Aller au contenu
Fini la pub... bienvenue à la cagnotte ! ×
AIR-DEFENSE.NET

Boule75

Members
  • Compteur de contenus

    18 561
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    92

Tout ce qui a été posté par Boule75

  1. Eh bien je serais surpris tant c'est éloigné de leurs pratiques historiques. Du peu que j'ai entendu parler de leurs escapades dans le domaine civil (S3ns), c'était du Google à 99,99%, by design. Et puis la définition de cloud est tellement floue qu'on peut bien coller l'étiquette sur un bidule qui tient dans deux placards séparés de 30 bornes, à mille lieues des offres de service Amazon ou Google, donc bon...
  2. "simple cloud de combat" : c'est de plus en plus débile opexnews ou quoi ? Ca dépend évidemment de ce que l'on met dedans, de ce qu'on en attend mais, au-delà des liaisons multi-domaines, de leur sécurité, fiabilité, des contrôles d'accès, l'ensemble doit probablement aller jusqu'à l'outillage des PC tactiques et des états-majors, en mode multi-national et nationaux si nécessaire, jusqu'aux structures de données, unités utilisées, référentiels géospatiaux, voire bases de connaissance, etc... voire jusqu'aux procédures, tant qu'on y est. Et je serais très surpris qu'il n'y ait pas au final une grosse dose de calculs et d'IA pour aider à la synthèse des situation tactique, au raccourcissement des boucles de décisions et à la prise de décision, avec de quoi entrainer les IA et donc des volumes de données à stocker, faire circuler et évaluer considérables. Et aussi avec des facettes "temps réel", des systèmes critiques, etc.... Un "truc" qui implique à la fois les appareils en vol, des satellites (avec des capacités de calcul là-haut ?), des pseudolithes, des systèmes au sol mobiles ou pas, qui pourrait pour partie s'appuyer ou s'interfacer avec des dispositifs civils. Une dose massive de protocoles, logiciels et infrastructures informatiques et réseau de toute sorte. Ce bidule n'a a priori rien pour être simple, c'est un sacré foutoir. La pression des US sera maximale pour que ça ne se fasse pas, ou que ce soit totalement vide de substance, et/ou totalement ouvert pour eux, à travers une grosse partie des opérateurs de F-35 trop contents de pouvoir juste poser leurs fesses dans un fauteuil siglé LM. Pas tous avec un peu de chance, mais on a quand même une forte probabilité d'avoir le choix entre "rentrer dans le système" (dans le rang) ou faire beaucoup plus petit tous seuls ou presque, à moins qu'on en vende une partie à l'export. On parle d'équipes en milliers d'informaticiens, là, et pas des pousse-cartons. Pas du tout : on en a beaucoup parlé dans le fil F-35 à l'époque, mais ce qui était connu du MADL initial était vraiment limité (par rapport à ce qu'on peut imaginer être un vrai cloud de combat). De mémoire : liaison tactique directionnelle entre au maximum 4 appareils (exclusivement) espacés de plusieurs dizaines de km au max, et ne se perdant pas de vue directe. Appairage au sol préalablement au vol (sur la même base ?), liaison impossible à rétablir en vol si rompue. débit censément assez élevé pour transmettre les flux de données "bruts" des capteurs, radars en tête, pas seulement des pistes déjà élaborées. et pi c'est tout. Et à l'époque (voici 10 ou 12 ans ?) ça marchait mal ou très mal. En ont-ils amélioré des bouts (il était question de MADL étendu aux Awacs à une époque, par exemple) ? Peut-être. Je n'ai rien vu de tel ici.
