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Picdelamirand-oil

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Tout ce qui a été posté par Picdelamirand-oil

  1. Les avions de chasses russes : Performances et intégration à l'échelle mondiale Il s'agit de mieux situer les avions russes en regard du panorama des avions de combat occidentaux sur le marché, en particulier par rapport au Rafale. Pour mieux décoder et corréler les informations, on analyse les origines des deux familles Su et Mig (donc de la filiation Su 27 jusqu’à Su 35 et même un coup d’œil sur le futur T50, et de la filiation Mig 29 vers le Mig 35 ), ainsi que la comparaison avec la famille F15. A noter que la famille Sukhoi a une dimension d’environ 15% supérieure au F15 auquel elle est souvent comparée, alors que la famille Mig est environ de dimensions 10% inférieures (d’ailleurs les Mig sont souvent comparés avec la famille F16 encore 15% plus petite). Les analyses portent sur les capacités des avions en termes d’aérodynamique, de capacité d’emport, de rayon d’action, de discrétion et d’électronique. Dans les années 1970, Su 27, Mig 29 et F15 sont conçus comme des avions de supériorité aérienne : capables de voler vite et haut pour des interventions relativement rapides, surtout pour les Russes et avec des ailes peu chargées en points d’emports (peu de réservoirs). F15 L’évolution du F15 vers plus de polyvalence a été permanente pendant les décennies qui ont suivi sa première mise en service. Le nombre d’emport lourds a augmenté, bizarrement sans augmenter le nombre de points associés, en particulier en gardant lisse le dessous d’une bonne partie des ailes. En effet, fort de la grande quantité de F15 vendus, Boeing a progressivement développé des équipements d’interface complexes permettant notamment de regrouper sur un même point d’emport plusieurs missiles et bombes en plus d’un réservoir. Bien entendu, les progrès des moteurs ont permis de maintenir les performances élevées de l’avion grâce à des entrées d’air ajustables et des ailes bien en flèche. Finalement, les derniers F15 sont annoncés comme pouvant emporter jusqu’à 10 tonnes d’armement alors que le Rafale qui est considéré comme excellent en ce domaine peut emporter 9.5 t de charge utile mais seulement 4.5 t d'armement parmi ces 9.5 t. Sans surprise, l’électronique a bien progressé, se maintenant toujours au meilleur niveau, avec les premiers radars à antennes actives en service. L’ensemble donne un avion effectivement polyvalent tout en ayant préservé ses capacités air / air initiales. Ses faiblesses par rapport aux avions plus récents portent surtout sur son manque de discrétion (grande taille et 6 surfaces), sa faible agilité et, sans doute, le prix de son MCO. A noter la démarche marketing de Boeing pour promouvoir un « Silent Eagle » en plaçant les munitions dans les réservoirs conformes transformés en soutes discrètes, furtives et plaqués sur les réacteurs. Cette approche plus furtive n’a pas convaincu les Coréens qui ont préféré le F35 sensé être réellement furtif.
  2. C'est vachement attirant pour les Finlandais de se voir proposer par Eurofighter de participer au développement du Radar 2. Eux qui ne veulent que des systèmes matures...
  3. Il y a quand même une contradiction dans les accusations: Quand on a besoin de connaître le prix d'une offre concurrente, c'est qu'on veut optimiser à la baisse sa propre offre pour éviter que le concurrent remporte le marché du fait du prix. C'est contradictoire avec l'accusation que MODI a acheté les Rafale à 3 fois le prix négocié lors du MMRCA.
