Picdelamirand-oil

C'est une erreur du pilote: il a essayé de dépasser le MTBN (mean time between nominal) (copyright prof)

Mais si ils ne tiennent pas compte de notre ressentis, pourquoi devrait-on tenir compte du leur?

J'ai répondu là: http://www.air-defense.net/forum/topic/20940-une-union-européenne-vous-pensez-que-ça-à-un-avenir/?do=findComment&comment=1170631

Les chantres Belges de la construction européenne n'apprécieraient pas, comme les chantres Français de la construction européenne n'apprécieraient pas que les Belges achètent un avion Américain.

Intégrer dans l’avion des équipements produits par Thales n’est pas le plus difficile. Par contre, dépoiler le M2000 puis le re-câbler est nettement plus compliqué et plutôt de la compétence de DA.

Oui ça va pour des pays faibles, mais pourrais-tu approcher un porte avion de la Russie ou de la Chine?

D’où l'importance de la bataille médiatique là bas.

L'architecture est plus ouverte. Mais l'ancienne architecture était déjà ouverte C'est quoi plus ouverte que ouverte?

Je rappelle à tout un chacun que dans les versions actuelles il faut 1 heure et demi pour sauvegarder dans ALIS les données enregistrées pendant une mission d'une heure et demi!!! Il fallait bien faire quelque chose.

Well, most of Indian work in a quite a bit different way. In India, especially among India's 'Baby Boomers' --those born between 1960-80--, mostly what is written in English news papers is trusted to the letter T. These folks are a major portion of India's voting population and they do take effort to go and vote. If major English news papers say that BJP negotiated a price per plane twice that of UPA time, they won't look further. It will be branded as a scam in their minds. Simple. Most of Indian English dailies are in the pocket of INC and many times UK and US owing to their long established roots dating before Indian independence. And if BJP loses the election on this issue, no one will touch it even with a 10 feet pole. It will be a major and extreme loss for India and IAF. Traduction La plupart des Indiens travaillent d'une façon assez différente. En Inde, en particulier parmi les baby-boomers indiens -- ceux qui sont nés entre 1960 et 1980 --, la plupart de ce qui est écrit dans les journaux anglais est digne de confiance avec la lettre C. Ces gens représentent une grande partie de la population électorale de l'Inde et ils font des efforts pour aller voter. Si les principaux journaux anglais disent que BJP a négocié un prix par avion deux fois plus élevé que celui de l'UPA, ils ne chercheront pas plus loin. Ils y verront une escroquerie. Simple. La plupart des quotidiens indiens anglais sont dans la poche de l'INC et souvent du Royaume-Uni et des États-Unis en raison de leurs racines établies de longue date datant d'avant l'indépendance indienne. Et si le BJP perd les élections sur cette question, personne n'y touchera même avec un poteau de 10 pieds. Ce sera une perte majeure et extrême pour l'Inde et l'IAF. Un point de vue assez pessimiste d'un forumer d'Indian Defense

Je ne me fais pas de soucis .... http://www.defens-aero.com/2017/04/nacelle-talios-testee-contexte-operationnel.html

De toute façon les Damocles, on ne va pas les jeter.

Si j'étais le directeur de DOT&E je demanderais lors de la "operational test readiness review" la résolution de toutes les failles critiques qui ont été repoussées au Block 4.

Non pour le Typhoon il vaut mieux des CFT.