  3. Ils le falsifient ou ils le citent tel quel, c'est à dire avec les noms des victimes masqués pour protéger ces dernières ? J'ai déjà vu ça à plusieurs reprises dans d'autres affaires. A noter : cette contre-polémique lancée par les Républicains n'invalide en rien le fond des courriels cités, c'est de l'enfumage pur-sucre. Quant à l'affaire de la BBC... as-tu une source sérieuse ? Je n'ai vu passer que des commentaires, des commentaires de commentaires, des déclarations super-résumées, etc... Et si, Trump incitait bien à l'émeute le 6 janvier 2016, assez subtilement d'ailleurs, mais ça a été parfaitement compris par la foule qu'il avait rassemblée pour ça, d'ailleurs. Certains s'était même préparés (les Proud Boys progressant en colonne...). Bref : ce ne sont des "échecs anti-Trump" que parce que ces deux narratifs marquent la domination d'un camp sur le cycle des nouvelles qui te parviennent. Pour le reste : bof bof bof.
  4. Je confirme de source interne industrie, sans savoir qualifier l'implication ce celle-ci ni détails : le gars parlait d'un jeu (pas original) de dissensions entre acteurs industriels qui se renvoyaient la balle sur certains soucis et n'avançaient pas au bon rythme. La bonne nouvelle : ce n'étaient apparemment pas de soucis structurels.
  5. On ne sait même pas s'il a été viré. On sait qu'il est remplacé, c'est tout.
  6. Mais c'est Moscou qui refuse l'ouverture de négociations, pas l'Ukraine ! Moscou prétend qu'il y aura une négociation finale, par exemple à Moscou, une fois seulement que ses principaux points de revendication seront acceptés (je viens de les re-citer). Une cérémonie, quoi, un Triomphe, César tirant Vercingétorix derrière son char. Et en attendant : rien, c'est à dire refus répété des demandes de Zelensky, Trump, Erdogan, de l'UE, etc... Pas de négociation.
  7. Parce que le faire aurait été un crime de lèse-majesté du point de vue d'Airbus D&S Allemagne, qui, eux, ont le soutien plein et entier du Bundestag depuis le tout début. C'est pourtant assez clair non? Mais on s'en fiche ! Comme tu les dis plus bas, nous avons notre bout de gras à défendre : je constate que, médiatiquement, en Allemagne, il ne l'a pas été, on a laissé prospérer la malhonnêteté. Et ça c'est une faute, sauf à vouloir de toutes façon que le projet ne se fasse pas. Sur ce point, ta position est cohérente : je ne la partage pas.
  8. Avec ou sans armée ukrainienne forte ? Pour l'instant, la demande univoque de Moscou, c'est sans, et sans possibilité de la constituer par des achats à l'étranger, sans possibilité d'appeler des renforts en cas de renouveau de l'agression russe. En clair : une Ukraine "à poil", encore plus faible qu'en 2022, donc une Ukraine vouée à être ré-envahie à court terme, et définitivement, par exemple sous le prétexte futile d'un dépassement de ce à quoi elle se serait engagée. Le scénario est cousu de fil blanc. C'est pour ça qu'ils se battent, et pour ça aussi qu'on les soutient.
  9. Je n'ai pas parlé de faute de la France en ce qui concerne le colportage de ragots. Ca ne m'empêche pas 1. de ne pas comprendre qu'on ne les ai pas démenti derechef, avec fermeté et 2. qu'on puisse penser mener ce genre de projet sans construire de capacité à "jouer des coudes" dans l'espace médiatique de nos voisins qui, eux (et pas qu'eux), ne s'en privent pas. De la même manière qu'on arrive à rien à Bruxelles en restant le cul vissé dans les salons parisiens. Le soutien à Dassault a été fort en France, à tout le moins n'a-t-on pas lu ou vu (ici ou ailleurs) des gens qui blâmaient l'entreprise quand elle défend son biftek (et celui du pays). Il y a eu soutien au niveau parlementaire également. Si on reproche au Président de n'être pas rentré dans la danse en public, on ignore ce qu'il a dit en privé et, tel que je le suppute, il y a eu répartition des tâches. C'est peut-être parce que Chiva a attendu 6 mois pour démentir ce délire de "80% à Dassault" qu'il a été remercié ; sa position (MOA) n'était certes pas confortable, mais spécifiquement sur ce point, il y a un loupé difficilement compréhensible, exactement comme sur Aukus du reste : des adversaires du projet se répandent en calomnies, et on laisse faire jusqu'à ce que le bobard devienne "sagesse populaire". Une véritable stratégie de l'échec. Je ne suis que très partiellement d'accord là-dessus : américains, anglais et russes, chinois même probablement, cultivent et appuient dans nos pays des relais d'opinion, qui en vivent, de manière ouverte ou pas. Si on ne les contre pas on en arrive à la situation actuelle : impossibilité à s'entendre, ce qui est leur but.
