Ciders Posté(e) le 18 août Share Posté(e) le 18 août à l’instant, herciv a dit : On n'aura jamais ces preuves. Le problème c'est qu'à force de dire "ils ont détruit" sans preuves, ça devient une vérité. Même Alexandre Sheldon-Duplaix peut désormais asséner dans un DSI "un Rafale abattu par un PL-15", ça ne fait plus sourciller qui que ce soit et ça renforce même l'idée, vu que l'auteur est connu et est donc supposé maîtriser le sujet. 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 18 août Share Posté(e) le 18 août (modifié) il y a 5 minutes, Ciders a dit : Le problème c'est qu'à force de dire "ils ont détruit" sans preuves, ça devient une vérité. Même Alexandre Sheldon-Duplaix peut désormais asséner dans un DSI "un Rafale abattu par un PL-15", ça ne fait plus sourciller qui que ce soit et ça renforce même l'idée, vu que l'auteur est connu et est donc supposé maîtriser le sujet. C'est inhérent à un blog comme AD.net travaillant sur des sujets militaires de natures souvent secrète. On est obligé de faire dans le plausible. En gros les awacs ont possiblement causé des difficulté à la chasse indienne et ukrainienne. Mais ces AWACS ne sont pas invulnérables particulièrement contre une DSA à très longue portée et fonctionnant en maillage redondant par nature. La portée de ces solutions rend les opérations d'AWACS très risquées. Ce n'est pas à nous d'en définir les portées exactes mais par contre de comprendre que les AWACS ne peuvent opérer si ils n'ont pas la portée et la profondeure stratégique pour le faire. Modifié le 18 août par herciv 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) le 18 août Share Posté(e) le 18 août il y a 4 minutes, herciv a dit : C'est inhérent à un blog comme AD.net travaillant sur des sujets militaires de natures souvent secrète. On est obligé de faire dans le plausible. En gros les awacs ont possiblement causé des difficulté à la chasse indienne et ukrainienne. Mais ces AWACS ne sont pas invulnérables particulièrement contre une DSA à très longue portée et fonctionnant en maillage redondant par nature. La portée de ces solutions rend les opérations d'AWACS très risquées. Ce n'est pas à nous d'en définir les portées exactes mais par contre de comprendre que les AWACS ne peuvent opérer si ils n'ont pas la portée et la profondeure stratégique pour le faire. Dans ce cas, parlons de revendication, de "potentielle destruction", de "l'Inde dit que, le Pakistan nie" ou inversement. Pas, "l'Inde a dégommé un S340 à 315 kilomètres de distance avec un S400". Parce que concrètement, on n'en sait absolument rien. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 18 août Share Posté(e) le 18 août (modifié) il y a 6 minutes, Ciders a dit : Dans ce cas, parlons de revendication, de "potentielle destruction", de "l'Inde dit que, le Pakistan nie" ou inversement. Pas, "l'Inde a dégommé un S340 à 315 kilomètres de distance avec un S400". Parce que concrètement, on n'en sait absolument rien. Oui mais avoir des ordres de grandeur en tête permet aussi de se faire une image des possibilités stratégiques de chacun. 300 km c'est la moitié de la plus petite largeur du Pakistan. Modifié le 18 août par herciv Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) le 18 août Share Posté(e) le 18 août (modifié) Je te répond ici pour ne pas rester dans le hors sujet sur un autre fil. Mon avis sur le sujet est que Rome ne s'est pas faite en un jour. Tu fais remarquer à juste titre qu'on a encore du chemin à parcourir avant de pouvoir remplacer les US c'est le verre à moitié vide. Moi je pense qu'il faut aussi faire remarquer que le verre est à moitié plein et que la situation a très fortement évolué depuis 3 ans. Sur le plan financier : l'Europe a remplacé les US Sur le plan industriel : l'Europe a déjà bien comblée son retard et continue de convertir ses ressources industrielles Sur le plan de la population : l'Europe a toujours cet avantage stratégique très large sur la Russie Sur le plan politique : c'est en cours. Aujourd'hui l'Europe reprend la main sur sa géostratégie et constate sa divergence avec les US Et effectivement sur le plan militaire on manque encore de répondant. Mais