  4. Réception des offres finales pour le programme de chasseurs HX Le commandement logistique des forces de défense finlandaises a reçu les offres finales de cinq fabricants de chasseurs pour le programme HX. Ensuite, les devis seront évalués conformément à l'appel d'offres et au modèle de décision du programme pour faire une proposition d'achat. Une fois l'évaluation des devis terminée à l'automne 2021, le gouvernement finlandais décidera de l'acquisition, sur proposition du ministère de la Défense, à la fin de l'année 2021. En janvier 2021, les forces de défense finlandaises ont envoyé un appel d'offres spécifique aux gouvernements de la France, de la Grande-Bretagne, de la Suède et des États-Unis, qui sera transmis à cinq fabricants de chasseurs multirôles de ces pays. Les types d'avions en question sont le Boeing F/A-18 Super Hornet (États-Unis), le Dassault Rafale (France), l'Eurofighter Typhoon (Grande-Bretagne), le Lockheed Martin F-35 (États-Unis) et le Saab Gripen (Suède). Le délai a été fixé à la fin avril 2021 et le commandement de la logistique a reçu des devis définitifs et contraignants de ces cinq avionneurs. Les devis définitifs contiennent des informations sur la solution et l'ensemble complet, construit autour de chaque option de chasseur multirôle ; l'objectif est de créer la meilleure capacité possible pour le système de défense de la Finlande tout en remplaçant la flotte de Hornet. Dans le cadre du budget maximal fixé pour le programme, les soumissionnaires ont été invités à préparer un ensemble de prestations répondant aux exigences fixées et comprenant non seulement l'avion, mais aussi d'autres systèmes techniques, des systèmes de formation, les équipements de maintenance nécessaires, des équipements d'essai et des pièces de rechange, ainsi que des armes, des capteurs et d'autres fonctions de soutien spécifiques au type. Le coût total du programme s'élève à 10 milliards d'euros. Le Parlement a approuvé un mandat de 9,4 milliards d'euros pour l'acquisition de chasseurs multirôles destinés à remplacer la flotte de Hornet. Le crédit transférable de 579 millions d'euros pour cinq ans garantira que le système acheté sera introduit dans le système de défense de la Finlande. Un montant de 21 millions d'euros a été accordé pour couvrir les coûts liés à la préparation du programme. Les options HX des différents soumissionnaires diffèrent quant aux coûts de mise en service, aux besoins de construction et à l'intégration dans le système de défense. Chaque soumissionnaire s'est donc vu attribuer un plafond de prix spécifique au soumissionnaire et, en outre, une option similaire a été incluse dans l'appel d'offres final pour chaque soumissionnaire en vue d'achats ultérieurs et de modifications contractuelles. Le plafond de prix fixé pour chaque soumissionnaire est d'environ 9 milliards d'euros. Évaluation des offres La sélection d'un avion de combat multirôle repose sur quatre considérations : la capacité militaire de l'avion de combat multirôle, la sécurité d'approvisionnement, la coopération industrielle et les coûts. Les implications en matière de politique de sécurité et de défense seront évaluées séparément, en dehors de la procédure d'appel d'offres proprement dite. En outre, il est exigé que les conditions du contrat proposé par le soumissionnaire HX qui sera sélectionné soient acceptables. Étant donné que cet achat aura un impact sur la capacité opérationnelle des forces de défense et définira la capacité de combat de l'armée de l'air finlandaise dans les années 2060, il est important de sélectionner un système doté des meilleures capacités possibles, y compris les éléments de soutien et la capacité de développement sur l'ensemble du cycle de vie. Le fabricant doit être en mesure de fournir des solutions de coopération industrielle et un système de maintenance qui répondent aux exigences tout en garantissant l'opérabilité en cas d'urgence et une capacité suffisante pour fonctionner de manière autonome en cas d'urgence. Les coûts d'exploitation et de maintenance du système sélectionné doivent pouvoir être couverts par le budget de la défense. Lorsqu'un soumissionnaire satisfait aux exigences en matière de sécurité d'approvisionnement, de coopération industrielle et de coûts, il est alors soumis à une phase finale d'évaluation des capacités. L'évaluation des capacités se fera par phases, en tenant compte des ensembles proposés et des valeurs de capacité vérifiées sur la base d'essais. Dans la dernière phase, un jeu de guerre à long terme sera simulé afin de déterminer l'efficacité opérationnelle du système HX de chaque candidat. La proposition des forces de défense concernant le système à sélectionner sera basée sur les résultats du jeu de guerre et sur une évaluation du potentiel de développement futur. Le gouvernement finlandais prendra la décision d'achat. Renseignements : Directeur du programme Lauri Puranen, ministère de la Défense, tél. +358 295 140403 ; Major général (Eng.) Kari Renko, Commandement logistique des forces de défense finlandaises, tél. +358 299 800 (standard) ; Général de brigade Juha-Pekka Keränen, Commandement des forces aériennes, tél. +358 299 800 (standard).
