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Tout ce qui a été posté par Wallaby
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La Francophonie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Carl dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.ledevoir.com/societe/education/585000/education-quebec-dit-non-au-cegep-bilingue (29 août 2020) Le gouvernement Legault ferme la porte au projet de cégep bilingue à Vaudreuil-Dorion. Nos sources indiquent que le ministre responsable de la Langue française, Simon Jolin-Barrette, est sensible aux inquiétudes des groupes qui craignent l’anglicisation du Québec par l’enseignement supérieur. Le ministre a lancé une consultation pour prendre le pouls du milieu des cégeps, qui s’inquiète de la force d’attraction des collèges anglophones dans l’île de Montréal. Le ministre prépare un plan d’action pour renforcer la Charte de la langue française, mais il est trop tôt pour déterminer si l’enseignement supérieur fera partie de sa stratégie, indique-t-on. Le projet de campus bilingue à Vaudreuil-Dorion est porté par deux cégeps francophones (Valleyfield et Gérald-Godin) et par le cégep anglais John-Abbott. Le Devoir a révélé en mars dernier que ce « centre d’études collégiales » accueillerait environ 1000 étudiants. Aucun diplôme ne serait bilingue. Onze programmes seraient en français et quatre en anglais. Fait à noter, les anglophones sont désormais minoritaires au sein des cégeps anglais — aux dernières nouvelles, ils représentaient 41,5 % de l’effectif. L’explosion de la fréquentation des cégeps de langue anglaise est due aux allophones et aux francophones. Le chercheur indépendant Frédéric Lacroix déplore que les prévisions démographiques du MEES passent sous silence l’attrait indéniable des établissements anglophones. C’est pour cela que le ministère a erré dans le passé avec ses prévisions qui anticipaient une baisse d’effectif dans les cégeps anglais. « Le modèle de prévisions d’effectifs au collégial du MEES fait partie de l’armature du déni de ce qui se passe au collégial ; c’est essentiellement un dispositif destiné à empêcher la prise de conscience de l’effondrement en cours des inscriptions relatives dans les cégeps français, chose qui est le résultat de la dynamique linguistique, variable qui est soigneusement ignorée par le modèle du MEES », écrit-il dans une déclaration transmise au Devoir. -
terrorisme Opération Barkhane
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.franceculture.fr/emissions/lesprit-public/lesprit-public-emission-du-dimanche-30-aout-2020 Bertrand Badie : 40:03 [L'interventionnisme militaire français avec l'opération Serval] n'a pas sauvé le Mali de la désagrégation : il a étendu la tache d'huile à l'ensemble des pays du Sahel, c'est à dire que rien n'a été résolu sur le fond. -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.franceculture.fr/emissions/les-enjeux-internationaux/vers-une-transition-civile-au-mali (24 août 2020) Entretien avec Michel Galy, spécialiste de l'Afrique subsaharienne. 10:35 La Cédéao divisée et sans force d'intervention (c'était l'ECOMOG, à l'époque), n'a pratiquement aucun pouvoir, et je note d'ailleurs que la diplomatie française est sur des positions différentes. Elle a en quelque sorte, entériné le coup d'État, contrairement à la Cédéao. https://www.cairn.info/revue-afrique-contemporaine-2013-3-page-145.htm (3e trimestre 2013) La direction scientifique de Michel Galy – politologue, pilier de la revue Cultures & Conflits et professeur de géopolitique à l’école internationale des relations internationales (ILERI) – est riche de sens. Il fut l’un des premiers, et sans doute un des rares, à remettre en question l’engagement français au Mali à peine celui-ci commencé. Le théoricien de la « guerre nomade » en Afrique de l’Ouest, connu pour ses prises de positions contre l’intervention française en Côte d’Ivoire (notamment en 2004 et surtout en 2011), offre ici l’analyse critique d’une « intervention bien française » (introduction) dans sa globalité géographique, synchronique et diachronique. C’est sans conteste le chapitre de Michel Galy, « Pourquoi la France est-elle intervenue au Mali ? », qui cherche à éclairer le paradoxe suivant : pourquoi François Hollande, qui avait durant ses premiers mois de présidence cherché à affirmer une nouvelle politique africaine, engage-t-il la plus importante opération militaire sur le continent depuis les indépendances ? Michel Galy montre en quoi, par-delà une « Françafrique » qui aurait originellement épargné (au moins en partie) le Mali de Modibo Keïta, Serval répond au moins à deux nouveaux principes : préparation-justification médiatique de l’opération militaire présentée comme inéluctable et mise sous tutelle de l’État malien « par le gouvernement socialiste – s’inscrivant dans la continuité de la politique de Nicolas Sarkozy qui avait apporté la caution française à un modèle de développement en échec, à des élections truquées et à une