Benoitleg Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures il y a 14 minutes, Wallaby a dit : En Angleterre, ce n'est pas « plutôt la Corrèze que le Zambèze », mais « plutôt le Kent que Kiev » : https://uk.news.yahoo.com/british-put-kent-kyiv-171008489.html & https://www.telegraph.co.uk/news/2025/08/19/british-right-should-put-kent-before-kyiv/ (19 août 2025) La droite britannique devrait privilégier le Kent plutôt que Kiev Une tension émerge dans le monde occidental sur le poids à accorder à l'intérêt national par rapport aux implications dans des conflits lointains. L'intensité furieuse avec laquelle tant de conservateurs d'un certain âge suivent chaque rebondissement du conflit entre la Russie et l'Ukraine – alors même lorsqu'ils sont confrontés au ristque de tomber dans l'oubli électoral – peut être difficile à comprendre. L'explication la plus plausible est peut-être qu'il s'agit d'un déplacement psychologique, une façon d'esquiver le spectre du déclin national en poursuivant le fantôme d'une influence géopolitique qui a disparu depuis longtemps. Le débat met en évidence le réalisme fondé sur des principes de la Nouvelle Droite, un réalisme qui tente d'équilibrer les revendications de justice et les priorités concurrentes des nations touchées de différentes manières et à des degrés divers par les conflits géopolitiques. Malheureusement, cette approche semble exaspérer la Vieille Droite, qui insiste pour refléter presque toutes les crises géopolitiques à travers le prisme des années 1930 et 1940. Imprégnés des mythes d'après-guerre sur l'exceptionnalisme britannique – la folie de Chamberlain, l'héroïsme de Churchill, le courage du Blitz –, ils insistent pour traiter Poutine comme Hitler, Zelensky comme Churchill, l'Ukraine comme la Pologne, et toute recherche d'une solution pacifique comme l'apaisement d'un Chamberlain ou la collaboration d'un Pétain. Cette mentalité – « World War Two Brain » (cerveau de la Seconde Guerre mondiale), dans le jargon des Zoomers de droite qui en sont les plus mystifiés – motive une réflexion désespérément confuse et ignore la realpolitik de la paranoïa de longue date de la Russie à l'égard de l'OTAN, les effets dévastateurs du conflit sur les prix de l'énergie en Europe et le réalignement désastreux de la Russie avec la Chine. Cela alimente une confrontation qui inflige à l'Ukraine des dommages dont elle mettra des décennies à se remettre, cela épuise les ressources de la Grande-Bretagne alors que le pays est confronté à une série de défis internes sans précédent dans l'histoire récente, et cela diabolise les voix qui appellent à la paix et à la retenue. Heureusement, c'est une mentalité que le vice-président américain rejette sans équivoque. Il comprend que l'idéalisme naïf et les analogies anachroniques sont une source de conflits et d'instabilité, et que l'Amérique doit rechercher la paix par la force alors qu'elle navigue dans un monde multipolaire qui ne pourrait être plus différent du paysage géopolitique qui a disparu il y a près d'un siècle. Quant aux figures émergentes de la nouvelle droite britannique, elles semblent être les seules à comprendre que le moment est venu de se rallier derrière des politiciens qui feront passer le Kent avant Kiev, Glasgow avant Gaza et Bournemouth avant Beijing. 430 mots pour signifier qu’ils veulent faire cul et chemise avec la Russie (ou gaz et engrais) ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures @herciv : certains politiciens nous ont habitué au "après moi le déluge", mais bon, nous sommes tous bien conscient que les élections municipales se tiendront les 15 et 22 mars 2026 ??? De là à penser qu'il n'y a qu'un pas pour occuper l'espace médiatique et politique sur des sujets autres que ceux qui fâchent les Français... Sans compter le risque de législatives anticipées, les prochaines élections présidentielles, ce sera en 2027. Dans les (trois) cas, tant qu'on parle des trompettes du Président, on ne parle pas de son bilan national ni des projets des différents partis pour la France. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures (modifié) il y a 9 minutes, rendbo a dit : @herciv : certains politiciens nous ont habitué au "après moi le déluge", mais bon, nous sommes tous bien conscient que les élections municipales se tiendront les 15 et 22 mars 2026 ??? De là à penser qu'il n'y a qu'un pas pour occuper l'espace médiatique et politique sur des sujets autres que ceux qui fâchent les Français... Sans compter le risque de législatives anticipées, les prochaines élections présidentielles, ce sera en 2027. Dans les (trois) cas, tant qu'on parle des trompettes du Président, on ne parle pas de son bilan national ni des projets des différents partis pour la France. L'arbre qui cache la forêt d'après toi ? Moi j'ai tendance à penser que le déficit budgétaire et les menaces géopolitique sont la forêt et que le bilan de Macron est l'arbre. Dans moins de deux ans Macron rend son tablier et le paysage politique