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Wallaby

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Tout ce qui a été posté par Wallaby

  1. L'Argentine est un pays riche. J'imagine que c'est un pays consommateur, plus que producteur de substances prohibées.
  2. http://www.franceinter.fr/emission-ledito-les-recettes-de-la-chine-par-arnaud-leparmentier (9 mars 2016) Le premier ministre Li Keqiang a annoncé le week-end dernier devant les 3000 délégués de l'assemblée générale du peuple un programme au fond très équilibré. Réorienter son économie sur la consommation intérieure, créer une vraie assurance maladie et une vraie assurance retraite.
  3.  

    Le 1/3/2016à01:00, rogue0 a dit :

    Note: J'inclut le texte intégral, car TheDiplomat a commencé à activer un paywall... :sad:

    Est-ce que quelqu'un dispose d'un accès complet à la version internet ? Le minimum commence à 60 USD, ça fait mal :sad:

    Bonjour,

    J'utilise Firefox et j'efface les cookies, ce qui a l'effet de remettre à zéro le compteur de 5 articles par mois.

    1. rogue0

      rogue0

      Merci pour le tuyau

      J'ai aussi vu que le texte reste visible via le source HTML de la page (c'est juste du masquage)

  4. http://www.lesechos.fr/tech-medias/medias/021696687555-the-independent-va-cesser-de-paraitre-en-version-papier-1200042.php (14 février 2016) [Le journal] « The Independent » va cesser de paraître en version papier.(...) Il a marqué par ses prises de position parfois iconoclastes, notamment contre la guerre en Irak en 2003.
  5. http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1244207 (29 février 2016) 17:40 Crise de surproduction de lait en Tunisie. Les camions de collecte ne passent plus chez certains éleveurs. La consommation a chuté avec la baisse du tourisme et la fermeture de la frontière libyenne.
  6. http://www.podcastjournal.net/Argentine-l-etat-d-urgence-est-decrete_a21584.html (13 février 2016) Le 19 janvier 2016, le gouvernement Macri a décrété l'état d’urgence sur le sol argentin, et ce pour une durée d'un an. Cette mesure a été prise dans le but de lutter contre le crime organisé et notamment le narcotrafic, combat au cœur des promesses électorales de Mauricio Macri. http://www.lopinion.fr/edition/international/l-argentin-mauricio-macri-etoile-montante-l-amerique-latine-97403 (22 février 2016) La monnaie a été dévaluée de près de 30 % et les tarifs du gaz et de l’électricité se sont envolés de 40 % à 500 %. Un choc d’autant plus fort que l’inflation a avoisiné les 30 % l’an dernier. Il a fallu que le gouvernement lâche du lest, ces dernières semaines, en relevant les retraites de 15 % et en augmentant les allocations familiales. Les négociations avec les syndicats péronistes qui réclament des augmentations salariales de 35 à 40 % s’annoncent difficiles. http://www.opinion-internationale.com/2016/03/01/macri-hollande-la-strategie-du-rassembleur_41123.html (1er mars 2016) Par « refonte des structures de l’État », il fallait entendre épuration de milliers de fonctionnaires sous prétexte qu’ils avaient été nommés par la présidente précédente. Par « professionnalisation et indépendance des médias », comprendre plutôt chasse aux journalistes supposés liés ou juste favorables à l’ancien gouvernement. À cela s’ajoute un renforcement de la présence policière en ville et un durcissement de la répression dans les rassemblements monstres qui se multiplient dans tout le pays ces derniers mois. La tension est particulièrement montée après l’emprisonnement de Milagro Sala, fondatrice de l’organisation Tupac Amaru œuvrant dans les quartiers populaires du Nord de l’Argentine. Elle est érigée en martyre de la répression subie par les acteurs sociaux et soutenue notamment par le pape François qui a demandé publiquement sa libération. http://www.humanite.fr/argentine-greve-generale-contre-les-licenciements-massifs-600283 (25 février 2016) [Macri] est à l’initiative de près de 42 000 licenciements dans les secteurs public et mixte. Et il ne compte pas en rester là. Le ministre de la Modernisation de l’Argentine, Andres Ibarra, a annoncé mardi que 25 000 autres fonctionnaires embauchés ces trois dernières années connaîtront le même sort. « Ils ne remplissent aucune fonction