  5. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Il y aurait un truc comme cela sur le Rafale, ils seraient tous cloués au sol jusqu'à ce que ce soit réparé.
  6. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Dans l'article que j'ai cité on trouve aussi la citation suivante qui prouve que l'anomalie "Cabin pressure spike" est l'une des 13 anomalies de catégorie 1 qui n'a pas été corrigée.
  7. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    Tu n'as pas entendu parler de sinusite? The Pentagon is battling the clock to fix serious, unreported F-35 problems
  8. Picdelamirand-oil

    Eurofighter

    Oui ça change tout le temps, il fut un temps où c'était Radar 1 et Radar 1+ et maintenant c'est Radar 0 et Radar 1.
  9. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Avec la crise du transport aérien, il y a surement des A 330 à transformer en MRTT.
  10. Je viens de le relire. Mais je trouve que c'est long, je fatigue à tout lire. Il faudrait pouvoir affirmer sans démontrer dans la ligne principale de l'article, et avoir des encadrés ou on démontre les affirmations pour ceux qui ont le courage de tout lire. Enfin c'est une suggestion.
  11. Ce qui me frappe c'est que HAL est mauvais comme tu les décris, mais surtout qu'ils refusent de se réformer. Par exemple ils veulent produire avec les machines outils qu'ils utilisent pour les SU-30 MKI et ne veulent pas acheter les machines à commande numériques que Dassault préconise. Cela veut dire qu'il faudrait re certifier toutes les pièces (on parle d'avion là, pas de bicyclette). Cette attitude fait qu'ils ont évalué le nombre d'heures pour produire un Rafale à 2.7 fois le nombre d'heures nécessaires chez Dassault. De même ils refusent que Dassault ait des équipes sur place pour faire du contrôle qualité tout en voulant qu'il soit responsable de la qualité des avions produit par HAL. L'inexpérience de Reliance est un atout: l'expérience c'est Dassault qui l'amène, on ne la demande pas à Reliance. J'étais reçu à New Delhi chez le responsable des transferts de technologies en Inde au titre du contrat Rafale qui me disait que les sous traitants de HAL qui voulaient travailler avec Dassault croyaient faire plaisir en peuplant les équipes de personnes ayant travaillé avec HAL qui sont les seules qui ont une expérience aéronautique, et Dassault leur précisait toujours qu'il préférait des débutants complets car ceux qui avaient travaillé avec HAL avaient pris de trop nombreuses mauvaises habitudes. Pour les prix, on sait que Dassault était le moins cher pour le contrat MMRCA, mais on ne sait pas à quel prix le contrat aurait été conclu. Les estimations de prix que la presse a rapportées sont des estimations initiales Indiennes (donc fausses et qui datent). Dans le contrat qui a été signé, le prix des avions seuls est en moyenne (il y a des Rafale B et des C) de € 91.8 millions. https://en.wikipedia.org/wiki/Rafale_deal_controversy
  12. Je suis d'accord , mais j'ai répondu à la question. La probabilité qu'il y ait une influence des USA est beaucoup plus grande , surtout qu'il y a en général plusieurs camps aux USA.
  13. Macron scelle dans l'armement son alliance avec Sissi Reçu avec tous les honneurs en décembre à Paris, le président égyptien Abdelfattah al-Sissi, devenu le principal allié du gouvernement d'Emmanuel Macron sur le continent africain et au Proche-Orient, est l'objet de toutes les attentions des groupes militaires français. Après Naval Group, Dassault multiplie à son tour ses avances à l'Egypte.
