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AIR-DEFENSE.NET

Karg se

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Tout ce qui a été posté par Karg se

  1. Bien évidement on ne peut pas envoyer bouler ces pays du jour au lendemain sans préparer notre coup. Mais il est quand même possible de mettre de la pression...
  2. Techniquement ça serai frappe nucléaire tactique. Face à ce type d'agression il faut être radical, il faut faire passer l'envie. Cela dit aucun pays nucléarisé n'a subit ce type d'attaque, sauf les USA le 11/09.
  3. Avec le vieux S-60 ça me parait très difficile d'abattre quoique ce soit autrement que par chance. Ce type d'arme est faite pour le tir de saturation. Dans un jeux vidéo un peu réaliste (BF3) c'est pas facile de touche un hélico avec ce type d'arme (par exemple les canons 25mm des LAV-AA) à plus de 1000m. Il faut quelques heures de pratique pour prendre le coup de main, et encore ça reste un jeux et avec un canon à tir rapide.
  4. La méthode que tu soutien, ça fait 15-20 ans qu'ils essayent, ça ne marche pas. Abe tente un truc, laisse lui au moins le bénéfice du doute. Comme l'a dit Chronos, les créanciers vont commencer à disparaitre, et il existe des outils financiers pour liquider une dette, surtout interne.
  5. Tien c'est une version moderne de la fin de l'histoire? le Japon a des problèmes, notamment une transition démographique qui va être difficile s'ils n'arrivent pas à accepter que les femmes peuvent et surtout doivent faire des enfants et travailler. Mais c'est pas forcément une urgence, le pays est notoirement surpeuplé, je ne suis pas certains qu'une politique nataliste forte soit une priorité dans l'immédiat. Un pays, quel qu’il soit, doit pouvoir assurer son indépendance alimentaire, hors le Japon ne couvre pas plus de 40% de ces besoins, sachant qu'en plus ils mangent moins que les occidentaux (presque 1000 calories par jours et par tête de moins). Ils vont être moins "puissant" car moins nombreux, mais ils ne seront pas moins riche. Ce qui compte c'est la richesse par tête, le faible niveau de problème sociaux (chômage, délinquance, working poor). Les délires sur la puissance, c'est de la b******, il faut savoir être à sa place, pas faire le malin en vivant à crédit (comme nous par exemple avec notre franc euro fort. La dette du Japon est interne, c'est leur affaire.
  6. ça fait toujours plaisir, merci pour le cadeau de noël.
  7. Oui à s'auto entretien, ça peut dure des décennies Oui, la dernière fois c'était en 1936. Blum dévalue en septembre, la France sort de la crise après tout les autres pays européen qui ont dévalué avant (les anglais et les suédois dès 31, les ricains en 33, Italie en 1934 les belges en 35). Ils ont acceptés de se remettre à leur place, accepter d'être un peu plus pauvre mais d'être compétitif. Cette dévaluation tardive explique notre retard industriel: gagner quelques mois sur la reprise aurait peut être changé la donne en 40... Ca risque de faire revenir l'inflation, mais les rentiers vont mourir (lol). Il faut suivre ce qui va se passer au Japon. Pourquoi peur? la peur c'est l'inconnue, là on sait à quoi s'attendre. Il faut aussi lutter pour faire tomber les dogmes.
  8. je sais très bien que le modèle suédois est très différent du notre, mais tu remarquera que leur réussite dépend d'un modèle globale qui dépasse le simple niveau d'imposition global. Baisser les impôts en maintenant le carcan bureaucratique et bancaire, ça ne servira à rien.
  9. RIP Quel destin pour ce fils de Koulak déporté.
  10. Endettement, pression déflationniste, faible croissance ou sans effet réel sur le chômage et la pauvreté: bienvenu dans les décennies perdues. Le Japon essaye encore de s'extraire de ce bourbier depuis les années 90. C'est jouer sur les mots, de toute façon le changement est permanent, rien n'est éternel et tout est soumis à la causalité. La forte croissance des 30 glorieuses fut le résultat d'une conjonction remarquable entre énergie peu coûteuse, fort besoin/désir d'enrichissement et d'équipement du foyer et inventions technologiques faciles d'accès (presque n'importe qui peut conduire une voiture ou un engin de manutention), le tout bien orchestré par des politiques pour une fois pertinente. La situation actuelle c'est énergie de plus en plus cher (au moins à court et moyen terme, un rupture technologique