actuel me semble bien terne pour gérer ce qui va nous tomber dessus. J'espère que quelqu'un de réfléchi et d'anticipateur va sortir de là. Vu comment les extrémistes de tout bord sont instrumentalisés par nos amis russes ou US, j'espère que les français en tiendront compte. Modifié il y a 11 heures par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures il y a 15 minutes, Benoitleg a dit : 430 mots pour signifier qu’ils veulent faire cul et chemise avec la Russie (ou gaz et engrais) ? pas que, 430 mots pour dire qu'il y a plein de problèmes au RU à régler avant de faire les kékés un peu partout dans le monde, (mais seulement sur des situations qui les arrange), et qu'à ce titre l'argent des contribuables, devrait être utilisé pour autre chose que s'illusionner sur des rêves de puissance qui ne sont plus. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures Il y a 2 heures, herciv a dit : "Mes pensées vont aux victimes ukrainiennes, ainsi qu'au personnel de la représentation de l'UE, dont le bâtiment a été endommagé à la suite de cette grève délibérée de la Russie", a souligné Mme Costa. Il y a quand même des problèmes récurrents dans la traduction de l'anglais au français Nous apprenons que la Russie a effectué des "grèves délibérées". Confusion de l'automate entre "strike" la frappe et "on strike" en grève Sans le contexte, on pourrait comprendre que les Russes sont une espèce de Français, et Vladimir Poutine est à la tête de la CGT il y a 34 minutes, Wallaby a dit : En Angleterre, ce n'est pas « plutôt la Corrèze que le Zambèze », mais « plutôt le Kent que Kiev » :(...) Heureusement, c'est une mentalité que le vice-président américain rejette sans équivoque. Il comprend que l'idéalisme naïf et les analogies anachroniques sont une source de conflits et d'instabilité, et que l'Amérique doit rechercher la paix par la force alors qu'elle navigue dans un monde multipolaire qui ne pourrait être plus différent du paysage géopolitique qui a disparu il y a près d'un siècle. La question de l'équilibre entre questions intérieures et géopolitique se pose bien évidemment, mais ce texte me semble un peu orienté ... Bon, au moins ça change des sycophantes de Trump, puisque dans ce cas c'est JD Vance qui est identifié comme Notre Sauveur 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures il y a 2 minutes, herciv a dit : L'arbre qui cache la forêt d'après toi ? Moi j'ai tendance à penser que le déficit budgétaire et les menaces géopolitique sont la forêt et que le bilan de Macron est l'arbre. Dans moins de deux ans Macron rend son tablier et le paysage politique actuel me semble bien terne pour gérer ce qui va nous tomber dessus. J'espère que quelqu'un de réfléchi et d'anticipateur va sortir de là. Vu comment les extrémistes de tout bord sont instrumentalisés par nos amis russes ou US, j'espère que les français en tiendront compte. Savoir ce qu'est l'arbre qui cache la forêt ou pas, l'actualité politique et économique française me laisse à penser que nous ne sommes pas du même avis, ce qui ne me dérange pas. Quand à la fameuse voie/voix de la raison que notre PR défend, tout en taxant toutes les autres propositions que les siennes d'extrèmes quelque chose ou d'irréalistes pour les discréditer ? Je ne sais pas ce qu'en pense les autres Français, mais nous fleurtons tellement avec la chartre que je ne pousserai pas le raisonnement trop loin par là. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures Il y a 13 heures, herciv a dit : L'Europe se prépare à faire la guerre contre Poutine sans l'autorisation de Trump ni son soutien. La mobilisation des hôpitaux en France a commencé. Tu es à 20 points : dans 5 points c'est la modération du contenu ou plus probablement l'éjection car on aura autre chose à faire qu'à régler ta logorrhée auto-réalisatrice ... Quasi trois pages à toi tout seul de "whishful thinking" (on va en discuter dans la modération en attendant tes prochains posts). 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures Il y a 4 heures, herciv a dit : Quand la guerre vous tombe dessus on ne peut la mener qu'avec ce qu'il y a de disponible à ce moment. La France n'aura pas le même boulet que les autres européens concernant l'utilisation de nos matériels. L'illusion des armes US et du "kill switch" va être testée. Comme tu le sais, je suis en désaccord avec toi concernant les chances d'une intervention de pays européens en Ukraine Cela dit le point que tu soulèves pourrait se poser dans le scénario du pire, c'est à dire le passage d'un seuil et le basculement vers l'effondrement de l'armée ukrainienne, suivi d'une décision de Poutine de prendre le contrôle de l'Estonie voire des trois Baltes en mode "battre le fer tant qu'il est chaud", par exemple en 2026 Dans ce pire scénario - Soit l'invasion de l'Estonie serait dissuadée par Washington - Soit le président américain ferait remarquer qu'il était imprudent pour un petit pays comme, l'Estonie de s'attaquer à un pays aussi grand que la Russie. Et