  10. Je suis bien d'accord, mais observer encore au 9 novembre 2025 une agence de presse ayant pignon sur rue et colportant ces bobards (là, on n'est pas dans la citation de Pistorius) me semble être la marque, côté français, d'un auto-sabotage du projet assez malsain. Qu'on finisse par ne pas s'entendre, c'est la vie. Qu'on ne s'entende pas parce que l'une des parties est totalement intoxiquée et qu'on n'a rien fait pour que ça cesse, c'est la merde.
  11. @Zalmox : pourquoi reprendre des tweets de gens qui ne sont même pas foutus d'orthographier correctement les noms de famille ? C'est Zohran Mamdani. Sur le fond : Trump n'a toujours rien compris à l'ACA, ni aux problématiques posées par le secteur médical (demande structurellement infinie, marché et concurrence largement inopérants*...) et entend toujours le détruire, comme une bonne partie de son camp. Si les mécanismes de régulation sont démantelés (l'ACA contraint les assurances à des jeux de prestation minimales codifiées, pour des prix codifiés) et que les sous sont donnés directement aux individus : les prix des soins et médicaments vont exploser (oligopoles ou monopoles locaux, cartels...) les individus seront libres de dépenser leurs sous ailleurs, ce dont ils ne se priveront pas ; il faut être sage pour prendre volontairement une assurance quand, par ailleurs, on bave devant les vitrines alléchantes vendant autre chose genre (sucres, graisses, fast fashion, derniers iphones jeux...) des études fleuriront bien vite pour démontrer que les pauvres dilapident la subvention, fraudent, profitent honteusement ! Et qu'il convient donc de ratiboiser tout ça : retour à la case "marché libre des soins" assuré. * la concurrence ça fonctionne quand l'acheteur 1. sait comparer avant d'acheter et 2. s'il n'est pas satisfait, peut aller voir ailleurs la prochaine fois. En matière médicale, ça ne fonctionne pas ou extrêmement mal : les comparaisons avant "achat" sont super-compliquées (entre urgence, détresse, offre limitée, incapacité à mesurer si les promesses sont tenues ou même à les évaluer) ; pas d'essai et erreur : l’appendicite, c'est "une seule fois", etc... On compte sur la "réputation" s'il n'y a pas de système normatif fiable, un indicateur bien compliqué à appréhender ; et en prime il y a intrinsèquement de l'aléa dans l'acte médical. Bref : un "libre marché des soins",les USA ont déjà essayé, et ça a tout d'une jungle. (je ne prétend pas pour autant qu'un système administré soit facile à faire vivre correctement ! Mais les stats disent que ça fonctionne beaucoup mieux, globalement)
  12. Un article de haute tenue !... c'est à dire à prendre avec d'immenses pincettes : on ne sait pas de qui vient la citation que tu mets en exergue (Pistorius ?) on retrouve sur la fin les fameux "80% demandés par Dassault", information jamais sourcée et déjà plusieurs fois démentie fermement qui a tout d'un thème de propagande, le tout dans un "journal" apparemment autrichien mais qui renvoie, sur sa page de garde, vers des sites intitulés "Russmedia Digital" et "Russmedia LIVE" que je me garderai bien d'aller visiter. nonobstant, on retrouve ce même texte - et la même connerie - dans d'autres sites moins olé-olés : c'est une dépêche de l'agence DPA. Bref : le projet fait face à des vents contraires...
