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énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Suite Quoi qu’il en soit, pour en revenir au Parlement européen et à sa lutte contre tout ce qui est russe, le nouveau rapport appelle l’Union européenne à faire pression sur la Russie pour empêcher Moscou de s’immiscer dans les affaires des États membres de l’Est et du Sud de l’UE. À cette fin, Bruxelles devrait devenir le centre unifié unique pour la prise de décisions concernant tout ce qui est anti-russe. En particulier, l’UE devrait être prête à refuser de reconnaître les résultats de l’élection de la Douma d’État russe (qui se tiendra dans les prochains jours), à investir dans des systèmes d’armes qui feraient réfléchir les Russes à deux fois avant de les envahir et, bien sûr, à imaginer de nouvelles sanctions. Mais, et c’est peut-être le plus important, le rapport invite les institutions européennes à élaborer une stratégie visant à réduire la dépendance de l’Union européenne à l’égard des ressources russes, en particulier les ressources énergétiques, et des technologies russes en matière d’énergie nucléaire. Dans ce contexte, les auteurs du rapport estiment que NordStream2 augmente les risques de « domination russe » et ne devrait pas être mis en service malgré le fait que la situation du gaz naturel en Europe soit des plus catastrophiques, malgré qu’il ait déjà été construit et que Gazprom prévoit sa mise en service en décembre prochain. C’est tout à fait logique, car l’énorme flambée actuelle du prix du gaz naturel en Europe est évidemment la faute de Gazprom (si ce n’est pas directement celle de Vladimir Poutine), qui n’a pas augmenté volontairement le flux de gaz à l’exportation au-delà du montant convenu par contrat. C’est un argument formidable si la directive première est de blâmer la Russie pour tout ce qui ne va pas dans le monde, mais au-delà de cela, il y a quelques autres raisons à ce chaos. Au cours des deux dernières années, les banques centrales occidentales ont imprimé beaucoup d’argent, mais les économies occidentales n’ont pas réussi à produire des quantités correspondantes de biens et de services. Par conséquent, quiconque propose une énorme liasse de dollars ou d’euros pour quelque chose de réellement utile, comme du gaz naturel, risque de se faire frapper au visage. Empêcher des Européens innocents de mourir de froid chez eux est une chose, mais contribuer à alimenter une frénésie spéculative sur une monnaie de plus en plus sans valeur en est une autre. Hélas, l’Union européenne n’est plus une destination privilégiée pour le gaz naturel. Les prix en Asie sont de 10 à 20 % plus élevés et tous les méthaniers se dirigent donc vers les plateformes de gaz naturel asiatiques plutôt qu’européennes. La grande différence n’est même pas le prix, mais le fait que les économies du Sud-Est asiatique ont beaucoup plus à offrir en échange des ressources naturelles qu’elles consomment que l’Union européenne, dont une bonne moitié ne produit presque rien. Au cours des dernières années, l’Union européenne a exercé diverses discriminations à l’encontre de la Russie en général et de Gazprom en particulier, sous le couvert de la promotion de la libre concurrence, négligeant le fait que lorsqu’il s’agit d’assurer un approvisionnement en gaz fiable et à un prix raisonnable, il n’existe aucune alternative à Gazprom, ce qui en fait un monopole naturel par excellence. Par conséquent, dans leurs efforts pour construire un marché d’acheteurs pour le gaz naturel, les Européens ont réussi à faire exactement le contraire. Enfin et surtout, la fuite en avant de l’Europe dans les énergies renouvelables s’est traduite par des prix de l’énergie très élevés et a anéanti sa compétitivité sur les marchés mondiaux. Bien sûr, les élites européennes sont incapables d’admettre ce fait, et leur seul recours est donc de blâmer les Russes. Peut-être qu’à un moment donné, une masse critique d’électeurs européens se rendra compte qu’en fait, ce sont les Russes qui tentent de les maintenir en vie alors que leurs propres élites se moquent de savoir s’ils vivent ou s’ils meurent tant que Greta Tunberg est heureuse, et qu’ils votent pour les écolos ; seul le temps nous le dira. Les Russes, bien sûr, sont loin d’être irréprochables. Au lieu de s’effondrer sous la pression de l’Occident, comme l’attendaient d’eux leurs supérieurs occidentaux autoproclamés, ils ont comploté, manigancé et réussi à organiser pour l’Occident collectif une sorte de Stalingrad du gaz naturel qui ne manquera pas de lui donner une importante leçon, du même genre que celle qu’ils ont donnée à l’Europe sous les chevaliers teutoniques en 1242, à l’Europe sous Napoléon en 1812 et, à nouveau, à l’Europe sous Hitler en 1942. Comme le dit le proverbe, la répétition est la clé de l’apprentissage. -