Major Arms Deal Gets Green Light Ahead of Russia-India Summit https://www.strategic-culture.org/news/2018/09/30/major-arms-deal-gets-green-light-ahead-russia-india-summit.html Traduit avec www.DeepL.com/Translator La Russie et l'Inde donnent le feu vert à un accord majeur sur les armes avant le sommet Russie-Inde Le partenariat russo-indien, qui a fait ses preuves depuis longtemps, a connu une tendance à la hausse dans tous les domaines de coopération ces dernières années. L'année dernière, les deux grandes puissances ont marqué le 70e anniversaire des relations diplomatiques. Les responsables se rencontrent régulièrement et tiennent des conversations téléphoniques pour discuter de problèmes aigus. Un événement très important vient d'avoir lieu pour rapprocher encore plus les deux nations. Le Comité du Cabinet indien sur la sécurité, présidé par le Premier ministre Narendra Modi, a approuvé l'accord de 6,2 milliards de dollars S-400 Triumf avec la Russie le 26 septembre. Il est plutôt symbolique que la décision finale d'acheter les cinq systèmes de défense aérienne de pointe pour protéger les sites d'infrastructures critiques indiens ait été prise quelques jours seulement avant la visite du président russe Vladimir Poutine en Inde, prévue les 4 et 5 octobre, alors que le gouvernement indien a défié les menaces américaines d'imposer des sanctions pour acheter des armes russes conformément au "Countering America's Adversaries Through Sanctions Act" (CAATSA) 2017 comme il avait puni la Chine pour acheter ces systèmes et ses avions Su-35. La loi permet de faire une dérogation pour l'Inde, mais les autorités américaines ne garantissent pas que New Delhi en sera exemptée. Elle prend un risque en traitant avec la Russie. L'Inde a signé de multiples accords de plusieurs milliards de dollars avec des producteurs d'armes américains. Le ministre de la défense James Mattis et le secrétaire d'État Mike Pompeo ont tenté de dissuader l'Inde de conclure l'accord S-400 lors des pourparlers 2+2 en septembre. Randall G. Schriver, secrétaire adjoint à la Défense pour les affaires de sécurité de l'Asie et du Pacifique, a averti qu'une dérogation n'est pas une décision à prendre à la légère. En effet, si une exemption est accordée, d'autres demanderont également des dérogations, mais sans sanctions imposées, le CAATSA sera privé de toute utilité. Les États-Unis se sont mis dans une situation délicate et doivent faire un choix difficile. La Russie et l'Inde sont en pourparlers en vue d'effectuer des paiements non monétaires. Ils pourraient avoir recours à des options de compensation, à une autre monnaie, comme le dollar de Singapour, ou à un intermédiaire basé dans un pays tiers. Les États-Unis utilisent des intermédiaires pour vendre des armes aux Kurdes syriens. Les deux pays ont 60 ans d'histoire de coopération militaire, la Russie étant le plus grand fournisseur de matériel informatique. Les deux parties se sont unies pour mettre au point le missile de croisière BrahMos supersonique antinavire et d'attaque terrestre. L'Inde met également en service le système de défense aérienne russe S-300, et son porte-avions INS Vikramaditya est fabriqué en Russie et utilise des avions russes. La liste des armes russes utilisées par l'armée indienne est vraiment longue. L'Inde est en train de finaliser les négociations avec la Russie pour l'achat de 48 hélicoptères utilitaires Mi-17-V5 supplémentaires. L'accord sur l'achat de quatre frégates pourrait être signé lors du prochain sommet russo-indien d'octobre. New Delhi veut aussi louer un sous-marin nucléaire russe Moscou représente 62 % des importations d'armes de New Delhi. Les armes et équipements russes de l'inventaire indien doivent être entretenus, modernisés et des pièces de rechange doivent être fournies. L'Inde ne pouvait tout simplement pas soudainement suspendre sa coopération militaire avec la Russie, même si elle le voulait. Mais ce n'est pas le cas. On croit généralement que les S-400 sont les meilleurs au monde. Personne d'autre ne pourrait offrir à l'Inde un système avec des spécifications comparables. Et aucune sanction américaine ne peut empêcher la grande puissance, comme l'Inde, d'acheter ce qui sert mieux ses intérêts en matière de sécurité nationale. Le gouvernement indien a déjà été critiqué par l'opposition pour s'être trop rapproché des États-Unis. Les élections générales auront lieu en avril-mai 2019. La signature de l'accord lors de la prochaine visite du président Poutine sera la bonne étape pour gagner le soutien des électeurs. L'Inde défie de toute façon les sanctions américaines en achetant le pétrole iranien. New Delhi a continué à commercer avec Téhéran lors des précédentes séries de restrictions. L'UE, la Russie, la Chine et l'Iran ont récemment convenu de créer un véhicule à usage spécial (SPV) pour contourner les sanctions américaines contre l'Iran. La Russie et l'Inde pourraient faire de même. Les deux grandes puissances devraient conclure un "plan d'action" pour le développement du partenariat dans le domaine de l'énergie nucléaire civile lors de la prochaine réunion au plus haut niveau. Elle se concentrera sur un deuxième site pour une centrale nucléaire russe dans le pays. La société russe Rosatom est actuellement le seul investisseur étranger dans le secteur de l'énergie nucléaire civile en Inde, les deux premières unités de 1 000 W de la centrale de Kudankulam ayant déjà été mises en service. Le site devrait compter six réacteurs VVER-1000 d'une puissance installée de 1 000 MW chacun. En mars, l'Inde, la Russie et le Bangladesh ont signé un accord trilatéral sur la coopération dans le domaine de l'énergie nucléaire en matière de formation du personnel, de partage d'expérience et de conseil. La Russie a joué un rôle clé en facilitant l'entrée de l'Inde dans l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS), ou Pacte de Shanghai, l'année dernière. Elle appuie fermement la candidature de l'Inde à un siège permanent au Conseil de sécurité des Nations Unies et au Groupe des fournisseurs nucléaires (NSG). Il ne fait aucun doute que le sommet d'octobre réaffirmera le fait que la relation traditionnellement étroite s'est transformée en un "partenariat stratégique privilégié spécial" alors que le monde passe d'un ordre unipolaire à une éventuelle structure multipolaire. La décision d'acheter le S-400 et de défier les Etats-Unis en exerçant des pressions directes prouve que le gouvernement indien est catégorique dans sa volonté de renforcer la coopération avec l'ancien partenaire et ami.