ou ils sont militants », a-t-il osé déclarer. http://www.boursorama.com/actualites/argentine-premiere-grande-greve-dans-le-public-pour-macri-3f6517a2a911f9bfb75fff4be9be8a49 (24 février 2016) La cote de popularité du gouvernement, si elle est encore relativement élevée à 60%, a chuté de 11 points depuis l'investiture du président Macri. http://geopolis.francetvinfo.fr/argentine-le-president-macri-en-passe-de-solder-les-mauvais-comptes-de-kirchner-97913 (7 mars 2016) En indemnisant avec une décote de 25% des fonds spéculatifs détenteurs de 7% de sa dette, l'Argentine a aujourd'hui l'occasion de tourner une page, de redevenir un pays intégré au modèle économique international et de lever des fonds sur les marchés de capitaux. Pour les fonds vautours, certes, c'est une victoire spectaculaire. http://www.lopinion.fr/edition/international/l-argentin-mauricio-macri-etoile-montante-l-amerique-latine-97403 (22 février 2016) Dès lors que le Congrès argentin aura donné son feu vert aux 6,5 milliards de dollars de dédommagements proposés [aux fonds vautours, Macri devrait] lancer son vaste programme d’infrastructures… qui intéresse tant ses visiteurs. http://www.lesechos.fr/monde/ameriques/021725474613-argentine-hollande-soutient-macri-1202975.php (25 février 2016) Forte de ses bonnes relations retrouvées avec la France, l’Argentine espère également avancer sur l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur (le Marché commun des pays d’Amérique du Sud). Les négociations piétinent depuis quinze ans. http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=1244207 (29 février 2016) Interview de Sébastien Velut professeur à l'université Paris 3 (13 minutes). 10:05 Mauricio Macri ne peut pas mettre fin aux politiques sociales en faveur des plus démunis (...) je ne pense pas que ce soit remis en cause. 12:52 L'Argentine est un réservoir de cerveaux extrêmement bien formés, avec un système universitaire de qualité.
  7. Répartition en sièges : http://www.zeit.de/news/2016-03/13/wahlen-in-drei-bundeslaendern-wird-heute-gewaehlt-13080407 Bade Wurtemberg : Verts 47, CDU 42, SPD 19, FDP 12, AfD 23 ==> coaltion Verts-CDU, ou bien "coalition feu de signalisation" (rouge (SPD) jaune (FDP) vert) ou encore "coalition Deutschland" (noir (CDU) rouge (SPD) jaune (FDP)). C'est la première fois dans l'histoire de Bade-Wurtemberg depuis sa création en 1952 que la CDU perd la première place. C'est la première fois dans l'histoire allemande que les Verts obtiennent la première place dans une région. Rhénanie-Palatinat : SPD 39, CDU 35, Verts 6, FDP 7, AfD 14 ==> coalition SPD+CDU ou bien SPD+Verts+FDP Saxe-Anhalt : CDU 30, SPD 11, Verts 5, Linke 16 à 17, AfD 24 à 25. ==> on s'oriente vers une "coalition Kenya" : noir (CDU) rouge (SPD) vert
  8. Je ferais les remarques suivantes par rapport à l'article de Thomas Piketty : - Dire que tel pourcentage "se considère de culture ou de religion" X ou Y, ce n'est pas neutre. C'est en réalité une construction construite par un institut de sondage qui a jugé bon pour telle ou telle raison que cette question devait être posée. C'est moins "se considère" que "a consenti à être considéré comme", "a consenti à répondre à une question qui n'est pas spontanée, mais posée par un institut de sondage qui a pensé que son intérêt était de poser cette question". - Dire que telle ou telle population est impactée par le chômage, dans un pays où le chômage est assez fortement indemnisé, c'est dire en même temps qu'il y a un transfert financier depuis la population non impactée vers la population impactée. On aurait besoin des économistes pour préciser ces montants et tirer des conclusions sur la générosité ou la non-générosité de la population non impactée. - À une époque où le fait d'effectuer un choix par influence d'une marque est un comportement considéré comme normal ou banal, ou même attendu, voire incité pour un consommateur, faut-il s'étonner qu'un recruteur fasse un choix par rapport à cette marque qu'est un prénom ? N'est ce pas le comportement par rapport aux marques dans sa généralité, qui serait à analyser ou à déconstruire ? - Le titre de Thomas Piketty relève de l'analyse par Amanda Hess Jan du suffixe "-phobe" comme arme de guerre idéologique : http://www.nytimes.com/2016/01/31/magazine/how-phobic-became-a-weapon-in-the-identity-wars.html (26 janvier 2016)
