ARMEN56

La famille du Français Paul-Henri Nargeolet, une des victimes de l’implosion du submersible « Titan » en juin 2023, a porté plainte contre l’opérateur du sous-marin OceanGate, l’accusant de « négligence grave ». L’entourage réclame plus de 50 millions de dollars, rapporte ce mercredi 7 août « The Guardian ». Fallait s’y attendre…ça suivra . Mais avant de se lancer dans cette démarche , il faut s’appuyer sur des rapports d’expertises , or il ne me semble pas avoir vu passer d’éléments concrets en ce sens . https://www.ouest-france.fr/societe/justice/implosion-du-sous-marin-titan-la-famille-dune-victime-francaise-reclame-50-millions-de-dollars-2790ea8c-54ea-11ef-a1d5-0ad40f45dcb0 https://www.theguardian.com/world/article/2024/aug/08/titan-sub-crew-wrongful-death-lawsuit

Les types 23 , c’est pas de la guimauve non plus . Navy Outlook nous dit que la coque a été échantillonnée pour un durée de 18 ans , ce qui signifie en creux moins d’épaisseur de tôle . Donc en cyclage arc/contre arc , a un état de mer statistique donné , moment fléchissant blablabla , on est beaucoup plus faibles et partant exposé aux risques de d’apparition de fissures précoces . Par ailleurs dans l’épaisseur de tôle on prend une marge corrosion qui se trouve d’autant plus affecté. MAIS faut pas jeté bébé avec l’eau du bain, ces barcasses ayant été réputées trèès silencieuses dans leur combinaison TAG diésel électrique inspirée……..

J'oubliais que pour coiffer le tout , se retrouver avec une pléthore d'architectes , coté état, coté indus , coté RN/MN sous controle du juge de paix la sociéte de classifcation

Je me demandais si les particularités UK de bassins à flots de Devenport et Portmouth à surface figée modernisable mais difficilement extensibles ; bassins à flots comportant un certains nombre de raboubs, bref du double écluses , ne constituaient pas un frein ….on a de très gros coeff en manche et pas en MED où l’on entretien nos SNA , ceci en entendant bien que nos SNLE sont entretenus à Brest .

Ça nous pend aussi au nez ; depuis plus de 40 ans on arrête pas d’essorer tout ce qui est courts coûts plateformes . Alors pour ce faire on a fait appel à des cabinets de consulting maîtrisant les méthodes d’analyses fonctionnelles pour savoir ou rogner . Cabinets ne sachant évidemment pas reconnaître l’avant et l’arrière du canote . Les bureaux d’études sont alors passés d’une organisation métiers par une organisation systèmes fonctionnels. Puis dans le processus fallait s’inspirer des méthodes firmes automobiles , constitution de plateaux projets et valses des déplacements des équipes d’un point À vers un point B puis vers un point C puis vers un point D pour être au plus près du canote qui passe d’une rive à l’autre …etc . Bref des mvts démotivant dopés aux powers points et courbes fichiers expels des ingénieurs manageurs dont certains méconnaissant totalement la technique navire. Et tout ceci sous couvert d’une sous traitance globale de plus en plus accentuée y compris des blocs complets . Alors on s’étonne de ne plus savoir se causer , souder , borner……etc

J’ai essayé de traduire ces quelques pages techniques de 70 à 92 de ce document russe sur la conception de la coque épaisse des sous marins avec certainement des erreurs de traduction . Alors je me suis arrêté à la page 92 car je n’ai pas voulu poursuivre l’indigestion par une poursuite en formules alambiquées …. https://fr.scribd.com/document/518274145/proektirovanie-i-konstrukcija-podvodnih-lodok J’ai le doc complet en pdf si intéressés C’est parti

A ressusciter l’Empereur ; qu’on m’amène un uber , A16 vers Boulogne ; çà va le faire … ==>[]

je confirme cette volonté EMM ....

Oui un joli coin vu des deux bords ; aux grands coeffs un jus du diable … Un peu d’ETEL où les brigades verbalisent régulièrement les plus de 5 nds ; ET …………….« y en a » ; Sinon osons un soupçon de HS en révélation

comprends tu la problématique

Sans compter les barcasses chassant dérivant à la cote à presqu'à chaque grands vents en baie de Port Louis , cause que mouillages peu ou jamais contrôlés.... Faut pas tout noircir car pour la grande majorité des résidents marinas et autres habitués des coureaux , c'est du sérieux...