  13. Quand il réapparaît dans le cadre, on observe toute une série de points noirs qui pourraient être des oiseaux lointains ou des débris de la queue et des pâles en train de retomber, cette seconde hypothèse me semblant hautement probable vu que la dite queue n'a plus du tout le même aspect que quelques instants plus tôt. Je comprend bien ce que tu affirmes sur l'importance relative de la queue pour le contrôle de ces appareils contra-rotatifs, mais ce qui m'intrigue ce sont les intentions du pilote : est-il aux prises avec un moteur dont la puissance varie de manière erratique ? (pas assez de puissance au début -> chute ; une fois dans l'eau ça revient d'un coup ? Qualité du carburant ? Défaut matériel ? Sabotage ?) Ca pourrait expliquer qu'il redécolle. délire-t-il ? (pourquoi redécoller alors qu'il vient de toucher l'eau à 10m de la rive après avoir brisé la queue ? A-t-il conscience des dommages critiques ? Y a-t-il conflit en cabine ?) fuit-il et si oui, quoi ? Raconte ! (ça sera doucement HS, bien sûr... )
  14. Tu n'y es pas : on discutait du changement d'aspect de l'appareil, et du fait qu'apparemment la zone de travail avait été rapprochée des capteurs, vers l'avant de la cabine plutôt qu'à l'arrière. L'une des hypothèses soumises pour l'expliquer était que le câblage vers les consoles serait ainsi moins long, et donc moins lourd. D'où ma question : de quels câbles parle-t-on ? Si c'est du bête réseau Ethernet ou fibre, l'explication avancée ne me paraît pas tenir. Par contre si le traitement des signaux est directement effectué sur les consoles, il faut peut-être qu'elles soient reliées aux capteurs par des câbles significativement plus lourds, et ça fournit une explication. Sinon, ça m'étonnerait bien que l'avion envoie le flux brut (mais numérisé !) pour traitement déporté : il y faudrait probablement une bande passante délirante.
  15. Boule75

    Gripen

    Il y a 4 appareils sans pilot sur l'image, si je compte bien.
  16. Hum... Tu crois qu'il y a tant de câbles que ça vers les consoles ? Sur ce genre de dispositif, ne sont-elles que des postes de travail ou effectuent-elles directement le traitement des signaux ? Dans le premier cas, ce serait juste du réseau banal (et pas très lourd, surtout si on le fait en fibre), dans le second c'est possiblement différent (des câbles avec guide d'ondes, j'imagine). A la page précédente, on a un descriptif laconique d'une configuration matérielle de PC avec : un processeur professionnel mais loin d'être d'être supra-puissant (6 cœurs physiques, 2 canaux mémoire, PCIe3, gravure en 14nm, max 64Go de RAM DDR4) ; originalité (surtout pour du 14nm) : un TDP de seulement 45W. une carte graphique NVidia pro @Picdelamirand-oil (si je peux me permettre) : sais-tu s'il y a, sur ce genre de dispositif, comme un "centre de calcul" embarqué qui traite le signal en amont des consoles ?
  17. Neutralité quasi-désarmée et avec interdiction de se faire livrer des armes comme dans les "accords" d'Istambul ? Quelle est la différence au juste avec une reddition vu la qualité de la parole russe, qui n'en a aucune ?
  18. Je mets une pièce sur l'hypothèse "pilote bourré / malade / drogué ou les trois à la fois".
  19. Pour négocier, il faut être au moins deux. Zelensky et l'Ukraine ont proposé maintes fois des négociations. Poutine ne veut pas voir Zelensky (ou alors à Moscou...), ne veut pas impliquer les européens, continue à exiger un reddition sans condition, selon les mêmes termes depuis 2022. Moscou ne négocie pas, c'est aussi simple que ça. Pour l'instant, en public du moins : pas qu'on sache. Même Trump semble s'en être aperçu, c'est dire !