corruption généralisée – effectuée grâce aux relais complaisants de la CEDEAO, de l’Union africaine et de l’ONU ». Car, au fond, [selon Mohammed-Mahmoud Ould Mohamedou], depuis 2008 et la « doctrine Obama » (nouvelle diplomatie qui succède aux guerres d’Afghanistan et d’Irak par laquelle les États-Unis font évoluer leur stratégie antiterroriste en confiant des zones d’influence à leurs alliés, auxquels est apportée une aide technique), la France, qui est revenue dans le commandement intégré de l’OTAN, garantit son influence dans le giron occidental par la démonstration de sa puissance en Afrique – territoire reconnu comme sa spécialité tactique. Ce changement post-Bush, qui modifie certains canons américains du Global War on Terror, a simultanément permis un repositionnement de la force militaire française, signant là un de ses virages politiques essentiels au sein de la sécurité mondiale après la décennie 2000. Ainsi, comme le plaident les auteurs de ce collectif, l’opération éclair voulue par la France ne peut pas répondre à cette crise : celle-ci est plus profonde dans la zone saharo-sahélienne. Ses racines récentes remontent au moins à deux décennies : guerre civile algérienne, question de la fragilisation de l’appareil d’État en Afrique de l’Ouest depuis les années 1990 et crises et interventions militaires au nom de la guerre contre le terrorisme. Si l’Algérie est bel et bien présente, on peut en revanche regretter que la question libyenne, qui apparaît comme fondamentale à bien des égards dans la géopolitique du Sahara, ne soit pas plus abordée. -
Coronavirus - Covid 19
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.techopital.com/activation-du-plan-blanc-dans-les-bouches-du-rhone-et-reouverture-des-unites-covid-19-NS_5108.html (28 août 2020) Le plan blanc a été réactivé [le 14 août] dans les hôpitaux publics des Bouches-du-Rhône entraînant notamment la réouverture d'unités Covid-19 dans les établissements qui n'en avaient pas maintenu. L'Assistance publique-hôpitaux de Marseille (AP-HM) travaille actuellement sur sa capacité en lits Covid. Le 20 août, l'institution prenait en charge 7 patients Covid en réanimation et 22 patients dans l'unité d'hospitalisation qui a été maintenue à l'Institut hospitalo-universitaire (IHU) Méditerranée infection. Le centre hospitalier (CH) de Salon-de-Provence (Bouches-du-Rhône) a redimensionné en juin son unité Covid à 6 lits. "Elle n’a pas été fermée et suffit aujourd’hui à nos besoins", a déclaré le directeur de l'établissement, Jean-Yves Le Quellec. "La réactivation du plan blanc n’entraîn[e] pas pour le moment de modification de cette organisation à court terme." Le CH d'Avignon (situé dans le Vaucluse à la frontière des Bouches-du-Rhône) dispose d'une unité Covid pouvant accueillir jusqu'à 17 patients. La capacité de cette unité qui n'a jamais fermé est "adaptée régulièrement aux besoins" en fonction du flux d'admission, a indiqué la direction. Elle accueille actuellement "quelques patients". Outre la réflexion sur les unités Covid, Anthony Valdez explique qu'il a été demandé aux hôpitaux dans le cadre du plan blanc de: "réactiver les cellules de crise" ainsi que les missions du "directeur médical de crise" dans les établissements. Surveiller "l'activité des urgences", sachant que les appels sur les plateformes du Samu-Centre 15 "sont actuellement très nombreux, sans que cela soit spécialement lié au Covid". "Mettre en alerte les laboratoires", dans le contexte d'un "volume de dépistage déjà très élevé avec une moyenne cette dernière semaine de 12.000 tests par jour en Paca". "Je pense que l'on pourra encore monter de quelques milliers." Avoir un stock de sécurité en propofol et midazolam de "3 voire 4 semaines pour résister à éventuelle 2e vague", et ce même s'il n'y a "plus de tensions" sur ces hypnotiques. Les établissements doivent également "soutenir" les établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) en renforçant si besoin "les effectifs des équipes mobiles de gériatrie et les équipes opérationnelles d'hygiène", précise-t-il. Les mesures du plan blanc ne doivent toutefois pas conduire à des déprogrammations d'activités dans les établissements sanitaires. Les unités Covid maintenues ou nouvellement rouvertes devront coexister avec "l'activité normale". "Tout le monde va devoir prendre en charge des patients Covid sans déprogrammer, c'est notre leitmotiv", insiste Anthony Valdez. C'est "l'enjeu de cette deuxième vague qui approche", poursuit-il. "On a vu à quel point la reprise d'activité a été compliquée" après la déprogrammation de la première vague. https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/nice/coronavirus-plan-blanc-active-hopitaux-alpes-maritimes-du-var-1866934.html (28 août 2020) Les Alpes-Maritimes et le Var sont désormais considérés comme des "zones de circulation active" du coronavirus. Par conséquent, les hôpitaux de ces deux départements activent le plan blanc à la demande de l'Agence Régionale de Santé (ARS). -