Franchement y a des claques qui se perdent !

https://www.linkedin.com/posts/navyrecognition_albanese-government-accelerates-build-of-activity-7221531126060720128-UEhn Posté aussi dans ce fil ; « Batellerie et engin & moyens de débarquement » https://landforces.com.au/media/news-article/defence-announces-accelerated-build-of-18-new-landing-craft-

https://www.linkedin.com/posts/navyrecognition_albanese-government-accelerates-build-of-activity-7221531126060720128-UEhn

L'histoire de la cavalière et cheffe d'entreprise bretonne qui a galopé sur la Seine La scène a marqué et marquera pour des années la mémoire de milliards de spectateurs qui ont regardé la cérémonie d'ouverture des JO de Paris 2024 .Sur ce cheval argenté au galop sur la Seine, une dirigeante bretonne, Morgane Suquart 34 ans, maquillée et recouverte d'une armure d'argent. Elle est fondatrice de la TPE MMProcess basée à Saint-Pierre Quiberon, qui a inventé ce drôle de trimaran électrique à foil qui a permis au cheval mécanique ( conçu par les Nantais de l'Atelier Blam) de galoper sur la Seine. L'innovation était quasiment invisible et c'était le but. Ce trimaran de 14 mètres de long pèse 2,5 tonnes. Une création inédite et une prouesse technologique réalisée en à peine 3 mois. L'innovation, née entre Nantes et Quiberon, aurait pu ne jamais voir le jour sans une rencontre fortuite àl’Ecole d’Architecture de Nantes -Alumni cet hiver, sans les tissus composites des usines de Nantes et Saint-Nazaire AirBus sans l'expérience d'une équipe qui s'était aussi mobilisée sur la construction de trimarans, comme dernièrement celui du skipper baulois Sébastien Rogues Et sans la rencontre de ses dirigeants, Morgane Suquart et Madeg Ciret-Le Cossuet sur les bancs de l’école, à Saint-Malo il y a 10 ans. Une très belle histoire d’innovation, d’audace, d’entrepreneuriat mais aussi d’amour née à l’ouest. A lire gratuitement surAPI News ( lien en commentaire) la newsletter des dirigeant(e)s et entrepreneur(e)s de l'Ouest https://www.linkedin.com/posts/amandine-dubiez_paris2024-activity-7223683000176181248-T-KL

https://www.linkedin.com/posts/ewan-photo_enfin-le-livre-dune-vie-est-bientôt-ugcPost-7218286256697344000-Cn9y

« Ils envoient des mecs sur le terrain. » Les services de renseignement français ont identifié des risques potentiels de sabotage dans l'industrie de défense. Récemment, selon Marianne, plusieurs individus ont été observés en train de faire des repérages sur divers sites industriels d'armement à travers la France. Cette activité suspecte a conduit à une vigilance accrue des autorités (DGSI, DRSD) et à des mesures de sécurité renforcées pour protéger ces installations stratégiques. Ces incidents rappellent les menaces constantes qui pèsent sur les infrastructures critiques, particulièrement dans le contexte actuel où les tensions géopolitiques et les enjeux de sécurité nationale sont élevés. Le recours à des individus pour effectuer des reconnaissances pourrait indiquer des préparatifs en vue d'actions plus nuisibles, telle que le sabotage. Le ministre des Armées Sébastien Le cornu avait révélé lors de son audition en juin dernier, sur les ingérences étrangères devant le Sénat, que 80 % des opérations d’espionnage commanditées par un acteur étranger ciblaient les sous-traitants des industriels de défense. Cette information souligne la vulnérabilité particulière des sous-traitants, souvent moins protégés que les grandes entreprises principales, et donc des cibles privilégiées pour les opérations de renseignement adverses. Face à ces menaces, les entreprises de défense et les autorités françaises coopèrent étroitement pour sécuriser les sites sensibles, mettre en place des protocoles de réponse rapide et sensibiliser les personnels aux risques de sécurité. Le renforcement des mesures de surveillance et de contrôle d'accès, ainsi que l'augmentation des patrouilles et des inspections sur ces sites, sont des réponses immédiates pour contrer ces menaces » https://www.linkedin.com/posts/pierre-opexnews_dgsi-russie-défense-activity-7225936854129221632-BE9_