puisque la politique semble devenir cohérente avec une indépendance avec les US je pense que les choses vont continuer à évoluer à bas bruit. Modifié le 18 août par herciv 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mehari Posté(e) le 18 août Share Posté(e) le 18 août 5 hours ago, herciv said: Les S-400 indiens ont abattu un saab à 315 kilomètre de portée très largement à l'intérieur du territoire paki. Non seulement il faudra que les drones aient une portée importante mais en plus il faudra la profondeur stratégique pour les employer. Je crois me souvenir qu'un A-50 Russe avait été perdu quand les Ukrainiens ont bougé un Patriot Allemand suffisamment près de la zone d'opération de l'appareil. Pareil pour un autre A-50 descendu par S-200 Ukrainien. Ça n'a rien de nouveau. Alors, oui, lancer des missiles de croisière depuis un C-130 ou A400M comporte un risque. Mais manifestement, c'est quelque chose que les US semblent malgré tout poursuivre. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
g4lly Posté(e) le 18 août Share Posté(e) le 18 août il y a 26 minutes, mehari a dit : Alors, oui, lancer des missiles de croisière depuis un C-130 ou A400M comporte un risque. Mais manifestement, c'est quelque chose que les US semblent malgré tout poursuivre. Les US poursuivent tout, parce qu'ils ont un outils suffisament large et varié, pour que ca puisse avoir un sens. Avec des missile de croisières aéroporté de plus de 1000km de portée ce genre d'excentricité tu peux te la permettre par exemple. Le HACM sera largué par les P-8 Australien ... pourquoi par des C-130 pour faire du volume par exemple. En plus les C-130 ont déjà les pylone munition il n'est pas nécessaire de la larguer depuis la soute. L'autre bon client c'est le LRASM ... tiré à 1000km tu ne t'expose pas forcément outre mesure. Et probablement le meilleur client https://www.airandspaceforces.com/lockheed-second-low-cost-cruise-missile-truck/ The company said the CMMT-D has a range of about 500 nautical miles range and can be configured “to launch from fighters, bombers and ground launchers.” 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mehari Posté(e) le 18 août Share Posté(e) le 18 août 1 hour ago, g4lly said: Le HACM sera largué par les P-8 Australien ... pourquoi par des C-130 pour faire du volume par exemple. En plus les C-130 ont déjà les pylone munition il n'est pas nécessaire de la larguer depuis la soute. Il faut voir ce qu'on peut mettre sous ces hardpoint mais ça se tient. 1 hour ago, g4lly said: Les US poursuivent tout, parce qu'ils ont un outils suffisament large et varié, pour que ca puisse avoir un sens. Avec des missile de croisières aéroporté de plus de 1000km de portée ce genre d'excentricité tu peux te la permettre par exemple. L'autre bon client c'est le LRASM ... tiré à 1000km tu ne t'expose pas forcément outre mesure. Justement, quelle est la portée attendue pour le FMC? 500 comme sur le SCALP ou est-ce qu'on passe à 1000? Est-ce qu'on ne pourrait pas envisager des effecteurs avec ce genre de portée dans le cadre du FCAS? Est-ce qu'il ne faudrait pas aussi considérer des systèmes du style du CMMT ou du Barracuda-500 ayant justement des portées dans les 900/1000km? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 20 août Share Posté(e) le 20 août (modifié) L’allemand Diehl va fabriquer des stinger en Europe … c’est vraiment qu’on a pas assez d’options européennes en France, Pologne ou en Italie https://breakingdefense.com/2025/08/raytheon-germanys-diehl-eye-team-up-on-european-stinger-coproduction/ Modifié le 20 août par Titus K 2 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) le 20 août Share Posté(e) le 20 août l'Allemagne aurait financé 123 radars Thales pour l'Ukraine Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alberas Posté(e) le 20 août Share Posté(e) le 20 août il y a 12 minutes, Titus K a dit : l'Allemagne aurait financé 123 radars Thales pour l'Ukraine Normal, il est fabriqué par Thalès Deutschland. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Glenans29 Posté(e) le 20 août Share Posté(e) le 20 août 19 minutes ago, Alberas said: Normal, il est fabriqué par Thalès Deutschland. Oui, on en a nous mêmes acheté 90, donc plus de la moitié est livré maintenant. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) hier à 09:40 Share Posté(e) hier à 09:40 La place du moral et de la volonté collective étant à l'évidence primordiale dans toute grande épreuve, comme une guerre à grande échelle, voici une réalité à bien garder à l'esprit Parmi les Français, le degré d'attachement à la France de préférence à toute autre communauté non seulement est prépondérant, mais croissant Le degré d'attachement à l'UE de préférence à toute autre communauté non seulement est le plus bas, mais décroissant ==>Il ne peut pas y avoir d' "Europe de la défense" La seule possibilité de coopération est une coordination entre la défense de la France par les Français, celle de l'Allemagne par les Allemands, Grande-Bretagne, Pologne etc. de façon à rendre plus efficace l'ensemble par effet de synergie 1 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. GR_Silent Posté(e) hier à 17:57 C’est un message populaire. Share Posté(e) hier à 17:57 Je n’ai pas trouvé de sujet similaire dans les sources françaises. https://www.liberal.gr/diethni-themata/eyrokoinoboylio-minyei-tin-komision-gia-amyntiko-programma-safe Le Parlement européen poursuit la Commission au sujet du programme de défense SAFE Farantouris : Le recours du Parlement européen contre la Commission et le Conseil concernant le règlement SAFE a été déposé L’eurodéputé grec et professeur de droit européen a souligné que le règlement SAFE, qui pourrait constituer une « porte dérobée » pour l’entrée de la Turquie dans la défense européenne, a été adopté sans la codécision du Parlement européen prévue par le droit de l’Union. Farantouris : Le recours du Parlement européen contre la Commission et le Conseil concernant le règlement SAFE a été déposé Le Parlement européen a introduit aujourd’hui, peu avant l’ouverture de sa session à Bruxelles, un recours contre la Commission et le Conseil (des ministres) devant la Cour de justice de l’UE, comme l’a révélé l’eurodéputé et membre de la commission de la Sécurité et de la Défense, le professeur Nikolas Farantouris. Le Parlement demande l’annulation du règlement SAFE, qui permet la participation de pays tiers (y compris la Turquie) à un financement de 150 milliards d’euros pour la sécurité et la défense. Nikolas Farantouris a confirmé cette nouvelle à la télévision publique grecque ERT, qu’il avait lui-même annoncée dès juin depuis Bruxelles. « Le dépôt du recours du Parlement européen, juste avant l’ouverture de nos travaux devant la CJUE, constitue notre réponse institutionnelle et confirme les objections que j’ai formulées dès le début. Ce n’est pas un recours de groupes ou d’eurodéputés isolés, mais du Parlement européen dans son ensemble, à la suite des objections que nous avons présentées en mai, et cela montre que nous pouvons obtenir gain de cause lorsque nous croyons en ce que nous défendons. » Contexte En juin, la commission des affaires juridiques (JURI) avait estimé que le Parlement devait immédiatement engager une procédure judiciaire concernant le règlement SAFE devant la CJUE, pour violation de l’équilibre institutionnel et de la légitimité démocratique. Cette décision faisait suite au mode d’adoption, en mai, du règlement SAFE – un instrument financier de 150 milliards d’euros destiné à renforcer l’industrie de défense européenne – auquel pourrait participer la Turquie, en tant que pays candidat à l’UE. Comme l’avait souligné M. Farantouris, « le règlement a été adopté sans la codécision du Parlement européen, contrairement au droit de l’Union (traité de Lisbonne, procédure de codécision) ». La Commission et le Conseil avaient invoqué l’urgence, ce qui n’était pas justifié et aurait pu être traité par les procédures accélérées du Parlement. L’eurodéputé grec avait alors dénoncé publiquement la violation du droit européen par la Commission et le Conseil et annoncé un recours. Après ces critiques, la présidente du Parlement européen, Roberta Metsola, a adressé une lettre à la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, annonçant de facto le recours du Parlement. Un