  9. http://www.lowyinterpreter.org/post/2016/03/10/Australias-new-Defence-White-Paper-acknowledges-France-as-a-strategic-partner.aspx (10 mars 2016) Le Livre Blanc de défense australien qui vient d'être publié mentionne pour la première fois le rôle de la France comme allié de l'Australie dans le Pacifique Sud : 2500 hommes, deux frégates de surveillance, trois patrouilleurs, quatre avions de surveillance, quatre avions de transport tactique, et six hélicoptères, plus une capacité de projection depuis la métropole. L'auteure se réfère à la plaquette française "La France et la sécurité en Asie-Pacifique", avril 2014 : http://www.defense.gouv.fr/dgris/reflexion-strategique/prospective-de-defense/rapport-la-france-et-la-securite-en-asie-pacifique
  10. Oops. Pardon. Je n'avais pas lu l'article jusqu'au bout. C'est ce qu'il a dit plus tard à la télévision, après la conférence de la BCC mais avant de se faire virer.
  11. http://edition.cnn.com/2016/03/09/opinions/sanders-change-candidate-sachs/ (9 mars 2016) Les États-Unis font face à trois problèmes économiques dévastateurs : Le premier est la croissance lente. Ce n'est pas un grand mystère : le secteur public n'investit plus dans l'infrastructure la plus élémentaire, comme la réparation des routes, des ponts, des barrages et des voies fluviales. Il n'a pas pris la tête de la transition vitale vers l'énergie pauvre en carbone. Le déficit à court terme pour l'infrastructure est de l'ordre de 3.6 trillions de dollars selon les estimations les plus récentes. Sans signal clair d'investissement de la part du secteur public, l'argent privé reste marginal. Les taux net d'épargne et d'investissement ont plongé, ainsi que la croissance à long terme. Le second est le coût paralysant de la santé. Les États-Unis dépensent environ 18% du revenu national dans la santé, tandis que nos concurrents en Europe et en Asie dépensent 10 à 12%. L'Institute of Medicine a étudié le problème attentivement. Le problème est l'inflation du coût des soins, les énormes frais généraux administratifs, et le gaspillage. Même la Maison Blanche a relevé que nous pourrions économiser peut-être 5% du produit intérieur brut par une réduction des coûts, soit environ 900 millions de dollars par an, quoique sans fournir de plan réaliste pour obtenir ces économies. Le troisième est la stagnation des salaires. Ceci résulte de l'attaque, ces trente dernières années, contre le pouvoir syndical, d'accords internationaux sur l'investissement qui renforcent les capitaux internationalement mobiles en faisant mal au salariat immobile, et des technologies qui se substituent aux formes de travail traditionnelles. Ce qui est choquant n'est pas la stagnation des salaires ; Ce qui est choquant, c'est que le gouvernement est resté passif sans rien faire pendant des décennies. La réponse d'Hillary Clinton à tout ceci est le statu quo, écho de l'approche des présidents Bill Clinton et Barack Obama. Cela consiste à parler de l'investissement public, des coûts de la santé, et de justice salariale, mais sans faire grand chose en réalité sur ces sujets, pour au contraire conserver l'alliance avec Wall Street, accepter une limitation forte des programmes du secteur public, et promettre de conserver une faible imposition. Hillary Clinton a tergiversé sur la fracturation hydraulique, sur l'oléoduc Keystone maintenant écarté, et sur les accords internationaux sur les investissements qui sapent les droits du travail et de l'environnement. N'oubliez pas que c'est Bill Clinton qui a introduit Wall Street dans le jeu démocrate, au prix de la dérégulation financière, de la privatisation des prisons et d'autres services publics, d'un quart de siècle de bulles financières, d'impôts bas pour les riches, d'investissements publics en chute, et de la délocalisation des emplois à l'étranger. En 1996, Bill Clinton a prononcé la phrase célèbre : "le temps du big government est révolu", et il le pensait. Obama, malheureusement, a continué dans la même veine. L'enveloppe des dépenses fédérales dans les programmes ciblés non-sécuritaires tels que l'infrastructure, la formation professionnelle, le logement, l'éducation, l'eau, le