Allemagne
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
source : https://www.lemonde.fr/international/article/2020/08/29/des-milliers-de-manifestants-anticorona-de-nouveau-reunis-au-c-ur-de-berlin_6050315_3210.html -
Thaïlande
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/pixels/article/2020/08/25/en-thailande-le-gouvernement-coupe-l-acces-a-un-important-groupe-facebook-prodemocratie_6049883_4408996.html Facebook va « contester » en justice un ordre du gouvernement thaïlandais qui l’a « obligé » à fermer l’accès à un groupe très populaire consacré au mouvement prodémocratie en cours dans le royaume. Le groupe privé en question, Royalist Marketplace, créé au mois d’avril, compte plus d’un million de membres. Il est toujours accessible depuis la France, d’après les constatations du Monde, mais il ne l’est plus depuis le territoire thaïlandais. Facebook a été « obligé » de prendre cette décision de filtrage, sur injonction du gouvernement thaïlandais, a expliqué un porte-parole de Facebook à l’Agence France-Presse (AFP). Le réseau social, qui juge cette demande abusive, considère que les demandes comme celles-ci « contreviennent au droit international. Pavin Chachavalpongpun, l’administrateur du groupe, qui est un [militant] thaïlandais en exil au Japon, a, cependant, dénoncé l’attitude de Facebook. Interrogé par l’AFP, il explique que la fermeture du groupe montre que Facebook travaille à « promouvoir l’autoritarisme » en Thaïlande et « approuve la tactique du gouvernement en matière de censure de l’information ». Ceci, alors que le groupe Facebook avait permis, selon lui, de « véritables discussions » sur la monarchie, son rôle et les pistes de réformes. -
Chine
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
http://www.asahi.com/ajw/articles/13629071 (17 août 2020) John Mearsheimer La véritable guerre froide a commencé avant le coronavirus, et le coronavirus n'a pas beaucoup d'importance. Et l'idéologie n'a pas beaucoup d'importance. Ce qui compte, c'est l'équilibre des pouvoirs. Et le fait est que la Chine est devenue si puissante au cours des 20 dernières années. Il y a de fortes chances que la Chine devienne un hégémon régional en Asie. Et les États-Unis ne tolèrent pas les compétiteurs de même rang. L'idée que la Chine puisse devenir un hégémon régional est inacceptable pour les États-Unis. C'est donc ce conflit d'intérêts qui est généré par ce changement fondamental qui se produit dans l'équilibre des pouvoirs. C'est ce qui stimule la compétition. Et je voudrais noter que vous entendrez beaucoup parler du fait que les États-Unis sont une démocratie libérale et que la Chine est un État communiste. Et, par conséquent, il s'agit d'un choc idéologique. Mais surtout, c'est l'admission de la Chine à l'OMC en 2001, qui a réellement permis à l'économie chinoise de s'accélérer, au point que l'on peut situer une date à laquelle les États-Unis ont reconnu que l'essor de la Chine posait problème et qu'il fallait l'endiguer. Q : Certains analystes aux États-Unis et au Japon ont fait valoir que puisque les liens économiques et les relations politiques bilatéraux entre les États-Unis et la Chine se sont développés pendant 14 ans dans le cadre de la politique dite d'engagement, il n'est pas possible pour l'un ou l'autre pays de déclencher une guerre ouverte. Êtes-vous d'accord ? R : Eh bien, de nombreux experts ont dit la même chose avant la Première Guerre mondiale. Ils ont dit qu'il y avait une énorme interdépendance économique en Europe. Et que personne n'oserait déclencher une guerre parce que vous finiriez par tuer la poule aux œufs d'or. Mais néanmoins, nous avons eu la première guerre mondiale. Et ce que cela nous enseigne, c'est que vous pouvez avoir une coopération économique, et en même temps, vous avez une concurrence en matière de sécurité. Comme vous le savez, les États-Unis ont leurs canons braqués sur Huawei. Les États-Unis voudraient détruire Huawei. Les États-Unis voudraient contrôler la 5G. Les États-Unis voudraient rester à la pointe de toutes les technologies modernes sophistiquées de l'époque et ils considèrent les Chinois comme une menace à cet égard. Et cela vous dit que non seulement vous obtenez une compétition militaire, mais aussi une concurrence économique. Pendant la guerre froide, la compétition entre les États-Unis et l'Union soviétique était centrée sur l'Europe centrale. Nous parlions du front central, où vous aviez le Pacte de Varsovie d'un côté, et l'OTAN de l'autre. Et quand nous parlions de la guerre américano-soviétique, cela impliquait le front central. Or, le front central était peuplé de deux armées géantes, armées jusqu'aux dents avec des armes nucléaires. Cela signifie que si nous avions la troisième guerre mondiale en Europe centrale, deux énormes armées s'affronteraient, avec des milliers d'armes nucléaires. Il n'est pas surprenant que lorsque nous avons mené des jeux de guerre pendant la guerre froide, il était très difficile, voire