énergie Energies renouvelables : projets et conséquences
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de alexandreVBCI dans Economie et défense
Un Stalingrad pour le gaz naturel Par Dmitry Orlov – Le 15 septembre 2021 – Source Club Orlov Le prix au comptant du gaz naturel en Europe a dépassé les 900 dollars par millier de mètres cubes, le seuil psychologiquement important de 1 dollar par mètre cube n’étant pas loin. Il s’agit d’un prix astronomique qui risque de mettre en faillite un grand nombre de compagnies d’énergie européennes tout en provoquant la mort de leurs clients cet hiver. Rien qu’au Royaume-Uni, où environ 10 000 personnes meurent de froid au cours d’un hiver normal avec des prix normaux, jusqu’à présent, PfP Energy, MoneyPlus Energy, People’s Energy et Utility Point ont dit adieu au monde, leurs clients étant récupérés par l’organisme de réglementation gouvernemental Ofgem. Agissant avec sagesse, Ofgem a augmenté le plafond annuel des prix pour un ménage type de 139 £ pour le porter à 1 277 £. Qu’est-ce qui se cache derrière tout ce chaos et cette pagaille ? Appelez ça le salaire de la stupidité. Le Royaume-Uni a tout misé sur les énergies renouvelables – éoliennes et solaires – en ignorant le fait que « s’asseoir dans un jardin anglais en attendant le soleil », comme le chantaient les Beatles, est une quête futile. Et maintenant, il s’avère qu’il n’y a tout simplement pas assez de vent pour faire tourner les turbines. En conséquence, la demande de gaz naturel, qui est le combustible de prédilection pour combler les trous béants dans l’approvisionnement en énergie renouvelable, dépasse ce qui est disponible, ce qui entraîne des prix exorbitants pour l’électricité. Pour rendre les choses encore plus intéressantes, le câble sous-marin qui fournit de l’électricité au Royaume-Uni depuis la France vient de tomber en panne, privant ainsi le pays d’une puissance de 1 GW sur une liaison de 2 GW. Dans l’Union européenne, le gaz n’a pas été pompé dans les stockages souterrains en quantité suffisante pour passer un hiver normal et modéré, tandis qu’un vortex polaire arctique forçant l’air froid loin au sud épuiserait les réserves bien avant le printemps. Mais il y a aussi de bonnes nouvelles : La société russe Gazprom vient d’achever la pose du dernier tronçon du gazoduc NordStream2, qui relie la côte baltique dans sa région de Leningrad à la côte allemande. Sous réserve des lenteurs bureaucratiques allemandes et des ingérences américaines, il devrait livrer son premier gaz en décembre. Les Américains sont, bien sûr, livides et les sénateurs républicains menacent de bloquer les nominations à des postes au sein du département du Trésor parce que l’administration Biden n’a pas réussi à bloquer l’achèvement du gazoduc. Trump voulait vendre du gaz naturel liquéfié américain à l’Europe, mais Biden a fait échouer ce plan et a permis l’achèvement du pipeline. Bien sûr, il n’y a pas assez de gaz naturel liquéfié américain disponible pour faire une différence, et le gaz qu’il y a va en Asie, pas en Europe, car c’est là que les prix sont les plus élevés. « Rien de personnel », comme les Américains aiment à le dire, « juste les affaires ». Mais la politique est différente des affaires : pour le bien de l’unité politique occidentale, si les Américains ne peuvent ou ne veulent pas vendre suffisamment de gaz à l’Europe, les Européens doivent se taire et se figer lentement dans l’obscurité. Ils ne doivent certainement pas se précipiter et acheter beaucoup de molécules de méthane russes totalitaires pour combler la différence. En attendant, les entreprises énergétiques européennes voient dans NordStream2 une bouée de sauvetage essentielle. Il est bien moins nuisible sur le plan écologique et plus sain sur le plan économique que ne le serait l’expédition de gaz de schiste liquéfié depuis l’autre côté de l’océan. Le gazoduc est plus court de 2000 km que tous les gazoducs existants vers l’Europe et utilise deux fois moins de stations de pompage. Les Allemands estiment que le lancement de NS2 rendra leur industrie plus écologique et permettra une collaboration avec la Russie dans le domaine des énergies vertes. Plus précisément, à l’avenir, le NS2 pourra transporter une certaine quantité d’hydrogène avec le