règlement « porte dérobée » Nikolas Farantouris a qualifié le règlement SAFE de « double porte dérobée » pour l’entrée de la Turquie dans les structures européennes de sécurité et de défense – une formule reprise également par le ministre grec de la Défense, Nikos Dendias, qui a exprimé le vœu que le règlement ne devienne pas cette « porte dérobée » pour Ankara. Depuis Bruxelles, l’eurodéputé grec a déclaré : « Avec notre recours d’aujourd’hui, nous demandons le rétablissement de l’ordre et de la légalité. La décision de contourner le Parlement européen constitue un dérapage institutionnel. Des décisions d’une importance colossale – comme le règlement SAFE – ne peuvent être prises sans légitimité démocratique ni contrôle parlementaire. Et surtout sans le strict respect du droit européen. L’invocation de l’urgence est purement prétextuelle et ouvre des voies dangereuses. » Qu’est-ce que le règlement SAFE ? Le règlement (UE) 2025/1106 du Conseil, du 27 mai 2025, établissant l’« Action pour la sécurité en Europe » (SAFE), a mis en place un nouvel instrument financier doté d’un budget de 150 milliards d’euros pour soutenir l’industrie de défense européenne et renforcer la préparation militaire des États membres. SAFE s’inscrit dans le cadre du plan « Readiness 2030 » et vise à créer un marché européen de la défense, avec la participation possible de pays tiers, comme la Turquie, à des programmes conjoints d’achats. La Commission a choisi comme base juridique l’article 122 du traité sur le fonctionnement de l’UE, qui confère au seul Conseil le pouvoir de décider en cas de « circonstances exceptionnelles ». Cet article a ainsi exclu le Parlement européen de la codécision, c’est-à-dire de la détermination des modalités de gestion de ces fonds colossaux. Le principe de la codécision du Parlement européen Il s’agit de la procédure législative ordinaire, qui prévoit l’adoption conjointe des actes législatifs par le Parlement et le Conseil, sur proposition de la Commission. Cette procédure est inscrite à l’article 294 TFUE et constitue la règle en matière législative. Introduite par le traité de Maastricht, elle a fait du Parlement un co-législateur à égalité avec le Conseil. Le traité de Lisbonne a élargi son champ d’application et renforcé le rôle du Parlement. Selon Nikolas Farantouris, « le contournement du Parlement viole le traité et l’Europe ne peut pas construire sa défense au détriment de ses propres principes 3 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Manuel77 Posté(e) hier à 19:04 C’est un message populaire. Share Posté(e) hier à 19:04 il y a une heure, GR_Silent a dit : Le Parlement européen poursuit la Commission au sujet du programme de défense SAFE Voici un article assez long publié dans le plus grand journal conservateur allemand, qui tente d'expliquer les conséquences du règlement SAFE. https://archive.is/pguXu#selection-2701.0-2701.598 Il s'agit d'un accès aux privilèges à plusieurs niveaux assez complexe. Le dernier paragraphe devrait être particulièrement intéressant pour la Grèce : ... .... Les fabricants doivent avoir la maîtrise de la conception La règle générale de la « préférence européenne » est la suivante : le contractant principal doit avoir son siège dans l'un des 32 États du cercle intérieur. En outre, les composants d'une arme fabriquée en dehors de ce cercle ne doivent pas représenter plus de 35 % de sa valeur totale. Cela s'applique aux munitions et aux missiles guidés, aux systèmes d'artillerie, aux capacités de combat au sol, aux petits drones et aux systèmes de défense associés, à la protection des infrastructures critiques, au cyberespace et à la mobilité militaire. Une deuxième catégorie d'armes est soumise à une exigence supplémentaire : les fabricants doivent détenir la souveraineté en matière de conception du produit, c'est-à-dire pouvoir remplacer, supprimer ou modifier des composants, y compris ceux provenant de pays tiers. Cette mesure vise à garantir le label « Made in Europe » et devrait poser un problème, en particulier pour les entreprises américaines. Cette catégorie comprend les systèmes de défense aérienne et antimissile, les navires de