olivier lsb Posté(e) mercredi à 11:24 Share Posté(e) mercredi à 11:24 (modifié) Il y a 14 heures, pascal a dit : Vraiment se foutre de la gueule du monde, ce connard (il n'y a pas d'autre mot désolé) faisant semblant de ne pas se rendre compte que l'augmentation des droits de douane n'est même pas devenue effective et n'a pu que peser marginalement sur les échanges réels, sous entendu dans le sens voulu par l'administration Trump, alors qu'en fait c'est la seule annonce d'une élévation des taux qui a mis à mal les marchés. Donc on a face à nous un gugusse qui affirme que la politique mise en place a fonctionné et qu'il est venu le temps de la désescalade sous entendu on a gagné (les objectifs de la hausse des tarifs douaniers sont atteints ... tu parles) alors qu'en fait ils sont obligés de faire machine arrière face aux effets pervers immédiats créés sur les marchés financiers par leurs annonces. Ils sont pitoyables ... sauf bien entendu pour tout ceux qui ont joué en bourse ces derniers jours et qui ont eu vent de l'aubaine. Make America Great Again. C'est vraiment une bande de baltringues Je ne serais pas si dur à ta place, ces guignols nous ont rendu un grand service qui ne nous a pas couté grand chose, tant le revirement aura été rapide alors même que les entreprises, souvent critiquées pour leur propension au court-termisme, n'ont même pas eu le temps de reconfigurer leurs chaînes de production et leurs circuits exports. En échange de quoi, les US ont perdu une bonne part de leur crédibilité et nous auront permis de récupérer un peu de crédit politique, financier et économique. Il faut transformer l'essai, notamment sur les services et la Tech US en particulier (voir les annonces d'amendes à Meta et Apple aujourd'hui, mais encore insuffisantes). Il y a 12 heures, BPCs a dit : Cela pose une vraie question à explorer... Du travail en prévision pour @Stark_Contrast ... Quand on pose la question de la compromission de l'administration américaine et/ou de Trump avec la Russie, on se heurte à des murs de déni. Pourtant, les sabotages de l'intérieur sont de plus en plus graves et récurrents. Bezmenov avait parfaitement bien expliqué ces logiques qu'on voit aujourd'hui à l'œuvre. Modifié mercredi à 22:09 par olivier lsb 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wallaby Posté(e) il y a 17 heures Share Posté(e) il y a 17 heures https://www.20minutes.fr/monde/etats-unis/4150085-20250424-droits-douane-trump-vise-offensive-judiciaire-douze-etats-democrates Les Etats démocrates intensifient leur bras de fer avec Donald Trump. Une coalition de douze d’entre eux (Oregon, Arizona, Colorado, Connecticut, Delaware, Illinois, Maine, Minnesota, Nevada, New Mexico, New York et Vermont) a déposé mercredi un recours en justice contre les droits de douane imposés par le président. Selon eux, ces mesures protectionnistes violent la Constitution, car elles auraient été décidées sans l’accord du Congrès. Cette procédure judiciaire s’inscrit dans une stratégie initiée par la Californie, qui avait déjà engagé des poursuites similaires la semaine précédente. L’objectif : contester la légitimité juridique du recours par Donald Trump à la loi de 1977, censée encadrer les mesures d’urgence économique. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 16 heures Share Posté(e) il y a 16 heures Trump navigue à vue. Quelque soit le sujet qu'on regarde, il n'y a pas de stratégie. https://www.zonebourse.com/actualite-bourse/Donald-Trump-ne-retient-pas-ses-coups-contre-Jerome-Powell-49700642/ Révélation Donald Trump ne retient pas ses coups contre Jerome Powell Le 24 avril 2025 à 08:43 Par Antoine Alves d'Oliveira Partager Ces derniers jours, Donald Trump a de nouveau attaqué sa cible préférée, Jerome Powell, avant de rétropédaler, constatant le niveau d’inquiétude généré sur les marchés. Sur le fond, les deux hommes ont des divergences sur la conduite de la politique monétaire. Et tactiquement le président de la Fed est aussi un parfait bouc émissaire pour les Républicains. En fin de semaine dernière, Donald Trump a repris ses attaques contre le président de la Fed, Jerome Powell. Jeudi, le président américain a publié un message sur son réseau Truth Social dans lequel il appelait "Too late" ("trop tard") Jerome Powell à baisser les taux directeurs. Quelques heures plus tard, le président américain s’exprimait depuis le Bureau Ovale, alors qu’il recevait la première ministre italienne, Giorgia Meloni : "Je ne suis pas content de lui. Si je veux qu’il parte, il partira