impossible, de déclencher une guerre en Europe centrale, parce que personne sain d'esprit n'aurait déclenché une guerre étant donné la possibilité d'un Armageddon nucléaire. Maintenant, contrastez avec la situation en Asie de l'Est, qui est le point d'ignition central entre les États-Unis et la Chine, les trois endroits où vous pourriez éventuellement avoir une guerre impliquent la mer de Chine méridionale, Taiwan et la mer de Chine orientale. Ces zones ne sont pas l'équivalent du front central. Et il est possible d'imaginer qu'une guerre conventionnelle limitée éclate dans l'une de ces trois zones. C'est beaucoup plus facile à imaginer qu'une guerre sur le front central pendant la guerre froide. Maintenant, si la Chine perd, ou si les États-Unis perdent cet engagement militaire, la tentation sera grande d'utiliser des armes nucléaires, car les États-Unis se sont engagés à utiliser des armes nucléaires pour défendre le Japon si ce dernier perd une guerre conventionnelle. Et l'on pourrait dire qu'il est inimaginable que les États-Unis ou la Chine utilisent des armes nucléaires. Mais je ne pense pas que ce soit vrai, car vous utiliseriez ces armes nucléaires en mer. Vous ne frapperiez pas le continent chinois selon toute probabilité. Et, par conséquent, il est possible de penser en termes de "guerre nucléaire limitée", avec une utilisation nucléaire limitée. Je crains donc beaucoup que non seulement nous ayons une guerre entre les États-Unis et la Chine, mais aussi qu'il y ait une possibilité sérieuse que des armes nucléaires soient utilisées. Et je pense que d'une manière très importante, il était beaucoup moins probable que cela se produise pendant la guerre froide. Q : De hauts fonctionnaires chinois ont un jour suggéré aux États-Unis que les deux superpuissances se partagent le Pacifique et que chacune d'entre elles dispose d'une sphère d'influence. Pensez-vous que les États-Unis accepteraient un jour une telle idée ? R : Non, les États-Unis n'accepteront pas de partager le pouvoir. Partager le pouvoir comme vous l'avez décrit, signifie permettre à la Chine de devenir un hégémon régional en Asie, et les Etats-Unis ne le toléreront pas. Les États-Unis feront tout leur possible pour empêcher la Chine de devenir un compétiteur de même rang. Vous voulez vous souvenir que les États-Unis au 20e siècle ont mis quatre concurrents potentiels à la casse : L'Allemagne impériale, le Japon impérial, l'Allemagne nazie et l'Union soviétique. Si la Chine devient un hégémon régional en Asie, elle n'aura plus à s'inquiéter des menaces en Asie et sera libre d'entrer dans l'hémisphère occidentale et de former des alliances militaires avec des pays comme Cuba et le Venezuela. C'est pourquoi les États-Unis se donnent beaucoup de mal pour empêcher la Chine de dominer l'Asie. Je crois que les États-Unis se battront pour défendre Taïwan si la Chine envahit ce pays. À mon avis, il est impensable que les États-Unis restent les bras croisés et permettent à la Chine de conquérir Taïwan. Si nous ne défendons pas Taïwan, cela aurait des conséquences dévastatrices sur nos relations avec le Japon, la Corée du Sud et nos autres alliés en Asie de l'Est. Je dirais cependant, et c'est la raison pour laquelle les rédacteurs de The National Interest avaient utilisé le titre "Goodbye Taiwan", que vous pouvez imaginer une situation possible dans 30 ou 40 ans où la Chine serait devenue si puissante que les États-Unis ne pourraient tout simplement pas défendre Taïwan en raison de sa situation géographique. Je ne pense pas que les porte-avions seront très utiles. Je pense que nous arrivons rapidement au point où les porte-avions sont des cibles faciles. Je pense que nous allons devoir recourir à d'autres types de forces militaires. Des avions tactiques venant de terrains d'aviation terrestres, des missiles balistiques, des sous-marins, etc. Q : Comment évaluez-vous la politique de l'administration Trump à l'égard de la Chine ? R : Je pense que Trump a sagement compris qu'il est important pour les Etats-Unis de contenir la Chine, non seulement militairement, mais aussi économiquement. Q : Mais l'administration n'a pas réussi à obtenir un résultat. R : Je pense que le problème de l'administration Trump est qu'elle a fait un mauvais travail en traitant avec des alliés comme le Japon et la Corée du Sud, les Philippines, l'Australie et le Vietnam, etc. Ce dont nous avons besoin ici, c'est du leadership américain pour mettre en place une structure d'alliance cohésive qui puisse contenir la Chine. Et l'administration Trump a traité les alliés de l'Amérique avec mépris. Mais je dirais que je crois que les démocrates seront aussi engagés dans l'endiguement que Trump l'a été. Je ne pense pas que la politique d'endiguement des États-Unis sera moins stricte si les démocrates battent Trump en novembre. Je suis allé en Chine pendant 17 jours en octobre 2019. Et j'ai parlé à toutes sortes de responsables chinois de la politique étrangère. Presque tous ceux à qui j'ai parlé pensent que peu importe que Trump gagne ou perde en 2020 pour les relations américano-chinoises. Les Chinois croient que les Américains ont leur arme en joue sur la Chine, et rien ne va changer cela. Je pense qu'ils ont raison. Je pense que ce qui doit être fait [à propos des Senkaku], c'est que les États-Unis doivent faire savoir très clairement qu'ils aideront le Japon à défendre les îles Senkaku, et les États-Unis et le Japon doivent développer les capacités militaires pour défendre les îles Senkaku. Et ils doivent travailler ensemble pour créer une formidable force de dissuasion qui empêchera les Chinois d'envahir ces petites îles. -