changement climatique, les petites et moyennes entreprises ou la recherche scientifique a décliné à des niveaux jamais vus en terme de part de PIB depuis un demi siècle. C'est le pacte faustien des démocrates depuis 1992 : s'aligner sur Wall Street, prendre leurs dollars de financement de campagne électorale, gagner la course à la Maison Blanche, et puis ne faire guère plus que résister aux coupes budgétaires décomplexées proposées par les Républicains. Sanders propose une autre voie, une voie qui résonne avec les électeurs. C'est peut-être pour cela que les gourous du New York Times comme Paul Krugman sont au créneau les armes à la main, allant jusqu'à accuser Sanders ou ses soutiens de laisser "l'idéalisme virer au laisser-aller destructif". Comment Bernie ose-t-il nous donner de l'espérance ? Comment ose-t-il suggérer des changements réels ? Comment ose-t-il menacer le statu quo ? Bonne question : comment ose-t-il ? Mais le fait est qu'il gagne une nouvelle génération d'électeurs, ceux qui ne veulent pas continuer sur le mode de l'inégalité, des salaires stagnants et de la croissance économique lente. Qu'est-ce que cela signifie en pratique ? La première solution, c'est une hausse massive des investissements publics. Tandis qu'Obama a mis en avant un stimulus bisannuel fait surtout de baisses d'impôts et de redistribution, Sanders met en avant un stimulus sur dix ans rempli d'investissements publics à long terme, ceux qui sont de nature à restaurer la croissance économique. La différence, bien sûr, est que Sanders ne déclare pas la fin du big government ; il fait campagne au contraire pour restaurer un taux d'investissement public dans l'esprit de Franklin Roosevelt (les grands travaux), de Dwight Eisenhower (le système autoroutier), et John Kennedy (l'exploration lunaire et autres). La deuxième solution, c'est une vraie réforme des coûts de la santé en faisant tout ce que les autres pays à hauts revenus font : mettre la santé dans le secteur public, ce qui est sa place. Le système de santé américain est un système de monopoles locaux qui empochent des profits qui crèvent le plafond au prix des revenus des contribuables et des revenus et de la santé des travailleurs. Clinton et Sanders se plaignent l'un et l'autre des coûts des soins de santé, mais seul le plan de Sanders pour un système de payeur unique peut aboutir à quelque chose. Les attaques contre ce plan, disant qu'il fait monter les impôts, sont ridicules. Les économies sur les coûts de la santé privée écraseraient la hausse des dépenses publiques. C'est l'essentiel. La troisième solution de Sanders, c'est le renforcement des employés par des actions sur des fronts multiples : le gouvernement des entreprises, les droits syndicaux, la hausse des allocations pour les familles de salariés, et des accords internationaux qui ne vendent pas la boutique au capital sans attache. Là encore, les gourous de la presse disent que c'est impossible. Ils ne reconnaissent pas que des pays qui ont réussi comme l'Allemagne et le Danemark le font depuis des années, avec pour résultat des salaires hauts, peu de chômage et moins d'inégalité de revenus que les États-Unis. Les économistes du courant principal du Parti Démocrate attaquent le projet de Sanders dans leurs blogs, leurs articles dans les colonnes d'opinion des journaux et dans des lettres. Ce n'est pas une surprise. Regardez qui mène ces attaques : les architectes de l’embrassade du statu quo par le Parti Démocrate. Les attaques contre le plan santé de Sanders ont fréquemment été menées par des défenseurs des assurances santé privées. Les attaques contre ses plans d'investissements publics viennent de ceux qui défendent l'adoption par Hillary Clinton de la philosophie des taux d'imposition réduits, du Petit Gouvernement, adoptée par Bill Clinton il y a un quart de siècle. Le courant principal du Parti Démocrate qui soutient Clinton promeut une théorie qu'ils appellent la "stagnation centenaire". C'est une manière fantaisiste de dire : n'espérez pas un meilleur avenir ! Sanders a raison de rejeter cette philosophie et d'attaquer la stagnation de la politique économique du courant principal du Parti Démocrate. Comme la primaire du Michigan l'a démontré, c'est là que la jeune génération - avec ceux qui sont jeunes du cœur - veulent aller. Jeffrey Sachs