Le Rafale est dotée d'une instabilité dynamique, ce sont les FCS qui règlent automatiquement le degrés d'instabilité (à 8% je crois) quelque soit les charges, et donc même au moment d'un largage. Ce système permet une grande souplesse pour le centrage des configurations emportées et c'est d'ailleurs une des raisons qui expliquent que le Rafale est capable d'emporter autant. Pour le pilote les réactions sont toujours saines.

In Rafale season, HAL’s 3-year delay in Sukhoi rollout raises concerns; company says delivery on schedule https://indianexpress.com/article/india/in-rafale-season-hals-3-year-delay-in-sukhoi-rollout-raises-concerns-5381852/ Traduit avec www.DeepL.com/Translator LE CONTRÔLE sur l'accord de 36 jets Rafale a mis Hindustan Aeronautics Limited (HAL) sous les feux de la rampe avec de " graves inquiétudes " soulevées dans les locaux officiels au cours des trois années de retard dans la production par le géant du secteur public de l'avion Sukhoi Su-30 MKI d'origine russe pour l'IAF. Des sources officielles ont déclaré à l'Indian Express que HAL devait livrer le dernier d'une série de 140 chasseurs d'origine russe d'ici mars 2017, ce qui a maintenant été reporté à mars 2020. "Nous avions demandé à l'IAF de payer 2 000 crores roupies supplémentaires à HAL pour la mise en place d'installations supplémentaires afin de comprimer le calendrier de livraison (de mars 2017) et de livrer le dernier des 140 avions sous contrat en mars 2015. Mais il y a eu d'autres retards dans la production", ont déclaré des sources. HAL n'a pas profité de l'accord Rafale signé en 2016 après que le constructeur français Dassault Aviation ait opté pour d'autres compagnies indiennes en vertu de la clause de compensation pour les raccordements locaux, la majeure partie des travaux ayant été attribuée à Reliance Defence d'Anil Ambani. Les partis d'opposition ont allégué que le gouvernement a agi d'une manière qui a nui aux intérêts de HAL et a profité à Ambani. Dans le cas du Sukhoi Su-30 MKI, 50 avions de combat ont été fournis par la Russie dans le cadre du contrat direct avec l'Inde, et HAL a été chargée de livrer 222 autres avions - sous licence de production - dans six contrats différents. Les quatre premiers contrats portaient sur un total de 140 appareils, tandis que les deux autres concernaient respectivement 40 et 42 autres appareils. Sur un total de 140 avions sous contrat, HAL n'en a pas encore produit 33, selon certaines sources. Mais l'entreprise du secteur public a directement acheté des avions à la Russie et les a livrés à l'IAF pour combler l'écart. Ces livraisons provenaient des deux contrats supplémentaires, assurant ainsi que 188 des 222 avions ont été donnés à l'IAF, selon des sources. Pour l'année de production en cours, selon certaines sources, 12 avions sont prévus, mais un seul a été produit à ce jour. "Si ces avions russes n'étaient pas achetés par HAL, le délai de livraison serait de cinq ans, et non de trois ans seulement. L'ensemble complet des 140 avions devait être livré d'ici 2014-2015, mais ils sont toujours en attente ", ont déclaré des sources. Contacté, Gopal Sutar, chef de la communication médias de HAL, a déclaré qu'"il n'y a pas de retard dans les calendriers de production et de