Japon
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.asahi.com/articles/DA3S14602394.html?iref=pc_rensai_long_16_article (version japonaise) http://www.asahi.com/ajw/articles/13678591 (version anglaise) éditorial du 29 août Le scrutin sur la présidence du LDP devrait offrir des évaluations convaincantes et objectives des réalisations politiques de l'administration Abe et, tout aussi important, des effets négatifs de son approche et de sa posture politiques. L'administration a créé une profonde division entre "amis" et "ennemis" car elle a montré une tendance à monter des attaques virulentes contre ceux qui pensent différemment tels que les partis d'opposition et leurs partisans, tout en accordant ses faveurs aux alliés politiques et leurs partisans. En raison du contrôle solide exercé par le cabinet sur les nominations de bureaucrates de haut niveau, la pratique du "sontaku", qui consiste à agir en fonction des souhaits et des intentions supposés du puissant dirigeant, est devenue la norme dans l'administration japonaise. Il ne faut pas oublier que cette maladie bureaucratique a conduit à la falsification de documents officiels par le ministère des finances, une faute sans précédent des bureaucrates qui a érodé le fondement de la démocratie. Ce qui est inquiétant, c'est le fait que la domination politique prolongée d'Abe a tué la culture du débat politique animé au sein du LDP. Lors de la course à la direction du LDP en 2018, qui opposait Abe à l'ancien secrétaire général du parti, Shigeru Ishiba, la plupart des factions ont afflué dans le camp d'Abe, le premier ministre étant largement considéré comme le favori. Le parti au pouvoir ne devrait pas manquer d'examiner et d'évaluer avec vigueur les réussites et les erreurs de l'administration, en raison des inquiétudes concernant le poids politique d'Abe, qui est soutenu par la plus grande faction du LDP. Le parti ne devrait pas permettre à ses factions de se concentrer sur les batailles pour former une majorité sans s'engager dans un débat politique sérieux. Le processus de sélection du successeur d'Abe sera un test crucial pour le LDP, qui doit absolument reconstruire sa crédibilité auprès du public. -
Coronavirus - Covid 19
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
La photo ci-dessus contient une anomalie. Saurez-vous la détecter ? -
Coronavirus - Covid 19
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Lordtemplar dans Politique etrangère / Relations internationales
Cantine scolaire à Chong Qing. Source : http://www.xinhuanet.com/english/2020-08/27/c_139321282.htm -
Vers l'indépendance de l'écosse et la fin du Royaume Uni ?
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Les sondages indiquent maintenant une nette victoire du vote indépendantiste. https://www.spectator.co.uk/article/heres-nicola-can-boris-johnson-stop-scottish-independence (15 août 2020) Les premières années de la nouvelle nation écossaise ressembleraient beaucoup aux dernières années de l'ancienne nation écossaise d'avant 1707 : sacrément difficile. Le SNP n'a pas encore formulé de réponses convaincantes en matière de finances, de monnaie et bien d'autres choses encore. En 2014, les nationalistes ont affirmé que l'Écosse pouvait tout avoir : plus de dépenses sans les inconvénients d'une augmentation des impôts. C'était une illusion à l'époque et c'est maintenant une impossibilité. Les prix du pétrole ont diminué de plus de moitié. L'avenir ne sera pas pétrolier, mais il sera cher. Le déficit de l'Écosse, toujours bien supérieur aux exigences de l'UE pour les nouveaux États membres, sera encore plus élevé aujourd'hui. Mais dans l'Union, le déficit écossais n'existe pas : s'il y a un écart entre ce que l'Écosse dépense et ce qu'elle perçoit en impôts, il est comblé par le Trésor public. Le catalyseur - qui a transformé l'opinion publique en Écosse en une majorité faible mais assez constante en faveur de l'indépendance - est le coronavirus. Sturgeon a obtenu de bons résultats. Ses responsabilités en matière de santé publique, ainsi que la tribune offerte par ses conférences de presse quotidiennes, font qu'elle a été mise sur un pied d'égalité avec le Premier ministre, ce qui a permis des comparaisons directes. Objectivement, l'Écosse n'a pas connu une bonne crise de coronavirus. Bien que les nouvelles