C’etait aussi un rappel eu égard les avoinées en mode patates qu’on s’était pris dans la tronche par l’EMM suite aux fissures de coques des F67, F70 et FAA coques renforcées en inertie par l’apport de renfort bulgés en correctif. Coque dont les coupes au maître d’échantillonnage en épaisseur était pourtant bien > au type 23 . En sortant du programme FLF Guepratte dans cadre prépa FMM , avions eu l’occasion d’une visite pro sur l’HMS Norfolk en escale voici plus de 20 ans , perso j’en étais resté à une belle facture côté design d’ensemble , sans me douter que la coque était presqu’en « papier à rouler JOB » et qu’aujourd’hui les Brits vont jusqu’au désossement à budget dépassant avec changement de peau pour les prolonger. c’est ce qui avait été dit par un officier de la RN . Mais la seule façon objective de savoir quel est le niveau de bruits rayonnés du canote est de passer sur un champ d’hydrophones ; d’écouter , de mesurer , d’enregistrer et de comparer par rapport au gabarit acoustique contrat. Résultats qu’on ne verra sans doute pas dans les gros titres du Daily Mail …

Franchement les bras m’en tombent quand je lis ceci à propos de la RMV des types 23. Je ne savais pas que la coque ( conçue pour durée de vie 18 ans seulement ) avait une faible épaisseur , gain devis de masse , avec au final avec l’âge , une allure de panier percé cautérisé ( 1000 à 2000 inserts de coque) sans compter la refonte du contrôle commande énergie ( remplacement des gensets paxman) . On devrait avoir la main moins lourde quand on critique les nôtres…. https://www.navylookout.com/royal-navy-frigate-strength-to-get-worse-before-it-gets-better/ Et encore une fois un excellent article objectif de Navy Outlook et gratuit .

Oui mais les touristes semblent s'inquiéter ....

possible ? Je peux me tromper mais je comprends que le trimaran porteur était en autopropulsion monitoré en conduite « maitre/esclave » (*) par cette barcasse pilote amont . A cette vitesse d’environ 14 nds , remorqué il aurait été beaucoup moins manoeuvrant , lacets enfournement toussa (*) pardon pour ce terme qu'on utilise en conduite propulsion navire CODAD

construction navale d’un autre genre https://www.linkedin.com/posts/larrie-ferreiro-20aa20b_naval-architecture-makes-the-2024-paris-olympics-ugcPost-7223496068603256833-Mhb https://www.linkedin.com/posts/djimmy-poiroud-922284b1_nosrégionsontdutalent-jop2024-jo2024-ugcPost-7224348763354472449-l2aM

oui on dirait que la baille a été canardée, et c’est pire sur l’arrière A des épaisseurs entre 12 et 14 mm , on n’imagine pas une corrosion perforante à ce point au dessus de la surface . Et encore moins dessous ( glouglou) d’autant que c’est surveillé Bizarre extrait coupe au maitre

Alors LÉON étant le palindrome de NOËL : bref profitons , combien en voulez vous de PANG ? Deux , trois , plus ; bref j’attends la lettre…

Bien malin alors celui qui pourra différencier ……bravo Pascal ! « Il y a un an et demi, la Marine nationale a commencé à effacer les indicatifs visuels de ses bâtiments de surface, noms et numéros disparaissant progressivement des coques des porte-hélicoptères amphibies, frégates, patrouilleurs, chasseurs de mines et autres bâtiments de soutien. Cette expérimentation, destinée à rendre plus difficile l’identification des unités par un adversaire, est-elle efficace ? C’est que Mer et Marine a demandé à l’état-major de la flotte française, où l’on indique que l’expérimentation va se poursuivre et se prolonger avec de nouvelles initiatives. » Face à une situation internationale qui se dégrade et à un niveau de menace accru en mer, les forces armées françaises s’adaptent. Le matériel évolue, de nouveaux systèmes sont déployés ou à l’étude et certaines mesures sont adoptées pour compliquer la vie de l’adversaire. C’est le cas de l’anonymisation des bâtiments de surface de la Marine nationale, une expérimentation lancée à l’automne 2022 et qui se poursuit. La frégate de défense aérienne (FDA) Forbin, récemment sortie d’arrêt technique à Toulon, n’arbore plus ses marques distinctives, sa coque étant désormais uniquement grise. Ce qui sera aussi bientôt le cas de sa jumelle, le Chevalier Paul. Bien malin alors celui qui pourra différencier les deux bâtiments https://www.meretmarine.com/fr/defense/l-anonymisation-de-la-flotte-de-surface-francaise-est-elle-utile Le nom du navire est constitué de lettres soudées sur la coque d’une épaisseur d’environ 10 mm , C’est moins évident pour les immatriculations avant et tableau arrière , Pour masquer les imma en noir , plusieurs bonnes couches j’imagine …. Mais quand çà veut pas , çà veut pas !