guerre, les sous-marins, les drones de grande taille, les capacités stratégiques telles que le transport aérien et la reconnaissance du champ de bataille, ainsi que l'intelligence artificielle et la guerre électronique. Il n'y a pas d'exception à cette règle, mais il existe toutefois une exception à la règle générale concernant le siège social et la part maximale de production. Ainsi, les pays candidats à l'adhésion et les pays tiers ayant conclu un partenariat de sécurité avec l'UE peuvent négocier un accord supplémentaire sur la participation de leur industrie. Dans certains cas, les entreprises basées au Royaume-Uni pourraient alors également répondre aux appels d'offres. L'accord fixerait également la part maximale de production hors UE, qui pourrait atteindre 65 %. En contrepartie, l'UE insistera sur un accès réciproque au marché afin que les entreprises européennes puissent également soumissionner aux appels d'offres dans les pays tiers. En outre, une contribution financière des pays tiers sera exigée, dont le montant n'est pas encore connu. À Londres, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré que la conclusion d'un tel accord était « une question de semaines ». La situation semble plus difficile pour la Turquie. Elle dispose certes d'une industrie de l'armement performante, qui fonctionne en grande partie sans composants américains, ce qui serait très intéressant pour l'UE. Cependant, pour les pays candidats à l'adhésion, un tel accord supplémentaire ne peut être conclu qu'avec l'accord de tous les États membres. À Bruxelles, les experts s'attendent à ce que Chypre s'y oppose. Dans ce cas, les fabricants turcs ne pourraient plus être considérés que comme des fournisseurs. 10 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) hier à 19:36 C’est un message populaire. Share Posté(e) hier à 19:36 il y a 29 minutes, Manuel77 a dit : À Londres, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a déclaré que la conclusion d'un tel accord était « une question de semaines ». La situation semble plus difficile pour la Turquie. Elle dispose certes d'une industrie de l'armement performante, qui fonctionne en grande partie sans composants américains, ce qui serait très intéressant pour l'UE. Cependant, pour les pays candidats à l'adhésion, un tel accord supplémentaire ne peut être conclu qu'avec l'accord de tous les États membres. À Bruxelles, les experts s'attendent à ce que Chypre s'y oppose. Dans ce cas, les fabricants turcs ne pourraient plus être considérés que comme des fournisseurs. C'est du bon sens effectivement. Si on admet la participation de la Turquie, pays qui conteste la souveraineté de deux pays membres de l'UE Chypre et Grèce sur certaines parties de leurs territoires, et est allé jusqu'à l'intimidation militaire en 2020... à quand celle de la Russie ? 7 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Patrick Posté(e) il y a 22 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 22 heures Il y a 4 heures, Manuel77 a dit : Les fabricants doivent avoir la maîtrise de la conception Ah bon? Dites-m'en plus, ça m'intéresse. 2 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures J'ai l'impression que ca se répète, les industriels Français boudent les salons de defense européens. "trop petit pour nous, on attendra Eurosatory et Euronaval" ? Quelques observations à la volée : présence forte des BITD américaines, Israéliennes, Allemandes, Suédoises & d'autres émergentes ( Sud-Coréenne notamment) Présence Française quasi anecdotique : 3 maîtres d'oeuvre présents sur 9 & autant de PME dans une région très active en matière de réarmement & malgré un marché export crucial 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