livraison". "Jusqu'à présent, nous avons donné 199 avions, qui constituent la colonne vertébrale de notre précieux client, l'armée de l'air indienne ", a déclaré M. Sutar. "HAL a absorbé avec succès toute la technologie de fabrication en quatre phases et le Su 30 MkI est produit à partir de la matière première en tenant nos partenaires privés par la main. HAL est peut-être la seule entreprise aérospatiale au monde où la matière première entre dans les portes de l'entreprise et le produit final s'envole ", a déclaré M. Sutar. Selon certaines sources, l'IAF a également accordé des "concessions de production" à HAL pour s'assurer qu'elle peut accepter les avions fabriqués par le constructeur du secteur public, allant de l'utilisation de composants à courte durée de vie au retard dans la fourniture des équipements de rôle. Interrogé sur la raison pour laquelle ces concessions ont été accordées à HAL, un haut fonctionnaire de l'IAF a déclaré : "Si ces concessions n'avaient pas été accordées, les retards auraient été encore plus importants, ce qui aurait sérieusement affecté la capacité opérationnelle de l'IAF". Sur les 42 escadrons d'avions de chasse autorisés, l'IAF n'en compte actuellement que 31, un nombre qui devrait encore diminuer à mesure que les anciens aéronefs, comme les MIG, seront progressivement éliminés. Des sources ont également déclaré qu'elles "ont vu la différence dans la qualité du standard de production entre les avions produits par HAL et les avions d'origine fournis par la Russie". Les problèmes signalés par l'IAF à HAL varient de temps en temps, ce qui indique un manque de contrôle de qualité adéquat et un manque de sensibilisation dans le traitement de ces questions à HAL, selon les sources. "La question du compromis qualité ne se pose pour aucun des produits HAL. Cette question est soulevée à maintes reprises juste pour marquer des points. Il semble que très peu de gens comprennent comment les questions de qualité sont prises en compte dans la fabrication aérospatiale ", a déclaré M. Sutar. "Généralement, la qualité est intégrée au produit dans l'industrie aérospatiale, et cela inclut notre Su 30 MKI en raison de la nature du processus de production. En outre, HAL a toujours été garante de la qualité de ses produits grâce au niveau de contrôle de l'assurance qualité par les autorités de l'assurance qualité de l'Etat en tant que représentant du client. Alors pourquoi soulever la question de la qualité ?" Sutar a dit. En 2016, un nouvel accord de gouvernement à gouvernement sur le Rafale a mené à l'annulation de la proposition d'achat de 126 avions de chasse dans le cadre d'un appel d'offres lancé par l'ancien gouvernement UPA. Selon cette proposition, 108 avions de combat Rafale devaient être construits par HAL en Inde. Mais l'entreprise du secteur public n'a pu parvenir à un accord avec Dassault sur diverses questions, et la proposition a été retirée par le gouvernement en juin 2015. L'ACCORD SUKHOI 272 Sukhoi SU-30 MKI pour l'IAF 50 en condition d'envol en provenance de Russie, 222 à réaliser par HAL sous licence 6 contrats avec HAL, les quatre premiers pour 140, les deux suivants pour 40 et 42 respectivement Retard de 3 ans dans la production de 33 avions sur les quatre premiers contrats