  20. Qu'est-ce qui les amène à faire ce premier toucher violent qui brise la queue ? Pourquoi, une fois à l'eau près de la rive le pilote re-décolle-t-il ? (pas de conscience que la queue est arrachée ?) Je note que l'appareil semble presque contrôlable sans sa queue. Images singulières vraiment.
  21. D'ailleurs la Russie ne propose pas "l'arrêt des combats et pis c'est tout" : ils continuent à revendiquer plus (dénazification, démilitarisation, soumission, tout ça, du moins en public). @nemo : c'est bien la contrainte majeure à laquelle l'Ukraine fait face, bien plus que d'hypothétiques arrières-pensées européennes. Côté USA, on s'en tamponne désormais le coquillard de l'Ukraine, qui est juste devenue une pompe à fric européen pour le système militaro-politico-industriel US. Et d'ailleurs - rigolons un peu - voici donc un point commun, un même d'incitation pour que la guerre continue en Russie et aux USA, auquel on doit rajouter la Chine (qui fait son beurre au passage, accumule du retex et de l'influence).
  22. Je ne sais pas si je vois tout ce qu'écrit La Tribune sur le sujet (je vois deux lignes...) mais c'est un peu plus compliqué que ça : il y a déjà deux décisions de juges fédéraux. En appel, le juge a décidé que l'administration devait verser la totalité des sommes prévues, et non une partie seulement comme le Ministère s'apprêtait à le faire. La Cour Suprême qui suspend cette décision d'appel a statué en référé ("SNAP"), par une seule juge, et c'est une décision tout à fait provisoire, pas sur le fond. Sur le fond : Ces aides alimentaires concernent 42 millions d'américains ( ! ) et sont apparemment dues, de par la loi, shutdown ou pas. Le Ministère a hésité sur la conduite à tenir, a fini par vouloir piocher dans des budgets non-encore dépensés (aide à l'enfance, fond catastrophe...) pour permettre des paiements partiels. Mais le système (informatique) n'est pas prévu pour ça, les systèmes d'ailleurs, puisque ce sont les états qui versent ces aides fédérales. Résultat net : c'est la pagaille. Comme ça touche les populations les plus indigentes, les mêmes probablement qui n'ont aucune épargne, pas un sous d'avance : ça coince sec, y compris probablement dans les états ruraux. Plusieurs états ont d'ors et déjà versé la totalité des aides, ou ont annoncé le faire dès hier. Un très joli pataquès.
  23. Je ne doute pas que Paris ait exigé du gouvernement malien de l'époque une demande formelle, il me semble même que c'est explicitement raconté et écrit par les acteurs français de cet épisode, non-contesté. En revanche, que Paris ait exigé d'intervenir est une invention pure et simple. En menaçant qui, de quoi ? Que certains, à Paris, Washington, Bamako, Abidjan ou au Niger ait poussé dans ce sens : évidemment. Mais forcé : non. L'opération a d'ailleurs été très bien accueillie par la population à l'époque, et pour cause ! La junte russo-malienne a le monopole de la parle "locale", il ne faut pas l'oublier. Les autres sont persécutés. Et ensuite il reste tous les débiles panafricains établis bien au chaud en Europe, soit-disant "anti-système" mais confortablement installés dans un système qui les gratifie par l'égo et parfois par l'argent, et qui déblatèrent leur conneries de manière mécanique avec une cible qui bien souvent n'a rien à voir avec le Mali, le Niger ou le Burkina-Fasso, et tout avec les luttes d'influence entre puissances, à travers les réseaux ou même la presse anglo-saxonne ; Rokhaya Diallo a ainsi tribune ouverte dans le Guardian ou le Washington Post par exemple.
×
×
  • Créer...