  12. http://www.huffingtonpost.com/jeffrey-sachs/hillary-is-the-candidate_b_9168938.html (5 février 2016) Jeffrey Sachs, pro-Sanders, est déchaîné contre les Clinton : bulle financière, "complexe militaro-industriel", bombardement de Belgrade : tout y passe et il ne leur passe rien.
  13. À propos de pensée unique, dans un autre domaine, à savoir la politique étrangère, on peut relever la remarque de Barack Obama dans sa dernière interview à Atlantic où il parle d'un "playbook" qui est au sens propre soit un livret de théâtre, soit un manuel de stratégie de football américain : http://www.theatlantic.com/magazine/archive/2016/04/the-obama-doctrine/471525/ (avril 2016) "Au milieu d'un défi international comme la Syrie, vous êtes jugé durement si vous ne suivez pas le playbook, même s'il y a de bonnes raisons pour ne pas le faire". Il y a un livret (playbook) à Washington que les présidents sont censés suivre. C'est un livret qui est écrit par la corporation (establishment) de politique étrangère. Et le livret prescrit des réponses à différents événements, et les réponses tendent à être des réponses militarisées. Lorsque l'Amérique est menacée directement, le livret fonctionne. Mais le livret peut aussi être un piège qui peut conduire à de mauvaises décisions. Au beau milieu d'un défi international comme la Syrie, vous êtes jugé durement si vous ne suivez pas le livret, même s'il y a de bonnes raisons pour lesquelles il est inapplicable". On peut rapprocher cela des remarques faites dans un article par Cass Sunstein, le mari psychologue de Samantha Power : http://foreignpolicy.com/2014/03/21/cass-sunstein-is-sleeping-on-the-couch-tonight-2/ (21 mars 2014) Les auteurs estiment que la corroboration par les autres membres d'un groupe respecté augmente la confiance dans son propre jugement et réduit la variance de l'opinion, que la position prise soit correcte ou non, ce qui mène à "partager un point de vue dans lequel ils croient fermement, mais qui s'avère faux". Les groupes en pratique ne s'en remettent pas à leurs experts internes : ils tendent à adopter les positions soutenues par la majorité. (...) Sunstein et Hastie identifient quatre types particuliers d'erreurs : l'amplification des erreurs, les effets en cascade, l'augmentation de l'extrémisme, et la domination de l'information partagée.
  14. http://edition.cnn.com/2016/01/19/politics/terry-branstad-ted-cruz-defeat/ (19 janvier 2016) Terry Branstad, le gouverneur républicain de l'Iowa appelle à voter contre Ted Cruz. Pourquoi ? parce que Ted Cruz est opposé aux subventions sur les énergies renouvelables, alors que 47% de la production de maïs de l'Iowa sert à produire de l'éthanol en 2014 (source). Pour Terry Branstad, Ted Cruz représente l'industrie pétrolière du Texas (big oil). Pour les soutiens de Ted Cruz, Branstad représente le lobby de l'éthanol. http://fortune.com/2016/02/01/ethanol-and-the-iowa-caucus/ (1er février 2016) En particulier, Ted Cruz veut supprimer la Norme de Carburant Renouvelable qui oblige les fabricants à mettre 10% d'éthanol dans l'essence automobile. Le magazine de gauche Mother Jones a récemment publié un article approuvant la position de Ted Cruz sur l'éthanol : http://www.motherjones.com/environment/2016/01/ted-cruz-iowa-ethanol-climate (26 janvier 2016) Trump a dit récemment qu'il voulait augmenter l'exigence [c'est à dire la part d'éthanol dans l'essence]. La Norme de Carburant Renouvelable est une création de l'administration George W. Bush. Des études aboutissent en 2011 à la conclusion que l'éthanol de maïs génère plus de dioxyde carbone que le pétrole. http://www.pbs.org/newshour/bb/will-ethanol-fuel-caucus-voters-in-corn-country-iowa/ (28 janvier 2016) Steve King, représentant républicain de l'Iowa, est co-directeur de campagne de la campagne de Ted Cruz. Pourtant, il a promis de combattre Ted Cruz sur la Norme de Carburant Renouvelable si Ted Cruz est élu président.