méthane, qui sera séparé à la livraison et utilisé pour alimenter toutes sortes de choses très dangereuses mais très vertes. Pendant ce temps, la pauvre Estonie, qui jouxte la région de Leningrad d’où provient le gaz, et qui se trouve à l’extrémité oubliée de ce qui reste de l’Union européenne, a été contrainte de rouvrir sa centrale électrique alimentée par du schiste que les Soviétiques avaient eu la prévoyance de construire pour elle il y a longtemps. Ils l’avaient auparavant fermée parce que la combustion du schiste dégageait de nombreuses molécules de CO2 que Greta pouvait voir depuis Stockholm et qui la mettaient hors d’elle. Mais les prix élevés du gaz naturel ont obligé les Estoniens à oublier le réchauffement climatique et à se ré-soviétiser. De plus, en regardant le golfe de Finlande, large de 80 km, ils ont vu les Finlandais passer un contrat avec la société russe Rosatom pour construire un, voire deux, réacteurs nucléaires, et ils ont pensé : « Oh, eh bien… » Tout cela est, bien sûr, terrible, mais le Parlement européen est sur le coup, puisqu’il vient d’approuver les détails d’un rapport préparé par Andrius Kubilius, ancien premier ministre de la Lituanie, pays voisin de l’Estonie. Son rapport appelle l’UE à renforcer son potentiel pour contenir la Russie. À cet égard, les Lituaniens sont un cas exemplaire. Ils ont fermé leur station d’énergie atomique d’Ignalinskaya (comme condition préalable à l’adhésion à l’UE), que les Soviétiques avaient si soigneusement construite pour qu’elle dure jusque dans les années 2030. À la place, ils louent un terminal de regazéification de gaz naturel norvégien, stationné à Klaipeda et appelé « Independence », pour 189 000 dollars par jour. Ils utilisent parfois ce terminal pour acheter du gaz naturel aux Américains… qui à leur tour l’achètent aux Russes, en faisant le plein dans un terminal gazier situé au coin de la rue, dans cette même région de Leningrad, et en le majorant de 100 %. Mais la plupart du temps, ils se contentent d’importer de l’électricité du Belarus voisin, où Rosatom vient d’allumer une nouvelle centrale nucléaire située à proximité de la défunte Ignalinskaya AES. -
Australie
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
New AUKUS nuclear bloc won't just battle China, it will take West into confrontation with Russia too, Moscow's security chief says Le nouveau bloc nucléaire AUKUS ne se contentera pas de combattre la Chine, il entraînera l'Occident dans une confrontation avec la Russie, selon le chef de la sécurité de Moscou. Un nouvel accord géopolitique qui verra les États-Unis et le Royaume-Uni s'associer à l'Australie pour stationner des sous-marins nucléaires dans les profondeurs de l'océan Pacifique est une mesure hostile visant non seulement Pékin, mais aussi Moscou, affirme un haut responsable russe. Nikolay Patrushev, secrétaire du Conseil de sécurité russe, a déclaré mardi au journal Argumenty i Fakty que le pacte entre les trois nations, connu sous le nom d'AUKUS, sera inévitablement un autre bloc militaire visant à contenir et à affronter les deux plus grandes puissances non occidentales. Selon l'interview, Patrushev a comparé le pacte à QUAD, un format de dialogue stratégique entre les États-Unis, l'Inde, le Japon et l'Australie, conçu pour renforcer la position de Washington en Asie. Selon lui, ce groupe est "un bloc militaro-politique au caractère pro-américain prononcé." "L'autre jour, un autre bloc militaire a été formé dans la région - l'American-British-Australian AUKUS, qui poursuit les mêmes objectifs", a poursuivi le haut fonctionnaire. Selon lui, le nouvel accord, qui verra Londres et Washington transmettre le savoir-faire technique permettant à Canberra de développer et de déployer des sous-marins à propulsion nucléaire, constitue une menace pour "l'ensemble de l'architecture de sécurité en Asie". La France, qui a vu son contrat de plusieurs milliards de dollars, longtemps retardé, visant à fournir à l'Australie une flotte de nouveaux sous-marins, annulé à la suite du nouveau pacte, a réagi à cette décision. Au cours du week-end, Paris a ordonné à ses ambassadeurs à Washington et à Canberra de rentrer chez eux dans le cadre d'une réponse furieuse à cette décision, l'envoyé français en Australie accusant son pays d'accueil de "trahison en devenir". Jean-Pierre Thebault a déclaré que toutes les options étaient sur la table en termes de réponse diplomatique après que sa nation ait été "poignardée dans le dos". -
Contrat du siècle: après la gifle australienne, la main tendue indienne?