infections soient désormais inférieures au taux observé en Angleterre, le taux de mortalité excessif de l'Écosse reste globalement parmi les plus élevés au monde. Les mesures prises en Angleterre - fermeture plus tardive que dans d'autres pays, transfert des patients âgés des hôpitaux vers les maisons de soins - ont également été prises en Écosse, au même moment. Pendant une grande partie de cette crise, les différences entre Édimbourg et Londres ont été de style et non de fond. Mais la politique, comme le football, est locale. Dans les jours plus heureux de l'équipe nationale de football, il était agréable de voir l'Écosse battre la France ou l'Espagne, mais battre l'Angleterre était vraiment important. Comme à Hampden ou à Wembley, et maintenant à Holyrood et à Westminster : le succès ne se mesure pas en termes absolus mais est relatif à ce qui se passe en Angleterre. D'où cette curiosité : le mouvement nationaliste écossais se félicite inlassablement de faire un peu mieux qu'un endroit qu'il considère comme n'étant pas beaucoup mieux qu'un État failli. Un jour, peut-être, les Écossais seront plus ambitieux que cela. Un peu plus de trois Écossais sur cinq ont voté contre le Brexit, et le fait que cela se produise de toute façon a conduit de nombreux Remainers à repenser leur méfiance à l'égard de l'indépendance. Le coronavirus a renforcé cette tendance : le sentiment que le Royaume-Uni est entre les mains de Brexiteurs opportunistes incapables de diriger un pays - et que les Écossais pourraient faire mieux par eux-mêmes. Seulement 21 % des électeurs écossais pensent que Johnson a fait du bon travail sur le coronavirus, alors que 74 % pensent que Sturgeon a fait du bon travail. Même les électeurs conservateurs écossais, par une marge de 44 contre 38, donnent à la Première Ministre une note passable. La communication, et le fait de ne pas faire d'erreurs gratuites, sont essentiels. -
Royaume-Uni
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.theguardian.com/politics/2020/aug/29/boris-johnson-faces-tory-wrath-as-party-slumps-in-shock-poll sondage : En seulement cinq mois, depuis que le premier ministre a imposé le lock-out total, les conservateurs ont perdu 26 points d'avance sur les travaillistes, qui sont maintenant au coude à coude avec les conservateurs à 40%. Les libéraux démocrates, sous la direction de leur nouveau chef Ed Davey, élu la semaine dernière, font 6 %. -
https://www.journaldemontreal.com/2020/08/20/etats-unis-le-docteur-fauci-opere-des-cordes-vocales (20 août 2020) Le directeur de l’Institut américain des maladies infectieuses Anthony Fauci, le plus connu des scientifiques de la cellule de la Maison-Blanche sur le coronavirus, a été opéré jeudi des cordes vocales et se repose chez lui L’immunologue de 79 ans, connu pour sa voix rocailleuse et son accent new-yorkais, est devenu au fil des mois une figure populaire aux États-Unis. https://www.sfchronicle.com/opinion/editorials/article/Editorial-CDC-s-coronavirus-testing-retreat-a-15523258.php éditorial du 28 août M. Fauci, directeur de l'Institut national des allergies et des maladies infectieuses, a déclaré qu'il était "sous anesthésie générale" la semaine dernière lorsque le groupe de travail a accepté le nouveau conseil des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) selon lequel les contacts proches connus des personnes infectées n'ont pas besoin de se faire tester à moins qu'ils ne présentent des symptômes de COVID-19. Son récit contredit celui du tsar de la Maison Blanche, l'amiral Brett Giroir, qui a déclaré que Fauci et d'autres "docs" du gouvernement avaient approuvé les révisions, qui abandonnent également la recommandation selon laquelle les personnes voyageant à partir de zones à forte concentration de coronavirus doivent être mises en quarantaine pendant 14 jours. Décourager les Américains exposés de chercher un diagnostic est malheureusement conforme à l'incapacité de longue date du président Trump à rassembler suffisamment de tests ou même à reconnaître systématiquement leur importance. Un dépistage fiable et rapide du virus, ainsi que la recherche des contacts et l'isolement des personnes infectées, est le seul moyen de reprendre en toute sécurité une activité économique et sociale régulière dans les zones où le virus se propage. A son crédit, le gouvernemeur Gavin Newsom a rejeté cette semaine les directives fédérales révisées comme "n'étant pas la politique de la Californie". source : https://www.sfchronicle.com/bayarea/article/Here-s-what-California-s-new-color-coded-15522745.php
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Hongrie