pourrait rapidement changer la donne, je crois fortement au couple RSF thorium/carburant de synthèse), foyers (même modeste) très bien équipé (d'où une course à l'échalote technico-commerciale pour réduire le temps de renouvellement des appareils) et technologies de plus en plus exigeante (tout le monde n'est pas capable d'utiliser des outils informatiques, je ne parle pas de facedebouc bien entendu). Le fait que l'énergie soit coûteuse n'est pas un élément important, c'est le pilier du système. Tout ce que nous consommons et produisons n'a de valeur qu'a travers le travail nécessaire pour le produire. L'énergie produit du travail, et à une échelle bien plus grande que le travail humain. Certains essayent de se rassurer en racontant que l'énergie n'est que 8 à 10 % des coûts des produits et services, mais c'est faux. En réalité la taille de l'économie dépend de l'énergie disponible et de l'efficacité de son usage (qui augment d'environ 1% par an depuis 200 ans). La part de l'énergie dans le PIB est un paramètre fixe. Si on augmente considérablement le cout de l'énergie, plus vite que les gains productivités, on rentre en décroissance forcée. La course entre la technologie est l'éducation est devenu d'un coup, au début des années 80, beaucoup plus difficile avec l'irruption de l'informatique et de l'automatisme qui a fortement réduit le besoin d'emploi de col blanc (fini les hordes de grattes papiers et de dactylos qui tapent des factures et enregistre les facteurs, bonjour les analystes financiers et les secrétaires de direction trilingue) puis de col bleu (une fraiseuse numérique fait le boulot d'une dizaine d'ouvriers, et un technicien de supervision peut en gérer plusieurs à la fois). Cette course va forcément introduire un élément important de cette grande transition, très rarement abordé, à savoir la perte irrémédiable d'employabilité d'une partie de la population humaine. Il va être difficile de donner du travail à tous, les moins talentueux vont être à charge de la société ou devront faire des emplois très peu productif. C'est d'ailleurs déjà le cas, on voit très bien que les tensions sur le salaire minimum montre qu'il y a un réel décalage entre les emplois qu'on peut leur proposer (si on vise le plein emploi) et le revenu qui est nécessaire à une vie descente. Chômeurs ou emplois au rabais avec complément de revenu? L'Allemagne a fait ce choix, ce qui entraine un sérieux problème de concurrence dans l'UE, mais ont-ils eu tord dans le fond?
  11. http://unioneuropeenne.blog.lemonde.fr/2013/12/22/quand-angela-merkel-fait-le-parallele-entre-la-zone-euro-et-lex-rda/ ça sent le sapin, en tous cas elle confirme les analyses qui donne l'euro mort au premier rat qui quitte le navire (qui sombre). lol Discute avec des entrepreneurs en France, c'est pas juste une question de niveau de l'imposition. http://www.ladepeche.fr/article/2013/08/24/1694958-la-pression-fiscale-monte-en-europe.html D'après toi pourquoi le Danemark et la Suède ne sont pas en grave récession?
  12. Quand il n'y aura plus de pétrole, ta voiture sera électrique (batterie, mais peut être aussi alimentation par induction directement de la route pour les grands axes) ou à carburant liquide de synthèse. La transition ne sera pas immédiate, mais elle aura lieu, et on va (pour ceux qui tiendrons encore quelques décennies) la vivre. Je suis d'accord sur le fait de renationaliser EDF et plus globalement toute la filière nucléaire, c'est un sujet trop sérieux pour le laissé au privé.
  13. La dette c'est quoi? l'épargne des autres. Le problème c'est pas être endetté, c'est avoir du cash pour payer les emprunts. Par contre il y a une différence énorme entre une entreprise, l'état un ménage: - les revenus de l'état sont solide, il peut, dans une certaine mesure, les augmenter, et il ne risque pas d'avoir des chutes de revenu trop sensible (sauf état qui s'appuie sur la vente de ressource naturel comme le pétrole ou les minerais, mais c'est loin d'être nos cas). - les revenus d'une entreprise sont plus aléatoire, mais elle peut avoir des taux de croissances qui dépassent largement ceux d'un état. Elle peut aussi faire faillite et disparaitre - les ménages enfin ont pas mal de risque, mais ils ne peuvent pas disparaître (mais faire faillite dans certaines conditions). Bref même endetté on reste riche, ça dépend du reste.
  14. Karg se