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Australie
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Is AUKUS pact a signal to India to go for nuclear attack submarines? Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le pacte AUKUS est-il un signal adressé à l'Inde pour qu'elle opte pour des sous-marins d'attaque nucléaires ? Avec un nouveau porte-avions, six nouveaux sous-marins d'attaque diesel de classe Kalvari et des destroyers de classe Vishakhapatnam, la marine indienne sera une force très puissante dans la région indo-pacifique d'ici 2025. L'Australie ayant signé un pacte avec les États-Unis et le Royaume-Uni en vue d'acquérir huit sous-marins d'attaque conventionnels à propulsion nucléaire ou SSN pour dissuader la Chine dans la région indo-pacifique, l'Inde doit également revoir son plan de 1999 concernant les sous-marins conventionnels et s'orienter rapidement vers des navires sous-marins à propulsion nucléaire. Alors que l'Inde a lancé une demande d'information (RFI) pour six nouveaux sous-marins d'attaque diesel dotés d'une propulsion indépendante de l'air pour une plus longue durée sous l'eau dans le cadre du projet 75I, l'évolution rapide du scénario de sécurité dans la région indo-pacifique exige que le gouvernement Modi mette le projet de trois SSN au premier plan. L'Inde dispose actuellement d'un sous-marin nucléaire lanceur de missiles balistiques ou SNLE, l'INS Arihant, et d'un autre, l'INS Arighat, prêt à être mis en service l'année prochaine. Elle ne dispose pas d'un sous-marin d'attaque conventionnel à propulsion nucléaire, mais la situation changera en 2025. Bien que les Français soient, à juste titre, mécontents de l'Australie pour avoir sabordé unilatéralement l'accord de 50 milliards de dollars conclu avec Naval Group pour la construction de 12 sous-marins diesel équipés de l'AIP en faveur de SSN dans le cadre du pacte anglo-saxon AUKUS récemment dévoilé, le fait est que la marine chinoise, qui se développe rapidement, avait besoin d'une réponse plus forte. Les SSN ne sont limités que par les réserves de nourriture et le cadre mental de leur équipage et peuvent effectuer des patrouilles d'accès à la mer et de refus d'accès à la mer pendant plus de 45 jours. En bref, l'Australie, qui est à la merci des Chinois belliqueux comme l'Inde et le Japon, peut dissuader la puissante marine de l'APL, qui dispose d'une série de SSN et de SSBN et acquiert de jour en jour un plus long pied marin. Dans ce contexte, les planificateurs indiens de la sécurité nationale doivent également reconsidérer le projet 75 I et le projet 76, une suite du précédent, et passer au projet 77 ou au projet SSN. Étant donné que la construction d'un sous-marin prend au moins dix ans à partir de la planche à dessin, l'Inde doit se préparer à un moment où les porte-avions et les SSN chinois patrouilleront dans la région de l'océan Indien (IOR) en dehors des autres acteurs mondiaux. Le gouvernement Modi ne se contente pas d'observer l'évolution de la situation sécuritaire dans la dimension maritime. Avec le nouveau porte-avions INS Vikrant, le SNLE INS Arighat, les six nouveaux sous-marins d'attaque diesel de la classe Kalvari et les destroyers de la classe Vishakhapatnam, la marine indienne va devenir une force très puissante dans la région indo-pacifique d'ici 2025. Les États-Unis étant disposés à vendre à l'Inde des drones Predator armés, le système de combat intégré Aegis et le missile de croisière Tomahawk, le gouvernement Modi dispose de suffisamment d'options pour projeter sa puissance dans la région indo-pacifique. La France, l'un des principaux alliés de l'Inde, est également disposée à participer à la conception et à la construction de navires de surface et à améliorer les capacités militaires indiennes