que tout ça est très dommage sans doute Dans cette dernière éventualité, où il n'y a pas de doute que plusieurs pays européens y compris la France entreraient en guerre... Oui, ce serait un test en vraie grandeur de l'idée comme quoi certaines armes américaines auraient un "kill switch" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 10 heures Share Posté(e) il y a 10 heures (modifié) il y a 17 minutes, Alexis a dit : Comme tu le sais, je suis en désaccord avec toi concernant les chances d'une intervention de pays européens en Ukraine Cela dit le point que tu soulèves pourrait se poser dans le scénario du pire, c'est à dire le passage d'un seuil et le basculement vers l'effondrement de l'armée ukrainienne, suivi d'une décision de Poutine de prendre le contrôle de l'Estonie voire des trois Baltes en mode "battre le fer tant qu'il est chaud", par exemple en 2026 Dans ce pire scénario - Soit l'invasion de l'Estonie serait dissuadée par Washington - Soit le président américain ferait remarquer qu'il était imprudent pour un petit pays comme, l'Estonie de s'attaquer à un pays aussi grand que la Russie. Et que tout ça est très dommage sans doute Dans cette dernière éventualité, où il n'y a pas de doute que plusieurs pays européens y compris la France entreraient en guerre... Oui, ce serait un test en vraie grandeur de l'idée comme quoi certaines armes américaines auraient un "kill switch" On n'y est pas encore. On est juste dans une phase de montée en puissance qui permettra à nos politiques de prendre des décisions en sachant sur quel outil ils peuvent compter. Moi ce que je montre avec les liens que j'ai donnés c'est que l'outil se met en place et que des seuils "techniques" ont été donné. Après ce que tu signals relève de seuils politiques plausibles mais que je n'ai pas encore vu annoncés. Je ne pense pas d'ailleurs qu'ils seront vraiment annoncés compte tenu de la gestion de l'escalade. Modifié il y a 10 heures par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Akilius G. Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures il y a 55 minutes, Benoitleg a dit : 430 mots pour signifier qu’ils veulent faire cul et chemise avec la Russie (ou gaz et engrais) ? Pas nécessairement : - potentiellement, cela peut être effectivement une forme de copinage avec la Russie - ou une exigence critique de justification des efforts demandés aux électeurs et de la stratégie conduite Entre les deux, l espace est large 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures La Pologne fâchée : https://uatv.ua/en/nawrocki-blocks-aid-law-putting-ukrainians-at-risk-and-eroding-trust-with-kyiv/ Nawrocki bloque la loi d'aide, mettant les Ukrainiens en danger et égales à la confiance avec Kiev Publiée: 28 août 2025 15 h 17 Le nouveau président polonais Karol Nawrocki, avec son épouse Marta Nawrocka, montre un signe V lors de la cérémonie d'investiture à Varsovie, en Pologne, mercredi, août. 6, 2025. Source: AP Photo/Czarek Sokolowski La décision du président polonais d’opposer son veto à la loi sur la protection des Ukrainiens risque de saper la confiance entre Varsovie et Kiev, en fin de compte en faisant passer les mains de Moscou. La décision du Président nouvellement élu Karol Nawrocki a surpris et en même temps signalé un changement plus large dans l'atmosphère politique entre les deux pays. Cette question ne se limite pas au soutien financier ou à l'accès au système de santé polonais pour les Ukrainiens bénéficiant d'une protection temporaire. Cela soulève une question stratégique plus profonde : la Pologne peut-elle rester un partenaire fiable pour l'Ukraine en temps de guerre, d'autant plus que Moscou cherche à exploiter les divisions entre les alliés de Kiev ? En savoir plus à ce sujet dans l'article de Bohdan Popov, chef du groupe de réflexion unis pour l'Ukraine, spécialiste des communications et personnalité du public. Tout d'abord, Popov informe que la législation sur le veto aurait étendu la protection temporaire des Ukrainiens en Pologne jusqu'en mars 2026 et spécifié des règles pour la réception des allocations familiales. Pour près de 900 000 Ukrainiens actuellement sous protection, il aurait fourni d'importantes garanties contre les défis sociaux. Au lieu de cela, le président Karol Nawrocki a décidé que de telles garanties ne devraient s'appliquer qu'aux personnes officiellement employées en Pologne ou dans les entreprises qui y dirigeaient. En conséquence, de nombreuses familles ukrainiennes - en particulier les mères avec enfants, les étudiants et les personnes atteintes de maladies chroniques qui ne peuvent pas travailler - perdent l'accès à l'aide. Le veto perturbe également le financement de plusieurs projets clés soutenus par la Pologne. Inévitablement, cette mesure est moins considérée comme une recherche de « justice sociale », comme le prétend le président, et plus comme une décision politique. Deuxièmement, l'auteur fait valoir que Kiev a toujours montré sa volonté de régler les différends