très rapidement, croyez-moi." Sur le fond du débat et la possibilité de démettre Jerome Powell de ses fonctions, il y a deux choses que l’on peut dire. D’abord, que juridiquement cela semble très difficile. Ensuite, et surtout, le licenciement de Jerome Powell serait un choc pour les marchés financiers, et en particulier pour le marché obligataire. Or, la séquence des droits de douane nous a montré que cette administration, qui pendant des semaines a joué la rhétorique de "Main Street contre Wall Street", a quand même fini par rétropédaler pour éteindre l’incendie qu’elle avait elle-même provoqué sur les marchés. On peut donc s’attendre à ce que Jerome Powell reste en place jusqu’à la fin de son mandat en mai 2026 et à ce que l’administration Trump se concentre sur le choix de son successeur. Les passes d’arme entre les deux hommes sont monnaie courante depuis la prise de fonction de Jerome Powell en 2018. Pourtant, c’est Donald Trump qui l’avait nommé à ce poste. Mais très vite, le président américain avait exercé des pressions pour que ce dernier baisse les taux directeurs. Donald Trump a également déclaré à plusieurs reprises avoir "son mot à dire" sur la politique monétaire. Et en bon promoteur immobilier, il plaide toujours pour des taux bas, qui favorisent la croissance. D’autant que la baisse des taux se traduit pour les Américains par une baisse des taux sur les crédits hypothécaires et sur les cartes de crédit. La Fed, de son côté, est plus prudente et préfère rester en pause pour le moment. Jerome Powell estimait la semaine dernière avoir besoin de "plus de clarté avant d’envisager tout ajustement". Car la politique de l’administration Trump est négative pour la croissance mais risque aussi de relancer l’inflation. Tout cela éloigne donc la Fed de la réalisation de ses deux objectifs : l’emploi maximum et la stabilité des prix. En effet, pour atteindre l’emploi maximum, il faut une croissance solide. Or, le FMI a réduit hier sa prévision pour l’économie américaine à 1.8%, ce qui est encore une prévision optimiste, à l’heure où de nombreux économistes évoquent la possibilité d’une récession. Car au-delà de l’impact direct des droits de douane, la baisse de la confiance déjà entamée – celle des consommateurs est actuellement plus faible qu’en 2008 - risque de se traduire par une baisse des dépenses des ménages et des investissements des entreprises. Du côté de l’inflation, les droits de douane auront un effet immédiat sur les prix car généralement les entreprises répercutent la grande majorité du surcoût sur les consommateurs. La question ensuite est de savoir si les droits de douane ont un effet "one-off" sur les prix – c’est encore ce que soutenait Jerome Powell en début d’année - ou si cela relancera plus durablement l’inflation. Ce que l’on constate, c’est que les anticipations d’inflation sont déjà fortement remontées. C’est notamment ce que montre l’enquête de l’université du Michigan sur la confiance des consommateurs. Les perspectives se sont donc dégradées pour l’économie américaine. Et on voit bien le jeu qui se met en place. L’administration Trump, voyant que la situation risque de se dégrader, prépare le terrain en attaquant Jerome Powell. Si les Etats-Unis entrent effectivement en récession, ils accuseront la Fed de ne pas les avoir écoutés et d’avoir maintenu des taux trop élevés trop longtemps. Car évidemment, pour les Républicains, un ralentissement économique voire une récession ne ferait pas leurs affaires, alors que tout le monde prépare déjà les mid terms de 2026. Quelques jours après la mise en place des droits de douane réciproques, le sénateur républicain Ted Cruz évoquait le risque d’un "bain de sang" pour les Républicains. Et c’est là qu’on se rend compte que l’administration Trump est allée assez loin. Car celui qui en creux appelle à revenir à des positions plus raisonnables faisait cuire du bacon avec son fusil d’assaut pendant la campagne pour les primaires républicaines de 2016. D’ici aux prochaines élections, Jerôme Powell devrait rester l’une des cibles privilégiées de Donald Trump. Même si le président américain a, pour l’heure, adouci son discours en déclarant hier : "la presse s’emballe. Non, je n’ai jamais eu l’intention de le limoger." Un retour à une position plus raisonnable qui a permis à Wall Street de rebondir et d’effacer les pertes de lundi. En attendant le prochain épisode. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Alexis Posté(e) il y a 15 heures C’est un message populaire. Share Posté(e) il y a 15 heures Voici un message important de la part du secrétaire au Trésor américain Scott Bessent "Je tiens à être clair : « America First » ne signifie pas « l'Amérique seule ». Au contraire, il s'agit d'un appel à une collaboration plus profonde et à un respect mutuel entre les partenaires commerciaux" La politique de l'administration Trump est donc basée sur le respect mutuel entre partenaires commerciaux. Comme peuvent en témoigner d'ailleurs Canadiens, Danois, Panaméens et tous les autres Chinois. C'est rassurant Je ne maîtrise pas nécessairement toutes les expressions idiomatiques anglaises, mais je crois que "respect mutuel" là-bas se dit kiss my ass 9 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Ciders Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures Proposer de la biafine une fois qu'on a passé le lance-flammes... intéressante pratique. Sachant que demain, ils diront l'inverse. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
MIC_A Posté(e) il y a 15 heures Share Posté(e) il y a 15 heures il y a 10 minutes, Alexis a dit : Voici un message important de la part du secrétaire au Trésor américain Scott Bessent "Je tiens à être clair : « America First » ne signifie pas « l'Amérique seule ». Au contraire, il s'agit d'un appel à une collaboration plus profonde et à un respect mutuel entre les partenaires commerciaux" La politique de l'administration Trump est donc basée sur le respect mutuel entre partenaires commerciaux. Comme peuvent en témoigner d'ailleurs Canadiens, Danois, Panaméens et tous les autres Chinois. C'est rassurant Je ne maîtrise pas nécessairement toutes les expressions idiomatiques anglaises, mais je crois que "respect mutuel" là-bas se dit kiss my ass Ah, ah, "le respect mutuel" ils en connaissent la définition eux qui ne respectent rien ni personne comme un parrain de la mafia ! Mince, il n'y a pas la queue au portillon pour leurs lécher le cul malgré tous leurs efforts et ils se posent des questions sur ce qui aurait pu merder ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Alexis Posté(e) il y a 14 heures Share Posté(e) il y a 14 heures J'ai mon petit côté OSS 117, je dois avouer Quand on me dit "respect mutuel", je réponds "d'accord, faisons comme ça" Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 13 heures Share Posté(e) il y a 13 heures La guerre de la frite à débuté entre le Canada et les US : https://www.slate.fr/monde/donald-trump-declencher-guerre-frites-taxes-douanieres-menace-filiere-fast-food-huile-colza-canada-importations?utm_source=firefox-newtab-fr-fr Donald Trump a-t-il déclenché une guerre de la frite? Ses taxes douanières menacent toute la filière Alice Belkacem – 22 avril 2025 à 14h00 Aux États-Unis, les frites ne sont pas qu'un accompagnement, elles sont un pilier de la restauration rapide, avec des marges record. Mais une taxe annoncée sur l'huile de colza importée du Canada pourrait mettre à mal tout un secteur, du fast-food aux producteurs. Les frites seront accompagnées d'une addition salée. | ABHISHEK HAJARE via Unsplash Temps de lecture: 2 minutes - Repéré sur Business Insider L'histoire des États-Unis est intimement liée à celle des frites. Accompagnement indispensable du cheeseburger, celles que les Américains appellent «french fries» avaient d'ailleurs un temps été rebaptisées ironiquement «freedom fries», en réaction à l'opposition de la France à la guerre en Irak en 2003. Aujourd'hui encore ces allumettes de pommes de terre frites pourraient se retrouver au cœur du débat, cette fois en raison des taxes douanières souhaitées par Donald Trump. Alors que les États-Unis produisent chaque année environ 19 milliards de kilos de pommes de terre, une hausse des taxes sur les importations d'huile de colza pourrait venir mettre en péril la rentabilité de ce plat emblématique, rapporte le média en ligne Business Insider. Au point que certaines enseignes envisagent de changer de type de graisse, en revenant à des méthodes anciennes et plus coûteuses comme la cuisson au suif de bœuf ou à la graisse de canard. D'autres investissent dans des systèmes de filtration pour prolonger la durée de vie de l'huile, mais cela ne suffira pas à compenser l'augmentation des prix. Allons-nous assister à une crise de la frite aux États-Unis? Abonnez-vous gratuitement à la newsletter de Slate !Les articles sont sélectionnés pour vous, en fonction de vos centres d’intérêt, tous les jours dans votre boîte mail. Les frites ne sont pas seulement populaires, elles sont aussi parmi les