à l'horizon. Tout comme les États-Unis, l'Inde et l'Australie se concentrent sur l'Indo-Pacifique, les nouveaux dirigeants japonais abandonnent également leur approche pacifiste face aux guerriers loups du Parti communiste chinois (PCC). Les nouveaux dirigeants du Parti libéral démocrate (PLD), après le Premier ministre Yoshihide Suga, ont une approche conservatrice et nationaliste. Plutôt que de se laisser bousculer par Pékin, le Japon est prêt à s'associer à ses partenaires quadruples pour sécuriser la région indo-pacifique. Le pacte AUKUS ne sera pas sans ramifications sécuritaires pour les partenaires de la Quadrilatérale, car il est fort possible que la Chine construise un SSN pour son client pakistanais, citant le transfert d'un réacteur nucléaire à l'Australie dans le cadre de l'AUKUS. Cela créera un plus grand casse-tête en matière de sécurité pour l'Inde et pour les autres pays de la zone de responsabilité internationale. Le temps est venu pour l'Inde de revoir ses capacités de dissuasion et pour la marine indienne de penser au-delà de Karachi. -
Apparemment, la délocalisation est prévue plus large que vers les drones puisqu'elle concerne aussi la délocalisation entre avions pilotés pour rendre difficile la localisation et la destruction de l'intelligence et de la décision....
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Armée de l'air des E.A.U
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Libanais_75 dans Afrique / Proche Orient
UAE eyes French alternative to US as Abu Dhabi crown prince holds talks in Paris Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le prince héritier d'Abu Dhabi s'entretient avec la France à Paris pour trouver une alternative aux États-Unis Abu Dhabi serait intéressé par l'achat d'avions de combat Rafale dans le cadre d'une vision émiratie plus large visant à diversifier les sources d'armement. Jeudi 16/09/2021 PARIS--Analystes voient la visite du prince héritier d'Abu Dhabi, Cheikh Mohammed bin Zayed Al Nahyan, en France comme étant liée aux tentatives franco-émiraties de construire une nouvelle alliance qui pourrait combler le vide laissé par le désengagement de Washington de la région du Golfe arabe. Depuis l'entrée en fonction de l'administration américaine du président Joe Biden, on a l'impression que l'engagement américain pour la sécurité du Golfe s'amenuise. Ce phénomène a été déclenché par la décision de Washington de réduire sa présence militaire, notamment en retirant de la région le système de missiles de défense aérienne Patriot, et de limiter les ventes d'armes à l'Arabie saoudite et aux Émirats arabes unis. Mercredi, le cheikh Mohammedbin Zayed a rencontré le président français Emmanuel Macron lors d'un déjeuner au palais de Fontainebleau, à l'est de Paris. M. Macron et le prince héritier d'Abou Dhabi ont promis de travailler ensemble pour lutter contre l'extrémisme islamique, après des entretiens qui, selon leurs collaborateurs, ont souligné la force de leur partenariat. Au cours du mois dernier, Abou Dhabi a servi de plaque tournante pour l'évacuation par Paris de ressortissants français et afghans de l'Afghanistan contrôlé par les talibans. "Les deux parties ont souligné qu'elles étaient toutes deux déterminées à lutter contre l'extrémisme et le terrorisme et à renforcer leur coopération en matière de sécurité et de défense", a déclaré la présidence française dans un communiqué publié à l'issue des entretiens. Concernant l'Afghanistan, les deux parties ont également insisté sur la nécessité de "respecter les droits des femmes et des filles, ainsi que des minorités" après la prise de pouvoir par les talibans. Selon l'agence de presse émiratie WAM, les deux parties ont discuté "des possibilités de développer les relations et ont échangé leurs