avec Varsovie, allant du commerce agricole aux droits des travailleurs migrants. L'Ukraine a même pris des mesures politiquement difficiles chez elle pour préserver l'unité stratégique avec la Pologne. Dans ce contexte, le veto présidentiel semble injustifié et suscite des doutes: est-ce vraiment lié aux préoccupations économiques, ou plutôt à un calcul politique? L'Ukraine s'est déjà efforcée d'éviter les frictions - accepter les mécanismes de régulation des exportations agricoles, coopérer sur la politique migratoire et prendre en considération les intérêts polonais dans ses discussions avec l'UE. À cet égard, le refus de Varsovie de fournir une assistance semble irrationnel et est plutôt considéré comme une mesure qui accentue les tensions à l’avantage de tiers. Troisièmement, l'expert explique que les chiffres officiels montrent qu'environ 1,5 million d'Ukrainiens résident actuellement en Pologne, avec plus de 700 000 employés légalement. Le veto du président frappera principalement les plus vulnérables - sans employeur polonais ou travaillant à distance pour les entreprises ukrainiennes. Au-delà de la création de tensions sociales, cette décision risque de nuire à la réputation de la Pologne en tant que base de soutien clé de l'Ukraine dans les premières années de la guerre. Tout aussi troublante est la politisation des questions historiques. Les propositions visant à « de certains symboles de Bandera aux symboles nazis et communistes » ressemblent moins à une politique d’État saine et à des concessions à l’extrême droite. Pour les Ukrainiens, cette rhétorique n'est pas seulement offensante mais inacceptable, car elle est considérée comme une tentative de réécrire l'histoire et de transférer la responsabilité sur la victime de l'agression. Enfin, Popov résume que le veto du président Nawrocki est moins sur la justice sociale que sur l'envoi d'un message politique. Elle affecte non seulement les Ukrainiens vivant en Pologne, mais aussi le principe plus large de la solidarité polono-ukrainienne. Kiev ayant rempli toutes les conditions raisonnables de maintenir le partenariat, le veto semble acquis. Les répercussions sont importantes : elle affaiblit la position de Varsovie au sein de l’UE, érode la confiance de Kiev dans la politique polonaise et crée un vide que Moscou peut exploiter. Pour le Kremlin, chaque fracture dans les relations entre l'Ukraine et la Pologne est l'occasion de faire progresser sa stratégie. Par conséquent, la question dépasse le soutien financier ou les garanties sociales, elle concerne la capacité de la Pologne à résister à la manipulation et à agir dans les intérêts stratégiques communs des deux nations. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
penaratahiti Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures Il y a 2 heures, herciv a dit : Ca veut dire déploiement de 10000 à 15000 max ou présence d'un stock de 150000 personnes ? J'ai un doute sur la Pologne. Son extrémisme de droite est prononcé et elle est fâché avec L'Ukraine en ce moment. les chiffres de 10–15 000 hommes, c’est ce qui serait réellement sur le terrain. Pour que ça tienne dans le temps, les pays doivent tourner leurs troupes, donc en réalité il faut 3× plus de personnel disponible chez eux (donc 150 000 si on veut 50 000 sur le terrain), 1/3 déployé, 1/3 en entrainement pour relève, 1/3 en récup. La Pologne, même sans gros contingent sur place, restera cruciale pour la logistique derrière les lignes : stockage, maintenance, transport. Bref, elle soutiendra la mission, mais pas en mode “soldats au front”. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures il y a 29 minutes, Akilius G. a dit : Pas nécessairement : - potentiellement, cela peut être effectivement une forme de copinage avec la Russie - ou une exigence critique de justification des efforts demandés aux électeurs et de la stratégie conduite Entre les deux, l espace est large Plus peut-être comme suggéré par l'auteur, un conflit de générations. Le porte-drapeau du bellicisme fut Boris Johnson, premier chef d'État occidental à se rendre à Kiev en 2022 après l'attaque russe, auteur d'une biographie de Churchill : j'en ai parlé ici : Le 29/07/2016 à 15:58, Wallaby a dit : 22 novembre 2014. Boris Johnson présente son livre sur Churchill à la librairie Politics & Prose à Washington. Toutes sortes de sujets d'actualité sont évoqués : Europe, Proche-Orient, Chine... Je ne sais pas s'il fait un bon homme politique, mais en tout cas il ferait un bon professeur, sachant captiver son auditoire tout en transmettant des connaissances. Peut-être que la jeune génération a tourné la page de l'admiration sans bornes vouée à Churchill. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
