Du coup, Paris mise aujourd’hui sur les capacités ISR (intelligence-surveillance-renseignement) avant de penser à armer ses drones à court terme. L'appel d’offres remporté en janvier par le Patroller de Sagem, un drone tactique qui équipera l’armée française en 2019, en atteste. Il n’est pas possible de lui faire transporter des armes, contrairement à son concurrent recalé, le Watchkeeper de Thales.
Il doit y avoir une erreur, c'est possible.