    Le F-35

    Total bullshit Les retombées n'étaient pas les mêmes non plus, l'Allemagne de l'Est et la Pologne on reçu des doses bien plus grande que nous. Il y a effectivement un gros trou d'air dans le catalogue d'avion de combat occidental, rien de nouveau depuis le début des années 80. La génération F14-F15-F16-F18 très performante (les productions soviétiques de la même génération sont complètement dépassés) a tardé à être renouvelé, le F22 n'est pas exportable, le Rafale et l'EuroFigther sont arrivés à peine plus vite que le F35. Au final il y aura plus de 30 ans d'écart entre les deux générations.
  15. @Remy: il va falloir quand même réfléchir à ce problème de fond, la robotisation va sans cesse réduire le champs des emplois disponibles, avec sans doute des chocs "d'employabilité" quand certaines limites seront franchis. Une société suffisamment riche pour avoir un parc important de robot va devoir trouver des moyens différents de redistribuer les richesses.
  16. Il y a aura une transition difficile, mais le nucléaire prendra le relais. De toute façon il n'y aura pas de choix. Attention, ce que j'affirme c'est au niveau global: les pays qui auront la volonté et les moyens de réussir la transition y parviendrons (la Chine a déjà un plan qui tien la route compte tenu de leur réserve de charbon, je ne doute pas que l'Inde ou les USA y parviennent aussi, la France aussi puisqu'elle a déjà fait la moitié du chemin en décarbonnant l'électricité). Les autres s'effondreront ou seront vassalisé.
  17. Oui car la vie nécessite une souplesse, hors des structure souple sont forcément fragile. Les plantes ne peuvent pas construire des structures trop solide qui empêcheraient la croissance, elle ne peut pas cuire des matériaux robustes dans un four. La biologie a des contraintes structurales. @Divos: des étangs d'algues halophiles OGM produisant du carburant liquide, directement par exocytose et récupéré en continue par séparation eau/hydrocarbure, ça me parait être la solution ultime pour le transport. Les zones côtières très exposés aux soleils sont nombreuses, il suffirait de pomper de l'eau de mer.
  18. C'est pas que le rendement est mauvais, c'est surtout qu'il a besoin de condition précise relativement rare.
  19. Bof, la photosynthèse à un mauvais rendement car les molécules organiques sont fragile, elle ne travaille que dans une gamme de température réduite. Trop froid ça marche pas, trop chaud idem. La quasi totalité de l'évapotranspiration des plantes sert à les refroidir pour permettre une bonne production photosynthétique. Le concept de donneur d'électron est évidement efficace, mais il faudrait un système qui travaille indépendamment de la température.
  20. Ils vont devoir redémarrer les réacteurs nucléaires, ils ont le même problème que nous, ils ont une facture énergétique délirante.
  21. J'ai peur que cette politique de subvention qui a provoqué une installation massive de panneau finalement rudimentaire et couteux en éléments rares ne soit un boulet qui va handicaper le solaire à long terme. C'est certain que si on arrive à un très bon rendement (>50) avec des panneaux quasi gratuit, on pourra se lancer dans des projets "loufoques" de stockage de l'énergie: même si ça démultiplie le prix, l'électricité sera quasi gratuite. Faut voir ce que permettent les nano tube, mais j'aime bien l'idée d'un ascenceur spatial qui en prime nous relie à des stations solaires en orbite. Si on perd le câble on aura l'air con.
  22. @Stormshadow, AlexandreVBCI: 90% de cette puissance installé repose sur la synergie entre le dumping chinois qui subventionne la production de panneau solaire (ça qui n'a pas empêché SunTech de faire faillite et d'être en cours de renflouage publique) et les états occidentaux qui imposaient des tarifs de rachat très généreux (en chute libre). Je doute fortement que cette croissance continu durant la prochaine décennie, surtout aussi vite. Et gaspillant de l'argent on peut faire exploser la production de telle ou telle source d'énergie, mais au final si le coût de production est trop élevé et que la production est trop fluente, ce n'est qu'agitation et gaspillage.
  23. A si c'était aussi simple qu'empiler les TW... on n'aurai pas eu besoin d'utiliser le charbon, puis le pétrole et le gaz...
  24. Il ne faut pas oublier qu'Areva et EDF versent aussi des cotisations sociales, des impots locaux et de l'impot sur les bénéfices, sur le carburant l'état touche de moins en moins, notamment parce que TOTAL est un as de l'évasion fiscales. Les raffineries ferment chez nous et se construisent en Arabie Saoudite, bientôt l'essentielle de la VA est capté par les pays producteurs et des multinationales off shore. Avec le nucléaire c'est différent, c'est vraiment celui qui convertie l'uranium en combustible et en électricité qui encaisse.
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