  14. Chinese Analyst Compares J-20 With Su-57 Jet; Says Need To Learn A Lot From Russian Stealth Fighters Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite) Un analyste chinois compare le J-20 au Su-57 et affirme qu'il a beaucoup à apprendre des chasseurs furtifs russes. Par Younis Dar 25 avril 2021 Les analystes chinois sont sceptiques à l'égard de l'avion de combat russe Su-57, mais n'hésitent pas à admettre qu'ils pourraient apprendre beaucoup de l'avion furtif russe en ce qui concerne certaines de ses capacités. Un article paru sur le site d'information en langue anglaise de l'armée chinoise, Chinamil.com, semble faire l'éloge et le dédain du Sukhoi Su-57 russe. Le Su-57, l'avion de combat russe de cinquième génération comparable au J-20 chinois et au F-22 américain, est généralement considéré comme n'étant pas un véritable avion de cinquième génération en raison de sa capacité de furtivité "inférieure à la norme", selon les médias", affirme le site web. "Cela le désavantage considérablement face à ses homologues chinois et américains, selon certains observateurs militaires." L'article cite ensuite le concepteur en chef de l'Institut de conception d'avions de Shenyang, propriété de l'État, Wang Yongqing, qui affirme que "la capacité globale du Su-57 n'est pas mauvaise du tout." Shenyang est une importante société de défense chinoise, qui a construit plusieurs avions de combat pour le pays, notamment les J-11 et J-16, l'avion porteur J-15 et le chasseur furtif F-31. Chinamil.com cite Wang, qui a écrit ceci dans le magazine chinois Aerospace Knowledge : "Doté d'une conception aérodynamique innovante et capable de contrôler le vecteur de poussée, le Su-57 attache une grande importance à la capacité de croisière supersonique et à la super-maniabilité, et la furtivité est intentionnellement une deuxième priorité." Il estime que "le concept américain de bataille aérienne de nouvelle génération met l'accent sur les attaques au-delà de la portée visuelle, mais les missiles capables de lancer de telles attaques doivent voyager pendant un certain temps, un laps de temps suffisamment long pour que le Su-57 puisse effectuer des super-manœuvres et les éviter". Selon Wang, la présence de radars spéciaux dans le chasseur russe pour détecter l'emplacement précis des missiles entrants lui donnera un avantage. Équipé des premiers radars latéraux au monde, en plus des radars frontaux, Wang a déclaré qu'en combinaison avec des capteurs infrarouges, le Su-57 peut détecter les avions furtifs très tôt dans leur vol. Dans le même temps, le site web militaire chinois indique que le pays a une longue tradition d'achat d'avions de guerre russes, "mais comme le pays a développé son propre avion de chasse de cinquième génération, il n'a pas besoin d'acheter le Su-57." Cette observation selon laquelle le chasseur furtif chinois J-20 est bien plus performant que tout ce qui est russe a surpris les analystes militaires puisque l'avion chinois utilisait des moteurs russes après que les propres moteurs WS-15 du pays se soient révélés peu fiables. Le fait que cet article soit paru sur un site web militaire chinois a conduit les analystes militaires à penser que le pays pourrait être intéressé par l'achat de Su-57 ou de certaines de ses technologies à la Russie. La Chine a déjà acheté un certain nombre d'avions à la Russie, ainsi que des systèmes de défense aérienne S-400, et les deux pays renforcent leur partenariat militaire contre le groupe des pays du Quad. L'avion multirôle d'origine russe Su-57, monoplace et bimoteur, a effectué son premier vol il y a 10 ans, mais n'est toujours pas entré en service. L'Inde était l'un des pays cherchant à acquérir l'avion, mais des retards dans son développement ont entaché le processus. Pour l'instant, le seul client à avoir commandé l'appareil est le ministère russe de la défense lui-même, qui a commandé 76 chasseurs qui seront livrés en 2028. Le Su-57 est construit pour sa super-croisière, sa super-maniabilité, sa furtivité et son avionique avancée afin de surpasser les chasseurs de quatrième génération. Dans le même temps, la Chine a conçu et développé son propre chasseur furtif de cinquième génération, le J-20, qui est un chasseur monoplace et tout temps, conçu pour concurrencer les deux chasseurs furtifs américains, le F-35 Lightning et le F-22 Raptor. Les experts ont déterminé que le chasseur Su-57 était supérieur à son homologue chinois en termes de performances cinématiques globales. Les futurs moteurs Saturn Izdeliye 30 de deuxième étage, qui équiperont les futurs chasseurs Su-57, devraient fournir environ 28 000 livres de poussée sèche et 42 000 livres de poussée après combustion. Selon les experts, les performances cinématiques qui en résulteraient - y compris la croisière supersonique et la manœuvrabilité - seraient à peu près équivalentes à celles du Lockheed Martin F-22 Raptor. D'autres experts affirment que les deux jets ne peuvent être comparés car ils sont conçus pour remplir des rôles différents, le J-20 servant de plateforme de missiles furtifs pour pénétrer les défenses aériennes sophistiquées de l'ennemi dans le but de détruire des installations militaires. Le Su-57 russe, quant à lui, est plutôt une plate-forme de supériorité aérienne, qui excelle dans la guerre de combat rapproché
  15. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Ou alors c'est que MODI prépare sa prochaine ré élection.