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.leparisien.fr/international/coronavirus-la-hongrie-referme-ses-frontieres-mardi-par-peur-des-contaminations-28-08-2020-8374866.php Coronavirus : la Hongrie referme ses frontières mardi par peur des contaminations. https://courrierdeuropecentrale.fr/ce-memorial-nous-unit-le-memorial-de-trianon-a-ete-inaugure-a-budapest/ (21 août 2020) Viktor Orbán a inauguré, avec un discours aux accents messianiques, le "Mémorial de la cohésion nationale", à l'occasion de la fête nationale du 20 août https://hungarytoday.hu/hungarian-press-roundup-debate-new-trianon-memorial/ (26 août 2020) En raison de l'épidémie actuelle, le tout dernier mémorial hongrois de Trianon, le Mémorial de l'Unité Nationale, a été inauguré le 20 août au lieu de la date initialement prévue du 4 juin, date du 100ème anniversaire du Traité de Trianon. Le point central du site du mémorial est un bloc de granit fissuré, coulé sous le niveau de la rue, avec une flamme éternelle qui brûle à l'intérieur. Il descend une pente de cent mètres de long ("fossé du Trianon") en direction de la place Kossuth, sur les parois de laquelle sont gravés les noms de toutes les localités de la Hongrie historique, d'après les archives officielles de 1913. -
terrorisme [AQMI & Boko Haram]
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Akhilleus dans Politique etrangère / Relations internationales
Sauf que le titre actuel de ce fil "AQMI & Boko Haram" est l'exemple typique de ce que dénonce Marc-Antoine Pérouse de Montclos. Faire l'amalgame entre AQMI qui est un problème du Maghreb et surtout algérien, et Boko Haram qui est un problème Nigérian, c'est nier le caractère local des problèmes pour fabriquer une idéologie néoconservatrice bushiste de "guerre contre le terrorisme" qui mélange tout et n'importe quoi, au risque de nous faire faire de mauvais diagnostics, et faisant de mauvais diagnostics, de ne pas pouvoir trouver de remèdes. Rappelez vous Bush qui disait que l'Iran est pareil que l'Irak qui est pareil que Al Qaida. -
Allemagne
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/coronavirus-berlin-interdit-une-manifestation-antimasques-l-extreme-droite-s-offusque_2133591.html (26 août 2020) La ville de Berlin a décidé ce mercredi d'interdire une manifestation d'opposants au port du masque et aux mesures de restrictions contre la pandémie de nouveau coronavirus, suscitant l'indignation de l'extrême droite qui appelle à "résister". Le quotidien populaire Bild, le plus lu d'Allemagne, s'est lui-même ému dans un éditorial cinglant sur internet de cette interdiction, une "attaque inacceptable contre l'un de nos droits les plus fondamentaux". "Un groupe très peu recommandable, mais surtout (encore) assez restreint, est mis ici en position de défendre notre Loi fondamentale", déplore Bild, rappelant que nombre de rassemblements ont été autorisés ces derniers mois à Berlin en dépit de la pandémie. https://www.spiegel.de/politik/deutschland/berlin-gericht-kippt-verbot-von-demonstration-gegen-corona-politik-a-9dba0bee-78f7-4008-8678-22bb5d5d3367 (28 août 2020) Le tribunal administratif de Berlin a annulé l'ordre d'interdiction de la police pour une manifestation prévue contre la politique de Corona. L'événement de samedi pourrait avoir lieu sous certaines conditions. La décision n'est pas encore juridiquement contraignante. L'État de Berlin veut maintenant faire appel devant la Cour administrative supérieure, comme l'avait confirmé la présidente de la police, Barbara Slowik, peu avant l'annonce de la décision en cas de défaite judiciaire en première instance. Selon le porte-parole, le tribunal administratif de Berlin a justifié sa décision en déclarant qu'il n'y avait pas de conditions pour une interdiction. Il n'y aurait pas suffisamment d'indications d'un danger immédiat pour la sécurité publique. Les organisateurs avaient présenté un programme d'hygiène. L'État n'a pas été en mesure de montrer qu'il ne fallait pas s'y conformer. Les exigences de la manifestation n'auraient pas été suffisamment examinées. Selon le porte-parole du tribunal, les organisateurs ont reçu l'ordre de déplacer un peu l'emplacement de la scène principale afin qu'il y ait suffisamment de place. Il doit y avoir une distance minimale de 300 mètres entre les murs vidéo. En outre, l'organisateur doit veiller à ce que les participants maintiennent une distance minimale au moyen d'annonces régulières par haut-parleurs et par les commissaires. L'obligation de porter des masques ne fait donc pas partie des exigences. [c'est moi qui souligne] L'initiateur de la manifestation, Michael Ballweg, avait décrit l'interdiction des manifestations dans une déclaration comme une "attaque hostile à la Loi fondamentale". En outre, il avait annoncé qu'il utiliserait tous les moyens légaux pour se défendre contre l'interdiction de la manifestation et, si nécessaire, faire appel à la Cour constitutionnelle fédérale. -
Japon
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
Discours de démission. traduction simultanée en anglais. -
Japon
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