greg0ry Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures (modifié) Il y a 3 heures, herciv a dit : Pour comprendre à quel point l'outil sanitaire est réorganisé pour prendre en compte la réalité géopolitique actuel : un excellent article de Lagneau. Après on peut se bercer d'illusions pour dire que les garantie ne sont que de la poussière aux yeux. Mais non. Dans les faits annoncer des garantis c'est annoncer un état de préparation à la guerre. Comme indiqué dans l'article les prémices de cette réorganisation date de 2024. Ce qui veut dire que çà n'a pas chômé depuis les interventions de Macron. Qu'on soit bien d'accord. Il ne s'agit pas de dire qu'on va faire la guerre en mars 2026 mais que l'Outil sanitaire sera déployable dans une mesure plus ou moins intense pour soutenir une éventuelle décision politique de guerre avec ou pas l'acceptation des garantis par Poutine. D'ailleurs 10000 à 50000 me semblent des chiffres tout à fait digne d'un examen approfondi. Je maintiens donc que VP doit être actuellement très attentif aux efforts européen bien qu'il donne l'impression de faire attention aux clowneries de DT. Le Service de santé des armées réorganise ses centres médicaux dans la perspective d’un engagement de haute intensité https://www.opex360.com/2025/08/27/le-service-de-sante-des-armees-reorganise-ses-centres-medicaux-dans-la-perspective-dun-engagement-de-haute-intensite/ par Laurent Lagneau · 27 août 2025 Dans le cadre de son nouveau plan stratégique, dévoilé en 2024, le Service de santé des armées a mis en place une nouvelle classification de ses centres hospitaliers, selon une logique de « différenciation » de leurs capacités. Ainsi, il compte désormais quatre « Hôpitaux nationaux d’instruction des armées », avec ceux de Clamart [Percy], de Saint-Mandé [Bégin], de Marseille [Laveran] et de Toulon [Sainte-Anne], deux « Hôpitaux régionaux des armées », à Brest [Clermont-Tonnerre] et à Metz [Legouest] ainsi que deux « Hôpitaux spécialisés des armées », à Lyon [Desgenettes] et à Bordeaux [Robert Picqué]. La conséquence de cette mesure est que les partenariats que certains de ces hôpitaux avaient noués avec le secteur hospitalier civil à la faveur du précédent plan stratégique SSA 2020 ont été annulés. Tel est le cas, par exemple, de l’hôpital spécialisé des armées « Robert Picqué », qui n’aura plus vocation à accueillir des patients civils, son activité devant être exclusivement tournée vers le soin aux militaires blessés. Cette décision a été annoncée en juillet dernier. « L’hypothèse d’engagement majeur des armées françaises dans un conflit de haute intensité n’est pas une vue de l’esprit. […] Et donc, si [elles] étaient engagées dans le cadre d’une coalition, dont elles pourraient prendre le commandement, bien évidemment, il y aurait des blessés », avait d’ailleurs expliqué le général Stéphane Groën, officier général de la zone de défense et de sécurité Sud-Ouest, à France 3, le 16 juillet. Justement, c’est aussi pour cette raison que le SSA va maintenant revoir l’organisation – et donc l’implantation – de ses seize Centres médicaux des armées [CMA], dont dépendent plusieurs antennes médicales dont la mission est d’apporter un soutien sanitaire au plus près des forces armées. Et cela avec l’objectif d’ « aligner l’organisation du commandement du temps de paix sur celle du temps de guerre ». Le 26 août, le SSA a annoncé son intention de créer sept « centres médicaux des armées zonaux » pour chaque zone de défense et de sécurité [ouest, sud-ouest, sud, sud-est, est, Île de France et nord]. La mission de ces CMA zonaux consistera à « assurer la prise en compte de la dimension ‘santé’ des opérations sous le contrôle opérationnel de l’officier général de zone de défense et de sécurité [OGZDS] » et à « être l’interlocuteur unique des commandants de base de défense ainsi que des Agences régionales de santé », explique le SSA. « En temps de crise, le commandant du CMA zonal sera le directeur médical [DIRMED] de la chaîne OTIAD [organisation territoriale interarmées de défense] » et, « en temps de guerre », il fournira « le soutien médical des unités de sa zone, qui ne sont pas projetées », ajoute le SSA. « Nous renforcerons notre Command and Control médical [C2Med] afin d’améliorer nos synergies avec ces états-majors dans les domaines de la planification, de la préparation et de la conduite opérationnelle. Nous n’oublions pas les régions de gendarmerie et les agences régionales de santé, niveau zonal du ministère de la santé qui travaille avec nous sur la gestion de l’afflux massif de blessés », complète le médecin général inspecteur Jean-Christophe Bel, le directeur central adjoint du SSA. Dans le même temps, six chefferies « santé » seront associées à des brigades de l’armée de Terre [2e BB, 6e BLB, 7e BB, 9e BIMa, 11e BP et 27e BIM]. Leur rôle sera de coordonner les antennes médicales qui soutiennent ces grandes unités et, en temps de guerre, de suivre « le rythme d’alerte et de préparation » de ces dernières. « Les chefferies de brigade seront ainsi le noyau sur lequel sera construit le soutien médical en opérations de leur brigade. Ce dispositif a pour objectif de renforcer l’intégration, en facilitant la bascule organisationnelle ‘temps de paix – temps