  16. Défense : les Français, premiers alliés déployés en Grèce Eunomia, Skyros, Rhéa, Iniochos. Depuis l’été dernier, la France est un des alliés les plus régulière-ment déployés en Grèce. Et à chaque fois avec de l'avion de combat Rafale. C'était déjà le cas avant le contrat. La formation des pilotes grecs sur Rafale a commencé Eunomia, Skyros, Rhéa, Iniochos. Depuis l’été dernier, la France est un des alliés les plus régulièrement déployés en Grèce. Et cela s'est encore accéléré depuis la signature du contrat Rafale. Alors que l'on évoque déjà, en plus, la commande d'avions de combat Rafale supplémentaires par la Grèce. La formation des pilotes grecs a commencé au mois de mars ainsi que celle des mécaniciens. L'Armée de l'Air et de l'Espace appuie Dassault Aviation dans un des piliers contractuels avec la Grèce. 96 avions de combat pour Iniochos Surtout elle montre le caractère stratégique du partenariat avec la Grèce, en lui cédant 12 des précieux Rafale de l’Armée de l'Air et de l'Espace. Une mobilisation qui n’a pas échappé à la Grèce, qui a remercié publiquement la France. Encore mardi 20 avril dernier, c'est Kyriakos Mitsotakis (photo), le Premier ministre grec qui est venu en personne au devant des Alliés impliqués dans l'exercice Iniochos pour les remercier de s'impliquer dans l’interopérabilité de la force aérienne grecque. Le CEMA grec, lui, a constaté que cet exercice multinational mobilisant 96 chasseurs (dont 16 Français…) contribuaient à « renforcer » les capacités de tous, dont celles de la Grèce. Assaut Mer pendant deux jours Dans ces exercices, chacun amène ses moyens et son expérience. Clairement, celles des Français en opérations est identifiée est reconnue. « Sly », un commandant du 3/3 « Ardennes » estime faire partie des muds les plus expérimentés du plateau. Son de cloche identique chez ce capitaine de corvette de la 12F, qui a amené son expertise de l’assaut mer, qui a occupé la coalition pendant deux jours. Dans toute exercice d’interopérabilité, comme dans toute coalition, on ne compte pas, mais la France est arrivée avec 16 chasseurs (Rafale, Rafale Marine, Mirage 2000D), deuxième contributrice de Iniochos. Pas mal, pour une première. Ce 20 avril dernier, 42 Rafale étaient déployés hors de France, en opérations (Jordanie, Golfe Persique) ou en exercice (Grèce). Soit un tiers des Rafale français .
  17. L'Allemagne , l'Italie et l'Espagne ça suffit pour faire un SCAF, non?
  18. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Non mais là je parle d'une attaque du genre de celle que le Rafale a eu où l'opposition en a fait un des thèmes principaux de la campagne électorale, c'est assez étrange pour un contrat déjà très vieux. J'ai sans doute été avertis par quelqu'un qui avait lu ton doc....