produits les plus rentables de la restauration rapide. Avec des marges bénéficiaires supérieures à celles de nombreux autres plats, l'augmentation des coûts de production pourrait entraîner une réduction des bénéfices. De là à les supprimer purement et simplement des menus? Peut-être pas, même si elles risquent d'être boudées par les consommateurs, surtout aux États-Unis où l'inflation et le pouvoir d'achat sont un enjeu majeur aujourd'hui. Le secteur de la restauration américain ne sera pas la seule victime de ces tarifs imposés par la Maison-Blanche. Le Canada, principal fournisseur d'huile de colza des États-Unis, représente 96% des importations. Les nouvelles taxes douanières affectent donc directement les producteurs canadiens, menaçant une industrie qui génère des milliards de dollars. Quand la frite devient politique En mars 2025, Donald Trump a mis en place des droits de douane de 25% sur tous les produits venus du Canada, faisant fi du précédent accord commercial États-Unis-Mexique-Canada (USMCA), avant de suspendre momentanément sa mesure, face à la panique des marchés. Si elle était effectivement appliquée à la fin des 90 jours de pause, cette mesure aurait des retombées immédiates sur le commerce transfrontalier. En plus de leur huile, les États-Unis importent chaque année 1,7 milliard de dollars de frites surgelées du Canada. Depuis 2020, le pays achète plus de frites surgelées qu'il n'en produit, un déséquilibre qui coïncide avec une flambée des prix. Chez McDonald's, le prix moyen des frites a bondi de 134%, passant de 1,79 dollars en 2019 à 4,19 dollars en 2024. 1 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
herciv Posté(e) il y a 8 heures Share Posté(e) il y a 8 heures Les chinois annoncent qu'il n'y a pas de négo avec les US : https://www.zonebourse.com/cours/devise/EURO-US-DOLLAR-EUR-USD-4591/actualite/Le-dollar-reflue-avec-les-derniers-developpements-de-la-guerre-commerciale-49710485/ Washington (awp/afp) - Le dollar perdait du terrain jeudi, miné par les messages contradictoires en provenance de Washington et de Pékin, douchant les espoirs sur de possibles négociations commerciales entre les deux pays. Vers 17H15 GMT, le billet vert perdait 0,50% face à la monnaie unique, à 1.1373 pour un euro, et 0,51% face à la monnaie britannique, à 1,3322 dollar pour une livre. Le Dollar index, qui compare la devise américaine à un panier d'autres grandes monnaies, reculait quant à lui de 0,47%, à 99,38 points. "En ce moment, le dollar change de cap comme s'il était attaché à une roulette de casino, chaque mouvement dépendant de la prochaine annonce sur la guerre commerciale", avance Stephen Innes, de SPI AM. Le billet vert avait initialement profité de la perspective d'un apaisement entre Washington et Pékin, après des propos du président américain mercredi ayant suggéré l'éventualité d'un accord "équitable" entre les deux puissances engagées dans un bras de fer commercial. Mais "les remarques faites par (Washington) (...) ont été confrontées à une réalité brutale cette nuit lorsque plusieurs porte-parole chinois ont déclaré qu'il s'agissait de +fake news+", détaille auprès de l'AFP Christopher Vecchio, de Tastylive. La Chine a en effet fermement réfuté jeudi l'existence de négociations avec l'administration américaine. Interrogé sur l'existence de ces négociations, le ministère chinois du Commerce a rétorqué jeudi que "toute affirmation concernant une avancée dans les discussions sino-américaines relève de la pure spéculation et ne repose sur aucun fait concret". "Cela montre que le problème sous-jacent du dollar est que, tant que les dirigeants américains fonctionnent de manière imprévisible, le billet vert sera sous pression car les gens remettront en question son rôle dans le système commercial mondial", avance M. Vecchio. "Dans le même temps, le Fonds monétaire international (FMI) a fortement abaissé ses prévisions de croissance mondiale, pointant du doigt une politique commerciale américaine frénétique et néfaste", ce qui pèse en toile de fond sur le dollar, souligne Ipek Ozkardeskaya, analyste chez Swissquote Bank. Le FMI, qui a publié ses projections mardi, prévoit que l'économie des Etats-Unis progresse de 1,8% cette année, ce qui représente une baisse de 0,9 point par rapport à sa précédente estimation de janvier. "Le gouvernement est le facteur déclencheur de ces problèmes, c'est un pompier pyromane", estime M. Vecchio. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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