points de vue sur les développements régionaux, en particulier les développements actuels en Afghanistan." Elles ont souligné l'importance de promouvoir les efforts visant à renforcer la sécurité, la paix et la stabilité dans la région par des efforts diplomatiques et un dialogue efficace. L'ambassadeur des EAU en France, Hend Al Otaiba, a déclaré que la visite de Sheikh Mohammedbin Zayed à Paris était l'occasion de mettre en lumière le partenariat stratégique exceptionnel entre les deux pays, soulignant la vision commune de Paris et d'Abu Dhabi et leur désir de promouvoir une coopération plus poussée. Selon les analystes, Cheikh Mohammed peut s'appuyer sur la relation spéciale qu'il entretient avec Macron et l'ampleur des investissements des EAU en France pour conclure un accord d'achat d'avions de combat Rafale. Cela s'inscrira dans le cadre d'une diversification plus large des sources d'armement des Émirats. Le président français a déjà défendu les ventes d'armes aux États du Golfe, décrivant Riyad et Abu Dhabi comme des alliés dans la guerre contre le terrorisme et soulignant que Paris avait reçu des garanties qu'elles ne seraient pas utilisées contre des civils. Les Émirats arabes unis ont discuté avec la France de l'achat de 60 avions de combat Rafale il y a quelques années. L'acquisition de l'avion de guerre par l'Égypte encouragera Abu Dhabi et Paris à aller de l'avant avec leur propre accord. L'Égypte a signé un contrat en mai pour l'achat de 30 avions de combat Rafale, pour un montant de 3,75 milliards d'euros (4,5 milliards de dollars). Selon les experts militaires, les performances de l'avion au combat, en 2007 en Afghanistan, en Libye en 2011 et dans la région du Sahel en 2013, lui ont valu une réputation mondiale, incitant de nombreux pays à passer commande. Les Émirats arabes unis sont déjà des clients des fabricants d'armes français. Son armée dispose de 436 chars d'assaut Leclerc. Ils sont également devenus un partenaire stratégique clé pour la France au Moyen-Orient et occupent la deuxième place après l'Arabie saoudite dans les échanges commerciaux franco-golfe. Les deux pays entretiennent également une solide alliance dans la guerre contre le terrorisme. Les Émirats arabes unis représentent 45 % des investissements directs arabes en France et une cinquantaine d'entreprises sont entièrement ou partiellement détenues par des hommes d'affaires émiratis. Sur le plan culturel, la France et les EAU ont créé le musée du Louvre à Abu Dhabi et, à Fontainebleau, Abu Dhabi a financé la restauration du théâtre impérial, dont la construction remonte à l'époque de Napoléon III. Celui-ci est désormais connu sous le nom de "Théâtre du Cheikh Khalifa bin Zayed Al Nahyan, Président des EAU". -
Australie
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Politique etrangère / Relations internationales
Notes submersibles sur une tragédie-bouffe -
Il parlent d'un Rafale tout à fait classique, un Rafale M (là je ne vois pas pourquoi).
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Moi je pense simplement que la maquette du Rafale est stylisée...
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J'ai voulu reprendre ton argument sur mon site Indien préféré, parce qu'un troll avait cité le même article, mais je me suis ravisé parce qu'en fait il y a eu deux escadrons qui ont été déployés l'un après l'autre ce qui fait qu'il n'y a jamais eu plus de 21 avions sur le site et donc le calcul aurait du être 1300/21/18 = 3.4 et si tu fais le calcul en prenant les heures ça donne 7300/21/18 = 19.31 h par mois soit 232 h par an ce qui est respectable, pas extraordinaire en Opex mais respectable.
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Marine Australienne: modernisations, acquisitions et exercices navals.