  19. Les parties prenantes du F35 ont des points de vue différents et le ministère de la Défense n'a pas d'approche stratégique pour respecter ses contraintes d'accessibilité financière. Selon les responsables du ministère de la Défense, toutes les parties prenantes - les services, le bureau du programme conjoint F-35 et les entrepreneurs - partagent la responsabilité du respect des contraintes d'accessibilité financière des services en matière de soutien. L'OUSD (A&S), qui fait office d'autorité de surveillance du programme F-35, est également chargé de veiller à ce que l'ensemble du programme soit abordable tant du point de vue de la production que du maintien en condition opérationnelle. Selon les responsables du programme, bien que les services reçoivent des crédits du Congrès pour financer le programme F-35 et qu'ils fixent en dernier ressort les exigences qui déterminent les coûts liés au maintien en service de leurs variantes respectives, il est impératif que toutes les parties prenantes travaillent ensemble pour que le programme soit abordable. Cependant, nous avons constaté que les parties prenantes avaient des points de vue uniques et divergents sur l'accessibilité financière, comme décrit ci-dessous. Air Force : Les responsables de l'armée de l'air nous ont indiqué que l'armée de l'air ne serait pas en mesure d'assumer le coût du maintien en service des 1 763 appareils qu'elle prévoit d'acheter sans une réduction considérable des coûts de maintien en service du F-35A. Étant donné que l'avion a déjà franchi l'étape B, les responsables de l'armée de l'air ont déclaré qu'il restait peu de marge de manœuvre pour le programme afin de procéder à d'importantes réductions des coûts liés au maintien en service, car le programme a déjà pris des décisions définitives en matière de conception et établi une stratégie de maintenance. Les responsables de l'armée de l'air nous ont dit que, par conséquent, les seules options restantes pour respecter les contraintes d'accessibilité financière sont de réduire le nombre total d'avions F-35A qu'ils prévoient d'acheter, ou de réduire les heures de vol prévues de l'avion, ce qui aurait des répercussions sur la structure des forces et les capacités de l'armée de l'air. Corps des Marines : Les responsables du Corps des Marines ont déclaré que, bien qu'ils ne soient pas actuellement confrontés à des problèmes d'accessibilité financière, ils prévoient que l'accessibilité financière aura une incidence négative sur le maintien en service des F-35B à l'avenir. Selon ces responsables, ils devront probablement réexaminer les exigences liées au service de l'aéronef à l'avenir, mais ils ne s'y emploient pas pour l'instant. Jusqu'à ce que le coût du F-35B par queue et par an devienne un problème immédiat, le Marine Corps continuera à financer des projets de fiabilité et de maintenabilité et à travailler avec l'Affordability War Room du Joint Program Office du F-35 pour se concentrer sur la réduction des coûts de maintien en puissance liés au F-35B. Marine : Les responsables de la Marine ont déclaré que, bien qu'ils soient conscients des problèmes d'accessibilité financière auxquels est confronté l'ensemble du programme, ils estiment que les efforts actuels du bureau de programme conjoint F-35 en matière de réduction des coûts de maintien en condition opérationnelle devraient suffire pour atteindre l'objectif d'accessibilité financière de la Marine, à savoir un coût par queue de 7,5 millions de dollars par an. Les responsables de la Marine ont déclaré que les futurs dépassements de coût par queue par an devraient être résolus par le biais de diverses initiatives d'économies de coûts explorées et mises en œuvre par l'Affordability War Room du F-35 Joint Program Office. Bureau du programme conjoint du F-35 : Les responsables du bureau du programme nous ont dit que pour que les services respectent leurs contraintes respectives en matière d'accessibilité financière, le programme des F-35 doit réduire considérablement le coût global des F-35. Cependant, la capacité du bureau du programme à réaliser des économies est limitée par son obligation de répondre aux exigences du programme des services. Selon les responsables du programme, si les exigences actuelles restent les mêmes, il pourrait être difficile de réaliser les réductions de coûts nécessaires pour respecter les contraintes d'accessibilité financière des services dans le délai de l'état stable. OUSD (A&S) : Les représentants de l'OUSD (A&S) nous ont dit qu'ils ne croient pas que l'approche actuelle en matière d'économies de coûts sera suffisante pour rendre le programme abordable pour les services. Les responsables de l'OUSD (A&S) ont déclaré