de guerre' », résume le médecin général inspecteur Jean-Christophe Bel. Enfin, les trois chefferies santé « spécialisées » [forces spéciales à Villacoublay, forces sous-marines à Brest et force d’action navale à Toulon] seront maintenues, de même que l’Échelon spécialisé milieu « Air ». La mise en place de cette nouvelle organisation a déjà commencé, le CMA de Marseille servant de « poisson pilote ». Elle devrait être terminée en 2027. C’est aussi le resultat des coûts de maintien en condition et d’investissement dans les infrastructures qui sont difficilement soutenables des difficultés à remplir les effectifs du SSA et donc on recentre sur l’essentiel car on n’a pas l’assurance de remplir le contrat. on a du mal à attirer et fidéliser dans toutes les armées et on a dégainé le retour au médecin traitant pour les familles issu du SSA et il faut absorber ce surcroît de charge je pourrais continuer à énumérer des raisons mais je vais juste rappeler la dégradation du suivi des militaires d’actives rien que sur la VSA. Modifié il y a 9 heures par greg0ry 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Teenytoon Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures Il y a 16 heures, herciv a dit : La mobilisation des hôpitaux en France a commencé. tu tiens ça d’où ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures Visiblement, les sanctions américaines contre l'Inde fonctionnent (non) : Citation "The tariffs are part of a broader trade discussion between India and the U.S., and given India’s increasing domestic refinery runs amid discounted Russian barrels, we don’t see India scuppering its Russian imports in meaningful volumes," BNP Paribas said in a note. The Indian oil ministry did not respond to a request for comment on Thursday. [...] Three trading sources involved in oil sales to India said Indian refiners would increase Russian oil purchases in September by 10-20% from August levels, or by 150,000-300,000 barrels per day. The sources, who cited preliminary purchases data, could not be named because they were not authorised to speak publicly on the issue. The two biggest buyers of Russian oil for India, Reliance and Nayara Energy, which is majority Russian-owned, did not immediately respond to a request for comment. Russia has more oil to export next month because planned and unplanned refinery outages have cut its capacity to process crude into fuels. Ukraine has attacked 10 Russian refineries in recent days, taking offline as much as 17% of the country's refining capacity. [...] India's increased buying of Russian oil over recent years has been to the detriment of more expensive supplies from the Organization of the Petroleum Exporting Countries. OPEC's share edged up in 2024 after an eight-year drop. Russian exporters sold Urals crude loading in September at discounts of $2–$3 per barrel to benchmark dated Brent, the three traders said. The levels are cheaper than discounts of $1.50 per barrel in August, which were the narrowest since 2022, the traders said. A noter (en gras) une conséquence annexe des frappes ukrainiennes contre les raffineries russes. Les Russes auraient plus de pétrole brut à vendre parce qu'ils ne peuvent plus raffiner autant qu'avant. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 7 heures Share Posté(e) il y a 7 heures il y a 51 minutes, Teenytoon a dit : tu tiens ça d’où ? Une fuite non démenti par le cabinet Vautrin : Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BPCs Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Voilà ! Histoire de calmer les interprétations de certains, il s'agit d'un RETEX COVID comme le dit @Scarabé. Bon on va prendre une camomille et repartir sur de bonnes bases. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pascal Posté(e) il y a 4 heures Share Posté(e) il y a 4 heures Vous savez qui dit ça Citation Dans trente ans, les historiens écriront que Poutine a été le pire stratège de la Russie. Il n’a pas réussi à s’emparer de l’Ukraine, il a perdu des centaines de milliers d’hommes, il a déclenché l’adhésion de la Finlande et de la Suède à l’Otan, il ne peut plus naviguer en mer Noire sans se faire couler ses bateaux, il s’est placé dans une sorte de dépendance vis-à-vis de la Chine. La population russe le sait, les généraux russes aussi. Les Russes n’aiment pas plus mourir que nous." "Si nous, Européens, ne sommes pas capables de prendre des risques pour assurer une paix durable et la sécurité de notre continent, Poutine aura imposé l’idée que désormais, la force est supérieure au droit." "L'objectif militaire est le même : il faudra empêcher la reprise des opérations russes de grande ampleur contre l’Ukraine et maintenir la paix obtenue." "Il faudra surveiller la zone de séparation entre les belligérants, et dire aux Ukrainiens que les pays européens sont prêts à apporter des garanties de sécurité. C’est-à-dire être prêts à prendre des risques. Cela veut probablement dire se déployer en Ukraine, avoir des avions dans