  15. 18 janvier 2016. Publicité négative d'un comité d'action politique (PAC) pro-Cruz dénonçant l'amitié entre Trump et Bill De Blasio, le maire démocrate de New York. Ce PAC reproche à Bill de Blasio d'avoir cessé les fouilles inopinées « stop and frisk », ce qui fait à ses yeux de de Blasio le complice des "tueurs de flics" (cop killers). Voir http://www.air-defense.net/forum/topic/11243-usa/?page=75#comment-696671 Il lui reproche sa campagne sur le thème des "villes sanctuaires" : les villes où les sans-papiers ne sont pas arrêtés, et son soutien aux syndicats enseignants.
  16. http://www.lemonde.fr/arts/article/2016/03/10/rembrandt-le-roi-la-reine-et-le-president_4880515_1655012.html (11 mars 2016) Le bien nommé président Hollande inaugure deux Rembrandt avec le roi des Pays-Bas. http://www.latribunedelart.com/les-rembrandt-jusqu-a-la-lie (1er février 2016) Une affaire bien mal négociée par la France : le Louvre a « tout cédé au Rijksmuseum ».
  17. http://www.hebdo.ch/hebdo/cadrages/detail/adam-bodnar-%C2%ABnous-navions-jamais-connu-de-pareilles-attaques-contre-des?esi (3 mars 2016) Interview d'Adam Bohar, médiateur de la République de Pologne. https://www.letemps.ch/monde/2016/02/24/y-un-abime-entre-pologne-europeenne-pologne (24 février 2016) Interview de Marek Magierowski, porte-parole de la présidence de Pologne.
  18. http://foreignpolicy.com/2013/04/01/the-most-hated-man-in-the-senate/ (1er avril 2013) Pourquoi Ted Cruz est-il l'homme le plus détesté du Sénat ? - Il a traité Chuck Hagel et John Kerry, des anciens militaires décorés de "fans moins qu'enthousiastes de l'armée américaine". - Par le fanatisme de sa lecture fondamentaliste de la constitution, il s'est opposé au président George W. Bush en 2005 sur une affaire de condamné à mort mexicain au Texas où le président voulait qu'on fasse preuve de flexibilité pour améliorer les relations diplomatiques avec le Mexique... et accessoirement respecter le droit international. - Il s'est présenté directement au poste de sénateur, sans jamais avoir exercé de fonction élective auparavant, en infraction avec le cursus honorum informel qui veut qu'on commence en politique avec un poste électif de moindre importance, typiquement le poste de commissaire foncier du Texas, comme le fait George P., le fils de Jeb Bush.
  19. http://www.thenews.pl/1/9/Artykul/244051,Standoff-over-Polish-court-ruling-intensifies- (10 mars 2016) La Première Ministre Szydło refuse de publier la décision de la cour constitutionnelle qui déclare invalide, anti-constitutionnelle, la réforme de cette même cour constitutionnelle. Pour le gouvernement, c'est cette décision qui est invalide, puisqu'elle a été prise par 12 juges, et que selon le gouvernement, il en faut au minimum 13.
  20. http://www.br.de/nachrichten/mittelfranken/inhalt/siemens-stellenabbau-bayern-106.html (10 mars 2016) Siemens annonce 1900 suppressions d'emploi en Bavière. http://www.usinenouvelle.com/article/au-maroc-siemens-investit-100-millions-d-euros-dans-une-usine-de-pales-d-eoliennes-a-tanger.N383345 (10 mars 2016) Au Maroc, Siemens investit 100 millions d’euros dans une usine de pales d’éoliennes à Tanger.
  21. http://ajw.asahi.com/article/asia/around_asia/AJ201601210068 (21 janvier 2016) Le TGV entre Djakarta et Bandung sera chinois.
  22. http://www.politico.com/magazine/gallery/2014/11/the-changing-face-of-the-foothills-000097?slide=0 (19 novembre 2014) Diaporama de 10 photos. L'hispanisation n'est plus confinée aux villes de la côte, mais poursuit son petit bonhomme de chemin, dans le piémont des Appalaches, dans le Tennessee.
  23. http://www.bbc.co.uk/news/world-europe-35771292 (10 mars 2016) La pilote Savchenko a commencé à "boire de l'eau". http://uatoday.tv/politics/poroshenko-ready-for-prisoner-swap-with-moscow-to-secure-release-of-savchenko-607279.html (10 mars 2016) Porochenko se dit prêt à échanger Savchenko dans un échange de prisonniers.
  24. http://www.ouest-france.fr/monde/turquie/lepouse-derdogan-estime-que-le-harem-etait-une-ecole-de-la-vie-4084064 (9 mars 2016) « Le harem était une école pour les membres de la dynastie ottomane et un établissement scolaire pour la préparation des femmes à la vie », a déclaré Mme Erdogan, marraine d'associations de femmes et de bienfaisance, lors d'une intervention publique à Ankara rapportée par les chaînes de télévision.
  25. Il est contrôlé militairement par quelle partie au conflit, ce barrage, actuellement ?
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