La maladie dont souffre Shinzo Abe : https://fr.wikipedia.org/wiki/Rectocolite_hémorragique La rectocolite hémorragique (RCH) ou colite ulcéreuse est une maladie inflammatoire chronique intestinale (MICI) qui affecte l'extrémité distale du tube digestif, c’est-à-dire le côlon et le rectum qui est toujours touché. Son étiologie est inconnue, bien qu'une composante génétique constitue une hypothèse. Elle est classée dans les maladies auto-immunes. C'est une maladie qui agit par poussée et qui ne se guérit pas, ce qui nécessite un traitement médicamenteux à vie. L'objectif des traitements est que les rémissions durent le plus longtemps possible. -
Covid-19 - Impact économique mondial
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Impact économique mondial local : https://www.ledauphine.com/economie/2020/08/27/tourisme-un-ete-record-dans-les-hautes-alpes L’été 2020 est bien une saison qui bat des records en termes de tourisme dans les Hautes-Alpes. Les chiffres définitifs ont parlé et confirment la tendance qui se dessinait déjà mi-août. L’Agence départementale de développement économique et touristique (Addet) et son directeur Yvan Chaix parlent même, dans un communiqué de presse, d’un été “exceptionnel” avec une progression de 11 % de l’activité touristique par rapport à 2019. -
Japon
Wallaby a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lefigaro.fr/international/japon-le-premier-ministre-shinzo-abe-compte-demissionner-pour-raisons-de-sante-20200828 (28 août 2020) Coup de tonnerre politique au Japon: le premier ministre japonais Shinzo Abe, 65 ans, prévoit d'annoncer vendredi 28 août son intention de démissionner en raison de problèmes de santé, selon plusieurs médias nippons, sans citer de source. -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
Elle est très fréquentable, finalement, cette junte : https://www.lefigaro.fr/flash-actu/la-junte-au-mali-doit-rester-engagee-contre-les-djihadistes-selon-le-chef-d-etat-major-francais-20200827 Le général Lecointre a laissé entendre que le quotidien des opérations n'était pas modifié. « Les chefs de corps sont toujours là, les commandants de zone sont toujours là, ce ne sont pas des gens qui ont participé au coup d'Etat, et donc nous continuons à coopérer avec eux », a-t-il précisé. « Nous avons pris contact avec la junte pour leur indiquer qu'il nous paraissait essentiel de ne pas relâcher la pression sur les groupes terroristes. On va voir comment ça va se passer dans les jours qui viennent ». https://maliactu.net/mali-la-cedeao-prete-a-accorder-un-an-de-transition-a-la-junte/ (27 août 2020) Ce jeudi, la Cédéao précise sa position par un communiqué de la présidence nigériane : elle est prête à consentir à une transition qui durerait jusqu’à un an. -
Opérations au Mali
Wallaby a répondu à un(e) sujet de pascal dans Politique etrangère / Relations internationales
https://maliactu.net/mali-mali-la-note-dans-laquelle-paris-a-lache-ibrahim-boubacar-keita/ (27 août 2020) Dans une note à laquelle Jeune Afrique a eu accès et qui a été transmise le 19 août aux ambassadeurs français en poste dans l’espace Cedeao, le ministère de Jean-Yves Le Drian déclarait qu’il lui semblait « inéluctable qu’une transition soit mise en place ». Surtout, la diplomatie française précise à ses homologues de la Cedeao sa position quant à la situation du président renversé, Ibrahim Boubacar Keïta. « Il nous semblerait irréaliste désormais, au regard de l’état d’esprit de la population et des forces politiques et sociales maliennes, d’insister sur le retour en fonction du président IBK ». -
terrorisme Opération Barkhane
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Scarabé dans Politique etrangère / Relations internationales
https://www.lemonde.fr/afrique/article/2020/08/27/malgre-le-coup-d-etat-et-la-defiance-des-maliens-la-france-maintient-l-operation-barkhane_6050075_3212.html Spécialiste de l’Afrique, Marc-Antoine Pérouse de Montclos conteste l’affirmation de M. Macron selon laquelle un réseau international de terreur au Sahel met les Européens en danger. Dans son livre Une guerre perdue, la France au Sahel, il soutient que les autorités françaises ont ignoré les réalités locales, comme la vengeance intercommunautaire et les armées opérant brutalement en toute impunité, pour promouvoir le récit de djihadistes ayant des liens directs avec l’Irak et la Syrie. Une future stratégie de sortie française pourrait être aussi insaisissable que la victoire, selon lui. D’autres partagent ce point de vue aujourd’hui, même s’il reste encore très politiquement incorrect. -
Conflits territoriaux dans la Mer de Chine méridionale
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Henri K. dans Politique etrangère / Relations internationales
Peut-être être cohérent entre ce qu'on dit et ce qu'on fait. -
co² Effondrement écologique et civilisationnel en ce siècle ?
Wallaby a répondu à un(e) sujet de Alexis dans Economie et défense
Avant 2050 ? Là tu y vas fort, quand même.- 2 326 réponses
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- effondrement
- ecologie
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(et 1 en plus)
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