicrine. L'utilisation d'armes sales n'est pas systématisée et se ferait plutôt à l'initiative des commandants sur le terrain. « Avec la tenue de négociations, le recours à ces armes décriées n'est pas dans l'intérêt du Kremlin. On constate plutôt une baisse de leur utilisation à l'échelle du front. » Pour Oleh, les Russes se concentrent sur leur objectif principal du moment, la reprise de la portion de territoire russe occupée par les Ukrainiens dans la région de Koursk. Cela contribue à expliquer la baisse de l'intensité des assauts dans le Donbass. « Ils ont redéployé des brigades entières dans la région de Koursk, notamment la 810 e. » Autant d'hommes qui manquent sur le front russe du Donbass, au moment où les dronistes ukrainiens montaient en puissance.

Nouvelle organisation

À Découvrir Le Kangourou du jour Répondre « En outre, relate Oleh, nous réformons l'armée : chaque brigade a désormais son bataillon de dronistes. La nouvelle organisation porte ses fruits. Les Russes conservent toutefois une avance avec leurs drones filaires, mais nous les rattraperons bientôt. » Ces drones, reliés à leurs pilotes respectifs par une fibre optique longue de plusieurs kilomètres, permettent d'éviter le brouillage. Côté ukrainien comme côté russe, l'envie monte de voir les canons se taire. L'ouverture de négociations nourrit l'espoir d'un cessez-le-feu, pour le meilleur ou pour le pire. « Dans les communications que nous avons captées, beaucoup de Russes espèrent une pause avant Pâques, détaille Oleh. Pareil dans le camp ukrainien. Cela diminue l'ardeur au combat : personne ne veut mourir lors de la dernière offensive. »

Sergey, dont l'épouse devrait accoucher en mai, est impatient de rentrer chez lui. « Nous allons avoir une fille, j'aimerais être là pour l'accueillir. Cette guerre technologique est totalement absurde, mais on s'habitue à tout. La première fois que je me suis couché dans une tranchée, j'étais horrifié par les vers de terre et les explosions. Après une semaine, je ne prêtais même plus attention aux souris qui couraient sur mon buste et sur mon visage. Je voulais juste dormir. » Artem, lui, craint que le cessez-le-feu n'arrive à contretemps : « Nous nous renforçons peu à peu sur le front Est. Ce n'est pas le moment de faire des concessions. » 

 

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L'évocation de l'usage (russe) de gaz de combats me laisse un peu perplexe.

Si c'était le cas d'une manière manifeste ou généralisé, il me semble que cela aurait déjà fait l'ouverture des JT, preuves à l'appui, pour influer vers une position "forte" vis-à-vis des barbares sans lois qui utilisent ce type d'armes proscrites.

D'autant que la Russie a ratifié la convention sur l'interdiction des armes chimiques et s'exposerait sans ambiguïté ni nuance à la révélation de leur double jeu (pas vraiment dans leurs habitudes d'avoir une position sans ambiguïté, ni nuance).

 

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https://www.lavoixdunord.fr/1563772/article/2025-03-12/la-russie-atteint-ses-limites-quatre-raisons-de-croire-en-une-victoire-militaire

Les 4 raisons d'y croire pour l'Ukraine si la guerre continue :

- manque d'équipements sur le front pour les Russes 

- l'Ukraine produit massivement des armes et surtout des drones par millions 

- ils contre attaques dans le dombass et on stabilisé ce front

- les Européens se sont réveillés et commence leur réarmement physique comme intellectuel

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il y a 10 minutes, Ronfly a dit :
  1. manque d'équipements sur le front pour les Russes 
  2. l'Ukraine produit massivement des armes et surtout des drones par millions 
  3. ils contre attaques dans le dombass et on stabilisé ce front
  4. les Européens se sont réveillés et commence leur réarmement physique comme intellectuel
  1. Ca ne saute pas aux yeux, et c'est une sorte de mantra qu'on répete depuis 3 ans. A mon sens les ukrainiens en manque au moins autant que les Russes.
  2. Ca c'est pareil on les attend toujours les armes ... ou elles sont bien discrete. A part les drones et encore c'est surout des petits modele qui sont produit en masse.
  3. Il contre attaque certes, mais la question c'est pourquoi et à quel prix. Est contextuel, l'effet Trump et peser sur les négos? Est stratégique, y a t il un projet militaire derriere ... c'est assez peu lisible. Pour le front stabilisé pareil, ca va ca vient, c'est moins pire qu'hier mais on ne voit pas vraiment de stabilisation, plutot des aller retour assez consommateurs de ressource dans les deux camps.
  4. ca va prendre des année non?
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il y a 1 minute, g4lly a dit :
  1. Ca ne saute pas aux yeux, et c'est une sorte de mantra qu'on répete depuis 3 ans. A mon sens les ukrainiens en manque au moins autant que les Russes.
  2. Ca c'est pareil on les attend toujours les armes ... ou elles sont bien discrete. A part les drones et encore c'est surout des petits modele qui sont produit en masse.
  3. Il contre attaque certes, mais la question c'est pourquoi et à quel prix. Est contextuel, l'effet Trump et peser sur les négos? Est stratégique, y a t il un projet militaire derriere ... c'est assez peu lisible. Pour le front stabilisé pareil, ca va ca vient, c'est moins pire qu'hier mais on ne voit pas vraiment de stabilisation, plutot des aller retour assez consommateurs de ressource dans les deux camps.
  4. ca va prendre des année non?

Perso, j'en ai aucune idée étant à 2000km du front, par contre nos grands pontes le savent très bien si c'est réaliste vu qu'ils continuent à les pousser.

J'ai juste résumé un article de presse positif pour l'Ukraine.

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il y a 15 minutes, Ronfly a dit :

Perso, j'en ai aucune idée étant à 2000km du front, par contre nos grands pontes le savent très bien si c'est réaliste vu qu'ils continuent à les pousser.

J'ai juste résumé un article de presse positif pour l'Ukraine.

Il y a des sources sérieuses depuis le début du conflit qui cartographie et informent des combats, avec moult preuve vidéo etc. Aucune meme les Ukrainiennes n'expliquent que l'Ukraine à changer de momentum. Au mieux pour le moment on pense à un regain d'engagement pour donner une image plus positive du rapport de force lors des négociations.

Dans le meme temps la poche Koursk se résorbe à vitesse grand V ... et les troupes dispos ensuite risquent de se mettre en ordre pour instaurer la zone tampon nord annoncé par Poutine.

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il y a 11 minutes, g4lly a dit :

Il y a des sources sérieuses depuis le début du conflit qui cartographie et informent des combats, avec moult preuve vidéo etc. Aucune meme les Ukrainiennes n'expliquent que l'Ukraine à changer de momentum. Au mieux pour le moment on pense à un regain d'engagement pour donner une image plus positive du rapport de force lors des négociations.

Dans le meme temps la poche Koursk se résorbe à vitesse grand V ... et les troupes dispos ensuite risquent de se mettre en ordre pour instaurer la zone tampon nord annoncé par Poutine.

Bien sûr que c'est une situation difficile pour les Ukrainiens. Mais tenir depuis 3 ans un front de 1200 bornes contre des Russes disposant de stocke titanesque de matériels/munitions, c'est une sacré victoire...

Modifié par Ronfly
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il y a 6 minutes, Ronfly a dit :

Bien sûr que c'est une situation difficile pour les Ukrainiens. Mais tenir depuis 3 ans un front de 1200 bornes contre des Russes disposant de stocke titanesque de matériels/munitions, c'est une sacré victoire...

Si perdre c'est gagner, alors oui ...

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