Je ne suis vraiment pas d'accord avec toi, sans aucune animosité bien entendu. L'argument qui consiste à dire les Américains ont fait ceci dans le passé et donc le programme F-35 se terminera de telle façon me parait assez pauvre. Après tout ils ont eu de grandes réussites, mais des échecs aussi, plus ou moins grand, le dernier étant l'arrêt prématuré de la production du F-22. Et surtout il y a un essoufflement de la performance des américains dans les programmes de haute technologies qui ne se limite pas aux avions, mais aussi aux bateaux, aux porte avions et je ne cherche pas à être exhaustif. Je me placerais donc au niveau stratégique du programme. Le programme F-16 a été un immense succès, les US ont pensé qu'ils pouvaient prolonger ce succès et même l'amplifier si ils se débrouillaient à rendre captifs les armées de l'air qui avaient acheté le F-16. La stratégie était de faire un très bon avion, pas cher. Pour y arriver il fallait un programme ambitieux qui allait coûter cher en développement mais un coût récurrent faible qui était possible à condition que la production soit massive. Les commandes espérées sont de 3000 avions environs, mais les espoirs initiaux étaient de l'ordre de 6000! Tout le monde sait que le prix du développement a plus que doublé et que celui-ci se fait sur une durée qui a augmentée. La vision GAO des coûts du programme F-35 en 2005 https://www.gao.gov/new.items/d05271.pdf La dure réalité est un grave problème pour mettre en oeuvre la stratégie initiale du programme, alors on a vu une fuite en avant. La seule chose importante pour Lockheed a été de faire baisser le coût récurrent de l'avion, et pour cela il fallait produire au plus vite, même si l'avion n'était pas au point. Cela a entraîné une sur-utilisation de la "concurrency" qui est une "malpractice"! Mais les exportations sont resté bloquées à 700 exemplaires environ, bien loin du succès du F-16 et il est vraisemblable que ces 700 exemplaires ne seront pas produit. Sur ce les US commence à avoir des velléités de réduire aussi leur commandes, il y a déjà eu une réduction de 500 commandes par rapport aux objectifs initiaux et ils envisagent une autre réduction de 590 avions du fait du coût important de l'heure de vol. Pour moi la stratégie du programme a échouée et on n'en a pas encore vu les conséquences.

C'est plus simple de venir par la mer en survolant les eaux internationales puis les eaux territoriales du Qatar.