que la transition du soutien du F-35 d'un cadre principalement géré par des entrepreneurs à un cadre géré et mené par le gouvernement (c'est-à-dire le soutien organique) pourrait être une méthode principale pour réduire suffisamment les coûts de soutien afin de respecter les contraintes d'accessibilité financière des services. Selon ces responsables, la combinaison actuelle de personnel militaire et d'entrepreneurs est trop coûteuse, et le gouvernement pourrait réduire les coûts de soutien en utilisant une approche organique du soutien des F-35. Bien que les parties prenantes du programme F-35 s'accordent à dire que les coûts de maintien en condition opérationnelle sont préoccupants, nous avons constaté qu'il n'y a pas de consensus clair sur ce qui devrait être fait pour répondre à ces préoccupations. Compte tenu de l'important problème d'accessibilité financière auquel le ministère est confronté et de l'incertitude quant à la manière de résoudre ce problème croissant, nous avons recommandé dans notre projet de rapport que le DOD évalue et documente sa capacité à respecter les contraintes d'accessibilité financière des services grâce aux efforts de réduction des coûts existants ou prévus, et qu'il évalue et documente également les changements apportés aux exigences du programme liées aux services (par exemple, le nombre d'achats d'appareils et d'heures de vol) afin de réaliser des réductions de coûts. En outre, dans notre rapport préliminaire, nous avons recommandé que le DOD élabore et documente un plan à l'échelle du programme pour respecter les contraintes d'accessibilité financière des services, et qu'il élabore et documente également une approche de gestion des risques pour relever les défis potentiels liés à l'accessibilité financière. En outre, le DOD n'est pas tenu de rendre compte périodiquement au Congrès des progrès réalisés par le département dans la réduction des coûts de maintenance des F-35 et dans la réduction de l'écart entre ces coûts et les contraintes d'accessibilité financière des services. Au fur et à mesure de la croissance et de la maturation du programme, la réduction des coûts de maintien en condition opérationnelle deviendra plus difficile. Par conséquent, dans notre projet de rapport, nous suggérons que le Congrès envisage (1) d'exiger du DOD qu'il fasse un rapport annuel sur les progrès réalisés dans le respect des contraintes d'accessibilité financière des services, y compris les mesures prises et prévues pour réduire les coûts de maintien en condition opérationnelle ; et (2) de subordonner les futures décisions d'achat d'avions F-35 aux progrès du DOD dans le respect des contraintes d'accessibilité financière du maintien en condition opérationnelle des F-35. En résumé, depuis 2012, les estimations des coûts de maintien en condition opérationnelle du programme F-35 ont augmenté de plus de 150 milliards de dollars, et ces coûts empêchent déjà les services d'atteindre leurs objectifs de préparation respectifs. À l'avenir, l'écart entre les coûts de maintien en condition prévus et ce que les services disent pouvoir se permettre est en passe de se creuser considérablement. Réaliser des réductions de coûts de cette ampleur - des milliards de dollars par an, chaque année - représente un formidable défi pour le programme. Sans une approche stratégique cohésive de la part du DOD, en tandem avec une surveillance continue du Congrès, le DOD ne peut continuer à investir des ressources dans un programme que le département et les services ne peuvent finalement pas se permettre de soutenir.
  20. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Il parait qu'il va y avoir une attaque médiatique à propos du contrat de la rénovation des Mirage. On peut préparer les billes pour justifier le prix.
  21. Picdelamirand-oil

    L'Inde

    Même les forumeurs ordinaires Indiens ont une certaine conscience de la situation: Traduction: Quand on a affaire à la France, on a affaire à la France. Lorsque nous avons affaire au Royaume-Uni, au Japon ou même à la Corée, nous avons affaire aux États-Unis, qui se cachent dans l'ombre.
  22. Picdelamirand-oil

    Le F-35

    En tous cas c'est plus que notre part dans le programme FCAS et si tu donne ça à Dassault il te fait l'ensemble du programme y compris 300 NGF.
  23. Tu confonds pièce et Module, le Core ça représente la moitié du prix du moteur ou un peu moins mais c'est pas une simple pièce et on ne parle pas de recruter 2 personnes mais du genre 1000. Parce que idéalement, pour ne pas se retrouver avec 800 Core en attente en 2030 il faudrait non pas doubler les capacités actuelles de réparation, mais les tripler.
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