le ciel ukrainien, assurer une reprise du trafic en mer Noire et aider à la reconstruction de l’armée ukrainienne." "Le continent européen, qui ne peut pas se penser sans les Britanniques, est probablement le groupe de pays qui possède le plus d’atouts au monde, en termes de valeurs, d’histoire, de puissance économique et industrielle, de modèle démocratique. Mais c’est aussi celui qui est le plus menacé s’il ne se met pas en ordre de bataille." "J’ai expliqué à mon homologue américain à Washington qu’après avoir, pendant soixante ans, assuré aux Européens qu’ils s’occupaient de leur sécurité, ils ne pouvaient pas tout arrêter d’un claquement de doigts, et qu’il doit y avoir une phase transitoire." Source: Libération ce n'est ni un politique (nécessairement irresponsable bien évidemment) ni un Ukrainien, ni un fan boy de Churchill Non c'est simplement le Chef d'Etat-major des armées ... merci à @Bechar06 1 2 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) il y a 3 heures Share Posté(e) il y a 3 heures il y a 28 minutes, herciv a dit : Oui je confirme mettont le texte du figaro ici comme çà pas d'interprétation. J'avais mis hier celui du Canard enchainé : Les hôpitaux français invités à se préparer à la guerre d’ici mars 2026, selon des instructions du ministère de la Santé Les hôpitaux français invités à se préparer à la guerre d’ici mars 2026, selon des instructions du ministère de la Santé révélée par Le Canard Enchaîné, cette lettre envoyée aux agences régionales de santé demande aux hôpitaux de se tenir prêt à accueillir des milliers de soldats blessés en cas de conflit armé généralisé en Europe. Une lettre qui inquiète. D’après des révélations du Canard Enchaîné, de récentes instructions du ministère de la Santé invitent les différentes agences régionales de santé du pays à se préparer à un possible «engagement (militaire) majeur» de la France d’ici le mois de mars 2026. Selon ce document, datant du 18 juillet 2025, la France pourrait devenir la base arrière d’un conflit à grande échelle dans les prochains mois. Elle doit ainsi être prête à accueillir des centaines de milliers de soldats français et étrangers blessés. La création de centres médicaux, à proximité de ports ou d’aéroports afin de pouvoir «réacheminer» les militaires «vers leur nation d’appartenance», est en ce sens envisagée par le ministère de la Santé. Des formations visant à sensibiliser les soignants «aux contraintes d’un temps de guerre marqué par la raréfaction des ressources, l’augmentation des besoins et la survenue d’éventuelles rétroactions sur notre territoire», ainsi qu’à la prise en charge des «troubles post-traumatiques et à la filière de médecine physique et de réadaptation»,sont également évoquées. Les soignants sont d’ailleurs appelés à rejoindre le Service de santé des Armées «quel que soit leur secteur d’exercice». «Il est tout à faire normal que le pays anticipe les crises» Le journal satirique prévient qu’entre 10.000 et 50.000 hommes pourraient être attendus dans les hôpitaux sur une période de 10 à 180 jours. «Dans le contexte international que nous connaissons, il est nécessaire d’anticiper les modalités du soutien sanitaire en situation de conflit de haute intensité», explique le ministère de la Santé dans le document. Interrogée sur BFMTV à ce sujet mercredi, la ministre de la Santé Catherine Vautrin n’a pas nié l’existence de cette lettre. «Les hôpitaux sont tout le temps en train de préparer des épidémies, des accueils (...) Il est tout à fait normal que le pays anticipe les crises, les conséquences de ce qu’il se passe. Cela fait partie de la responsabilité des administrations centrales», a-t-elle déclaré. my 2 cents : https://www.opex360.com/2025/08/27/le-service-de-sante-des-armees-reorganise-ses-centres-medicaux-dans-la-perspective-dun-engagement-de-haute-intensite/ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures L'Europe de l'Est abandonnera-t-elle l'Ukraine ? https://nationalinterest.org/feature/will-eastern-europe-abandon-ukraine À Varsovie, Vilnius et Prague, les dirigeants attendent généralement et agissent sur les signaux en provenance de Washington. Le veto du nouveau président polonais, Karol Nawrocki, d’un projet de loi visant à étendre le soutien financier aux réfugiés ukrainiens fuyant la guerre – et pourrait mettre fin au financement polonais pour le service Internet Starlink en Ukraine – pourrait être un malheureux single. Alternativement, cela pourrait aussi être un signe précoce d'un affaiblissement de la volonté de l'Europe de l'Est d'entraîner une défaite russe en Ukraine. Peu importe la Hongrie et l'esquinaise avec laquelle Viktor Orban a pris le parti de la Russie dans la guerre - doublant les achats d'énergie de la Russie à la suite de l'invasion, bloquant l'aide à l'Ukraine et de nouveaux paquets de sanctions, et même en envoyant des espions à Transcarpatie pour voir comment la population locale réagirait à une réintégration dans la Grande Hongrie. Le bilan de la Slovaquie