Harris wins F-35 business for new computer processors, shaking up the supply chain https://www.defensenews.com/air/2018/09/27/harris-wins-f-35-business-for-new-computer-processors-shaking-up-the-supply-chain/ Traduction WASHINGTON - L'avion d'attaque interarmées F-35 se dote d'un processeur informatique moins cher et plus puissant fourni par Harris Corp, qui a récemment remporté un concours pour remplacer l'ancien système construit par le groupe des systèmes rotatifs et de mission Lockheed Martin. Harris introduira son processeur central intégré de nouvelle génération dans le 15e lot de F-35, qui devraient sortir de la chaîne de production en 2023, a déclaré Lockheed Martin, entrepreneur principal des F-35, dans un communiqué de presse. Lockheed a choisi l'ICP de Harris, qui traite les données des principaux systèmes électroniques de l'avion, y compris les affichages du poste de pilotage et du casque, le système de guerre électronique, les capteurs, le matériel de communication et le système de guidage, dans l'espoir de réduire les coûts de production et de maintenance du F-35 tout en augmentant les capacités de l'appareil. Le nouveau processeur devrait fournir 25 fois plus de puissance de calcul à un coût unitaire inférieur de 75 % à celui du système actuel, selon Lockheed. L'ICP de Harris sera également plus facile à maintenir et plus fiable, avec une architecture ouverte qui permettra à l'entreprise de le modifier pour être plus résistante aux menaces émergentes. "Le nouvel ICP du F-35 ouvrira la voie à l'évolutivité des systèmes à long terme ", a déclaré Ed Zoiss, président de Harris Electronic Systems. "Les systèmes ouverts sont l'avenir de l'avionique et Harris a investi des sommes considérables en R&D pour fournir des solutions plus abordables et plus performantes qu'il n'aurait été possible de le faire avec une technologie propriétaire. La technologie informatique a beaucoup évolué depuis le développement du F-35 au début des années 2000, les systèmes devenant plus petits, plus rapides et plus puissants. C'est cette idée qui a motivé les efforts du programme pour recapitaliser les principaux systèmes informatiques des F-35, appelés Technology Refresh 3. En plus du nouveau processeur, Lockheed a également attribué des contrats à Harris pour deux autres besoins de Tech Refresh 3 : l'unité électronique d'affichage panoramique du poste de pilotage et le système de mémoire d'avion. "Nous cherchons activement à réduire les coûts dans l'ensemble de l'entreprise des F-35 et, après avoir procédé à un examen approfondi et à une concurrence solide, nous sommes convaincus que le processeur central intégré de nouvelle génération réduira les coûts et offrira des capacités de transformation aux combattants ", a déclaré Greg Ulmer, vice-président du programme des F-35 chez Lockheed Martin. La victoire de Harris est le deuxième remaniement majeur de la base d'approvisionnement des F-35 cette année. En juin, Raytheon a décroché un contrat pour la construction du système à ouverture répartie de l'avion d'attaque interarmées après que son constructeur d'origine, Northrop Grumman, a décidé de ne pas soumissionner pour l'opportunité suivante. Le nouveau DAS de Raytheon sera également livré en 2023 avec le 15e lot de F-35, et devrait coûter 3 milliards de dollars de moins que le système de Northrop au cours du programme. Lockheed envisage également de concurrencer une foule d'autres systèmes F-35, y compris son système de guerre électronique et de communications, de navigation et d'identification, a confirmé Eric Branyan, vice-président de Lockheed pour la gestion de la chaîne logistique des F-35, au Defense News en juin. "Nous travaillons vers l'objectif de 80 millions de dollars" pour un seul modèle de F-35A, a-t-il dit à l'époque. "Pour ce faire, l'un des moyens les plus efficaces est d'organiser des compétitions."

Pour détruire le S300, il faut ouvrir la trappe ... Comme le F-35 est lent, ça peut suffire pour se faire détruire par la batterie en question avant de disparaître. En effet, les missiles sol air sont très rapides alors que les radars savent maintenir une poursuite sur une cible détectée, même redevenue furtive.

F4.2 ==> 2025

Non pour ce genre de cible c'est moins, c'est 160 Km contre une cible de 1m^2; 230 km ça doit être la distance maximale liée à la répétition des impulsions et non pas à la capacité de détection. Mais il existe des modes où on peut s'affranchir de cette limite. http://www.air-defense.net/forum/topic/20302-le-dieu-rafale-et-tous-ses-saints/?do=findComment&comment=1134410

http://www.air-defense.net/forum/topic/20595-parikrama-story/?do=findComment&comment=1166615

Rien à reprocher aux Russes, mais ça peut être un critère de choix de HAL! Ils savent qu'ils auront plus de travail que ce qui est écrit dans le contrat si ils "coopèrent" avec HAL