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Philippe Top-Force dans Asie / Océanie
Et puis il y a ça: https://www.reuters.com/world/nato-needs-know-who-its-enemies-are-says-macron-2021-06-10/ https://www.republicworld.com/world-news/europe/macron-downplays-nato-wording-on-china.html https://www.politico.eu/article/macron-eu-shouldnt-gang-up-on-china-with-u-s/ -
Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Le cloud de combat sera en rupture complète en termes d'échanges de données par rapport à F4, y compris, mais pas seulement, le déclenchement et l'utilisation à distance des données brut du radar de l'avion le mieux placé, c'est aussi un pré requis pour faire du multi-statique par exemple. Un objectif est que les "cerveaux décisionnels" et vecteurs soient "distribués, dispersés et réaffectables en temps réel" empêchant les adversaires de savoir où frapper pour déstabiliser le cloud. Les plateformes collaboratives qui travaillent sur le sujet vont jusqu'à impliquer des écrivains de science fiction notamment pour imaginer les situations qui nécessiteront de reconfigurer le cloud de combat "en plein vol et donc en temps réel". Accessoirement, il est prévu que les Rafale et les EF soient intégrés dans le cloud au moins jusqu'à 2060. -
Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Oui je pense qu'on aurait pu se contenter de se connecter sur le Cloud OTAN pour lequel c'est Thales qui a le contrat. -
Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Je peux tenter une réponse théorique : Le SCAF est la composante majeure d'un système de "cloud de combat" qui suppose de connecter un maximum de données issues d'un maximum d'alliés y compris leurs vecteurs existants. Il serait dommage de terminer un cloud de combat seulement franco-français et de découvrir ne pas efficacement pouvoir s'interconnecter avec nos proches alliés (y compris l'utilisation à distance des senseurs des uns et des autres). Au passage, à la question de savoir jusqu'où le programme Tempest semble aller, il se dit que les anglais se posent moins la question d'un cloud de combat en acceptant d'adopter directement les solutions US éventuellement en se contentant de récupérer les infos US sur le terrain (on comprend : "en étant moins contributeur"). -
[Russie] Sukhoï LTS Checkmate
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Bechar06 dans Asie / Océanie
Et il a la moitié des moteurs, et il suffit d'inverser les chiffres pour passer de 57 à 75 -
Prochain client du Rafale ... réponse EAU
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de pascal dans Europe
Les dix premiers c'était une pré-série pour la marine, les livraisons de la série ont commencées en 2006 ce qui fait 15 ans. Et puis le Rafale est trop bon alors on en a besoin de moins! Pour les commandes c'est 192 avec d'autre tranche à commander. Ensuite 162 commandes à l'export en 6 ans, j'aimerais bien que ça continue à ce rythme pendant les 6 prochaines années. -
Italy backs UK radar for Eurofighter fleet modernisation L'Italie soutient le radar britannique pour la modernisation de la flotte d'Eurofighter L'Italie semble prête à se joindre au Royaume-Uni pour acquérir un radar à balayage électronique actif (AESA) construit par Leonardo, dans le cadre d'une activité de modernisation d'une partie de sa flotte d'avions de combat Eurofighter. Annoncé le 14 septembre, ce développement intervient après que les ministères de la défense de Rome et de Londres aient signé une déclaration de principes relative à la collaboration sur le capteur ECRS (European Common Radar System) Mk2. "Cette démarche représente la première étape vers la pleine participation de l'Italie au programme ECRS Mk2", indique Leonardo. Une équipe conjointe commencera bientôt à travailler pour incorporer l'industrie italienne dans l'activité, qui est déjà en cours en vue de l'intégration future de nouveaux capteurs avec certains des Eurofighter Typhoon de la Royal Air Force (RAF) britannique. "La première étape de la collaboration, qui aura lieu cet automne, verra une équipe d'ingénieurs du site radar de Leonardo à Nerviano, Milan, rejoindre l'équipe de développement du Mk2 sur le site de Leonardo à Edimbourg", explique la société. Ce personnel sera impliqué dans la poursuite des travaux de développement et dans "l'acquisition de capacités de conception de systèmes qui garantiront au ministère italien de la Défense un contrôle souverain sur le nouveau système radar à chaque étape de sa vie opérationnelle", précise Leonardo. Rome est la dernière des quatre nations principales de l'Eurofighter à avoir choisi un radar AESA, l'Allemagne et l'Espagne étant en passe d'utiliser des capteurs ECRS Mk1 produits par Hensoldt et Indra, respectivement. Les clients à l'exportation, le Koweït et le Qatar, quant à eux, utiliseront des Typhoon équipés de capteurs Mk0. Leonardo indique que le matériel initial du système pour le standard AESA du Royaume-Uni devrait être livré au site de BAE Systems à Warton, dans le Lancashire, l'année prochaine, pour l'intégration des avions et les essais en vol. La capacité opérationnelle initiale avec la RAF devrait être atteinte en 2025. Dans le cadre de l'offre Typhoon faite par le Royaume-Uni à la Finlande, Helsinki s'est également vu proposer une participation industrielle au programme ECRS Mk2. Une décision concernant le concours HX du pays est attendue dans le courant de l'année, l'Eurofighter devant faire face à la concurrence du Boeing F/A-18E/F Super Hornet, du Dassault Rafale, du Lockheed Martin F-35A et du Saab Gripen E/F. 2025 c'est après le Rafale F4 !