a été tout aussi décevant. Parmi les premiers à transférer des avions de chasse et à fournir des systèmes de défense aérienne à l’Ukraine, le gouvernement actuel du pays sert de cinquième colonne de la Russie dans l’Union européenne. Il ne fait aucun doute qu'en tant que puissance régionale ayant une méfiance inhérente à l'égard de la Russie, la Pologne se trouve dans une catégorie différente de celle de la Hongrie et de la Slovaquie. Pourtant, cela rend le veto de Nawrocki et son contexte plus large encore plus inquiétant. Une hésitation ou une division en Pologne sur une question aussi fondamentale que l’Ukraine se répercutera bien au-delà des frontières du pays – et risquera de faire ressortir les pires dirigeants de la région. Rappelons qu'au premier tour de l'élection, le candidat vainqueur du Parti du droit et de la justice (PiS) a été flanqué de sa droite par deux candidats qui ont gagné ensemble environ 20 % des voix. Ni chacun d'eux, Mentzen, ni Grzegorz Braun, n'ont démontré qu'ils comprenaient ce qui est en jeu en Ukraine. Mentzen semble trop préoccupé par le fait de se battre avec Bruxelles pour se soucier de la Russie. Braun, en plus de son antisémitisme, est violemment anti-ukrainien, soucieux de répéter les propos de la Russie sur les « bandes » à Kiev. Ce qui empêchait le PiS de se livrer au sous-courant du populisme anti-ukrainien, encore exacerbé par la pression exercée par les réfugiés ukrainiens sur les services publics, c’est la figure du chef du parti, Jarossaw Kaczynski. En tant que Premier ministre, Kaczynski a perdu son frère jumeau, Lech, alors président de la Pologne, dans un accident d’avion en Russie en 2010 – dans ce que certains en Pologne continuent de croire n’était pas un accident. Pourtant, à mesure que l’emprise de Kaczynski sur son parti s’affaiblit, il en va de même pour les anticorps contre les mauvaises pensées géopolitiques sur la droite polonaise. En outre, le nawrocki est loin d'être un opérateur politique stratégique qualifié. L'ancien président, Andrzej Duda - a également été tué fréquemment avec le gouvernement centriste, mais il a également pu s'élever au-dessus de la politique partisane pendant des moments critiques, comme lors d'une visite conjointe à Washington avec son ennemi juré, Donald Tusk, le Premier ministre. Duda semblait également efficace pour déplacer l'aiguille avec Trump et son équipe, en particulier avant le vote sur le dernier projet de loi supplémentaire sur l'Ukraine. L’absence de la Pologne, résultant d’un affrontement entre le cabinet du président et le gouvernement, a été remarquée lors de la récente visite du président Volodymyr zelenskyy et d’autres dirigeants européens à la Maison Blanche, dans le but de diriger les négociations de paix. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures La Russie et l'Ukraine ne sont pas prêtes à arrêter la guerre elles-mêmes, bien que leurs dirigeants le veuillent, Trump fera des déclarations à ce sujet - Maison Blanche https://en.interfax.com.ua/news/general/1100241.html La secrétaire de presse de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a déclaré que l'Ukraine et la Russie ne sont pas prêtes à mettre fin à la guerre et a annoncé des déclarations du président américain Donald Trump à ce sujet. Leavitt a déclaré lors d'un exposé jeudi que les deux parties à cette guerre ne sont pas prêtes à y mettre fin elles-mêmes. Elle a déclaré que le président américain voulait qu'il s'arrête, mais les dirigeants de ces deux pays en ont besoin pour y mettre fin. Elle supposait qu'ils le voulaient. Leavitt a également ajouté que le président devrait faire des déclarations supplémentaires à ce sujet plus tard. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
christophe 38 Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures il y a 3 minutes, herciv a dit : La Russie et l'Ukraine ne sont pas prêtes à arrêter la guerre elles-mêmes, bien que leurs dirigeants le veuillent, les signatures des capitulations portent en elles les causes du prochain conflit ; là, les Uk voudront récuperer les terres volées et la Russie voudra reprendre ses conquetes.... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Benoitleg Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures Il y a 8 heures, rendbo a dit : pas que, 430 mots pour dire qu'il y a plein de problèmes au RU à régler avant de faire les kékés un peu partout dans le monde, (mais seulement sur des situations qui les arrange), et qu'à ce titre l'argent des contribuables, devrait être utilisé pour autre chose que s'illusionner sur des rêves de puissance qui ne sont plus. Intéressante argumentation, je retiens. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) il y a 2 heures Share Posté(e) il y a 2 heures il y a 14 minutes, Benoitleg a dit : Intéressante argumentation, je retiens. Toi, je te soupçonne d'avoir oublié le panneau Révélation Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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