rendbo Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures il y a 1 minute, Titus K a dit : J'ai l'impression que ca se répète, les industriels Français boudent les salons de defense européens. "trop petit pour nous, on attendra Eurosatory et Euronaval" ? Il faut voir à qui s'adressent ces salons, et quel sont les couts pour le stand et le déplacement. Si c'est pour rencontrer des personnes qui pensent qu'hors matériel américain il n'y a pas de salut, ça ne donne pas forcément envie de se déplacer... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Titus K Posté(e) il y a 11 heures Share Posté(e) il y a 11 heures il y a 1 minute, rendbo a dit : Il faut voir à qui s'adressent ces salons, et quel sont les couts pour le stand et le déplacement. Si c'est pour rencontrer des personnes qui pensent qu'hors matériel américain il n'y a pas de salut, ça ne donne pas forcément envie de se déplacer... C'est sur que comme ca on prend pas le risque qu'ils changent d'avis Il me semble pourtant que plusieurs campagnes export importantes sont en cours en Scandinavie. 3 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Lordtemplar Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures 1 hour ago, rendbo said: Il faut voir à qui s'adressent ces salons, et quel sont les couts pour le stand et le déplacement. Si c'est pour rencontrer des personnes qui pensent qu'hors matériel américain il n'y a pas de salut, ça ne donne pas forcément envie de se déplacer... ca coute rien quand on voit les montants des contrats. en plus sur place c'est l'occasion de tisser des liens avec les militaires desolant 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures Il y a 1 heure, Titus K a dit : J'ai l'impression que ca se répète, les industriels Français boudent les salons de defense européens. "trop petit pour nous, on attendra Eurosatory et Euronaval" ? Quelques observations à la volée : présence forte des BITD américaines, Israéliennes, Allemandes, Suédoises & d'autres émergentes ( Sud-Coréenne notamment) Présence Française quasi anecdotique : 3 maîtres d'oeuvre présents sur 9 & autant de PME dans une région très active en matière de réarmement & malgré un marché export crucial ...Ou alors aucun intérêt à y aller parce qu'aucun contrat à signer? il y a 7 minutes, Lordtemplar a dit : ca coute rien quand on voit les montants des contrats. en plus sur place c'est l'occasion de tisser des liens avec les militaires desolant Tisser des liens avec les militaires danois? ...Comme pour leur vendre des Caesar par exemple? 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures (modifié) il y a 15 minutes, Patrick a dit : ...Ou alors aucun intérêt à y aller parce qu'aucun contrat à signer? "On ne comprend pas, on a les meilleurs produits, mais personne ne nous les achète !". Il y a 1 heure, Titus K a dit : C'est sur que comme ca on prend pas le risque qu'ils changent d'avis Il me semble pourtant que plusieurs campagnes export importantes sont en cours en Scandinavie. Exactement. Après, on ira se plaindre que les Sud-Coréens raflent les marchés, ou on les accusera de corruption. Modifié il y a 9 heures par Ciders 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Patrick Posté(e) il y a 9 heures Share Posté(e) il y a 9 heures (modifié) il y a 3 minutes, Ciders a dit : "On ne comprend pas, on a les meilleurs produits, mais personne ne nous les achète !". Effectivement, je te confirme que chez Nexter ils n'ont pas compris que le Danemark leur achète des Caesar puis déclare qu'en fait c'était trop cher et inadapté pour prendre des Atmos 2000 à la place qui se révèlent plus chers, en retard, moins bons, et pas mieux adaptés. Je pense que personne n'a envie d'aller faire le pitre pour amuser la galerie dans ces conditions. il y a 3 minutes, Ciders a dit : Exactement. Après, on ira se plaindre que les Sud-Coréens raflent les marchés, ou on les accusera de corruption. ...Ah ben ça tombe bien tiens! https://www.koreaherald.com/article/10554764 [Exclusive] Consulting firm hired by Hyundai Rotem under investigation in Poland Modifié il y a 8 heures par Patrick 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. mehari Posté(e) il y a 8 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 8 heures 10 minutes ago, Ciders said: "On ne comprend pas, on a les meilleurs produits, mais personne ne nous les achète !". Surtout que ce n'est pas comme si la France n'essayais pas de vendre des trucs au Danemark en ce moment. Des SAM, des radars ou des frégates par exemple. 6 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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