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Mais on ne souhaite pas en savoir plus, on en sait déjà assez, si on a parlé de simulateur c'est pour dénoncer la malhonnêteté de l'approche pas pour les qualités ou les défauts du simulateur. Et puis c'est fatigant la façon dont les fanboys du F-35 présentent des fonctions que tous le monde réalise comme exceptionnelles et spécifiques au F-35. Par exemple la fusion de données qui pourtant marche bien mieux sur le Rafale que sur le F-35 où elle n'est pas encore au point (une grande partie des 800 anomalies non encore corrigées).
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Armée de l'air Finlandaise - Ilmavoimat
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Tetsuo dans Europe
Et nous on pense que quand un troupeau de dinosaures essaye de faire un avion ça ne marche pas très bien, avec comme exemples le Typhoon et le F-35.- 4 666 réponses
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30% de réduction de la part de Lockheed qui représente 40% du coût total du MCO ça fait de l'ordre de 12% du MCO qui est autours de $ 35000 par heure de vol soit une réduction de $ 4200. Ce qui nous amène à $ 30800. Pour une année à 200 h ça fait $ 6.16 million au lieu de 4.1.
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La stupidité des Finlandais n'est pas encore prouvée. On peut penser qu'ils ont une vraie menace à gérer et que cela peut les faire réfléchir.
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Normal, ils ont de moins en moins de moteur. Et puis pour les Rafale on a 1.4 pilote par avion, ils ont pas de raisons d'en avoir besoin de plus. Et eux ils ont de plus en plus des simulateurs.
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US Air Force chief supports tying F-35 buy to O&S cost constraints Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Le chef de l'armée de l'air américaine est favorable à l'idée de lier l'achat de F-35 à des contraintes de coûts O&S par Pat Host Une proposition de loi américaine limiterait la quantité totale de F-35 pouvant être achetés et entretenus par les services militaires américains en fonction des objectifs de coûts d'exploitation et d'entretien. (US Air Force) L'officier supérieur de l'armée de l'air américaine (USAF) soutient la proposition de loi qui limiterait la quantité totale de chasseurs d'attaque interarmées (JSF) Lockheed Martin F-35 Lightning II que les services militaires américains pourraient acquérir et entretenir en fonction des objectifs de coûts d'exploitation et de maintenance (O&S). "Le langage du Congrès est vraiment en ligne avec ce que nous essayons de faire", a déclaré le général Charles Brown, chef d'état-major de l'USAF, le 8 septembre lors d'une conférence sponsorisée par Defense News. Un F-35A de l'USAF survole le front de mer de Toronto le 3 septembre 2021 pendant le Canadian International Air Show 2021. D'ici 2036, les services du Pentagone qui achètent le F-35 devront faire face à des dépassements de coûts de maintien en condition opérationnelle de près de 6 milliards de dollars, qu'ils jugent inabordables en raison de l'augmentation des dépenses de maintien en condition opérationnelle. Le projet de loi d'autorisation de la défense pour l'exercice fiscal 2022 empêche chaque service armé américain exploitant des F-35, à compter du 1er octobre 2028, de maintenir un nombre d'appareils supérieur à son programme de référence ou à un nombre obtenu en multipliant le programme de référence par une équation de coût par unité, le chiffre le plus bas étant retenu. Mackenzie Eaglen, membre résident du groupe de réflexion American Enterprise Institute à Washington, DC, a déclaré à Janes le 10 septembre que si les coûts d'exploitation et d'entretien du F-35 augmentent, les services seront contraints de maintenir des stocks globaux de JSF inférieurs à leurs programmes d'enregistrement respectifs si cette exigence est mise en œuvre.
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Allemagne
Picdelamirand-oil a répondu à un(e) sujet de Wallaby dans Politique etrangère / Relations internationales
Duel tendu entre les favoris des élections allemandes